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kING D Zanza Présente
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Salut à toute la racaille, qu’elle soit jeune, âgée, maudite des eaux ou non. Je me présente, KING D Zanza, conteur. Je vais vous raconter l’histoire d’un des nombreux pirates qui vécu de grandes aventures rien que pour réaliser ses rêves. Lui et son équipage écumèrent toute leur vie Grandline et ont rencontrés des personnes connues, dont le célèbre Luffy au chapeau de paille, celui qui est devenu depuis le second seigneur des pirates…
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Chapitre XV : ZIGGY
STARDUST, FILS DE ORO
*ATCHOUM !!!!*
Ce bruit se
faisait souvent entendre sur le Annbonny. Surtout sortant de la
bouche de Kadja. Depuis quelques jours, le climat était passé d’un
soleil ardent à la tempête de neige. L’Eternal pose indiquait depuis
quelques temps la même direction, signe qu’une des pierres
recherchées se trouvait non loin de là.
Al : Mais tu vas t’habiller oui !
Tu vas attraper la crève comme ça, t’as pas un manteau avec toi ?
Kadja : C’est que j’avais
pas prévu de me les geler avec vous dans un endroit pareil. ATCHOUM
!!! Je n’aie jamais porté autre chose que mes bandages sur moi.
Montrer son torse nu, c’est le top de la virilité !
Al : Et t’as peur d’un petit chaton
sans défense qu’en t’en vois un ? Pas très viril tout ça ! Bouge
pas, il doit y avoir encore un manteau de mon père sur le navire.
Al partis dans sa cabine et rapporta bien un des manteaux de
Nério, mais sur Kadja, cela paraissait bien ridicule…
Kadja : Putain ! Mais il y a
quatres manches de trop ! C’est plein de courants d’air !
Elie : Ha ha ha ! Les vêtements
d’homme-poulpe te vont bien Kadja ! T’inquiète, donne le moi que je
couse les manches superflues.
Al : Bon, c’est pas tout ça mais
quand est-ce que l’on arrive sur la prochaine île ? Ed ! Tu ne vois
toujours rien de la vigie !?
Ed : Je ne vois que le soleil qui
rougeoie et le ciel qui bleueoie ! Attendez ! Il y a une île droit
devant ! Terre !
Kadja :
J’espère que c’est une île civilisée que je puisse enfin m’acheter
une petite barque.
Al :
Toujours décidé à nous quitter alors. Dommage, tu te serais bien
amusé avec nous.
Kadja :
C’est ça ouais…
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Quelque part sur l’île, dans le
petit village de Gyasta…
Villageois : L’hôpital ? C’est
simple petit, tu n’as qu’as prendre le téléphérique que tu vois
là-bas. T’es malade ?
Jeune
homme : Non, je cherche quelqu’un. Il a peut-être des
renseignements sur mon père. Il a tout appris par lui.
Villageois : Et il s’appelle
comment ton père, peut-être que je le connaît ?
Jeune homme : Il s’appelait Oro
Stardust, Docteur Oro Stardust. Moi, je me nomme Ziggy.
Villageois : Désolé mais ce nom ne
m’est pas connut.
Ziggy :
Merci tout de même…
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Le Annbonny venait enfin d’accoster sur l’île et tous
avaient mis pied à terre. Il s’agissait désormais pour l’équipage
d’aller dans la ville la plus proche.
Elie : Je vois de la fumée au loin,
on ne doit pas être loin de la prochaine ville. Y’a plus qu’a y
aller.
Al : Alors
allons-y. Tu trouveras peut-être ton bonheur là-bas Kadja.
Kadja : Ouaip ! Allons y Maint…
Voix : Halte ! Qui
êtes-vous ? De bons pirates ou des mauvais pirates ?
Tous se
mirent dos à dos en entendant cette voix venant de nul part.
Apparemment, ils n’étaient pas vus d’un très bon œil.
Kadja : Minute papillon ! J’ne suis
pas un pirate moi, mais juste un passager !
Voix : Rien à faire ! Répondez à ma
question !!
Al : Mais
c’est con comme question ! Si on est de bons pirates, on vous le
dira, et si on est de mauvais pirates on vous mentiras en disait
qu’on est sympas !
Autre
voix : ça tombe sous le sens ! Je t’avais bien dit que
c’était pas une question à poser !
Voix : Oh c’est bon ! Tu veux qu’on
fasse quoi ! Montrez-nous vos papiers SVP ?
??? : Ne vous chamaillez pas vous
deux ! Laissez-les passer ! Ils ne m’ont pas l’air méchants
L’équipage vit apparaître un homme assez grand habillé d’un
manteau noir et d’une épée en forme de spatule géante.
Les deux voix : Bien monsieur ! A
vos ordres !
Elie :
Heu ! Bonjours, je suis Elie. Et voici mon équipage, avec Ed et
Elie. Le grand noir est un ami qui s’appelle Kadja.
Dalton : Je me nomme Dalton… Je
suis le chef du royaume des cerisiers. Venez avec moi à Bighorn… Je
serais votre guide
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Hôpital du royaume
Ziggy : Ouah ! Mais
c’est pas un hôpital mais un château !
Ziggy n’en cru pas
ses yeux lorsqu’il vit cet hôpital, un ancien château coincé en haut
d’une montagne. Dès qu’il rentra, il vit de nombreuses personnes qui
y étaient hospitalisés ainsi que des visiteurs. Il retiras son
manteau et le porta à l’épaule.
Ziggy était quelqu’un d’assez
fluet et de taille moyenne. Il portait un gilet sans manches blanc
avec une croix rouge dans le dos et un pantalon baggy crème. Il
était brun avec des petites lunettes noires sur le bout du nez.
Infirmière : Bienvenu
monsieur dans la clinique Hiluluk. Nous somme le seul hôpital du
pays mais nous avons ici la crème des médecins, les toubibs 20 !
C’est pour une consultation ?
Ziggy : Heu non, c’est juste pour
voir un médecin en particulier pour discuter. Pourriez-vous me dire
ou se trouve son bureau ?
Infirmière : Bien sûr ! Comment
s’appelle-t-il ?
Ziggy :
C’est le docteur Kureha.
Aussitôt, ce fut la panique dans le
hall. Plusieurs personnes se collèrent contre les murs et certains
s’enfuirent dans les chambres, y comprit un homme qui courra alors
qu’il avait les deux jambes dans le plâtre. L’infirmière quant à
elle, se planqua sous son bureau.
Ziggy : Keskiya ? J’ai dit quelque
chose qui ne fallait pas ?
Infirmière : *d’une voix tremblotante*Le le
do…docteur Kureha habite dans le château. C’est chez elle ici mais
il vaut mieux pas aller chez elle. Tout le monde la fuit, elle ne
voit que peu de courageux comme patients. Y’a que monsieur Dalton
qui va la voir toutes les semaines. C’est dans ce couloir, tout au
fond
L’infirmière montras alors du doigt un long couloir
lugubre et mal éclairé avec une petite grille. Sur celle-ci était
placé une plaque sur laquelle il était inscrit « Docteur Kureha,
médecin. Ne pas déranger si c’est pour demander le secret de ma
jeunesse »
Ziggy :
Bien, merci.
Infirmière :
Adieu ! Quel dommage, mourir si jeune…
Ziggy ouvrit la
grille qui grinça bruyamment avant de la renfermer. Le jeune homme
n’était guère rassuré au vu des réactions des habitants. Durant sa
longue traversée dans la pénombre, il ; remarqua divers panneaux de
mise en gardes, sûrement posés là par Kureha. « Attention, sorcière
! », « Si vous venez pour consulter, ça veux dire que vous êtes à
l’article de la mort », ou encore « soyez le bienvenue si vous
m’apportez un panier de prunes confites ! ».
Finalement, il
arriva devant la porte et sonna.
Kureha : Entrez ! C’est ouvert !
Ziggy ouvrit la porte lentement et passa la tête, tremblant
et suant à grosses gouttes. Soudain quelqu’un ouvrit brusquement en
grand la porte, le faisant tomber à la renverse.
Kureha : Tu en mets un temps pour
rentrer petit. Qu’est-ce que tu me veut !? Grouilles-toi, j’ai pas
que ça à faire.
Ziggy :
Docteur Kureha ? Je ne pensais pas que vous étiez si vieille...
*Coup de pied et éclatage de face
dans le mur* Aouch !!
Kureha : Jeune malappris ! Je suis
dans la fleur de l’âge !! Je n’ai que 139 ans ! Tu veux savoir le
secret de ma jeunesse ?
Ziggy : Non merci
Kureha : T’as pas l’air souffrant…
Tu veux que je te fasse un bilan de santé ?
Ziggy : Non plus, je suis assez bon
médecin pour savoir quand ça va mal. Je viens au sujet d’un de vos
disciples.
Kureha : Ce
pleurnichard de Chopper veut revenir ? Pas questions ! *s’assie et prends un air boudeur*
Il a voulu devenir pirate, qu’il le reste !
Ziggy : Je ne connaît pas ce
Chopper… Je viens au sujet d’Oro…
Kureha : *prends une bouteille d’alcool et boit au
goulot*Connaît pas !
Ziggy : Je suis son fils…
Kureha s’arrêta un instant. Elle posa sa bouteille et
regarda longuement celui qui se tenait en face.
Kureha : C’est vrai que tu lui
ressembles. Je n’aurais jamais cru que ce vieux filou aurait eu un
fils. Est-ce qu’il y a survécu ?
Ziggy : Il paraît. Tout comme les
autres… Mais je ne sais pas où il est. Je dois lui poser une
question.
Kureha :
Laquelle ?
Ziggy : Chaque
fois que quelqu’un reconnaît le nom des Stardust, on me dit toujours
qu’il est le meilleur des médecins. J’en ai assez de vivre derrière
l’ombre de mon père. Je dois savoir par sa bouche si je l’ai
surpassé.
Kureha :
Assieds-toi et bois avec moi, il faut qu’on parle…
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