Raziel Strife a écrit:
Hum déja Isuzu dans Immanent God Blue il y a Immanent ( imminent ) et Blue....Mon dieu serait-ce Grimmjow qui a les cheveux bleus ?!!
Ah la la Raziel, j'adore les gens qui ne comprennent pas l'anglais et qui font les malins (d'autant plus scandaleux qu'avec les outils actuels qu'offrent internet franchement...google est ton ami !)
Voici la définition d'immanent, traduction de...suspense...immanent:
L'immanence désigne le fait de demeurer à l'intérieur. Un principe métaphysique immanent est donc un principe dont l'activité non seulement n'est pas séparable de ce sur quoi il agit, mais il le constitue de manière interne. Ce concept s'oppose à la transcendance, qui est le fait de sortir, d'aller à l'extérieur. L'utilisation de ces concepts nécessite la définition préalable de l'intérieur, de l'extérieur et de leur frontière.
Quant à Blue, c'est une expression américaine pour définir la tristesse ou la mélancolie, et ça provient naturellement du Blues, mouvement musical des noirs américains caractérisés par une profonde tristesse et mélancolie. Ca a donné le blues en français (wow, toutes ces traductions compliquées m'épuisent).
Donc en gros, ça donne: le blues du Dieu intérieur, c'est à dire Shirosaki.
Peut être qu'on peut passer à autre chose maintenant, merci.
PS: D'ailleurs tant que je suis, Halcyon, du titre du tome 27, Goodbye, Halcyon Days, ça veut dire paisible. Donc on a pas une traduction misérable comme je la rencontre partout: Au revoir, jours d'Halcyon, mais bien Au revoir, jours paisibles.
Je suis persuadé que beaucoup de gens l'ignoraient, mais c'est Pâques en avance aujourd'hui, profitez en.
EDIT: Ouais, j'avoue que là j'ai été dur, mais quand je me donne la peine d'indiquer que ce que vous pensez est faux, et qu'on me reprend d'un air condescendant, ça a tendance à m'énerver, donc excuse moi, tu ne méritais pas ça. Pour ma part, même si on peut considérer en effet que Zangetsu peut être ce Dieu, permet moi d'en douter. Si je me rappelle bien, il n'apparaît pas du tout dans ce tome ni le tome suivant (ou alors a peine) et Shirosaki/Ogichi se prend clairement pour le Dieu de cet univers (voire la métaphore avec le Roi et son cheval qui se poursuit avec le throne qu'on ne peut bouleverser).