Ao Kiji 29 a écrit:
avec l'image du manga elle m'a donner envie de pleurer mais sans l'image elle ne vaut plus rien
\o/
Tu viens de m'ouvrir les yeux !
Ou pas...
Toutes ces répliques et surement celle qui vont suivre sont moins percutants sans les images, c'est pas nouveau. Oda est son coup de crayon donne "vie" à ces répliques, leur donne une "âme", et cette "âme" a besoin d'un "corps" qui est l'image.
"On m'appelle : Lord of Destruction !" serait-elle aussi classe sans une posture aussi culte que la phrase ? L'image nous transmettes fait frissonné d'excitation à la vue de Pipo ensanglanté avec une toute nouvelle arme à la puissance "destructrice". Une plus en couleur, ça en jette un max \o/
La seule qui pourrait se passer d'image serait
"Des minables qui se croient fort comme toi, il y en a à la pelle sur la "route de tous les périls" chapeau de paille." car cela ne vaut pas que pour Luffy et c'est plus un message d'Oda au lecteur "Attention ! Grand Line, c'est pas East Blue !". Mais après voir, Des silhouettes noirs qui représente Luffy embroché par Crocodile, c'est dur à voir. Notre héros perdre, impensable \o/
"J'ai de la chance de vous avoir rencontré. C'est un cygne du destin !" et
"Un homme, un vrai, doit savoir pardonner à une femme ses petits mensonges." sont les seuls que j'aime le moins dans ce groupe. La première est un mélange comique et classe à la fois dont la pose ridicule de Mr 2 ne fait que renforcé cette impression. La seconde, je ne me l'a remet pas dans le manga, est-elle tiré de l'arc d'Arlong Park ou Enis Lobby ? J'en sais rien mais comme toujours Sanji à monstrueusement la classe, mais voilà.
Et reste
"Luffy... Aide-moi"... Que dire dessus. Elle m'a ému comme jamais One Piece l'avait fait auparavant. C'est à partir de ces quelques mots que j'ai réellement accroché au manga. Un passage qui est beau, remplit d'émotion, à ce moment l'a One Piece atteint le sommet de la tragédie. Nami s'effondrant devant tous ces événements se tourne vers Luffy, en larme. C'est magnifique rien de plus \o/
Les mots me manquent pour décrire ce passage...