Alors tout d'abord un grand bravo a Paulee, TTC et à King D.zanza mais bien sur également à tous les autres paricipants dont moi qui suis arrivé 6ème il me semble, c'est pas mal, je ne pensais pas faire un aussi bon score ^^.

AHHHHH que de souvenirs quand je vois certaine séries, il y en avait plein que j'aimais et que j'aime toujours ( L'agence tout risque, Code Quantum, K2000, les routes du paradis, etc....) d'autres que je n'aimais pas du tout ( côte ouest, Dynatie, Dallas, etc....) et d'autres que j'ai envie de découvrir bien sur (Galactica, l'homme qui tombe à pic, police 2000, etc...). quand j'y pense, il y a pas mal de séries dont j'ignorais l'existence.

Enfin bref ce jeu était trés sympa, meci mr.28, j'attend le prochain pour de nouvelles aventures ^^.

oyé oyé, en se nouveau dimanche qui s'annonce radieux,
je viens rajouter THE grosse pierre à l'édifice de la séance Oldie^^

GnnnnnNNNNNNAAAAAAAAAAAAAAARK


haha^^ l'est 'ti pas mignon?

vous l'aurez deviné, je viens pour rappeler au bon souvenir de notre ami la chose immonde cachée sous les traits de ce clown, qui en aura traumatisé plus d'un à son époque^^

(quand même une sacrée tête de gland sur cette photo^^)

je vous parle bien sur de ça: ("ça" c'est le titre... oui je sais "ça" peut paraitre déroutant...huhu...)


adaptation du roman de l'inégalable Stephen King, roman en deux tomes (trois en format poche) que je conseil à tous (comme beaucoup d'autre bien meilleur que la version vidéo^^).
"ça" raconte l'histoire d'une petite bourgade américaine perdue au fin fond du Maine (comme c'est original^^ c'est le chef lieu de pratiquement tous les titre du maitre de l'horreur SK qui en fait y habite aussi) et qui va connaitre l'horreur, les habitants (en fait les enfants) étant harcelés par une chose étrange déguisée sous les traits d'un clown malsain et qui va même poussé le vise jusqu'au meurtre et autre torture psychologique avec certains... Le film lui est en deux partie et nous racompte pour la première le début, l'enfance, les enlèvements... la suite présente les même personnages de retour dans la ville de tous les dangers nombre d'années plus tard pour affronter la bête malgré le traumatisme. Ce diptique porte le nom douteu de : "il" est est revenu.

"ça" en souvenir c'est pour moi les diffusion de la 6 ou l'été devant les copains on devaient se montrer courageux pour suporter ce truc sadique, c'est pour moi les couvertures horrifiantes de l'édition de poche, et c'est surtout cette scène qui est cultissime, celle du livre fait vraiment froid dans le dos, rassurez vous "ça" à vraiment mal vieilli et est super kitch à souhait pour le ragard d'aujourd'hui mais pour l'époque...

allé à vot' bon souvenir 'miseus'dames
http://fr.youtube.com/watch?v=FIluOavkj8Q

Allez un petit mot sur le test :
*respire un grand coup*

JE VOUS HAIS TOUS !!! CEUX QUI SONT DEVANT MOI ET QUI ME FONT PASSER POUR UN INCULTE !
SURTOUT TOI, AMATERASU, JE VOULAIS LA PREMIERE PLACE !des derniers

Ah ! Ca soulage, mais en tout je suis deuxième des derniers est fier de l'être !


MAIS JE VOUS HAIS ENCORE !!!

Bravo à Paulee pour sa première place avec sa médaille d'or.
Tôji Tôji Chopper qui est deuxième (Comme moi O__O) avec sa médaille d'argent.
King D. zanza pour sa troisième place avec une belle médaille de bronze.
Et il ne faut pas oublier RED qui est quantième avec une médaille en chocolat (la seul qui sert à quelque chose ^^).
Bravo à vous !

Bon, avant de parler du nouveau "Oldies" à mettre dans la liste de MR28, je vais revenir sur "ça"

Honteusement rebaptisé "il" par des gars qui n'ont même pas vu l'oeuvre originale du maitre (KING FAAAAAAAN !!!)un film que je n'ai vu que lors de ses diffusions diverses mais dont je préfère largement le bouquin; la faute à :

Un livre avec des parties difficilement adaptables (les gosses faisant l'amour avec beverly )
L'omission honteuse de la "tortue" et de l'histoire rééle de ça...
L'histoire du meurtre des bandits aussi passée à la trappe et qui pourtant nous en dit plus sur ce que Grippesous veut

Bref, pour moi pas le meilleur film fait à partir d'un de ses romans (avec les tommyknockers). LE seul truc est Tim Curry, toujours aussi parfait dans ses rôles ^^

Bon et voici un film dont je tiens à parler et que le dernier indiana jones m'a remis en mémoire :

LE SECRET DE LA PYRAMIDE !!!



À Londres en 1870, le jeune Watson fait son entrée dans sa nouvelle école. Il y rencontre un autre adolescent à l'esprit de déduction très développé : un certain Sherlock Holmes... Bientôt, Holmes et le futur docteur Watson se lient d'amitié et sont conduits à mener leur première enquête lorsque de mystérieux suicides ont lieu dans leur entourage.


Un film qui a un air D'indiana jones et le temple maudit, normal, c'est Spielberg qui produit !

On se retrouve donc avec une idée simple..
Et si Holmes et Watson se seraient rencontrés dans leur adolescence et non dans leur vie adulte comme dans les livres?

On a aussi des explications sur l'origine du chapeau et de la pipe du détctive et la naissance de son ennemi juré et la connaissance avec Lestrades
LE tout est saupoudré d'un peu de Mysticisme avec une secte egyptienne utilisant une drogue Hallucinogène.

Et parlons en des Hallucinations. Celles-ci vont crescendo durant le film, on passe du poulet zombie au chevalier vitrail ou aux petits muffins tueurs... Ce sont en grande partie les meilleures parties du film avec l'énigme imposée dans l'école par le sale gosse du coin et la final de la pyramide bien sûr ^^

Non, un film a voir ne serait-ce qu'un fois car il vaut le coup, on en prends plein les mirettes... Vous aimez les goonies, vous aimez indiana jones, regardez le au moins une fois !!!

PS : POur ceux qui ont été voir le dernier Indi, la scène qui m'a fait remémorer ce film est la mort du gars dans le cimetierre ^^

Faisons revivre ce sujet avec panache et grandeur. Aujourd'hui je vous présente un film 100% année 80, réalisé par l'autre moitié du duo formé par Jim Henson, c'est à dire Frank "Yoda" Oz.



Avait vous déjà vu une plante carnivore dénommé Audrey II, mangeuse d'homme et passant son temps à chanter ? Je suis sûr que oui. Voila comment résumer rapidement cette sympathique comédie musicale de Frank Oz, avec l'extraordinaire Rick Moranis et un joli lot de gueststar comme Steve Martin, Bill Murray, John Candy et James Belushi.

Synopsis:

Seymour Krelborn travaille chez un petit fleuriste de quartier, et est secrètement amoureux de sa collègue Audrey. Son patron, désespérant de l'absence de client dans le magasin annonce qu'il va devoir mettre la clef sous la porte. Simour propose alors de mettre en vitrine une plante inconnue qu'il avait trouvé le jour d'une éclipse ; intrigués par l'aspect étrange de la plante, les clients affluent. La plante se révèle cependant carnivore, et Simour éprouve chaque jour - au fur et à mesure qu'elle grandit - plus de mal à la nourrir.

Le film de Frank Oz est directement un remake du film éponyme de 1960. Bourrés d'humour noir, de chanson entrainante, d'animation bluffante et de personnage délirant (mention spéciale à Steve Martin, faut le voir pour mourir de rire), La Petite Boutique des Horreurs à tout pour faire passer une soirée sympathique et légère. A ne pas rater.

Tiens, un film qui m'était sorti de la tête...

C'est vrai que c'est bien fandard la première fois que je l'ai vu chez mes grands parents, c'était la scène du motard qui est en fait dentiste.

Fallait tout de même oser faire ça.

Sinon, qu'est-ce que se passe ici? Depuis que le test est fini il y a moins de films présentés? Aller les mecs, on se réveille, je veux decouvrir ou redécouvrir d'autres perles...

PS : J'ai enfin vu Le fil de la vie et j'ai été conquis, ce n'est pas beau, c'est tout simplement magnifique. Merci TTC...

Ta Ta Tata Ta Taaa Tata Tatatata Tata Tatatata Tata !!!

Ça vous dire rien comme refrain ? Mouais, un peu normal que ça vous dit rien, ça rend pas terrible chanté comme ça sur un forum.

Bon, le film que je vais vous parler aujourd'hui... Un film ? Attend, c'est plus qu'un film là, c'est tout une institution dont je vais vous parler aujourd'hui. Comment nommer autrement un film qui a eu six suites, une adaptation en série TV et série animé ? Vous voyez toujours pas de quoi je veux parler ? Attendez, ça a bercé une partie de votre jeunesse ça.

Et si je vous dis Mahoney, Jones, Tackleberry, Hightower, Hooks, Fackler, Sweetchuck, Zed, Barbara, ça vous dit toujours rien ? Aaaah, j'en vois qui se disent que ça leurs rappellent quelques souvenirs bien enfouies. Et si je rajoute Capitaine Harris, Commandant Mauser, Lieutenant Proctor, Capitaine Callahan, Sergent Lassard, ça vous parle mieux là, n'est-ce pas ?

Et la réplique ultime qui va vous faire souvenir de cette série complètement déjanté.

""PLUS VITE, PLUS VITE, PLUS VITE !!!!""

Mais oui, je veux bien sûr parler de...



Aaaah ! Police Academy, série complètement loufoque et burlesque avec ses personnages haut en couleurs joué par des acteurs forts sympathiques et attachants qui improvisés souvent pour donner de la profondeur à leurs personnages. Police Academy qui passait souvent à la TV et qui à force devenait lourd et gavant, mais dont finalement on retrouvait avec le plus grand des plaisirs. Et tout cas, moi j'y retourne volontiers pour me fendre la poire comme au bon vieux temps.

Par contre, ça n'a pas l'air comme ça, mais six des sept films font partie du patrimoine des années 80, on dira pas comme ça.

Police Academy (1984)
Police Academy 2. Au boulot ! (1985)
Police Academy 3. Instructeurs de choc (1986)
Police Academy 4. Aux armes citoyens (1987)
Police Academy 5. Débarquement à Miami Beach (1988)
Police Academy 6. S.O.S. Ville en état de choc (1989)
Police Academy Mission à Moscou (1994)

10 ans de Police Academy, balèze quand même.

Aller, je remets ça.

Ta Ta Tata Ta Taaa Tata Tatatata Tata Tatatata Tata !!!

Mais lool mais GG toi Tôji Tôji Chopper
Mais non d'un chien comment tu viens de soulever un pant super poussiéreux de ma vie là! ^^
Mais mine de rien c'est tellement loin que je ne sais même plus si je les ai tous déjà maté.

Je vais te remercier d'avoir rouvert aussi la boite à musique dans mon cerveaux au thème de cette "série".

Car oui, de série s'en ai carrément une là! ils ont rempli une bonne partie de la fin du siècle dernier avec ça!!

Mais franchement avec tout ce que j'ai à mater pour me rattraper le seul fait des les revoir passer sur une chêne TNT dernièrement ne m'a pas + retenu que ça (allez savoir.... sevrage...? -__-)

.... tout de même je pense pas laisser toussa de coté indéfiniment

Ta Ta Tata Ta Taaa Tata Tatatata Tata Tatatata Tata !!!

Allez, je vous présente un film terrifiant et épatant, un film génial, sans prétention, dont l'histoire file d'un seul trait, sans longueur... en somme, un bon vieux film à l'ancienne.

They Live (Invasion Los Angeles)





John Nada, un mec un peu paumé cherchant du travail, tombe sur des lunettes noires qui ont le pouvoir de filtrer tout cryptage visuel, en les mettant il se rend compte à quel point le monde dans lequel il évolue est surveillé et comment les décisions de l'homme sont influencées et dictées à chaque instant par des messages furtifs éparpillés partout.

Cela ne s'arrête pas là, à travers ces lunettes, John se rend compte que certains humains ne sont pas en réalités des humains mais des sortes de squelettes vivants, il apprendra qu'ils sont en réalité des extraterrestres...

N'étant pas du genre à rester les bras croisés, il partira en quête de vérité et de liberté contre ces envahisseurs tout en critiquant en chemin le "système".

Le film n’est pas pour autant morbide, des répliques drôles et un certain humour viennent nuancer le tout.

Enfin, la réalisation de John Carpenter est très plaisante surtout les scènes où on passe de la vision sans lunettes (en couleur) à la vision lunettes (noir et blanc).

Voilà le trailer du film : They Live.
Un extrait VF : Invasion Los Angeles.

Un film absolument à voir !

Attention, si on parle de John Carpenter, on ne peut pas passer à côté de son chef d'œuvre, un film d'une qualité rarement atteinte, d'un statut hautement culte, un film à l'ambiance redoutable qui met les nerfs en pelote. Un film qui se classe dans la partie horreur de ce sujet. Ce film c'est ...



Jamais un film vous aura mit autant de pression, c'est une tuerie sans nom, je peux vous le garantir.

Hiver 1982 au coeur de l'Antarctique. Une équipe de recherche composée de 12 hommes découvre un corps enfoui dans la neige près d'une base norvégienne, depuis plus de 100 000 ans. Décongelée, la créature retourne à la vie en imitant la forme de n'importe quel entité organique. Dès lors, le soupçon s'installe entre les hommes de l'équipe.

Un magnifique huit clos mené par une musique envoutante d'Ennio Morricone (avec des influences de Carpenter tout de même ^^), et de extraordinaire et inoubliable scène gore qui mette vraiment la nausée. Un film que j'adore énormément et que je revoir toujours avec autant de plaisir, un film de Carpenter quoi.



Trailer

Sinon, très bon choix de la part de RED. Invasion Los Angeles est une autre tuerie de Carpenter que j'ai appris à apprécié avec le temps (la première fois que je l'avais, petit, j'avais pas trop aimé), remplit de critique sur la société américaine et qui aura rarement mit bien en scène un catcheur en tant qu'acteur, "Rowdy" Roody Piper (ils sont pas vraiment connu pour leurs talents d'acteur).
Je rajouterais également que de nombreux films de Carpenter se doit d'être présenté ici tellement ils sont cultes pour une époque où le cinéma était vraiment du cinéma.

C'est les vacances, j’en profite pour poster le plus possible ^^;

The Thing, ce film me donne encore froid dans le dos, ce n'est pas nous qui n'avons plus peur des films d'horreur, ce sont les nouveaux films d’horreur qui nous ne font plus peur. La réalisation de Carpenter est angoissante !

Sinon "La petite boutique des horreurs", ce genre de films... On se dit qu'on est les seuls à les avoir vu ceux-là ^^; je me souviens d'être tombé dessus quand j'avais dans les 9 - 10 ans, il passait sur Canal Jimmy. Que de souvenirs.

Tout ça m'a rappelé un autre film de l'époque, avec l'acteur Scott Bakula.

I Man



Jeffrey Wilder, son fils et leur chien inhalent un gaz qui leur donne des pouvoirs dont celui de guérir très rapidement et de n'importe quelle blessure, d’où le I du titre pour Indestructible. Cependant Jeffrey aura un point faible, le noir absolu. S’il est mis dans une pièce sombre, ses cellules mourront l’une après l’autre. Comme d’habitude, il sera contacté par le gouvernement pour accomplir une mission…

Allé, petite mise à jour estivale du topic, pour toi public^^

king D. zanza : LE SECRET DE LA PYRAMIDE

WoAoAoAooo quel panard ce film!!! culte de chez culte, mais pourquoi avais-je oublier ce morceau Oldie de mon enfance! lui aussi sa VHS à presque fait fondre mon magnéto... (attention: def du magnéto se reporter au premiers posts^^)
Ma scène culte c'est le moment ou il devine l'intrigue de cache cache dans l'école, sacré façon de voir les choses et déja à cette age, et l'autre truc qui m'a scotché dans ce film c'est que c'était la première fois que j'entendait Carmina Burana à l'écran et c'est le genre de son qui vous passe sur tout le long de la colone vertébrale dans un énorme frisson à la première écoute... (pour les incultes: http://fr.youtube.com/watch?v=C0i9uWNDv ... re=related) marrant que tu parles de Indy dans ton sujet, moi la dernière scène me rappel l'épisode du temple maudi...
un de plus à voir absolument, Ajouté à la liste!


Tôji Tôji Chopper : LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS

haha! même pas vu! mais on m'en à tellement parlé que j'ai toujours voulu en savoir plus sur ce qui à fait bien parlé de lui en son temps, moi j'étais fan de la série animée, pas d'une super grande calité je crois mais ça me suffisait pour l'époque ça passait sur la cinq (oui la cinq, le vrai ancien nom de la chaine, avec l'émission avec le lapin bleu...) mais ça c'est un autre sujet (en préparation pour la rentrée^^)

ne désesperant pas de le visionner un jour, Ajouté à la liste!


Tôji Tôji Chopper : POLICE ACADEMIE

Haha... ééééééééénorme! mon perso préféré le black qui fait tout en beat box, (il apparait aussi dans la folle histoire de l'espace pour faire le radar, "bip bip bip bip...")
et oui ba moi aussi j'ai versé ma larme quand tu as chanté... c'était beau! sNiRfff...
Ajouté à la liste! et plutôt 6 fois qu'une!

Tôji Tôji Chopper : THE THING

ou l'art de mettre la pression au ammateur de sensation forte, un scénar béton qui démarre dès le générique de départ avec la poursuite du chien par un hélico.
Comme TTC le souligne, très bonne periode du cinéma qui nous a offert des perles de ce genre, toujours imité jamais égalé, pour differentes raisons commerciales de notre temps, c'est le seul film ou une fois rentré dedans les interminable plan et autre longueur son vite effacé par l'ambiance qui entour le film, à voir dans le noir avec du pop corn! (attention la "mention pop corn" est instaurée et attribué depuis peut aux incontournables^^)
Ajouté à la liste!

RED : They Live (Invasion Los Angeles)

heu après visionnage du trailer je dirais qu'on est passé du Oldie au Kitch (et il n'y a qu'un pas c'est vrai^^) perso pas convaincu mais je suivrais les conseils de TTC pour pas rester sur une première impression.
S'il y a des amateurs, bonne recherche^^ red et ttc son plus calés que moi sur celui-ci. `

RED : I Man

Waooo, inconnu pour moi au bataillon mais ton synopsis est énorme, l'acteur de cod catum est un des meilleur pour moi pour l'époque donc je vais essayer de le trouver.



voili voilou, à tous passez de bonnes vacances pour les chanceux et une bonne saison pour les bosseurs
merci encore pour les souvenirs^^

Je suis de retour avec un sac tout plein de petit film oldie, que ce soit du classique que de l'horreur.

Commençons par le "classique". Je mets classique entre guillemets car le film que je vais vous présenter est tellement original qu'il n'est pas à mettre dans toute les mains. Certains même qui liront cette petit présentation pourrait être choqué du contenu. Vous êtes prévenu.

Je suis un éternel nostalgique, ça tout le monde le sait. Un des œuvres qui me rends le plus nostalgique et qui avait le don de me mettre mal à l'aise était le série "Téléchat". Les concepteurs, Henri Xhonneux et Roland Topor ont signé après "la-série-qui-a-traumatisé-toute-une-génération-d'enfant" une petite merveille, une œuvre cinématographique complétement underground, aux propos dérangeant.



Synopsis:

Le Marquis de Sade est embastillé. C'est le temps dont il profite pour dresser un bilan, sur lui, son temps, et surtout sur nous. Dans ce microcosme carcéral, le chien de la monarchie n'a de cesse d'écrire, et agrémente ses longues journées de dialogues singuliers, avec Colin, son sexe pensant et parlant. Qui commande qui ?
Réflexion existentielle sur fond de libertinage révolutionnaire.

Marquis donc, est une adaptation d'une petite partie de la vie du sulfureux marquis de Sade lors de son emprisonnement dans la Bastille. Henri Xhonneux signe une version décalé, dérangeante mais également fascinante du bourgeois pervers. J'ai été réellement fasciné par le ton du film, crue, direct, mais jamais pornographique. J'ai été également bluffé par le jeu d'acteur/doubleur, réaliste certes mais également théâtrale, installant une ambiance particulière poisseuse. Les propos du marquis sont réellement tiré de l'œuvre de Sade, "le Divin Marquis" et contribue à une mise en scène discrète et élégante de la perversion de l'homme, et là tout y passe: homosexualité, jeux sado-masochiste et pratiques sodomites. Le film se veut choquant afin d'amener le spectateur à réfléchir sur la relation intime qu'il entretient avec son organe sexuel, qui semble être doué de sa propre raison et totalement indépendant. La galerie de personnage est là pour justement arriver au but final du film, réfléchir sur la condition humaine. Ce film en rebutera sûrement plus d'un, mais franchement, l'expérience en vaut vraiment le coup. Marquis est donc une œuvre cinématographique rare, radical, audacieux, complétement assumé jusqu'au bout qui n'hésite pas à franchir la frontière des standards imposés.

Voila tout pour aujourd'hui, la suite un peu plus tard.

Allez je te suis toujours Toji.

Je vous présente un film qui pour moi est culte de chez culte, un film assez vieillot mais pas trop :



Duel :



Ce film a été réalisé par Steven Spielberg (je crois même que c’est son premier), pour les récents cinéphiles ayant déjà vu Death Proof et ben c’est à peu près la même chose.
Un camionneur fou qui tente de tuer un pauvre automobiliste, une course effrénée, un stress extrême, une lutte pour la survie… Le pire est qu’on ne voit jamais le conducteur du gros camion. Je me souviens maintenant qu’il y avait un Stand dans JoJo (la saison de Jotaro si je ne me trompe pas) et le pouvoir de ce Stand était une grosse cylindrée dont le conducteur essayait de tuer les héros sur la route, c’était surement un hommage au film de Spielberg.

Les décors sont magnifiques tellement ils sont simples, dans le pur style road movie mais qui vire au désastre. Ça confirme toujours qu’avec peu on peut faire beaucoup.

Enfin, un film excellent, du suspens comme au bon vieux temps.


Un trailer sans pretention ^^

PREDATOR



USA - 1987 - 107 minutes
Réalisation : John McTiernan
Acteurs : Arnold Schwarzenegger, Elpidia Carrillo, Bill Duke, Carl Weathers, Jesse Ventura, Sonny Landham

Sorti vers la fin des années 80, Predator est l'un des films de genre les plus importants et les plus aboutis de l'ère moderne du cinéma. Film de commande, rien ne prédisposait pourtant cette potentielle série B à un tel destin tant le scénario sur le papier était insignifiant.
Mais voilà John McTiernan est au commande et ce jeune réalisateur encore quasi inconnu à l'époque va fournir un travail colossal et transformera cette banale série B en film culte.
Le film est légendaire à tous les niveaux, déjà rien que sa production est épique et mythique : le tournage prend un tel retard que Schwarzenegger le quitte avant la fin, obligeant McTiernan à le remplacer par une doublure sur de très nombreux plans et certains plans sont même carrément de simples photos. Enfin bref un tournage épique !


Alors pourquoi Predator est un chef d’œuvre ? Je ne vais pas m’amuser à entrer dans une analyse et une explication poussée. Je me contenterais juste de souligner ce qui fait la réussite du film.

La caractérisation du monstre, outre son look, la mise en scène de la tension et de la menace qu’il représente est d’une remarquable justesse avec une mise en puissance/découverte rythmée à un train d’enfer et soutenue par de nombreux détails visuels et dialogues très bien trouvés (découverte que le Predator ne tue pas les gens désarmés, « s’il saigne, on peut le tuer », etc.).

De là on arrive naturellement à la seconde réussite du film : l’utilisation du décor. Les possibilités qu’offre la jungle sont exploitées de toutes les façons imaginables (la terre boueuse sauvant par exemple notre héros car le Predator ne le voie pas avec sa vision infrarouge dans ce cas là).

Il y a aussi la sublimation de la « chasse », essence même de ce genre de film de monstres. Dans Predator cette chasse est évidemment le cœur du film et ramène le spectateur aux origines premières de l’homme (c’est d'ailleurs lorsque le héros revient à la chasse fondamentale et primitive qu’il réussit enfin à vaincre le Predator).

Enfin il y a l’utilisation de la langue. Plongés dans une jungle d’Amérique du sud, nos bon héros rencontrent des ennemis qu’ils ne comprennent pas (pourtant l’espagnol^^), installant un climat d’incompréhension que le Predator (silencieux) ne fait que renforcer et cela abouti en toute logique aux 15 dernières minutes du film sans aucun dialogue (retour aux origines de l'homme comme déjà évoqué avec par exemple le cri de défi "primitif" et "inarticulé" lancé au Predator).



Predator est une leçon de cinéma qui nous montre que d’un matériau basique on peut obtenir un objet noble. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que le Predator est devenu l’une des figures les plus emblématiques et exploités de l’univers fantastique moderne.