le cancre au fond de la classe, près du radiateur même au plus chaud de l'été, a écrit:
A moins que ce soit sa monteuse qui s'emmerdait tellement avec ce film qu'elle a utilisé cette figure de style pour rendre le tout moins chiant :O
Y'a des claques qui se perdent!
Sinon, pour l'anecdote, on avait reçu Sfar il y a 6 ans je crois, dans mon séminaire de jeunes chercheurs, et il était très très sympa, et était venu très facilement. On avait fait une conférence table ronde autour des liens inter-arts il me semble, un truc un peu bateau, mais il était très entrainant dans sa façon de communiquer.
Après, le présenter comme monteur, c'est vrai que c'est assez bizarre. C'est une volonté de sa part je pense, ou alors c'était pour amener le sujet de son intervention. En tout cas, si on le prend au pied de la lettre, ça nous inviterait à appliquer cela à sa pratique de bande dessinée. Et autant je vois bien ça pour ce qui touche le montage narratif, autant pour ce qui est du montage graphique, de la planche même, je suis un peu plus circonspect, dans la mesure où de toute façon Sfar se soucie peu de partition dans les planches.
Le monologue avait l'air assez génial... Encore un mythe de ce qui se perd au cinéma ou teasing pour un bonus un jour, après bétonnage juridique?