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 Sujet du message: The Legend of Zelda : Skyward Sword
MessagePosté: Dim 11 Déc 2011 17:47 
375 000 000 Berrys

Inscription: 01 Juil 2008
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Il est une histoire mythique qu’on raconte parmi tant d’autres légendes…
Il y a bien longtemps, existait un Royaume où l’on disait cachés les pouvoirs des Dieux. C’était une province splendide verdoyante et fertile. Mais un beau jour, l’attention d’un être maléfique se porta sur ce Royaume. Et il déroba les pouvoirs des Dieux. Ses forces maléfiques plongèrent la province dans les ténèbres. Alors que le sort du Royaume semblait scellé…
Un jeune homme, tout de vert vêtu, surgit de nulle part.
Il brandit son épée magique fit taire l’être maléfique, et ramena la lumière dans la province.
Le peuple du Royaume appela ce jeune homme qui avait traversé le Temps pour lui ramener la lumière, le « Héros du Temps ».
L’histoire du jeune garçon se transmit de génération en génération, jusqu’à devenir une Légende…

Voilà l’histoire, telle que la racontent les humains.
Cependant, certaines légendes liées à ce récit ont été oubliées…
Et à présent, la porte vers une ancienne légende est sur le point de s’ouvrir…



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Citation:
The Legend of Zelda : Skyward Sword est le 14ème opus de la Saga. Il est sorti le 18 novembre 2011 en Europe, le 20 novembre 2011 aux USA et le 23 novembre 2011 au Japon. Le total des ventes n’est bien évidemment pas encore estimé. Pour beaucoup, Skyward Sword est le premier véritable Zelda de la Wii, Twilight Princess ayant été, à l’époque, majoritairement catalogué de jeu Gamecube car il n’avait pas réellement subi de transformation pour le passage sur la nouvelle console de Nintendo.



Tout le monde ici connait maintenant la passion que je porte à la Saga The Legend Of Zelda. Mais je dois bien avouer que je ne savais pas mon cher camarade de topic fan aussi (► Évidemment que j'aime Zelda ! J'aime les bons jeux, pas malin le Portgas) ! J’ai donc été très étonné lorsqu’il m’a demandé de faire le sujet de Skyward Sword avec lui ! Mais faut pas rigoler, Le Gourmet et moi sommes quand même censés nous détester ! Donc lorsque j’ai dit qu’il n’y avait jamais eu d’avant et qu’il n’y aura jamais d’après, nous nous y tiendrons !
Mais c’est aussi pour ça que nous vous avons concocté le plus beau sujet jeu-vidéo de ce forum !


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Sur une île au dessus d’un océan de nuage se trouve Celesbourg. Ce village est le foyer de notre héros : Link. Un jeune homme tourmenté par un étrange rêve l’appelant à entamer son extraordinaire destin...

L’aventure commence lors d’une journée très spéciale, il s’agit de la 25ème édition de la Chevauchée Céleste. Outre la cérémonie symbolique envers la Déesse, il s’agit aussi d’une épreuve importante pour l’obtention du diplôme de chevaucheur céleste. Car oui, Link est élève à l’école de chevalerie et il se doit de sortir vainqueur, c'est du tout moins ce que souhait profondément Zelda. Après tout, cette dernière – en tant que représentante de la Déesse - doit offrir au victorieux le châle de la Déesse.

Alors que tout, mais vraiment tout, se déroulait pour le mieux, le destin rattrape nos deux amis et Zelda sombre sous les nuages. Link, déterminé à aller sauver son amie, fait face à d’étranges visions qui l’amèneront à découvrir une épée. L’épée de la Déesse qui renferme un esprit du nom de Fay et dont son rôle est d’aider l’élu dans sa quête.
Le père de Zelda, qui est aussi Maire de Celesbourg, voit en Link l’élu décrit dans les anciens écrits. C’est pour cela qu’il demandera à Link d’aller porter secours à sa fille.

Armé de son épée, accompagné de Fay et avec un courage à toute épreuve, la légende commence…



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Cela ne saurait vous étonner si je vous parle d’un humain aux longues oreilles qui porte une tunique verte, et d’une jeune fille blonde, princesse à ses heures perdues. Or, cette fois ci, c’est faux. Certes, nous avons bien un jeune humain à tendance elfique qui porte le vert à merveille, mais la jeune fille n’est pas une princesse.

Pour être plus clair, nous avons ici une révolution en ce qui concerne un Zelda. En effet, dans tous les jeux de la saga (sauf ceux ou l’héroïne éponyme n’apparait pas), Zelda est une princesse qui vit dans son château, au début de l’aventure, elle ne connait pas Link, et leur rencontre se fera bien souvent car Link est appelé au château pour une mission. (La chose est un peu différente pour The Wind Waker car l’identité de Zelda n’est révélé que bien plus tard dans le jeu).

Toujours est-il qu’ici, ce n’est pas le cas, Link et Zelda se connaissent, ils sont amis et ça ne serait pas exagéré de dire qu’ils sont même plus que ça. J’ai entendu beaucoup de critique/bêtise sur le fait que Zelda « chauffe » Link au début du jeu. Non, on nous montre juste à quel point se trouve la complicité des deux entre eux, et c’est cette première approche différente qui va caractériser tout le jeu. Mais j’y reviendrai un peu plus tard dans le sujet

► De mon côté, je rajouterai qu’il est plaisant de redécouvrir un Link plein d’énergie, de rage ! Que dis-je ?! De passion ! Après un épisode soumission (Twilight Princess), les développeurs ont soignés leur héros, c’est vraiment sympathique d’avoir Link avec un regard déterminé lorsque ce dernier entre dans un donjon. Cela reste du détail, mais c’est ça qui fait frissonner un joueur. Dans le même genre, même si cela n’a aucune incidence sur le jeu (du moins, je l’imagine), avoir le choix de certaines réponses de Link permet de plus facilement rentrer dans le personnage (et créer la personnalité qu’on souhaite à son héros)
Je ne reviendrais pas sur Zelda, elle a son caractère et vraiment, ça fait plaisir.


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À côté du duo inhérent à tout Zelda, nous avons évidemment une pléthore de personnages spécifiques. Le principal étant Fay. Comme expliqué plus haut, Fay est l’esprit envoyé par la déesse qui vit dans l’épée que Link aura au début du jeu. Et je dois bien dire que je n’ai pas tout de suite été emballé, Fay a un côté - de par son verbe et son physique – robotique. Elle est extrêmement froide et distante, certes elle aide Link, mais cela s’arrête là, il n’y pas réellement d’amitié entre eux, on peut en avoir pour preuve le fait que Fay dise « Maître » à Link. Et surtout, son trait caractéristique, elle parle constamment en pourcentage ! « Maître, la probabilité que nous trouvions la flamme sacré derrière cette porte est de 90% », tu m’étonnes, nous sommes devant la porte du boss…

Et cela m’a refroidit, je n’ai pas retrouvé l’émotion et l’humour que l’on pouvait avoir avec Navi, Exelo ou même avec Midona, Twilight Princess pouvait certes avoir plein de défaut, il n’empêche que le sidekick de Link était sacrément bon. Bizarrement, les seuls moments où Fay va montrer une certaine émotion va être pendant les différentes cinématiques au cours du jeu, c'est-à-dire à la fin d’un donjon ou alors d’évènement perturbateur/régulateur important, elle va par exemple chanter ou danser. Au final, on s’y fait, et puis mine de rien, Fay s’ouvrira de plus en plus au cours du jeu au point de nous offrir l’un des plus beaux moments tout Zelda confondu à la fin. C’est donc un personnage qui étonnera. Mais son évolution est symptomatique de toute l’évolution qu’aura le jeu en avançant plus loin dans l’intrigue et plus j’y repense plus je me dis qu’il s’agit sans doute de l’un des meilleurs sidekick de la saga.

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Les principaux personnages étant abordés, nous pouvons maintenant passé aux personnages secondaires, et comme dans tout jeu Zelda qui se respecte, ils sont particulièrement hauts en couleurs ! Tous les citer serait trop long et de toute façon inutile mais je retiendrais déjà Hergo, le rival de Link au début, amoureux de Zelda, grande gueule et avec une coupe de cheveux affreuse (roux de surcroît). Mais il va évoluer, et au final il aura un rôle, certes pas épique, mais néanmoins très utile. Nous avons aussi la mystérieuse mémé, gardienne d’un temple perdu, phrase énigmatique et conseil avisé seront les lots que nous avons par cette étrange vieille.

À côté de ça, nous avons le père de Zelda et aussi chef du village de Celesbourg, il a d’ailleurs vraiment la tête d’un Roi d’Hyrule, mais je suppose que le parallèle est fait exprès, mais il n’est pas plus marquant que cela… Et puis tous les élèves de l’école de chevalerie et enfin les habitants du village qui ont tous leur petit problème que Link devra résoudre au fur et à mesure. Et oui, les quêtes annexes sont là, et elles sont nombreuses !

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Tu n’oublierais tout de même pas un protagoniste important là ?
Le principal opposant de cet opus se présent comme un Seigneur Démon, Ghirahim. Il croisera à plusieurs reprises la route de Link ou bien c’est Link qui croisera sa route… Tout n’est qu’une question de point de vue. Son unique et seul objectif est de pouvoir ressusciter son Maître. Pour cela, il aurait besoin de Zelda et de la fabuleuse énergie qu’elle émane.
Link ne sera jamais considéré comme une menace pour lui, plus un sujet d’agacement. Toujours présent quand il apprend une mauvaise nouvelle. Mais enfin, pour Ghirahim, les succès de notre héros tout de vert vêtu n’est dû qu’à son épée.
Ghirahim possède un style très particulier. C’est un personnage très théâtralisé dans ses gestes, sa façon de parler… Dans son attitude. Cela peut paraitre par moment ridicule, mais il y a un effort de mise en scène qui arrivera réellement à déstabiliser le joueur, ainsi que Link.
Ghirahim possède un charme particulier qui le rend fascinant.



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Maitre Portgas, Fay au rapport. Il y a 15% de chance que vous spoiliez vos lecteurs avec les paragraphes suivant.


Probablement le point du jeu qui aurait connu le plus de divergences entre les joueurs. Beaucoup d’entre eux n’ont pas aimé la première partie mais ont adoré la seconde. J’ai lu aussi qu’énormément de joueurs trouvait que ce Zelda n’était pas assez mature et qu’on était dans le monde des bisounours, etc.

J’ai beaucoup de chose à dire sur ce thème, donc j’espère que je vais réussir à être clair pour tout le monde.
Après avoir joué 10h et la première partie du jeu de passé (c'est-à-dire les trois premiers donjons plus ou moins) ça serait mentir de dire que je ne suis pas resté quelque peu sur ma faim. Et pourtant, le jeu regorgeait déjà d’innovation en tout genre, car oui il faut bien le dire, ce Zelda apporte un énorme nombre de nouveau concept par rapport au rythme de l’aventure et à la place des donjons dans le jeu.

Les 3 premiers donjons nous mènent sur 3 terres différentes, respectivement La forêt de Firone, le volcan d’Ordinn et le désert de Lanelle (on retrouve ici les noms des terres dans Twilight Princess). Pour la forêt de Firone, j’ai réellement eu une impression de « vide », disons un côté fade concernant l’action pré-donjon et même le donjon en lui-même n’est pas réellement inspiré. Puis vient le volcan, et ici, pareil, c’est un peu mieux, mais pas encore ça, à ce moment-là je me disais que je jouais à un Zelda étrange, un Zelda qui n’avait pas le même cachet que les autres, et pourtant il y avait un je-ne-sais-quoi qui m’attirait.

Et puis on arrive au Désert de Lanelle, et ici, on trouve une petite pépite de niveau, alors qu’on s’attend - dans un désert - à un level-design pas terrible, on se retrouve avec un superbe concept. Mais il serait dommage de vous en parler ici, cela vous gâcherait une belle surprise ! C’est vraiment cette terre qui m’a beaucoup plu et qui m’a réconcilié avec cette première partie.

Et arrive donc cette fameuse seconde partie. Et c’est ici que Skyward Sword devient un Zelda comme on les aime tout en révolutionnant la chose. En effet, nous avons, à nouveau, un côté un peu plus épique sans être trop, un côté poétique, mais surtout une révolution dans la manière d’appréhender l’aventure, avec beaucoup plus d’action hors-donjon que dans les donjons. On a aussi plus de cinématique avec beaucoup de référence, et une évolution justement dans la relation Link-Fay, mais aussi un côté véritablement épique en soit par rapport à l’aventure.

Et c’est là que je voulais en venir, car paradoxalement, c’est avec cette seconde partie que l’on comprend toute la première partie et toute l’intro à Celesbourg.

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Un vol vers Celesbourg

Je disais dans la partie des Personnages que Link et Zelda ont une relation inédite dans un Zelda car ils sont amis dès le début, ils se connaissent et s’apprécient/s’aiment. Donc lorsque Zelda se fait enlever, il n’y pas d’histoire de sauver une princesse d’un grand royaume en danger. Il faut sauver une amie, sauver une amoureuse. Et c’est là que s’explique tout le côté intimiste de cette première partie de jeu. Très peu de cinématique, très peu de lien, de référence. Et c’est aussi là que s’explique ce que je ressentais en jouant (et où les graphismes aident avec leurs côtés très épurés), car on vit quelque chose de simple, quelque chose qui n’est pas épique, c’est seulement un garçon qui veut sauver son ami. C’est une histoire simple et belle. Et les clés de compréhension de la longue introduction à Celesbourg et de la première partie, on les trouve pendant la seconde partie.

Il y a une constante montée en puissance dès que l’intrigue prend une autre ampleur. À partir du moment où on arrive au schéma où Zelda devient une personne importante et que Link tout en voulant sauver son amie, va aussi devoir sauver le monde. Et là nous retrouvons un Zelda épique comme on les aime, mais toujours avec cette touche particulière de simplicité.

Car en fait, ce côté épique se crée petit à petit. Dans chaque Zelda, au début on nous parle d’un héros qui a sauvé le monde des forces maléfiques, le héros du temps qui a pourfendu le mal grâce à son épée. Au début de Skyward Sword, il n’y a pas ça, tout simplement car nous incarnons le héros de la légende, et on voit ici que la légende se crée petit à petit, devenant à chaque instant de plus en plus belle et grandiose. La relation avec Fay va se développer, tout l’aspect mythologique de la saga Zelda va être mis en écho constamment. On a des liens avec les trois déesses bien connu Din,
Farore et Nayru, mais aussi des liens directs avec Ocarina of Time.

Tout va se densifier… Tout va devenir beau… Et Skyward Sword va nous livrer la plus belle fin que j’ai pu connaître dans un Zelda.

Et cette fin va nous donner toute la relecture que j’ai pu faire après sur l’ensemble du jeu.
Et là je me suis dit que oui,

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C’est un chef d’œuvre.

► Je ne peux qu’affirmer ce que dit mon collègue du dessus.

The Legend of Zelda : Skyward Sword tente et réussit une nouvelle approche avec cet opus.
Dès les premières minutes, on nous annonce une grande destinée mais tel un rêve, Link et le joueur n’en prendront conscience qu’au fil des heures. La première étape peut tellement bien se résumer à un Mario-like, la princesse est dans un autre château. Mais qu’importe, il y a un part de sincérité qui touche dans la quête de Link. On sent réellement qu’il tient à voler au secours de sa belle. On verra sa détermination grandir après des coups durs et des remises en questions. Et pourtant, nous les avons vu peu de temps ensemble, mais le jeu a réussit avec une facilité déconcertante à nous montrer le lien sincère qui unit Link et Zelda.
Alors le voir braver les dangers pour elle, et seulement elle, n’est pas étonnant.

Le déroulement du jeu fait en sorte que nous devons assister à la naissance d’un héros, d’une légende.
Après une première phase de découverte, d’émerveillement face à ces nouvelles terres (car assurément, le paysage possède une beauté certaine). On entame en douceur le fameux virage de la série. Il y a un point très agréable, c’est que le tout se fait parfaitement logiquement. L’ampleur de l’objectif évolue et rend l’aventure épique sans pour autant dénaturer la sincérité de Link. La maturité qu’accumule Link à chaque épreuve rend ce changement logique et pertinent (oui, j’insiste vraiment sur ce point).

Dès que le jeu a pu poser ces bases solides, il peut réellement commencer à construire la légende car nous l’avons là. Nous avons le héros pour cette légende. Nous avons sa détermination qui a été prouvé. Tout l’aspect mythologique de la saga peut alors exploser et la légende naitre.
Chaque étape de cette seconde partie donne des frissons. Plus rien n’est anodin, tout n’est que légendaire.

C’est vraiment un beau récit.


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Maitre Le Gourmet, Fay au rapport. Il y a 100% de chance que vous spoiliez vos lecteurs avec les paragraphes suivant.


Parlons-en donc de ce souci de beauté chez les développeurs.
Nous avons déjà, comme préciser plus tôt, un vilain très théâtralisé mais ce souci de la mise en scène, nous la retrouvons notamment dans les fins de temple. Il est marrant de voir que l’actrice de cette mise en scène n’est autre que Fay. J’ai réellement été conquis par ces petites danses, pleines de poésie et de grâce. Cela surprend venant de ce personnage, mais cela a le mérite d'envouter Link... Et le joueur.
Dans le même genre, la région de Lanelle doit être clairement la plus belle. L'idée est tellement simple et belle, devant des paysages aussi mort/terne, pouvoir revenir dans le passé... Et découvrir des plaines verdoyantes, pleines de vies. C'est magique. Le coup de grâce fut la balade en bateau. Envoutante.

Il est aussi intéressant de voir que le jeu joue souvent dans ces contrastes d'ambiance. Les épreuves de maturités (ou du nom barbare "Psysalis") : on se croirait dans un rêve, dans un monde de paix sans danger où l'on pourrait s'évader sans crainte. Ce sentiment est renforcé par le fait que Link ne possède aucune arme durant ces phases. Mais le changement d'ambiance dès que l'on est repéré est oppressant et arrive à monter le stresse du joueur.

Autre exemple avec le temple pour la flamme du courage, on nous propose un temple à deux visages. Une ambiance très zen qui cache un véritable enfer avec zombies. Ou bien encore, l'affrontement final. Il était difficile de s'attendre à un tel calme alors qu'on allait affronter une telle brute (Qui fait penser au final de Majora Mask). Que dire si ce n'était pas tout simplement le pied quand le climat s'emballait, plus le combat devenait intense... Ah... Que j'aime ce boss (Akuma dans Zelda... Enorme !)

Bref. Tout cela pour dire que ce Zelda aime jouer avec les contrastes qui donnent un résultat vraiment bluffant.



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Maître Portgas, Maître Le Gourmet, Fay au rapport. Il y a 100% de chance que vous spoiliez vos lecteurs avec les paragraphes suivant.


Comme bon nombre d’entre vous l’on sûrement entendu ou vu, Skyward Sword se place devant tous les autres Zelda au niveau de la chronologie. Il semblait donc évident que cet opus allait faire écho à beaucoup d’élément que nous avions pu avoir dans les autres titres majeurs, et c’est bien le cas !

Premier élément plus symbolique qu’autre chose, c’est bien évidemment la tenue de Link. Elle serait donc la tenue officielle des chevaucheurs célestes de Celesbourg, et Link a hérité de la verte. Au cours de la saga, plusieurs jeux donnent une origine à la fameuse tunique verte de Link, dans Ocarine Of Time, nous avons la tenue des Kokiris, et dans Spirit Tracks, c’est une tenue d’apprenti soldat. On peut se douter qu’il ne s’agisse en fait que de tradition et que toutes les multiples tenues vertes que Link portent lors de ces aventures découlent du Link dans Skyward Sword. Dans Wind Waker, la tenue est reçu à l’âge de douze ans, et il est dit que le héros du temps la portait, même schéma dans Twilight Princess. Si jusqu’à aujourd’hui, ce Héros du Temps faisait référence au Link d’Ocarina of Time, on se demander s’il ne s’agirait pas du Link de
Skyward Sword, en fin de compte !

C’était la partie quelque peu anecdotique, passons maintenant à la légende, la vraie et véritable !

Alors que nous connaissions tous les 3 grandes déesses de la saga : Din, Farore et Nayru, voilà que Skyward Sword nous introduit une nouvelle déesse majeure, Hylia. Le jeu fait déjà de multiples références aux 3 déesses précédemment citées donc nous savons qu’Hylia vient après elles.
De plus, l’époque d’Hylia ne doit pas remonter à si longtemps que cela, car si nous estimons l’âge d’Impa dans le passé et le présent, on va dire qu’il a bien dû se passer 100/150 ans (les Sheikas ayant par nature une très grande longévité). Or la Impa du passé dit que les blessures laissées par le combat entre Hylia et le démon sont encore profondes. On peut supposer que le combat s’est déroulé il y a quelques dizaines d’années. Donc si arrondit tout ça en étant assez large, entre l’aventure que nous vivons et le combat de la déesse, il s’est passé 200 ans. Ce qui, au final, n’est pas énorme pour un combat qui est déjà entré dans la légende.

Ensuite se pose la question du grand méchant du jeu, l’Avatar du Néant. On peut supposer qu’il s’agisse du premier démon, et qu’il aura engendré la lignée des grands méchants du jeu, notamment Ganondorf. D’ailleurs à la toute fin, quand l’Avatar est vaincu, il jette une malédiction sur Link et à Zelda en disant que leurs descendants ne seront jamais en paix et qu’ils devront toujours faire face à la réincarnation de sa haine. Et je rappelle que c’est toujours le même Ganondorf qui réapparait dans tous les jeux de la saga. Après la question est de savoir comment Ganondorf a pu avoir une partie se procurer la triforce de la force.

► En parlant de Triforce, pour la toute première fois, Link possède entièrement la Triforce (si c'est pas le cas, la faute revient à Portgas qui n'a pas sus répondre à mes questions D8). Courage. Force. Sagesse. Nous avons donc affaire au Link le plus puissant de toute la saga. Il n'est pas étonnant qu'il soit à l'origine de La Légende.

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Les premiers pas de Link dans la Légende.


En plus d'avoir réunir la Triforce, Link va créer la Master Sword : l'épée capable de repousser les forces du mal. Il est intéressant de voir la place qu'occupe les épées dans cet opus. Fay et Ghirahim étant tous les deux les esprits des deux armes pour l'affrontement final (La Master Sword d'un côté, signé d'une Triforce et de l'autre côté, une épée complètement badass, signé d'une Triforce renversé). Les deux ont eu un traitement spéciale au niveau de la mise en scène (l'extravagance de Ghirahim et la poésie de Fay). Tout comme ces deux là possèdent la même envie de servir leur maitre. Malgré la neutralité à toute épreuve de Fay, cette dernière est heureuse de pouvoir se battre au côté de Link. Tout comme Ghirahim sera heureux et honoré de pouvoir à nouveau servir L'Avatar du Néan.

Déjà que la Master Sword possède une aura incroyable, assister à sa naissance arrive à la rendre encore plus extraordinaire. Assurément devenu l'épée ultime.

Après l'épée, le bouclier. Il y a possibilité de gagner le bouclier ultime à la suite d'une épreuve. Le nom de ce bouclier ? Le bouclier Hylia. Il porte donc le nom de la Déesse... Mais attendez ? Et oui, il s'agit du bouclier Hylien dans toute sa splendeur. Cela reste très anecdotique, mais j'ai beau aimé le retrouver et la déformation du nom est logique avec le temps. Un détail qui fait plaisir.


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Puis plusieurs grandes révélations nous sont données concernant les Sheikahs. Si nous savions déjà dans Ocarina of Time que leur rôle était de protéger la famille royale d’Hyrule, nous savons maintenant d’où ils viennent, ceux sont des envoyés de la déesse ! Des envoyés chargés de protéger la réincarnation de la déesse, et donc ici il s’agit de Zelda. Le point intéressant aurait été de savoir s’ils sont plusieurs, car malheureusement ici nous ne voyons qu’Impa. Je me pose cette question car dans Ocarina of Time nous apprenons que les Sheikas ont presques tous été décimés suite à la grande guerre d’Hyrule (les Gerudos menées par Ganondorf contre les Hyliens). En tous cas, pour l’anecdote, on aperçoit l’œil emblématique des Sheikahs sur les chronolithes, ce qui laisserait supposer qu’ils sont les créateurs de la civilisation du désert de Lanelle.

Je finirais rapidement sur quelque chose qui m’a taraudé pendant tout le jeu et je pensais vraiment que nous aurions une référence ou un clin d’œil pendant le jeu : Mais d’où viennent les Célestiens de Twilight Princess ! (Le premier qui me répond des poules célestes…)

Bref, Skyward Sword répond à quelques interrogations, mais j’ai surtout l’impression qu’il en crée beaucoup plus. Ah… Miyamoto, tu me tueras…


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Comme dit au début du sujet, beaucoup voyait en Skyward Sword le premier véritable Zelda destinée à la Wii. Et lorsque je vois la jouabilité que nous offre cet opus, je ne peux qu’adhérer. Si dans Twilight Princess, la reconnaissance de mouvement n’était qu’une vaste blague, il n’en est rien ici. La précision de la manette est franchement bluffante, alors certes, il faut un certain temps d’adaptation pour réussir tous les gestes avec précision, mais cela marche vraiment bien.

Et cette jouabilité a donc permis de créer un bestiaire bien plus intéressant au niveau du challenge. Car le moindre gobelin pourra se défendre en parant les coups avec sa grosse épée et à ce moment-là, il faudra donner un coup dans la direction opposé pour réussir à toucher le monstre.

À côté de cette maniabilité vraiment jouissive, ce Zelda nous apporte aussi un très grand lot d’innovation. Et j’ai senti ici un réel vent de changement concernant la majorité des énigmes présentes hors et in donjon. Et comme toujours, il sera dur d’en parler tant j’ai envie que vous découvriez ça par vous-même ! En tous cas, je ne peux que saluer ce gros changement qui est d’avoir réellement mis en avant l’aspect exploration et découverte de territoire absolument immense et d’avoir placé plus en retrait les donjons lors de la seconde partie. Néanmoins, les donjons restent tous très inspiré et avec des boss magnifiques comme je n’en avais pas eu depuis The Wind Waker !

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En revanche, car bémol il peut quand même y avoir, le jeu est trop facile, et notamment par rapport aux monstres. Il y a des cœurs partout ! Et 36 moyens de récupérer de la vie avec une facilité folle ! Mais je pourrais quand même passer là-dessus car il y a tellement différentes formes d’épreuves que finalement, ce n’est pas toujours le manque de cœur qui nous fera raté quelque chose voire mourir !
► MAIS. C'est dans cette optique que voit le jour le mode héroïque. Difficulté accrue, secrets. Bref, je suis curieux et je testerais ce mode avec plaisir.

En bref, je dois bien dire que j’ai pris mon pied dans ce Zelda, et je chipoterais sur une chose : Pourquoi avoir enlevé la possibilité à Link de finir ses combats par une pose badass lorsqu’il range son épée ? T_T

► Calme et posé.

Il faudra réellement ranger sa rage au placard si l'on souhaite terrasser ses ennemis. Des attaques de précision pour frapper dans les ouvertures des ennemis pour ensuite les découper en mille morceau. Il sera aussi intéressant de découvrir les points faibles des ennemis. Certains seront d'une évidence folle, d'autres seront plus fourbe (comment j'ai pu mourir face à une araignée de base...) ou encore d'autres ne permettront pas la moindre erreur.

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Autre chose qui ne permet pas les erreurs, l'utilisation du bouclier. Si vous n'avez pas le bon rythme, vous pourrez rapidement dire au revoir à votre bouclier en plein milieu d'un donjon... Et franchement, ça en pardonne pas. Penser à augmenter la résistance du bouclier, le réparer, choisir le bon. Link part à l'aventure et il se doit de bien se préparer. On découvrira de multiples items qui apporteront des bonus, et influenceront votre style de jeu.

Outre cette maniabilité à toute épreuve, ce Zelda possède bien d'autres innovations. Je crois que c'est la première fois qu'on a un Link aussi athlétique. Cette jauge d'endurance et tout ce qu'elle apporte est une véritable bouffé d'air frais. J'ai du mal à imaginer un futur Zelda sans elle maintenant, tellement elle est pratique et apporte énormément.

Skyward Sword renouvelle le gameplay avec génie.



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Nous avons eu The Wind Waker et son esprit bon enfant et extrêmement coloré, des couleurs chaudes, fortes et affirmées. Nous avons eu Twilight Princess et son esprit sérieux, des couleurs froides et dures.

Ici, nous pourrions dire que nous avons eu un léger mixage des deux. Skyward Sword nous a ramené à un Link davantage à la Ocarina Of Time (dans le design), mais dans des couleurs digne d’un The Wind Waker. Des couleurs pastels, un côté très épuré et soft. Et par rapport à ce que j’ai dit avant sur le côté intimiste et quasi-confidentiel de ce Zelda, cela se marie à merveille ! Ces couleurs permettent de rapidement faire ressentir de forte émotion de par le chara-design très expressif des personnages. Et des cinématiques d’une beauté et d’une poésie à tirer une larme. De ce côté-là, c’est indéniable, nous avons une grande réussite.

► C'est ça que j'aime.
Beaucoup de monde attend impatiemment le jour où The Legend of Zelda sera en HD. Je ne suis pas impatient personnellement, j'aime nettement plus ce style graphique. C'est remplit de charme et de poésie. Cela a nettement plus de beauté, d'identité que la moitié, que dis-je ? Le 3/4 des jeux HD sortis à ce jour. C'est un style qui se porte parfaitement à la saga alors si, en plus, Nintendo nous donne des mises en scènes à en pleurer de joie... Que demander de plus ?


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Et à côté de ça, la musique… J’ai toujours - même dans les Zelda que je n’ai pas aimé – adhéré à la musique, et encore le mot est trop faible… Cet opus ne fait certainement pas exception. Le thème principal est le chant de la déesse… Magistral. Les musiques classiques de Zelda reprises dégagent un cachet nouveau… Magistrales.
► Cela va être simple. Je me suis surpris à poser la manette et écouter la musique. Splendide.

Encore une fois, un Zelda m’aura fait rêver par sa musique, il m’aura transporté pendant le jeu. Et je vous parlais de tirer une larme, un peu plus haut, lors de la cinématique de fin, entre le fond et la forme, je crois que je n’étais pas loin de tirer une larme de bonheur. Parce que oui, quand je dis la fin de ce Zelda est la meilleure fin de tous les Zelda que j’ai fait, c’est sacrément vrai.

Le fond est époustouflant, la forme est magique, le tout est parfait.


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Nous avons abordés beaucoup de thématique au travers de ce sujet. J’espère qu’il aura donné envie aux personnes qui ne connaissent pas la saga Zelda ou qui ne se sont pas encore intéressées à cet opus d’y jouer. Et j’espère que ceux qui ont déjà fini le jeu mais qui n’avaient pas forcément toutes les références, vous avez pu comprendre un peu mieux en quoi cet opus est si spécial.

Et enfin j’aimerais dire que…► Non mais Portgas... Dis simplement que ça poutre !

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Dernière édition par Portgas le Dim 11 Déc 2011 21:09, édité 2 fois.

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 Sujet du message: Re: The Legend of Zelda : Skyward Sword
MessagePosté: Dim 11 Déc 2011 19:55 
375 000 000 Berrys

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Crackerjack a écrit:
Je fais ce post pour vous poser une question : Avez vous subit ce fameux bug qu'à indiquer les joueurs ? Je ne sais plus trop comment il arrive ( je crois qu'on doit faire une mission dans l'ordre exacte sinon il y a le bug) mais elle peut bloquer le jeu et donc empêcher de faire la fin. Cela est-il vrai ? Merci de me répondre, j’effacerai mon message suite à vos réponses.


Non, ni LG ni moi-même. Après pour le bug, c'est quand on arrive à la quête du chant du héros, il ne faut pas commencer par la région du Désert de Lanelle, voilà !

Et sinon, on a eu beaucoup de compliment sur le topic par MP ou par MSN donc merci ! Mais le but c'est de jouer à Zelda ! Donc vous avez intérêt à vous y mettre maintenant ! Et à profiter à fond !


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 Sujet du message: Re: The Legend of Zelda : Skyward Sword
MessagePosté: Dim 11 Déc 2011 20:15 
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Je crois que je peux vraiment dire que l'année 2011 fut l'année la plus riche en Zelda pour moi. En effet, grâce à ma 3DS, j'ai pu jouer à des titres comme TLoZ, AoL, LA, FS ou bien encore OoT 3D.
Mais une année où l'on fête les 25 ans d'une saga magique, n'aurait pas été complète si il n'y avais pa eu le titre que nos deux compères nous on brillement présenté.

Il m'est très difficile de résumer mon opinion sur ce jeux tant les adjectifs mélioratifs me viennent à l'esprit.

Commençons par le commencement, c'est à dire le scénario.
Comment dire du mal de Skyward Sword ? Tout bonnement impossible !
Le scénario est digne d'un grand, d'un très grand Zelda , et les personnages haut en couleurs.
Link: physiquement, il me fait un peu penser à Anakin Skywalker, la bêtise en moins, mais sa fameuse naïveté en plus. Comme toujours, notre héros ne se rend pas compte de l'amour que lui porte Zelda ( enfin lorsqu'on a joué à FS et que l'on sait à quel trait de la personnalité de Link se rapporte le violet, on comprend mieux ^^)(après, je n'ai pas tout à fait fini le jeu, je ne sais pas se que nous réserve la suite.)
On rencontre des personnages bizarre comme l'armurier (mon dieu que sa tête est drôle.), la/le voyant(e), Tery le plus gros voleur de tous les temps, récupix (sans doute l'un des meilleur perso du jeu)et........Fay.
Alors là je suis tout à fait d'accord avec vous, on début, on la trouve bizarre, robotique, à tel point que je me sentais tel Han Solo face à C-3PO : "Tu sais moi et les probabilités !" Mais on finit par s'y attacher à cette "épée" qui parle à l'envers.
Et puis il y a Girhagim, un personnage tellement charismatique qu'il arrive presque à en faire oublier Ganondorf. Cet espèce d'Emo-Gay (ce n'est pas une critique, juste une constation), est surprenant, drôle, intrigant, et magnifique. Un grand méchant.

Niveau gameplay, rien à dire. Il est extrêmement jouissif de se battre à l'épée et trouver la faille de l'ennemi. J'ai particulièrement apprécié le combat contre "le général Grievous" (encore Star Wars !) dans le temple du courage. Ce style de combat me plaît tellement que je cherche les ennemis, car j'ai l'épée qui me demange. Sans oublier tous les objets géniaux du jeu (et la possibilté de les améliorer) et la toute nouvelle manaibilité de l'arc.
Et je crois qu'un jeu ne m'avait pas autant stressé que celui-ci avec les épreuves de la déesse.


Les graphismes maintenant.
C'es beau, magnifique, éblouissant. Tout simplement.
On se surprend à admirer les paysages, surtout comme Portgas et LG l'on dit, ceux de Lannelle qui supassent tous les autres.

La musique à présent.
Encore une fois c'est superbe, rien à redire. Particulièrement aimé le theme principale et celui du Girahim (je ne sais pas l'écrire). Enfin bref, toutes les musiques sont géniale, sauf un bémol. La musique de Ciel. Attention, je ne dis pas qu'elle est moche, loin de là, mais pour moi, elle ne me fait pas penser à du Zelda, mais plutôt à du Mario Galaxie, la musique de la mer de TWW était clairement plus épique, et c'est là que l'on regrette Koji Kondo.

Voilà, c'est tout pour l'instant, je reviendrai quand j'aurais fini le jeu (je viens de passer la porte du temps),
En tout cas vous l'aurez compris, jouez à ce jeu. Passer à côté, c'est un crime.

Vive Zelda, Vive Nintendo.

PS 1: L'OST fourni avec le jeu est magifique, tout comme la manette.^^

PS 2: Miyamoto a annoncé qu'il se retirait des grands projets de Nintendo. Nooooooooooon ! J'ai peur pour les prochains Zelda. même si Zelda génial.

PS 3: pour le bug rien de mon côté.

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 Sujet du message: Re: The Legend of Zelda : Skyward Sword
MessagePosté: Mer 21 Déc 2011 17:06 
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Concernant le fameux bug :

http://mynintendonews.com/2011/12/21/fi ... n-channel/

Les gars de chez Nintendo n'ontt tellement pas l'habitude de gérer les patchs qu'ils nous font une chaine rien que pour ca, hahaha !


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 Sujet du message: Re: The Legend of Zelda : Skyward Sword
MessagePosté: Lun 26 Déc 2011 21:31 
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Très bon opus de la série que ce Skyward Sword : l'histoire avait un peu de mal à débuter entre nous deux, mais une fois la machine lancée, elle a été implacable avec moi et m'a conquis. Retour sur un opus qui va se loger sans peine parmi ceux que j'ai le plus apprécier jouer (mais qui en contrepartie ne sera pas forcément celui que je continuerai de tenir le plus en estime, Ocarina of Time et Twilight Princess passant encore par là).

Appréciant bien le jeu, j'évoque de suite ses quelques points noirs à mes yeux histoire de lui dérouler le tapis rouge par la suite. Le premier : Fay et Ghirahim. Mon dieu, qu'est-ce qui est arrivé pour avoir de tels personnages comme, respectivement, sidekick et antagoniste principal... La première, Captain Obvious en puissance, va ne cesser de vous débiter des trucs qui rendraient l'antique presque supportable. Entre le « Hey ! Listen ! » et les « Maître Link, vous avez 80% de chances de passer dans une autre pièce en ouvrant cette porte », je préfère encore la première option. Le second pèche plutôt par l'excès : très théâtral comme cela a été déjà relevé par le duo Portgas/LG, ce n'est que dans l'ultime fin que son excentricité trouve grâce à mes yeux. Dommage. Ensuite, pour je ne sais quelle raison, le jeu a la « bonne » idée de vous indiquer à chaque nouvelle partie la définition des objets de collection ou des rubis : c'est à se tailler les veines quand on vous explique pour la énième fois comment se nomme l'insecte que vous venez de chasser ou bien combien vaut un rubis rouge ! Durant l'aventure, la jouabilité se révèle quasi-parfaite, néanmoins, dans le feu de l'action, il se peut que tout s'emballe lorsque vous souhaitez choisir un objet dans l'inventaire. Motion Plus ou pas, il faudra attendre une évolution hardware à ce niveau je pense pour que l'on ait plus de problèmes. Les déplacements dans le monde de cet opus sont relativement corrects mais parfois longuets, la faute incombant à votre monture céleste qui ne peut faire que trois accélérations avant épuisement (Epona doit rire sous cape devant un tel chiffre). Enfin, LE point noir qui m'avait décontenancé les premières minutes de jeu : les graphismes. Étant principalement un joueur Wii ces dernières années, je ne vous ferais pas l'affront de vous dire qu'ils sont risibles vu qu'ils ne sont pas en simili HD 720p comme chez la concurrence mais... On sent que les choix esthétiques ont été dictés par la puissance de la machine. Le côté impressionniste décrit par les développeurs, je l'ai plutôt ressenti comme étant un « On n'a pas assez de puissance de libre pour faire une quelconque profondeur de champ, donc on met un cache misère par dessus ». Néanmoins, le jeu est 80% du temps sublime à voir et n'a pas à rougir dans cette génération.

Voilà, ça c'était le côté mortification de la chose pour marquer ma relation avec cet opus, il ne reste plus qu'à faire une liste non exhaustive des qualités de ce jeu :

  • Ce Link est charismatique.
  • Le Link le plus puissant de la série ?
  • Des clins d'œil malins aux fans.
  • La narration autour de la mythologie de cet univers.
  • Cette relation Zelda/Link qui est parmi les plus intéressantes de la série.
  • Le retour d'Impa.
  • Des personnages secondaires qui ont bien plus de charme que ce qui s'est fait dernièrement dans la série.
  • Des nouvelles créatures très bien pensées pour la plupart (Mogmas et Tikwis en tête !).
  • Enfin un opus qui oblige le joueur à utiliser tous ses objets dans tous les donjons (fini le syndrome où l'on se retrouve avec un usage kleenex d'un donjon d'objets phare).
  • Le level-design continue d'être génial dans les donjons de cette série.
  • Introduire une période certaine de recherches et d'aventure dans une zone avant d'arriver au donjon est une bonne chose pour la durée de vie.
  • La tension qui règne à certains moments dans les Psysalis.
  • Les combats à l'épée sont assurément les plus jouissifs de la série grâce aux nouvelles logiques d'affrontement induites par le Wii Motion Plus (reproduction du sens du coup porté pour atteindre des ouvertures très précises chez les ennemis).
  • Aucun temps mort dans l'aventure grâce à une mise en scène intéressante à de nombreux passages.
  • Diversité toujours présente des situations proposées.
  • De nombreux boss mémorables, notamment le Boss final.
  • Une bande son orchestrale très agréable à suivre.
  • Le moteur physique du jeu.
  • La boutique de Terry.
  • Les animations et le caractère de Arpigeon.
  • L'introduction de l'endurance et de ses dérivés comme l'utilisation du sprint est très efficace dans cet opus.

Skyward Sword est un jeu à acheter les yeux fermés pour n'importe quel fan de la série ou possesseur de Wii. Pour les autres... Attendez que la Wii U sorte en 2012 pour acheter une Wii d'occasion pour une bouchée de pain histoire de jouer à cet très bon jeu qui mérite le détour.

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 Sujet du message: Re: The Legend of Zelda : Skyward Sword
MessagePosté: Dim 29 Jan 2012 12:29 
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Tada ! Fini (enfin il y plus d'une d'une semaine, et le retard depuis le dernier post s'explique notamment par un Minish Cap obtenu sur 3DS...^^ ).

Je viens donc finir de donner mon avis sur ce jeux avec les éléments complémentaires de la suite de ma visite d'Hyrule.

Spoiler: Montrer
Déjà le gros point positif, mais vraiment gros, c'est la durée de vie de ce jeu. En effet, je ne m'attendais à voir le bout après avoir franchis la porte du temps pour la première fois. Mais non, il faut collecter la triforce, et là quelle ne fût pas ma joie que j'ais su que mon aventure à travers ce fantastique univers allait continuer. En fait, quand on t réfléchis, c'est un peu le même schéma que dans TWW, en tout bien tout honneur.
J'ai particulièrement adoré, la phase d'infiltration dans Ordinn, la toute nouvelle vision de la région et la fait de n'avoir pas d'armes ont rendu cette épreuve du dragon sûrement la meilleur de toutes. On découvre également de nouveaux paysage insoupçonnés jusqu'ici comme la forêt de Firone qui est encore plus jolie sous l'eau. Et au final, le chant de chaque dragons est un pure bonheur auditif, tout comme le chant du héros *_*.
Et mois, tout naïf que j'étais, qui croyais ne plus revoir de temple, que nenni, et qui plus est un temple basé sur un taquin géant, de l'action et de la réflexion au max, vraiment un pure bonheur, merci nintendo !
Au final, je n'aurais qu'un tout petit, mais vraiment tout petit petit reproche à faire. L'avatar du néant, soit je suis trop fort, ou il ne l'est pas, enfin, je veux dire, oui, il fait mal, oui, j'ai du boire des potions; mais le combat est simple, on approche, il lance son coup, on esquive et on frappe. J'a vraiment adoré le combat que Ghirahim ainsi que celui contre son maître, mais j'attendais plus de la part de ce dernier, je dois l'admettre (on pouvais trouver de défauts à TP, mais le dernier combat contre Ganondorf est et restera le plus épique de toute la saga pour moi.
Mais le clous du spectacle reste la fin qui comme Popo et LG m'a presque fait tirer une larme tellement elle est émouvante !

Bon, maintenant je finis le jeu à 100%, et ensuite on s'attaque au mode héroïque...

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 Sujet du message: Re: The Legend of Zelda : Skyward Sword
MessagePosté: Mer 2 Mai 2012 14:44 
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Localisation: Quelque part où tu ne t'y attend pas...
Halalalala. Moi et ma si grande flemme. Cela fait environ 4 mois que j'ai fini ce jeu et 4 mois que je me dis que je dois poster. Enfin comme dis le proverbe: mieux vaut tard que jamais!

J'avais auparavant joué à Phantom Hourglass et Spirit Tracks sur DS mais ce fut ma première expérience Zelda sur console de salon.

Spoiler: Montrer
On débute à Célesbourg, une charmante ville céleste. On réalise ensuite une multitude d'aller-retour entre la forêt de Firone, le volcan d'Ordinn et des terres de Lanelle. Tous trois de superbes endroits, très diverses et qui n'exploite totalement leur potentiel que dans la seconde partie du jeu. Donc le scénario, on commence par découvrir Célesbourg puis on part à la recherche de notre bien-aimée Zelda. Jusqu'ici, c'est assez classique, on navigue de contrée en contrée, réussissant temple par temple. Jusqu'à ce que l'on arrive à la seconde partie où on part à la recherche des 3 dragons pour qu'ils nous apprennent leurs chants, qui combinés, permettrons de trouver la triforce et repousser les forces du mal. Scénario somme tout assez classique d'un Zelda, même si la légère différence est qu'ici, on redécouvre les différentes contrées au lieu d'en explorer de nouvelles.

Des personnages très diversifiées et qui m'ont grandement étonné. Commençons par Guirahim :bave: Quel classe chez ce personnage, un méchant ultra charismatique. Il ne reste franchement pas indifférent et lors de sa première apparition, il m'a laissé sur le cul.
Je ne pas réellement comparer Zelda ou Link avec d'ancien jeux mais lis m'ont assez convaincu.
Fay, personnage robotique, elle ne m'a pas réellement ému mais je crois que j'aurais pété un cable si elle me faisait un coup genre: Il y a 95% de chance que dame Zelda se trouve derrière cette porte. J'entre, un sale monstre à combattre, et pas de Zelda à l'horizon. Désolé maître, il y avait 5% de chance pour que dame Zelda ne s'y trouve pas
Sinon, rien de spécial à dire des autres personnages même si il y avait de sacrés gueules (oui je parle de toi le voyant!)
Ah oui, je ne sais pas le nombre de fois où j'ai voulu explosé le Récupix...

Niveau graphisme, ce jeu est sublime. Les Terres de Lanelle sont mes endroits préférés, déjà les paysages désertiques sont magnifiques, mais lorsque l'on découvre la mer et le voyage en bateau... Et les terres du passé, verdoyantes, magnifiques. C'est superbe.
Les deux autres contrées le sont tout autant mais les terres de Lanelle ont un petit truc en plus.
La forêt de Firone sous l'eau était également superbe.
Mais ce qui m'a réellement bluffé et subjugué, c'est la scène du combat final.
C'était juste splendide, vraiment splendide. Jouez à Skyward Sword, vous comprendrez.

J'ai particulièrement apprécié le gameplay, je combattais avec plaisir. Je me rappelle mon premier combat contre les plantes carnivores. Je n'avais pas remarqué que l'on pouvait les tranchées en fonction de l'ouverture de leur bouche. Je me mettais donc à distance raisonnable, je chargeais mon épée, je ciblais les plantes et lançais un coup d'estoc. C'est sur que ce n'est pas le plus facile...Mais les combats n'ont jamais été réellement dur et malheureusement, il devenait de plus en plus facile au cours du jeu. Dommage!
Le seul combat où j'ai galéré, c'était le premier combat de boss contre Guirahim.
Comme il a été dit avant, le dernier combat était facile...la première fois que je l'ai fait. Je ne sais pas comment j'ai fait mais je n'ai pas utilisé une potion et je n'ai pas utilisé une charge de la foudre sur l'épée puisque je n'avais pas compris que c'était possible. Je bourrinais donc Ganondorf de coups lorsqu'il chargeait son épée. Et il faut croire que ça a marché. (les autres combats que j'ai effectués contre le boss final était par contre beaucoup plus dur et là j'ai bien galéré, il fallait que je le refasse pour aller en mode héroique). Notons aussi que j'avais réalisé le défi du dragon de Lanelle et ainsi obtenu le bouclier ultime (il faut battre 8 fois consécutivement un boss, sans potion...oui je confirme, c'était chaud), le combat était donc plus facile.
La jauge d'endurance était également sympa, mais elle n'a réellement influençée la partie que lors de l'escalade du Volcan d'Ordinn.
Après les objets, j'ai adoré l'utilisation de l'arc et l'utilisation du grappin était carrément jouissive: entendre le bruit du grappin, je m'y croyais vraiment. Le scarabée était par contre asser bof...un peu lent. Son principale défaut est que l'on devait s'arrêter de jouer pour l'utiliser et qu'il cassait un peu le rythme. Je pense que l'on aurait pu le remplacer par un boomerang.
Le filet pour attraper les insectes...une horreur...Je n'y aurais même pas toucher s'il ne fallait pas que j'améliore des objets. Lorsque j'essayais d'attraper des virevoltants, je me pointais à un endroit et j'attendais qu'ils passent. 1 min. 2 min. Je baille. Et je le vois passer la sale me*de je fonce après elle mais elle disparait :rage: :rage:
Je n'aimais par contre pas du tout qu'à chaque fois que je reprenais le jeu, on me rappelait le nom des objets que je trouvais. C'était irritant.

Bon bien sur, il y a également les Psysalis, qui m'ont bien remué. Je me souviens lors de la première, j'étais tout content d'avoir réussi que je fonce en courant mais je me fais choppé par les lampadaires vivants. Allez, pris de panique, je ne retrouve plus mon chemin, je me fait courser par plein de démon et j'arrive enfin au cercle central. Et il y a là un petit truc qui m'a déçu, les démons n'allaient pas plus vite que nous, c'était donc très facile de les esquiver et de les semer. Ces psysalis n'ont pas été non plus très difficile même si la dernière était assez corsée.

Je n'ai jamais eu de réelles difficultés dans les temples même s'ils étaient bien funs. Je n'ai pas retrouvé la difficulté des temples de Phantom Hourglass. Le "taquin" final était par contre très innovant, c'était un peu magique et surtout bientôt la fin.

Mais ce qui m'a le plus retourné dans ce jeu, c'est l'émotion que l'on peut ressentir. On peut appeler ça mon premier vrai Zelda, et j'ai été transporté à chaque instant. J'ai ressenti toute la portée et la profondeur malgré que je n'y connaissais pas grand chose. Ce qu'on retient de ce Zelda, c'est qu'il est beau. On s'est attaché aux personnages. Et on est triste lorsque l'aventure prend fin. On vit le jeu.
J'ai voyagé, je me suis amusé, j'ai été ému. C'était superbe.

Tout ce qui fait un grand jeu.

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 Sujet du message: Re: The Legend of Zelda : Skyward Sword
MessagePosté: Mer 2 Mai 2012 22:28 
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Je viens de finir zelda skyward sword et je l'ai trouvé excellent,je ne peux pas le comparer au autre jeux puisque ce jeu a été monpremier vrai zelda.A part celui j'avais un peu joué s a un jeu de DS ou linkétait conducteur de train.

Spoiler: Montrer
Les défauts
  • les problèmes avec le wii motion plus
  • La desription des objet qui se répétait a chaque partie c'était lent et lourd
  • La facilité du boss de fin m'a déçu je me suis cassé la tête a récupérer le bouclier d'hilia et a améliorer mes potions au max donc je suis arrivée sur le terrains, des centaines de bokolbins m'ont attaqué(d'ailleurs j'ai adoré ça)le combat contre girahim je le bat Et la je m'imagine un combat mémorable contre un boss presque impossible et finalement je l'ai battu en utilisant une potion alors que j'en avait préparer 3.
Les qualité

  • Les graphisme et les sons sont excellents comme tout les autre zelda
  • Une histoire qui innove le scénario type de zelda
  • La difficulté de chaque donjon
  • Les répétitions qui ne lasse pas. Et oui on est retourné 3 fois sur chaque terre une fois pour récupérer les plaque une fois pour les flammes et une fois pour les chants de dragons. Et on a affronté 3 fois le banni. Mais a haque fois c'était encore plus génial que la dernière.
  • La relation link/fay qui évole tout au long de l'histoire et
  • La fin ou on découvre que fay tient a link
  • Les cinématiques que j'ai bien apprécié
  • Les relations amoureuses avec la fille du marhé et le robot.
  • La fin avec la tristesse de devoir quitter impa et fay et le coup de théâtre où on découvre que la vieille qu'on voit depuis le début est en fait impa.
Personnellement le coté robotique de fay ne m'a pas dérangé


Moi anissa67 je reconnais avoir triché pour le premier et le dernier temple. Amis cheater je vous propose un lien avec la soluce de ce jeu http://soluce.jeuxactu.com/Wii/soluce/t ... 3108-2559/

Bref ce jeu est une mine d'or et j’espère qu'il aura une suite.
Pour finir en beauté voici le thème principal de the legend of zelda skyward sword


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 Sujet du message: Re: The Legend of Zelda : Skyward Sword
MessagePosté: Sam 25 Aoû 2012 16:10 
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J'étais extremement réticent, je refusais d'allumer ma Wii pour jouer au jeu et pourtant je l'ai attendu ce jeu, j'étais tout excité de l'avoir dans les mains ! Et c'est tout ... LG peut le confirmer je n'ai pas voulu y jouer, je sais pas pourquoi quelquechose me repoussait.

Puis rethaw m'a obligé à jouer, j'avoue m'être clairement ennuyé sur cette fameuse "premiere partie" du jeu, mais quand on arrive au désert ça commence à changé, on voit que le jeu commence à prendre de l'ampleur, autant dans son histoire que dans ses décors. Et puis là ! Place aux scènes avec musique ! Mes meilleurs moments, c'est là que j'ai aimé le jeu et que j'ai voulu le continuer. Et contrairement à toi Portgas, j'ai pas du tout eu de mal à entrer dans le personnage de Fay, on decouvrait un monde clairement différent dans ce début de jeu, alors le compagnon de Link devait tout autant l'être.

En bref, épiquement magique.

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