Introduction :

Gachiakuta est un manga de Urana Kei, ancienne assistante de Atsushi Okhubo, et est publié dans le Weekly Shônen Magazine.

On suit l'histoire de Ludo, un enfant de la partie pauvre d'une cité, vivant avec sont père adoptif Legto et volant les déchets des habitants riches de la ville durant la nuit.
Ludo porte en permanence une paire de gants offert par Legto et est mal vue dans sont quartier pour sont mauvais regard.
L'histoire démarre lorsque Legto est retrouvé assassiné et Ludo accusé de sont meurtre. Il serra jeter au fin fond du Naraka, l'enfer pour les criminels, et jure d'éliminer les responsables du meurtre de sont père et de sa fausse accusation.

On est sur une histoire de vengeance, le protagoniste n'as que ce but précis pour l'instant mais la thématique du déchets est bien mise en avant et peut donner des choses intéressante sur le long thermes.

J'adore le style graphique, je croyez vraiment être sur une nouvelle série de Okhubo, auteur que j'adore depuis Soul Eater et que j'ais appris a encore plus apprécier avec Fire Force, mais c'est finalement sont assistante qui propose sa propre série. Le début m'accroche beaucoup, l'action est bien pesante et en quatre chapitres, la série ma convaincue de la suivre, rare pour une série qui vient de commencer de mon coté.
En espérant que la série marche !

https://scantrad.net/mangas/gachiakuta/1

https://scantrad.net/mangas/gachiakuta/4

On en découvre un peu plus sur l'univers avec quelques explication d'Engine qui décrit le rôle des nettoyeur, ainsi qu'une explication sur le fonctionnement des Giver.
Enfin, Ludo ce retrouve face a face avec le personnage qui étais apparemment au téléphone avec Engine, et entame un premier duel entre nettoyeur, ca va vite !
Aussi, Ludo qui traite l'arme de son adversaire de "simple bâton". Lui qui donne une importance bien particulière au objets, ne ce contredit il pas un peu sur cette case ? Vivement la suite !

https://scantrad.net/mangas/gachiakuta/18

Chapitre 18 : Absurde

Petit retour sur le forum après trois mois d'absence, je m'en excuse

Bon, pour être très claire, j'adore ce début d'histoire, Gachiakute démarre sur quelque chose de classique, une histoire de vengeance, mais décide finalement d'apaisait, du moins pour l'instant, la haine du héros en lui permettant de rapidement noué des amiters forte et penser un peu a autre chose, je trouve ça bien.

Cela fait quelque chapitres que nous somme sur le combat de Ludo VS Jabber Wonger, premier vrais adversaire de l'histoire.

Je trouve Jabber très cool comme personnage, un pur masochiste qui ne prend du plaisir que dans des situations ou il ce fait molester, un personnage bien décadant en plaine folie meurtrière une fois qu'il laisse sont inconscient prendre le dessue. Aussi, cette arme, Man Killer de sont doux nom, me rappelé immédiatement Freddy les griffes de la nuit, sans doute une inspiration, Jabber serrât il le cauchemar de de Ludo au long de l'histoire ou y a il quelqu'un au dessue de cet homme ? Car il me semble que Jabber souhaite remmener le fameux Céléstien a quelqu'un, sans doute sont patron, sont maître, on manque encore d'information sur le groupe antagoniste.

Le pouvoir de Ludo est plutôt originale je trouve, n'importe quelle objet peut devenir une arme dévastatrice entre s'est main en révélant sont vrai potentiel.

A l'occasion de la sortie française, je me suis mis à Gachiakuta. Pour le moment j'ai lu les quatre premiers tomes, ce qui correspond aux 31 premiers chapitres.
L'univers de type "décharge" est intéressant, de même que l'idée des pouvoirs et les personnages sont attachants. Graphiquement on sent la filiation avec Atsushi Ôkubo.
Le gros morceau pour l'instant a été le tome 3 avec le très long combat contre Jabber Wonger assez bien ficelé. Une série efficace, au graphisme et au découpage extrêmement énergiques et nerveux. C'est dans l'air du temps et propose une galerie de personnages sympathiques et stylés. Seul bémol de mon côté, le sentiment qu'au bout de quatre tomes on ne soit pas encore véritablement entré dans le vif du sujet et qu'on a surtout eu droit à une suite de péripéties réussies mais pas encore tout à fait marquantes. C'est sans doute parce que la partie combat/action a pris le dessus sur l'exploration/aventure alors que c'est l'univers qui me semble le gros atout du manga.
Bref un schéma classique et très plaisant à lire, même s'il manque encore, en dehors du premier chapitre, une séquence un peu "choc" ou emblématique. Cependant la virée en zone interdite et la femme mystérieuse qui s'y trouve sont prometteurs.

Un animé est annoncé pour 2025 qui sera réalisé par le Studio Bones :

J'ais très hâte de voir ce que ça va donné, le manga me séduit toujours autant et l'intrigue avance bien à mon goût, le manga merite une animation de qualité et avec studio Bones, je suis plutôt rassuré vue la qualité des trois premier saisons de MHA.

Reste à voir si le studio tiendra sur la longueur ou n'offissira que pour une unique saison, je crois avoir vue l'info, une fois, que le studio était des habituer des projet unique.

En tout, très hâte de voir un premier teaser ou trailer le 4 juillet.

De mon côté, je poursuis la lecture du manga chez Pika :


Gachiakuta - Tome 8

De retour de la zone interdite, le groupe de Rudo retrouve les Vandales pour une bataille rangée. L'enjeu semble être notre jeune Célestin, voire ses gants de la série de la garde, mais le chef des Vandales a un projet encore plus fou. De l'action, des surprises et une menace hors-norme constituent le programme de cet excellent shônen manga.
Nous avions laissé Rudo et ses compagnons en pleine zone interdite, à la recherche d’un mystérieux ermite ayant rencontré des « anges venus du ciel ». Une rencontre qui a donné lieu à une bataille féroce et à l’histoire distordue d’une jeune fille à la recherche de l’amour. Quelques infos intéressantes furent récoltées, avant de revenir au quartier général pour quelques chapitres de « décompression ». C’est alors que des visages connus ont refait surface.
On prend les mêmes, avec néanmoins quelques nouvelles têtes, et on repart pour un tour de bataille contre les Vandales, mais à plus grande envergure. Le tome 8 propose la seconde partie des duels opposant les Nettoyeurs aux Vandales, tandis que la discussion entre le boss de ces derniers et Rudo se poursuit.
C’est du 100% action, avec une attention plus particulière accordée à Zanka et à Riyo. Ceux-ci ont droit aux combats les plus intenses, classiques et longs. Leurs adversaires s’avèrent redoutables et leur donnent bien du fil à retordre. Mais cela donne évidemment lieu à du suspense et à des retournements de situation qui pimentent des passes d’armes au graphisme toujours aussi percutant.
C’est également un moment de révélations sur le passé de Zanka et de Riyo. Concernant le premier, nous avons droit à un flashback en bonne et due forme. Nous y retrouvons une tension bien connue : l’opposition entre des gens ordinaires et des génies. Zanka peut-il battre Jabber, le guerrier à moitié fou des Vandales, mais aussi le plus puissant, qui use de poisons et recherche des adversaires forts pour se sentir vivant ?
Du côté de Riyo, l’affrontement avec Nelde, la guerrière maniant l’électricité statique, se révèle plus direct, à base de mouvements d’arts martiaux et de corps à corps. Mais la mangaka s’amuse avec les codes, comme avec Zanka, en proposant un dénouement irrévérencieux. Un choix qui peut décontenancer le lecteur car dans les deux cas, il ne s’agit pas d’une résolution « shônen » où les efforts et la volonté sont récompensés.
Ce n’est pas la seule surprise de ce tome : lorsque le récit revient enfin sur le boss des Vandales et Rudo, le premier dévoile enfin son projet, et le moins que nous puissions dire c’est qu’il est audacieux. L’autre point intéressant, c’est qu’il rappelle la mission initiale des Nettoyeurs - la boucle est donc bouclée !
Cela donne un bon petit shônen manga, plutôt classique, mais singulier par certains choix intéressants. Reste maintenant à découvrir si le plan des Vandales va réussir, mais nous devrions avoir au moins quelques nouvelles révélations sur la « Frontière ».

Gachiakuta - Tome 11

Après leur bataille contre les Vandales, les Nettoyeurs profitent d'un repos bien mérité. Rudo en particulier se rend de nouveau à la cité des artistes. Cependant un nouvel objectif ne tarde pas à prendre forme : faire appel aux services d’un mystérieux informateur qui aurait réponse à presque tout. Un bon équilibre entre action, intrigue et personnages mystérieux.
Rudo et ses coéquipiers ont pu échapper aux machinations de Zodyl et détruire le composite géant qu’il avait créé. Mais pour le chef des Vandales l’expérience est un succès : les données qu’il a obtenues vont lui permettre d’achever la fabrication de son composite final et d’atteindre la cité des cieux. En attendant, les Nettoyeurs pansent leurs blessures tout en cherchant un moyen de retrouver les Vandales, mais aussi Amo, la jeune fille du désert.
Le cœur de ce tome, qui offre un moment de respiration entre deux grandes aventures de la bande, s’articule autour d’une sortie pédagogique : Rudo assiste Lemlin à la réalisation de sa grande fresque, qui célèbre son accession au rôle de « Créatiste » de Canvas Town. Une escape dans une ville voisine pour acheter de l’encre leur donne l’occasion d’une petite mésaventure où ils retrouvent un autre garçon étrange déjà croisé.
Plusieurs fils d’intrigues se mêlent dans cet aparté graphique, thème important du manga, au cours duquel Rudo découvre de nouveaux éléments, ou plutôt mystères, au sujet de la série de la garde et de sa propre famille. Le ton de cette séquence est survolté et joyeux, constatant avec les autres temps forts de cet interlude.
En effet, du côté de Zanka c’est la colère qui domine après son combat contre Jabber. Il est frustré de ne pas l’avoir vaincu et d’être le seul de l’équipe a avoir été blessé au point d’être alité. Cependant il est plus que jamais motivé à devenir plus fort et prendre sa revanche. Nous découvrons aussi à cette occasion les Gardiens des Enfers qui maintiennent l’ordre dans le bas monde : une délégation, menée par la sœur de Zanka, leur rend visite pour en savoir plus sur Rudo et ses origines de Célestien.
Les Vandales ne sont pas le seul objectif des Nettoyeurs : Rudo recherche aussi Amo et ils apprennent que ce ne sont pas les Vandales qui l’ont kidnappée. Un nouveau mystère apparaît, dont les premiers contours sont dessinés dans ce tome, et qui confirme un autre danger tapis dans l’ombre.
Un tome de transition, comme ont dit parfois, qui joue parfaitement son rôle en s’attardant ou revenant sur certains personnages. Les intrigues et les objectifs sont remis à plat, le tout dans un univers toujours aussi accrocheur, que ce soit graphiquement ou au niveau de l’histoire. Un excellent shônen manga à la facture à la fois classique et singulière qui continue d’offrir au lecteur une aventure mystérieuse et passionnante. Une valeur sûre du moment.

L'anime est sortie !

Je publie un peu en retard mais voilà la bande annonces :
https://youtu.be/Mh7A2fooHL0?si=e8XLoUangkcU8pQR

L'animation est vraiment au top, si je me souviens bien, c'est studio bones qui est derrière l'adaptation.

L'opning 1 nommé "Hugs" interpretais par le groupe "Paldusk" :

https://youtu.be/9f89PWhv8YE?si=378LP87_2qPy2OU-

Et enfin lending nommé "Tomoshibi" interpretais par "Dustcell" :

https://youtu.be/EXneg1C9iLg?si=Cr6SxQoTWTE-Nho3

J'ais personnellement tout apretaciais dans c'est deux premier épisodes, l'animation est de haute volé, l'ambiance est top et retranscrit bien l'atmosphère infernale du manga, et l'ending et l'opening colle parfaitement a l'univers.

Une adaptation franchement réussi !

Je créerais sans doute une section dédié à l'anime un peu plus tard.

Le dernier chapitre sortie en français :

https://mangadex.org/chapter/e72830cf-4 ... 6213605751

Les nettoyeurs au festival des poupées ce retrouve face au meneurs de scènes Mymmo et ces acolytes dans un combat pour libéré le créateurs des colliers communiquant.

Rudo prend la missions personnellement et passe en mode serious business. Les autres nettoyeurs aussi d'ailleurs, et il sont tous dessinée d'une façon qui les présente un peu comme des antagoniste, souvent mis dans des pose très ombragé au niveaux de leurs visages, les faisant passé l'espace d'un instant pour des méchants de l'arc.

Mymmo attaque tout le monde sur sont passé torturé et sur ce que chacun cache plus ou moins au autres, comme Engin et sont véritable nom, ou Ryo et son père.

Dans ce chapitres, c'est amo qui doute et ce prend une moral par Engin qui vas certainement la poussé à agir de manière significative pour le groupe.

Enfin, on termine le chapitres sur un cliffhanger de l'arrivée des deux jumeau nettoyeur teaser au debut de l'arc, possédait par le pouvoir du jinki de Mymmo.

De mon côté, je poursuis la publication française !


Gachiakuta - Tome 14

La course poursuite avec l'Informateur s'est enfin terminée : Rudo a obtenu ses réponses et a retrouvé Amo, même si le mystère sur son kidnappeur reste entier. En attendant la prochaine grande étape de sa quête, Rudo retrouve le quotidien des Nettoyeurs et se voit même confier sa première mission en solo !
Comme toujours avec Gachiakuta, les grands arcs narratifs, regorgeant d’action et de quelques révélations, sont entrecoupés d’intermèdes de repos pour Rudo et ses compagnons. Ces moments proposent des bilans d’étape pour certains personnages, composés parfois de courtes péripéties ou de rencontres. C’est ainsi que le tome s’ouvre sur Riyo, grièvement blessée lors de leur poursuite de l’Informateur, qui se rétablit auprès de la branche sud des Nettoyeurs. Ce passage permet de découvrir en détail le pouvoir d’Asia, la guérisseuse, et d’évoquer brièvement le passé mystérieux de Riyo.
Du côté du quartier général, Rudo et les autres sont de retour, ayant atteint leurs objectifs : obtenir le lieu où se trouve Amo ainsi que des informations sur le créateur des colliers communicants. Cela ne fut pas de tout repos, et les Vandales ont eux aussi obtenu leur « quota » d’informations. Le grand moment de la fin de cette aventure fut la libération d’Amo, qui n’a aucun souvenir de son ravisseur. Sur ce point, le lecteur en sait bien davantage, grâce à une révélation importante : les pièces du puzzle se mettent doucement en place, et c’est appréciable.
Les contours de l’énigme du monde actuel, partagé entre la Cité des Cieux et le Bas-Monde noyé sous les déchets « d’en haut », se dessinent un peu plus, notamment grâce à une discussion à cœur ouvert avec le chef des Nettoyeurs. Le prochain objectif de Rudo est le festival des poupées, où il espère débusquer le créateur des colliers communicants, mais en attendant, le jeune garçon doit s’acquitter de ses obligations de Nettoyeur.
Si les retrouvailles avec Amo occupent dans cet intermède une place de choix, toutes en charme, la relation avec les Auxiliaires continue aussi d’être développée. Rappelons que les Nettoyeurs combattent les Composites, des monstres nés des déchets de la Cité des Cieux. Pour cela, ils utilisent un Jinki, un objet spécial à leurs yeux, qui a développé un pouvoir surnaturel. Il s’agit du seul moyen de détruire les Composites. Dans leur travail, les Nettoyeurs sont secondés par les Auxiliaires, des gens ordinaires qui les assistent, généralement d’un point de vue logistique.
Rudo est devenu très ami avec Gris, l’un des Auxiliaires de leur organisation, mais dans ces épisodes, c’est Follo qui se tient sur le devant de la scène. Âgé de 19 ans, Follo souhaite prouver sa valeur et caresse le rêve de devenir Nettoyeur : pour cela, il prend soin d’un marteau, un objet lié à son passé. Partagé entre admiration et jalousie, Follo accompagne de près Rudo, que ce soit pendant la traque de l’Informateur ou lors de sa première mission solo, que lui confie Semiu. Il prend tous les risques pour participer activement à la destruction des Composites, mais ses efforts seront-ils récompensés ?
Gachiakuta continue de tisser avec efficacité son histoire autour de la valeur des objets et des humains. Entre ses personnages hauts en couleur, son action non-stop et son univers baroque, il s’impose comme un excellent successeur à Soul Eater et Fire Force. Kei Urana a été l’assistante d’Atsushi Ohkubo, et cela se ressent également dans la partie graphique et l’expressivité des personnages, chez qui l’on sent une pointe de folie. Bref, un excellent shônen manga et assurément l’un des titres phares du moment dans cette catégorie.