Bon chapitre cette semaine bourré d'humour.
Visiblement, certains ne comprennent toujours pas l'humour de l'auteur
Oda est un expert du contre-pied et de l'humour décalé. Le coup des mugiwaras qui dorment , c'est de l'humour rien de plus.
C'est comme Sanji face à Pudding, il fait juste du Sanji !!
En plus l'auteur connait bien les réactions de certains lecteurs qui pourraient ne pas comprendre. C'est pour cela qu'il met en scène leur réaction.
Ici c'est à travers Capone et Pudding que cette mise en scène est faite. L'auteur adore tendre un miroir aux lecteurs, en tout cas à ceux qui prennent tout cela un peu trop au premier degré. Et visiblement certains échouent à ce test du miroir. Les enfants de plus de 18 mois sont normalement capables de se reconnaître dans le miroir ;-)
Bref, j'ai adoré voir Capone halluciner devant les mugis en train de dormir et le voir stresser à la vue de Sanji en mode "total love". Il commence seulement à comprendre dans quel "merdier" il vient de mettre son nez.
Sans parler de la réaction de Pudding et cette magnifique double case avec d'un côté la façade et de l'autre ce qu'elle pense réellement de Sanji. C'était hilarant.
En tout cas, l'auteur nous montre bien que Sanji est incorrigible et ne changera jamais, c'est le cœur de son caractère n'en déplaise à certains ou certaines ;-)
Quand à Mother Caramel, on dirait un mélange de Nyon, de Shakky avec sa cigarette et au final fait penser à un okama
Au vu de sa tenue, je vois bien Mother Caramel être une nonne ou plutôt une mère supérieure et s'occuper d'un orphelinat. Qui sait, peut être que Big Mom est une orpheline et qu'elle a été élevée dans un couvent ou un orphelinat. En tout cas, le sujet est très très sensible pour Big Mom.
Sinon, on arrive dans le vif du sujet et au prochain chapitre on aura surement le début des "festivités".