La morale. (Avis aux modérateurs : je me permets de répondre sur le forum relatif à ce chapitre, bien que le contenu du message n'en sois pas en direct lien, pardonnez.)
Aaaaaaaaah Aeldrix, nom de phœnix, comme j'aime les gens comme toi, comme vous... Sans toi, vous, je ne pourrais me construire. Vos « vous » me montre ce vers quoi je ne veux absolument pas tendre (Héraclite, solidarité des contraires... Merde désolé, sans médicaments, je deviens « rabat-joie »...). Pour ça, merci. J'aime ce que tu me propose là, ce projet, fou, d'envergure ahurissante, mais humble, car tu semble humble, ce projet consistant à me faire taire. J’apprécie le concept, mais ne prend pas mal ce qui va suivre, je vais parler. Alors, par ou commencer... bon, que penses-tu si l'on s'attaquait au cœur de ton propos, la morale. La morale, c'est quoi ? Simple, et non simpliste, rappel : la morale, c'est un axiome, parfois transcendantale, à défaut, une ligne de valeur fondamentale sur laquelle l'Homme juge et impose de manière dichotomique, sur une paire de concepts antinomiques, exemple, le Bien versus le Mal (j'en connais un rayon là dessus, si je puis me permettre, je bûche sur une thèse intitulée « Les antinomies en droit », origine de mon moi rabat-joie, ou pas).
Retour sur ton humilité : tu dis que mon message divulgue une morale. Là, je suis déçu. C'est sans doute que je n'ai pas su assez appuyer la personnalité du propos (pourtant, vu le nombre de précaution que j'ai pris au niveau des « selon moi », des « je », et jamais des « il faut », des « il doit », BORDEL je veux bien me remettre en question mais trouve moi le déontique dans mon message ??!!!), ou que tu es, sauf ton respect, assez borné. Car, à part la présence de mon ressentis sur le forum, qu'est-ce que j'impose à part la lecture d'un avis, somme tout personnel ? Toi visiblement, une morale. Effectivement, selon toi, il y aurait bien un Bien, toi et les gens qui pensent et parlent comme toi - pour moi, très peu perceptible dans la vie de tous les jours, je te le concède, Nietzsche et Cioran m'ont émerveillé – et un Mal, moi et les gens qui ne pensent pas ni ne parlent comme toi. Cette morale est tienne, je t'en tiens respect, mais là ou je m'arrête, c'est dans ta logique. Logiquement, si tu veux être cohérent (et je doute que l'Homme le soit, donc je ne t'en tiendrais pas vraiment rigueur), ne reproche pas à autrui ce à quoi tu t'adonnes toi même, qui plus est quand tu te trompes. Ce que tu fais reviens à ce que tu me reproche : tu m'impose ta morale. Tu me semble donc borné, qui plus est, incohérent. Quelqu'un l'a relevé et je l'en remercie, même si je ne souhaite absolument pas le prendre à partie.
Morale de l'histoire : qu'elle vienne du Cosmos, de Dieu, ou de l'Homme, ou même de toi, humble Aeldrix, détenteur du feu sacré, de la vérité et du bonheur en ce monde, elle - la morale - m'est encore assez étrangère, et surtout, très relative.
Bien à vous tous.
Ps : merci pour ta proposition concernant l'acquisition d'un chat, mais j'en possède déjà un, il s'appelle Gribouille et c'est l'amour de ma vie. Qui plus est, je suis globalement quelqu'un de très heureux dans ma vie, mais ça par contre, si tu me le concède, on s'en bas les testicules :D
Ps Ps : SUR LE CHAPITRE : j'ai relu et ai apprécié. Je suis changeant.
Ps Ps Ps : Fin de la discussion, concentration sur la chapitre.
Dernière édition par E087167X le Jeu 23 Avr 2015 14:00, édité 1 fois.
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