Eh ben, deux pour le prix d'un
What else? Episode vu et je ne me sens pas capable de mettre une note, car comme toujours, le qualité est très hétérogène selon les séquences : il y a des passages où je pourrais donner un solide 7/10, d'autres un 3/10, et la moyenne de 5/10 ne refléterait pas du tout mon ressenti global, souvent très mitigé.
La partie "filler" avec Urouge est la bienvenue - je salue sincèrement l'intention - même si on sent que le staff ne veut pas se mouiller, faisant surtout du remplissage plutôt qu'une réelle mise en valeur de Cracker, qui déboule devant un Urouge usé, réduit à une seule attaque - la seule connue à ce jour. Finalement, le fait de voir Urouge riposter de la même manière qu'à Shabondy ne m'a pas fait bouger un sourcil, alors que l'évocation seule de Brûlée laissait rêver sur la puissance acquise du moine fou. Conclusion : la suggestion est (parfois) plus efficace que la démonstration.
Un autre pan de cet épisode, c'est la focalisation sur Nami : sa capture est pour ma part un fiasco, absolument décrédibilisée par la lenteur de l'animation. MAIS sa libération par Pound change la donne et montre une Nami qu'on aime retrouver sur le qui-vive, ne cachant pas sa mine espiègle...
Nami,
the Cat Burglar, on aurait presque oublié sa nouvelle arme comme son surnom des premiers jours.
C'est le syndrome post-entraînement : chez les Mugis, les personnalités féminines ont vu leurs traits caractéristiques se lisser contrairement à leur poitrine, alors que chez les personnages masculins, ils se retrouvent amplifiés (Usopp et sa trouille, Chopper et son look kawaï, Zoro et sa badasserie, etc). Comme l'anime verse dans la caricature du manga, ça devient flagrant !