J'ai une petite avance par rapport à mes prévisions, mais ceux qui lisent n'en seront que plus content, hormis ceci,de ce que j'ai pu voir, certaines personnes suivent (ou lisent de temps à autres) ma fic, donc je remercie ceux qui s'implique dans la fic en répondant aux sondages, cependant, si vous êtes facilement choqués, dégoûtés, je vous conseille de vous arrêter là où vous en êtes car la suite est plutôt gore, et certains passages immoraux. Merci de votre compréhension. (Au delà des 15 ans, je pense que vous êtes capables de prendre en mains vos émotions et de dire "oui je continue", ou bien "non, c'est trop dur". Bonne nuit.)
Chapitre 2 : La Porte du Jugement.
Atroce, mon réveil fut atroce. J'étais allongé, dehors, il faisait jour. Je ne me souvenait de rien depuis ce qui est arrivé à Lucie, mon portable indiquait mardi, nous étions le matin. Seulement une nuit après l'agression. Je me levais donc pour rejoindre le lycée et surtout, pour aller voir si Lucie allait bien. Arrivé en classe, le demi groupe du cour de secourisme me regarda d'un air intrigué, tous étaient présent. Lucie ne manquait pas à l'appel, néanmoins, elle semblait troublée, assise dans son coins. Certains de mes camarades tentaient de la consoler et de comprendre ce qui lui était arrivée. Évidemment j'étais le seul au courant, mais je ne pouvais pas lui dire que je l'avais suivie, je décidait donc de rester concentré sur le cours.
Mes envies de meurtres ne s'étaient pas manifestés aujourd'hui, j'étais donc satisfait de cette journée. J'arrivais dans ma chambre, à l'internat, quand j'entendis une voix rauque: « Chante moi une chanson », disait-elle... Je descendait donc pour aller manger, vers 18h45, comme d'habitude, en compagnie des gens que je considère réellement comme mes amis, parmi eux, les plus importants étaient Léa, la petite brune, en qui ma confiance est la plus parfaite, et Damien, avec qui les joies sont multipliés, le reste étant sans intérêt, je décidais donc de les ignorer. C'est alors que la salle devint sombre, une porte en fer entourée de chaînes tomba du ciel en perçant le plafond. La voix rauque que j'avais entendu plus tôt retentit alors dans la cafétéria. -Enfant, tu ne m'a pas chanté de chanson ! Trop apeuré pour répondre, j'avalais ma salive régulièrement, comme pour appelé les mots à sortir d'eux même. -Pour cet affront, je vais devoir t'emmener dans mon monde, tu n'a pas le choix, c'est ça, ou la condamnation à mort, mon jugement sera sans appel ! La voix ne pouvait être plus clair, je devais aller dans ce monde, au risque de ne plus jamais en revenir. Malgré ma peur, je parvint à répondre. -D'... D'accord, je viens. -J'en conviens, mais le problème, c'est que la porte ne s'ouvrira pas pour moins de six personnes, je te laisse donc choisir les personnes que tu voudrais emmener. Après mure réflexion je fut décidé à partir en emmenant avec moi les cinq personnes avec lesquelles j'allais séjourner dans ce monde pour un temps indéfini. -J'ai pris ma décision, lui dis-je, j'ai trouvé les cinq personnes manquantes. Une feuille de papier de couleur sépia et une plume rouge apparurent dans mes mains. -Il te suffit d'écrire les six noms, y compris le tiens, puis de signer, et enfin de présenter la feuille devant la porte.
Je m’exécutais tranquillement, une fois finit, je rendit la feuille à la porte. Tout à coup, les chaînes se brisèrent et la porte s'ouvrit, je me sentais perdre connaissance, quand soudain, mon mal-être habituel de ces derniers jours fut pousser à l'extrême. Je mourrai...
-Bonjour Lucas, tu as bien dormis ? Une petite voix fluette retentit dans mon crâne, peu à peu que j'ouvrai les yeux, je discernait l'éclat du soleil filtré par un arbre, je sentait la caresse de l'herbe verte sur mes mollet nus. Un oiseau volait dans le ciel bleu, son envergure faisait penser à un condor, mais un condor n’entraîne pas une traînée de flammes derrière lui. Je me sentait apaisé, détendu, je n'étais pas pressé de me lever, cet endroit était merveilleux. Était-ce le paradis ? Étais-je mort ? Je ne sais pas, mais ce dont je suis sûr, c'est que mes amis étaient tous là, allongés pour certains, adossés à l'arbre pour d'autres... Chacun était reposés et totalement détendus. Je décidais donc de continuer à observer le ciel en écoutant la petite voix cristalline résonner dans ma tête.
C'est assez cours en effet, un peu plus de dialogue que dans le chapitre précédent, mais ce n'est pas trop mon point fort. Dites moi ce que vous en pensez, maintenant que nous entrons au cœur de l'intrigue.
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Euh... C'est pas faux.
Coup d’œil ? : Histoires de rues Ouch' !! La prochaine fois utilise l'autre s'il te plait...
Dernière édition par C'est-pas-faux le Sam 25 Jan 2014 22:48, édité 1 fois.
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