Je me dit parfois que, quand j'écris, se serai bien que je soit sûr que ce que je fais soit bon. Et apprécié par les éditeurs. Car si cela ne l'est pas, mon livre ne va jamais être publié.
Alors j'aimerai lancer un appel, à tout ceux qui vivent dans le nord de la France, S'il connaissent des maisons d'édition pas loin de chez eux, es-ce qu'ils pourraient me dire où cela se trouve? Que je puisse les contacter? Merci
Et pour vous donner un petit aperçu de l'histoire, je vous post ici une (petite) partie de l'histoire. Rémi et Sultan ont quitté la première île de leurs voyage, l'île Bananardo. Ils se dirigent maintenant vers Koma-Thé.
" Puis vint l’heure du départ. Dans le port de l’île Bananardo, Rémi attendais, sur le quai n°2, dans une barque que les villageois leurs avait donné pour avoir sauvé l’île. Avec lui attendait sur le quai la jeune serveuse, du nom de Johanna, accompagné de ses trois sœurs, que Poyo avait sauvé du joug d’Omahu. Johanna était la plus jeune des quatre filles, et à chaque fois qu’elle regardait Rémi ou Sultan, elle se mettait à rougir et rentrai sa tête le plus possible dans son habit de serveuse. La plus âgée des filles prirent la parole : -Cette fois, vous partez, toi et Sultan… Rémi, qui contemplait le paysage, dit en se retournant : -Oui, cette fois, nous partons. -Et votre voyage va être long ? Demanda la cadette. -Je n’en sais rien. Il y a tellement d’île que je dois visiter, et tellement de gens à rencontrer et à recruté… -Vous reviendrez, un jour, tout de même ? S’exclama la troisième jeune fille. -Oui, bien sûr, comptez sur moi ! Et Sultan ! D’ailleurs, en parlant du loup… Sultan descendait la colline qui reliait le premier village que Rémi avait visité au port, accompagné de Poyo. Ils étaient en grande discussion. Sultan avait revêtu un pull en coton rouge bordeaux à capuche et un jean un peu trop grand pour lui. Il portait des baskets normaux.
Tout de suite, Johanna rougis comme une tomate et rentra sa tête dans sa chemise rose à fleur. Rémi dit : -C’est bon, t’a rien oublié ? -Non, t’inquiète. Je ne suis pas aussi distrait que toi. J’ai ma batte, mon sac, la réserve de nourriture que tu as demandé, ainsi que ceci. Il montra un flacon rempli de liquide jaune, que tenait Poyo entre les mains. Celui-ci dit : -C’est un concentré de banane, élaboré par mes soins et ceux des autres vétérans de l’île. Seul nous savons la préparer. Elle vous permet de renforcer votre endurance durant une bonne heure. Utilisez-là avec parcimonie… Sultan a déjà eu sa fiole. Sultan déposa son sac dans la barque et se tourna vers Poyo. Il lui serra la main en disant : -Vous allez savoir vos débrouiller ? -Nous, ça va aller, ne te soucies pas de nous et profite à fond de ton voyage. Ils se regardèrent, puis Sultan fondis dans ses bras. Rémi sourit en voyant une telle marque d’affection envers son ainé. Surtout que Sultan était d’habitude quelqu’un de plutôt impassible. Sultan fondit en larme en murmurant : -Me… Merci pour tout ! Merci de vous être occupé de moi… snif… Merci de m’avoir hébergé… Merci ! -Allons, allons, pleure pas, sinon tu ne montreras pas à ton nouveau capitaine de quoi t’es capable, imbécile ! Johanna trouva la scène très émouvante. Même si elle ne les connaissait que depuis trois jours, elle se sentait très proche d’eux. Sultan et Poyo se séparèrent et séchèrent leurs larmes. Johanna s’approcha et murmura très timidement : -Faites… bon voyage… Et, tout en rougissant davantage, elle donna un baiser sur la joue de Sultan. Elle fit de même pour Rémi. Puis elle se cacha très vite derrière ses grandes sœurs. Sultan monta à bord et s’installa juste en face de Rémi. Celui-ci est resté debout et appela : -Johanna ! Elle sortit à peine la tête entre ses deux grandes sœurs et dit : -O…oui ? -Veille à devenir une grande serveuse ! Si je repasse par ici, un jour, j’aurais bien besoin d’une bonne chope d’alcool à la banane ! Elle sourit timidement et se recacha derrière ses sœurs. -Poyo ! Appela ensuite Rémi. -Qu’y a-t-il, demanda ce dernier. -Prends soin de toute l’île de ma part, s’il te plaît ! Il sourit à nouveau et promis. Rémi s’installa et pris les rames. Il commença à ramer tout en faisant des signes de la main à Poyo, Johanna et ses sœurs. Ils répondirent, tandis qu’une immense foule de gens leurs hurlait de prendre soin d’eux, de revenir, etc. …
Cela faisait maintenant trois heures qu’ils avaient quitté l’île. À l’horizon, on ne voyait que de l’eau couleur cobalt. Trois mouettes volaient loin dans le ciel en lançant leurs cris au ciel. Sultan ramait, tandis que Rémi observait l’horizon. Sultan dit : -Tu pense à quoi ? -Moi ? Répondit-il. Je me demande quelles aventures nous allons découvrir. Mais j’espère aussi que la prochaine île n’est plus très loin… Il sortit la carte. Après Bananardo, l’île des bananes, leur prochaine escale était… l’Île Koma-Thé, réputé pour son thé aux plantes locales. Mais elle ne se trouvait encore loin, car il leurs faudrait une journée de navigation, s’ils ne dérivaient pas… -T’a déjà pensé au nom de l’équipage et à son drapeau ? Demanda soudain Sultan. -Hein, grogna Rémi. -Le drapeau, et l’équipage. T’a déjà pensé à ça ? -Hum… En vérité, cette question n’avait pas échappé à son esprit, mais… -Waah, c’est quoi ça ? Hurla soudain Sultan. Une ombre géante avançait en ondulant comme un serpent. Puis la tête d’un monstre marin géant sortit de l’eau. Il avait une longue collerette sur le dos, et possédaient une belle collection de canines aiguisée. Rémi tourna la tête, et sourit au monstre en disant : -Tu tombe bien, toi, j’commençais à m’ennuyer sec ! Il se leva, fit face au monstre, et leva les mains tout en écartant au maximum les jambes. Deux tourbillons commençaient à se former devant eux. Il baissa les mains, et les releva très vite. L’eau s’enfonça plus, puis une colonne d’eau sortit de la mer. Elles suivirent le mouvement des mains, en faisant un cercle vers le bas, et en fonçant vers le monstre, qui se prit le coup de plein fouet. Il hurla de douleur, et replongea dans les profondeurs marines. -Dis donc, toi… Murmura Sultan, faut pas que j’t’énerve, si j’veux rester entier… Durant le reste de la journée, ils discutèrent sur ce qu’ils avaient vécu chacun durant ces trois ans séparé. Quand la nuit tomba, ils se trouvaient au large d’un îlot qui semblait désert. Ils accostèrent juste devant une forêt de palmier. Sultan amarra la barque à un rocher et tomba sur le sable, suivit de près par Rémi. Il murmura : -‘Chui crevé… Rien faire que de naviguer, c’est crevant… arf… -Moi, plus qu’d’être fatigué, j’ai faaaiiim ! Dit Rémi. -Si t’avait pas tout bouffé, on ne s’rait pas dans cette galère, crétin de capitaine ! -Oh, c’est bon, hein… Tiens, on dirait que les arbres là bas portent des fruits… -Ben va en chercher, qu’on s’fasse quelque chose à bouffer ! Râla Sultan.
Rémi se leva avec peine et se dirigea vers les arbres. Ils portaient des ananas à leurs branches. Il en prit plusieurs et retourna vers Sultan. Il en lança un sur sa tête et s’assis à coté de lui. -Tiens, voila pour toi. Il se redressa et sortit un couteau de chasse. Il coupa le fruit en parts égale et en donna la moitié à son capitaine. Ce dernier en croqua une grande partie et, en avalant, il dit : -Espérons que, quand on aura notre propre bateau, qu’on ait pas autant de merde pour se ravitailler. Sultan lui donna un coup sur l’épaule et dit : -Pour ça, évite de tout bouffer, crétin ! Il croqua dans sa partie de fruit, mâchouilla pendant un instant, avala et dit : -Revenons sur notre conversation de toute à l’heure. T’as déjà pensé au drapeau ? -Eh ben, maintenant que t’en parle… J’aurais voulu attendre qu’on soit un peu plus, tu vois, genre cinq membres, pour en discuter. -Ok… Mais t’as vraiment aucune idée ? Rémi ne répondit pas et continua de manger. Même s’il avait une petite idée en tête, tout de même… Depuis les temps immémoriaux, les Dragons règnent en maître sur plusieurs archipels dans le monde. Pour les bardes, ils représentaient la force, la beauté et la puissance à l’état pur. Durant son séjour sur Mélinos, Rémi avait appris à connaitre, puis à aimer ces créatures, venant parfois d’un autre monde. L’un de ses rêves était d’en posséder un, même si la loi interdisait formellement de posséder tout objet montrant que l’on s’intéressait de près ou de loin aux Dragons. Après avoir mangé, ils s’allongèrent et s’endormirent sur le sable. Le lendemain, ils repartirent pour l’île Koma-Thé, leurs sacs pleins d’ananas, au cas où. La moitié de la journée dut passer pour qu’enfin, ils aperçoivent l’île en question. À l’horizon, un immense palais se profilait. L’île n’était pas aussi grande que celle de Sultan, mais elle n’avait pas l’air d’avoir de montagne. Sultan demanda : -À ton avis, qui va-t-on revoir en premier, Ruyta ou Sky ? Il n’y avait pas pensé, mais Sky et Ruyta vivaient tou les deux sur la même île. Mais, à ce qui parait, il y aurait eu un coup d’état sur l’île, et elle est divisé en trois factions : l’armée royale, les rebelles et un poste avancée des « Blacks Bananas ». Sultan continua : -Tu crois que c’est… ici aussi, qu’il y a… les « Blacks Bananas » ? -On dirait bien, oui, répondit Rémi, en pointant un navire tout proche. C’était un petit galion à trois mâts, dont l’étendard représentait deux bananes noirs croisé derrière un masque. Rémi sentit Sultan trembler derrière lui. Rémi dit : -Je ne pense pas que ce soit les mêmes que sur Bananardo. L’étendard n’est pas le même. -Mais quand même… Ça me fout les nerfs qu’ils y en aient encore, alors que le reste de la mafia a été carbonisé… Pour éviter de se faire remarquer, ils firent un large détour, et arrivèrent sur la partie Sud-Ouest de l’île. Cette partie de l’île était constituée d’une colline, d’un ravin, et se trouvait juste derrière l’imposant palais, qui occupait le centre de l’île. Un seul village se dressait sur la colline. Rémi et Sultan accostèrent dans une faille de la falaise. Ils sautèrent à terre. Rémi regarda le ciel et dit : -Bon, on fait comment pour grimper, maintenant ?"
Voila, c'était une partie du chapitre 8, "La première recrue". J'ai peut-être pas choisi le bon extrait, pour les amateurs de combats, mais ça montre bien la personnalité des deux héros présents, pour l'instant.
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In the darkness or light, In cities or the countryside, A Song resounds forcefully The Song of the Phoenix Dragon. Fear it, Love it, weep on, Because the only people who fit Are the souls of the damned pirates
Une future légende est en marche... Découvrez ses aventures ici!-Walk The Phoenix Dragon-
My Name Is: HILRÉ LAMOU (Star Wars) - CONFUSED DRUADAN (Terre du Milieu) - CELEGORM CÚTHALION (Langue Elfique) - DRACO (SSBB) - Phénix Dragoon (Volonté du D)
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