Bien le bonjours ! J'ai enfin le plaisir de vous offrir ce chapitre ! J'espère pouvoir vous envoyé le prochains dans deux semaines ( 13 jours plutôt, vu que normalement je les mets le dimanche )...!
En attendant voici le chapitre 9 !
Chapitre 9 : Démon muté.La déflagration eut une puissance extraordinaire. En temps normal, Ardam aurait essayé d’éviter cette explosion. Cependant il n’était pas dans son état normal. Il encaissa la détonation de plein fouet, ses membres furent brûlés violement, alors que son corps devenait la proie d’une pression hors norme. Son cerveau tournait à vive allure dans cette fournaise. On eut dit qu’il s’apprêtait lui aussi à exploser.
« Méditez vos actions futures ».
La phrase revenait sans cesse. Peu à peu le calme revint. Ses jambes tremblaient, et ses muscles se relâchèrent d’un coup. Mais il ne tomba pas. Ce n’était pas la première bataille qu’il menait, ni le premier affrontement. Il avait une expérience des combats, bien qu’il fût relativement jeune, n’ayant qu’une petite trentaine d’années. Il avait commencé dans la marine il y a 5 ans, à la suite d’une petite altercation avec des pirates. Son héritage, le point de dragon, ainsi que son grand potentiel, lui avaient fait grimper les échelons assez rapidement. Il était d’ailleurs le seul de sa famille à pouvoir utiliser cet artéfact ancien. C’était une sorte de gant d’acier, avec de gros renforcements au niveau des phalanges. Il y avait aussi une sorte de dragon gravé sur le dessus, avec un magnifique ornement. Il avait dû beaucoup s’entraîner pour réussir à utiliser cet artéfact, le gant étant imbibé d’une puissance mystérieuse.
Il avait rencontré Finster après quelques temps au service d’une base de petite envergure. Ils avaient été mutés au même moment vers la base de vice-amiral Sny, et, étant du même âge, était devenus très proches. Ils avaient alors progressé ensemble. Finster, lui, était un excellent escrimeur. Il ne cessait d’étonner le monde autour de lui. Ardam l’admirait pour sa bravoure et son sens de la justice. Finster avait toujours été droit dans ses bottes. Son épée « La déchirure des monde » était une très bonne lame que Finster adorait. Ardam ne voulait pas décevoir son ami. Il vit ce dernier s’élancer à la poursuite de l’homme ours. Il voulait venger son amour propre, ça, Ardam le comprenait, et il aurait voulu l’aider. Mais pour l’heure, il lui semblait plus important de régler ses comptes à cette pourriture de Kosta. On ne traitait pas un humain comme ça.
Mais, en se relevant, Ardam se jura quelque chose :
« A notre prochaine rencontre, il n’y aura pas de cadeau à votre égard, les Brain Pirate ! »
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Vralo prit un bloc mouvant, le manipula avec précaution, et le projeta sur Orion. Ce dernier s’était détaché des autres. Il avait réussi à entraîner le chef scientifique dans une pièce annexe. La salle était remplie d’ingrédients, et une table d’opération se trouvait dans un coin de la pièce. De toute évidence, c’était ici que Vralo exerçait le gros de son travail.
La masse était rouge et pendant son envol, elle s’aplatit puis s’étala. Orion ne put l’éviter, elle était semblable à une sorte de gros mur mouvant. Le contact avec le bloc était humide et spongieux. Il fut éjecté jusqu’à l’autre bout de la pièce, et la matière s’y colla d’un seul coup. Vralo s’approcha un peu.
« Mon mur éponge te plait ? »
Orion banda ses muscles, mais malgré ses efforts, la substance résistait avec une facilité déconcertante.
« Ne te fatigue pas. Cette substance possède des propriétés étranges. Elle associe un effet gluant, et de l’élasticité. De plus elle est dure comme de l’acier. Elle ne craint que le feu. Tu vas mourir pitoyablement. »
Effectivement c’était bien élastique. Mais pas aussi collant que l’avait dit Vralo. Orion regarda ses bras attentivement et vit les légères traces du poison. Il restait un peu d’ammonite Creselia, qu’il avait utilisé pour faire fondre les barreaux de sa cellule. Par chance, cela empêchait le mur de lui coller la peau. Alors il frappa d’un grand coup dans le mur derrière lui qui céda brusquement. Le « Mur éponge » resta bloqué et Orion tomba dans le vide.
En-dessous se trouvait le grand escalier, quelques dizaines de mètres en contrebas. En effet, il partait de l’intersection des deux conduits, puis grimpait jusqu’à 50 mètres au-dessus de la surface. Il se trouvait donc juste au-dessus de la fin de l’escalier.
Orion tomba lourdement, ne se rattrapant qu’in extrémis, à une barre métallique de soutien. Il l’attrapa d’un coup vif, ses long bras lui étant utiles. Il se remit debout, le corps endolori.
Vralo avait sauté. Orion esquiva plusieurs attaques, tomba de nouveau dans le vide, mais s’agrippa à un câble de ses longs doigts. Il bondit soudain, avec une grande puissance, puis, se servant de son incroyable force et souplesse, parvint à regagner la salle d’opération de Vralo.
Avant que Vralo, plus lent, ne parvienne à remonter, Orion l’attaquait. Il agita un petit scalpel, puis fonça vers Vralo.
« Découpe de chirurgie, le tendon ! »
Il le coupa finement au tendon, laissant une entaille profonde, et ce dernier s’écroula d’un coup. Le scientifique repartit en arrière, puis réattaqua, lui envoyant un violent coup de poing. Il faucha Orion, voulut repartir à l’attaque mais celui-ci esquiva, roulant sur le côté. Orion feinta, et lui envoya un uppercut, les ongles en avant.
« Frappe interne ! »
Le scientifique ressentit une douleur violente à l’intérieur de son corps. Il eut l’impression que ses entrailles se tortillaient, telles des poissons dans l’eau. Orion ressortit ses ongles, devenus rouges de sang, alors que le marine était éjecté en arrière, la poitrine violemment enfoncée. Contre toute attente, Orion avait une force étonnante. Vralo eut le temps de lui lancer une poudre noire.
« Démangeaison aux morts ! »
- Aucun respect envers les produits, murmura Orion, exaspéré qu’on puisse ainsi gâcher de tels produits, bien plus utiles ailleurs. »
Il fut soudain pris de picotements, qui laissèrent bientôt place à de véritable démangeaisons. Il ne put éviter le coup de son adversaire, quand celui-ci le précipita dans le vide. Grognant de rage, il parvint tout de même à l’entraîner dans sa chute. Ils atterrirent sur un enchevêtrement de quelques planches métalliques, après une descente de trente mètres. Vralo tomba à genoux, ces derniers ayant craqué violement, et Orion lui-même avait la cheville tordue. Mais il ne laissa pas le temps à Vralo de reprendre son souffle.
Il l’enlaça avec force, plaçant son bras droit derrière la tête de son ennemi, et enfonçant les ongles de sa main dans l’omoplate de l’ennemi. Il enfonça avec une force étonnante son bras dans le ventre de Vralo, puis avant de lui déchirer l’épaule de ses dents pointues, il cria :
« Étreinte sanglante ! »
Les muscles du scientifique tremblèrent et il se laissa choir comme une poupée de chiffon.
« Tu sais très bien pourquoi j’ai fait cette chose à cette fille non ? Ophélie je crois… J’ai toujours testé mes produits sur mon corps, à part les pires, et encore… Je me sais résistant. Tu l’a même déduit toi-même, puisque tu n’as pas arrêté d’augmenter les doses de drogue. Tu voulais savoir où était ma limite. En tout cas cette fille avait un véritable problème. Le sang contaminé. Celui qu’elle produisait l’était déjà de base. Au bout d’un moment, il m’est apparu clairement la seule solution possible. Alors je l’ai opérée en vitesse, pour qu’elle produise du sang pur. En même temps, je lui transmettais des sangs également sains, en prenant son autre sang avec un tube. Mais le mal était déjà fait. Du sang mauvais s’était déjà beaucoup trop agglutiné dans un endroit de son corps. Sachant que ça ne me ferait que moins de mal, je l’ai bu. La plupart des médecins le savaient, ils étaient présents, et m’avaient pour une fois approuvé ; quand je mords, je suis très précis. Vous les avez tous tués pour ça, n’est pas ?
Pitoyable marine ! »
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Les trois capitaines avaient tout de suite attaqué Virtix. Ce dernier avait dû esquiver de justesse, mais ses adversaires n’avaient pas fini d’en découdre. Ils lui infligèrent quelques dizaines de coups, sans que l’homme-poisson ne parvienne, quant à lui, à leur porter des attaques conséquentes. La colère se remplit en lui, alors qu’on l’envoyait au tapis. Il se releva vivement, et ses yeux scintillèrent. Virudi l’approchait vivement, voulant sans doute lui ré infliger une attaque violente. Mais Virtix en avait assez de subir les attaque, bien rodées des capitaines. Il s’écria avant le capitaine, et put finir son attaque.
« Propulsion ! »
D’un coup raide de ses membranes, il repartit en avant. Il esquiva une nouvelle attaque de Bizruldi, puis cria :
« Strangulation ! »
Plusieurs tentacules agrippèrent le soldat au cou, alors que d’autres fouettaient l’air.
Le dernier des capitaines, Oruldi, s’approcha en un éclair.
« Les larmes noires ! »
Des shuriken partirent dans sa direction. Il en para plusieurs de son gourdin, et les autres arrivèrent à ses pieds, mais cela stoppa sa progression.
Virudi attaqua, levant son arme, identique à celle des deux autres.
« L’assommoir du gourdin ! »
Le capitaine abattit son arme avec force, faisant vibrer l’air. L’homme-poisson encaissa le coup, mais attrapa son adversaire d’un geste vif de ses tentacules.
Il les leva d’un coup, lâcha les deux capitaines, puis lança dans la foulée :
« Karaté des hommes-poisson : Le fouettement des tentacules ! »
Les tentacules de l’homme-poisson se dressèrent et claquèrent. Bizruldi et Virudi en prirent un coup. Soudainement, ils attaquèrent tous les trois en même temps, le plus rapidement possible.
« Les trois gourdins fulgurants ! »
Ils firent valdinguer leurs armes en direction de l’homme-poisson. Ce dernier dût réagir en un éclair. Ses tentacules s’enroulèrent, formant des petite boules à chaque extrémité, et hurla :
« Karaté des hommes-poisson : Uppercuts tentaculaires ! »
Il fut lui-même expulsé par l’attaque des capitaines, mais ces derniers avaient eu leur compte. Seul Virudi bougea après quelques instants. Mais Nimna réagit très rapidement. Elle tira plusieurs fois, autour de lui, avec des shuriken munis de fils, si bien qu’il se retrouva vite ficelle.
« Les shuriken de l’araignée ! »
Puis Virtix lui colla alors un direct si puissant qu’il fut éjecté dans la pièce annexe, où Orion avait emmené Vralo. Puis il tomba dans l’ouverture du mur qu’Orion avait cassé.
Ce dernier arriva peu de temps après, du même endroit. Il était quand même en piteux état mais affichait bonne mine.
Soudain un cri retentit, et Virudi resurgit, embroché sur l’une des fourches d’Hakid. Le maniaque regarda autour de lui, considérant l’endroit ravagé. Plusieurs morceaux de mur étaient à moitié effondrés, le sol recouvert de quelques acides ou autres produits dangereux.
Il regarda Orion, et se fixèrent un long moment. Puis Hakid brisa la glace.
« Je suis Hakid. Le charpentier des Brain Pirate. Heureux de te connaître. »
Il tendit sa main à Orion, ne touchant toujours pas le sol. Ce dernier la serra de sa très longue main, couverte de sang.
C’est alors qu’un râle retentit. Des meubles volèrent dans leur direction, de la salle d’expériences. Une créature en sortit, grande de bien quatre mètres, à la carrure imposante. Une sorte de croûte la recouvrait, de couleur brunâtre. Une tête sortait, dotée de grands yeux et d’une bouche très large. Des sortes de cheveux tombaient en cascade sur son visage. Les membres supplémentaires qu’elle possédait, bien qu’un peu flasques, tenaient une grosse fiole, semblable à un chaudron en verre, refermé par un grand bouchon.
« Le scientifique ! Ce produit ! s’exclama Orion, les yeux exorbités. »
Vralo, ou plutôt ce qu’il était devenu, fonça sur eux. Il esquiva avec beaucoup d’aisance les tirs de Nimna. Orion alla de l’avant, déchirant de ses doigts fins les endroits sensibles.
Hakid virevolta par-dessus l’homme muté, puis écrasa une masse d’arme chauffée à blanc sur le crâne de Vralo. L’homme-poisson reçut une gifle de la part d’un des nouveaux membres de Vralo, qui pouvait faire office de queue, puis hurla :
« Bombe Aqueuse ! »
Le peu d’eau que Virtix avait emmagasiné éclata. Vralo vacilla sous le choc de l’attaque, et son énorme fiole tomba sur le sol, puis roula jusqu’à une ouverture du mur qui donnait sur l’extérieur.
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Ellipsys courait à une bonne allure, mais comme le sport n’était pas une activité qu’il appréciait, il eut bientôt un coup de fatigue qui le prit subitement. Il continua sur quelques pas, le souffle court. Wild-Doï, qui portait Ophélie un peu en avant, s’arrêta net.
« Ellipsys, grogna-t-il. Si on ne veut pas se faire rattraper, il ne faut pas ralentir, à moins que vous me sortiez un de vos nouveaux plans incompréhensibles. »
Il considéra son ancien protégé avec un regard concentré. Puis d’un coup, il le souleva du sol, le tint d’une seule main, puis reprit la course. Ellipsys aurait pu protester, mais pour une fois, il garda ses remarques glaciales pour lui.
Wild-Doï avait beau être musclé et possédait-la force d’un grand ours, il n’en n’était pas moins très fatigué, surtout que plusieurs de ses blessures le lançaient. Ophélie le guidait d’une voix vibrante, bien que très fatiguée. Son état empirait, le poison qu’Ellipsys avait en parti filtré, était bien sûr revenu, et cela très vite.
Soudain la jeune fille murmura :
« Derrière-vous ! Il est derrière vous ! »
Wild-Doï, avec ses grands réflexes d’animal, parvint à mettre Ophélie et l’adolescent à terre, mais dut encaisser de plein fouet l’attaque. Le commandant Kosta surgit de l’ombre à toute vitesse. Il se pointa devant eux. Il portait une réplique de sa lance, pareille en tous points, bien que moins ornée.
« Vous allez tous mourir ! Comme ça, plus de témoins !»
Il s’apprêta à les embrocher, et Wild-Doï leva son sabre, tremblant légèrement. Mais Kosta ne put finir son geste. Il fut stoppé dans sa course par un Ardam hors de lui, bien que calme. Il venait d’apparaître, et portait toujours autour de sa main le mystérieux poing dragons. Kosta grinça des dents, roula, puis s’éloigna le plus vite possible.
« Razor ! lança Ardam. »
Il le rattrapa en un éclair et cria :
« Dragon gun ! »
Son poing s’abattit alors à une très grande vitesse, un poing meurtrier. Le gantelet
Les côtes de Kosta furent littéralement écrasées.
« Tu aurais dû savoir que je connaissais quelques techniques du rokushiki. Maintenant, fais ta prière. »
Il se tourna vers Ellipsys, Ophélie et Wild-Doï.
« Pour l’instant je m’occupe de celui-ci. Mais la prochaine fois, vous ne vous échapperez pas. Si Finster ne vous a pas avant. »
Ils se détournèrent rapidement. Ellipsys avait repris la course.
Ils rencontrèrent peu après un groupe de villageois, la plupart blessés, portant d’autres évanouis. Il était conduit par Gordon et Tan. Ils se saluèrent.
Alors tout autour d’eux trembla.
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Une fumée s’élevait de l’endroit où était tombée la fiole. Vralo, les traits tirés à l’extrême, les veines foncées, continuait son grand jeu de carnage. Orion parvint après une grande lutte, à lui arracher deux membres, et il commença à ralentir ses gestes. Virtix s’était pris un grand coup de la part d’une charge du monstre, et tomba dans les pommes. Hakid, avait tourné autour de sa tête, l’énervant, mais ne parvenant que très rarement à le déstabiliser, et à l’attaquer. Il fut violement touché à l’épaule par une griffe de Vralo, démesurée. Il avait beaucoup moins d’aisance dans ses mouvements, et souffrait à chaque manœuvre. Soudain, Nimna lâcha une grande pluie de shuriken sur le scientifique, bien que celui-ci résistât plutôt bien.
Puis soudain une grand-voile blanche sortit du fusil de la jeune fille. Celui-ci s’agrippa presque entièrement sur la créature mutée, qui se débattit un bon moment à l’intérieur, le tissu se déformant. Il ne se déchira pas. Alors Vralo cracha dessus la même substance qu’il avait administre à Orion, en dernier recours, de l’ammonite Creselia. Le drap se tâcha et commença à s’effriter. Le regard de Hakid se figea. Son cœur commença à battre plus fort dans sa poitrine. Son épaule cessa de lui faire mal. Il ne vit plus rien sauf cette tâche, sur ce beau drap blanc, à la créature, horrible, responsable de ce massacre.
« Non !! pas de tâche ! Non… C’est la fin. »
Son visage se déforma, des veines palpitèrent. La colère et la peur grimpèrent en lui à une vitesse incroyable. Il tenta vainement de se calmer, mais rien n’y fit. Soudain, il vira de bord, et inclinant ses toiles, ainsi que ses vento-dials, il fonça droit sur Vralo, indiffèrent aux attaques que pouvait faire ce dernier.
Il s’approcha, et conservant une vitesse incroyable, hurla :
« Tourbillon enflammé ! »
Une vague de flammes et de gaz, sortis droit de ses fourches, foncèrent, conservant la vitesse d’Hakid, droit sur le gros œil du scientifique. Le drap brûla et l’œil se liquéfia, soudainement. Les mutations cessèrent et de gros morceaux de chair tombèrent du corps. Le scientifique réapparut, seul, plein de cicatrices et de blessures, le visage à moitié brulé.
Hakid atterrit lourdement, à peu près remis de cette crise.
« Content que cette mutation se soit arrêtée, lâcha Orion, en grignotant ses ongles. C’est peut-être la chaleur qui a arrêté les phénomènes.
- Bon, faut qu’on retrouve Ellipsys, je pense qu’ils ne devraient pas tarder, Wild-Doï et Ophélie avec lui, déclara Nimna. »
Les murs tremblèrent et le toit s’effondra, bien qu’ils n’en reste plus grand-chose. Ils étaient au point culminant de la base, et sans le toit ni les murs qui les soutenaient, ils avaient la vue panoramique la plus complète.
Et c’est là qu’ils virent, en bas, un spectacle légèrement terrifiant. Une horde de bêtes plus étranges les unes que les autres.
« Ils ressemblent aux monstres de la forêt, ceux qui font peur aux villageois. Ils sont agressifs, mais pas si redoutables que ça…commenta Hakid.
- Ce sont les monstres de la forêt ! hurla Orion, les yeux exorbités. Et ils ont dû boire le contenu de la fiole de mutation de Vralo. En trop grande quantité en plus ! »
Alors une des créatures volantes plongea sur eux.
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En espérant que vous avez aimé ce chapitre ! J'ai essayé de décrire un peu plus les attaques, je ne sais pas si sa ce ressens... Je vais tacher d'y faire attention...
Encore désolé pour le retard ! Normalement je reviendrai dimanche prochain pour répondre a vos questions durant mon " Brain Étude " ! N'hésiter donc pas à exprimer vos incompréhension
