C'est tipar les loustics.
Down 20-20.
Inherent vice, de Paul Thomas Anderson
C'est trop long, jamais drôle, incompréhensible.
-19.
Knight of cups, de Terrence Malick
La photo elle bute. Le reste, zzzzz.
-18.
Crazy Amy, de Jude Apatow
Waaah, une comédie estampillée "féministe" et "subversive" qui se morfond dans le conformisme de bas étage le plus total.
-17.
007 Spectre, de Sam Mendes
"J'ai peur James" débite mécaniquement Léoux Seyda, tandis que les quelques spectateurs encore dans la salle ricanent bêtement.
-16.
Une merveilleuse histoire du temps, de James Marsh
Le genre de saloperies qui vont aux Oscars pour bouffer une meilleure prestation.
-15.
Jupiter: le destin de l'univers, de Andy et Lana Wachowski
Les désastres industriels, on peut pas faire grand chose pour les sauver.
-14.
Pension complète, de Florent-Emilio Siri
Belle comédie française de merde par un bon réalisateur. Ça fait mal putain.
-13.
Chappie, de Neill Blomkamp
Trois films à son actif et c'est déjà devenu une caricature le Blomkamp, bien ouéj gamin, Burton a attendu plus longtemps que ça.
-12.
Trois souvenirs de ma jeunesse, de Arnaud Desplechin
Le proto du film français osef, merci au revoir.
-11.
Mia madre, de Nanni Moretti
anto vous ment, il aime ce film juste parce qu'il est rital comme lui. Autant il a bon goût sur MMFR, autant là, je ne peux pas le défendre.
-10.
The visit, de M. Night Shyamalan
Les climax de film d'horreur, c'est toujours mieux avec du caca. Ou pas.
-9.
Pan, de Joe Wright
Le mauvais goût se bat avec le ridicule perpétuel.
-8.
Pitch perfect 2, de Elizabeth Banks
L'illustré complet du "tout ce qu'une suite d'un petit film réussi ne doit jamais faire".
-7.
Jurassic World, de Colin Trevorrow
Rarement vu un film sur lequel tu peux aussi bien plaquer la mention "Aucune idée" dessus.
-6.
Les 4 fantastiques, de Josh Trank
C'est même pas drôle tellement c'est gênant à tous les plans.
-5.
American sniper, de Clint Eastwood
Sérieux, si t'as pas envie de faire un portrait contrasté de la guerre d'Irak, évite d'ériger en héros cette merde de Chris Kyle (par le personnage de Bradley Cooper, le vrai).
-4.
Au cœur de l'océan, de Ron Howard
L'homme qui filme une sorte de Moby Dick sans réussir à me faire paniquer une seule fois, cet homme ne mérite que mon mépris.
-3. Hitman: Agent 47, de Aleksander Bach
Si vous pensiez qu'on ne pouvait pas faire plus con qu'une bessonade, vous avez tort.
-2.
Terminator Genisys, de Alan Taylor
Présentement la fanfiction la plus reuch de l'histoire du Cinéma.
-1.
Vincent n'a pas d'écailles, de Thomas Salvador
Le cinéma d'auteur français n'a pas de limite dans son cynisme.
Top 2020.
Star wars: Le réveil de la Force, de J. J. Abrams
La première partie est vraiment impeccable, et puis après ça s'enraille un peu dès que Chicco et Hanou rentrent à la maison.
19.
Le pont des espions, de Steven Spielberg
Toujours classe de retrouver Spielby.
18.
Le voyage d'Arlo, de Peter Sohn
Ça va, Pixar a du bon moteur physique pour faire du photo-réalisme.
17.
Phoenix, de Christian Petzold
Le petit teuton du coin. Le film ne raconte pas grand chose, mais il le fait bien et avec un mystère qui se laisse suivre.
16.
Hard Day, de Seong-hoon Kim
Barré et violent comme les thrillers coréens, mais qui tient en haleine du début à la fin. Mention spécial au combat final, qui montre qu'avec un peu d'idée, deux cons dans un F2 ça peut grave avoir de la patate.
15.
Sicario, de Denis Villeneuve
La photo elle bute.
14.
The lobster, de Yorgos Lanthimos
Une sorte de version dépressive de Wes Anderson.
13.
Le fils de Saul, de László Nemes
Toujours le genre de films qui ne se regardent pas avec plaisir, mais la sensation d'oppression totale et d'inhumanité désespérée est totalement palpable.
12.
Shaun le mouton, de Mark Burton et Richard Starzack
De l'humour à l'anglaise par les créateurs de Wallace & Gromit, c'est toujours génial.
11.
It follows, de David Robert Mitchell
Il loupe juste le podium, mais merde un film d'horreur à très petit budget avec une idée toute simple et à l'ambiance impeccable, c'est toujours bon à prendre.
10.
Vice-Versa, de Peter Docter et Ronnie del Carmen
Le film contient l'une des scènes les plus terrassantes de toute la filmographie de Pixar. Chapeau.
9.
Mission: Impossible - Rogue Nation, de Christoper McQuarrie
Tom Cruise est le seul acteur pour lequel je me déplace au cinéma voir tous ses films, c'est que la qualité est toujours présente.
8.
Ex Machina, de David Garland
Si c'est son premier film à ce mec, chapeau qu'avec peu de moyens il fasse un film de science-fiction sur l'intelligence artificielle qui réussisse à exploiter aussi bien son sujet (avec la fantastique Alicia Vikander :groupie spotted:).
Et bon, c'est dans ce film que vous verrez Poe Dameron briser le dance-floor devant un général Hux atterré.
7.
Joy, de David O. Russell
Le meilleur O. Russell à mon goût, qui arrive à toucher juste à son sujet (certainement le meilleur rôle de Jennifer Lawrence, qui ne bave pas sur son chat comme dans
Hunger Games) tout en ayant en toile de fonds des thèmes très intéressant (le téléachat en mode de développement, la cruauté du rêve américain, l'exploitation domestique des femmes). Et la musique déchire.
6.
Beyond Clueless, de Charlie Lyne
Documentaire analysant un corpus de teenage movies des années 90 pour en tirer tout le sous-texte sexuel, tribal, de l'adolescence et du lycée. C'est hilarant, souvent juste, foutraque juste ce qu'il faut et le film va chercher des exemples de films dont le pitch est hallucinant en soi.
5.
Crimson Peak, de Guillermo del Toro
Del Totoro est le seul qui peut s'attaquer au gothique avec autant de classe, de passion et de respect à l'heure actuelle.
4.
Birdman: Or (The unexpected virtue of ignorance), de Alejandro González Inárritu
Outre le formidable exploit technique (composer un plan-séquence aux raccords dans le mouvement quasi-invisible qui n'induit pour autant jamais l'unité de temps liée à la figure de style), le portrait narquois de l'intelligentsia new-yorko-proutprout qui crée de l'ârt tandis que les saltimbanques de la Côte Ouest abrutissent nos jeunes est un petit plaisir pervers.
3.
Beasts of no nation, de Cary Fukunaga
Les direct-to-tv viennent éclater les productions à ouat' milliards de dollars diffusées en IMAX. Époque intéressante.
2.
Red Army, de Gabe Polsky
Documentaire de moins d'une heure trente racontant l'odyssée de l'équipe de hockey sur glace de l'URSS (la Red Army) à travers le témoignage de ses légendes. Véritable fresque contant en substance la Guerre Froide qui donne une vitalité immense au sport du hockey sur glace, notoirement connu pour sa violence et ici transformé en ballet sur glace gracieux. Toute la force évocatrice n'aurait pu être cristallisée dans un biopic que s'il avait duré trois heures et été filmé par Oliver Stone ou Steven Spielberg. Les sportifs s'y entrainent en se roulant dans la neige, tels des pandas roux (la Red Panda Army).
1.
Mad Max: Fury road, de George "Dieu" Miller
"Où allons nous
Nous qui errons dans ces salles obscures
A la recherche de ce que le Cinéma a de meilleur ?"
Le premier critique de l'Histoire
Pour l'anecdote, si on avait pu faire un top avec toutes les séances de cinéma prises individuellement, j'aurais pu faire un top 10 avec uniquement
Mad Max: Fury road. Oui.
Le meilleur acteurTom Hardy, pardi.
La meilleure actriceCharlize Theron, héron.
La meilleure bande-originale3.
Joy, de David O. Russell
2.
Mad Max: Fury road, de George Miller
1.
Mission: Impossible - Rogue Nation, de Christoper McQuarrie
Les films qui me tentent le plus en 2016The hateful eight, de Quentin Tarantino
Plus qu'une semaine avant de kiffer en 70mm. (that's what she said)
The revenant, de Alejandro González Inárritu
Oh Lubezki, je vais t'aimer comme jamais je n'ai aim-- Deakins ? qu- depuis combien de temps es-tu là ? tu as tout entendu ? REVIENS ROGER TU ES TOUJOURS LE MEILLEUR DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE.
Hail, Caesar!, de Joel et Ethan Coen
Par ma barbe, se pourrait-il que ce soit un nouveau chef-d’œuvre des Couenne ?