C'est super crazy!


A moi:


Quand la nuit tombe
Que l'obscurité s'installe
Mes sentiments fondent en trombe
De manière déloyale

Et quand la pluie tombe
Que le ciel pleure
Cela a l'effet d'une bombe
Et bouleverse mes lueurs

Quand le vent se lève
D'un chant mélodieux
D'une bourrasque de rêves
S'envolant dans les cieux

Et quand l'orage se lève
Réalité ou illusion?
Un éclair qui m'achèvent
Annonce la fin de ma raison

J'aime assez celui la car il me fait penser a beaucoup de chose du passé


Morosité

Tout ce que j'ai pu dire, je l'assume
Même si secondes après secondes, ma vie se consume
Les choses m'ayant laissées un goût d'amertume
Et d'autres volant dans mes plumes

Et si tel un glacier en fonte
Je disparais petit à petit sans aucune honte
Toutes mes douleurs je les affrontent
Pour ne devoir aucun acompte

Je n'ai attrapé aucune névrose
Je viens simplement de sortir de cette hypnose
Je ne suis plus totalement en osmose
Je n'ai rien d'un virtuose

Je ne suis plus maître de mon destin
J'ai ressentis trop de chagrin
Je pense que rien n'est anodin
Je voudrais savoir ce qu'est le châtiment divin

Trés beaux poémes, j'aime beaucoup le premier !

très beaux poèmes crazy :)

J'aime beaucoup nico !

Pour mon coeur une illusion devrait suffir
Je n'ai pas d'autres choix que de lui mentir
J'aimerais enfin pouvoir me l'avouer
J'espére un jour pourvoir me retrouver

Ils ne pensent pas au mal que j'ai causé
Pourtant Dieu seul sait au combien j'en ai fait
J'ai toujours fait souffrir tout ceux que j'aimé
Et independemment de ma volonté

Je ne pourrais jamais faire arriére
Je ne sais pas si je peux changer le futur
Je voudrais faire sauter toutes ces barriéres
Pour avoir une chance de trouver une ouverture

Toujours aussi beau crazy^^


Le coeur a ses raisons
Que la raison ignore
Bien qu'au fil des saisons
Je comprends que j'ai eu tort

Rendu fou par mes liaisons
Je m'abandonne à mon sort
Enfermé dans mes illusions
Je n'arriverais à bon port

Continuer dans cette direction
C'est refusé de voir l'aurore
Hésiter sur ces décisions
C'était oublier tes efforts

Seule dans mon champ de vision
Ton sourire vaut de l'or
Souveraine de ma nation
Je pense à toi encore et encore

Ce poème est, j'en convient, VRAIMENT très sombre mais en même temps, je l'ai écrit pendant une phase de déception de la vie (encore une ^^)

Le vent à cessé de souffler
Les feuilles ont cessé de tomber
La mer à cessé de bouger
Mes larmes ont cessé de couler
Le temps s'est arrêté
La vie m'a laissée
Je porte son deuil
Du fond de mon cercueil...

N.B : qu'on s'entende bien, je ne suis pas dépressive ^^

Ouah, ces derniers poèmes sont vraiment réussis. En lisant cela, ça m'a donné envie d'essayer et de parler d'un thème qui me tenait à cœur. C'est ma première fois, soyez indulgent! ^^

La Mer


La mer, cette vaste étendue d'or bleu,
Il suffit de la regarder pour en tomber amoureux.
C'est vrai qu'elle est belle
Avec ses vagues capricieuses mais fidèles.

Elles caressent le sable, par le soleil, brûlant,
Pour le refroidir et lui dire :
"Ne t'inquiète pas, nous sommes là à présent"
Puis tranquillement, se retirent pour bientôt revenir.

Un homme et une femme vont se marier.
Leur amour est intacte, rien à reprocher.
L'homme, la femme dans ses bras, regarde le coucher du soleil;
"Mer, dit-il, t'es si belle".

Le marin, fier et fringuant garçon
S'en va tôt le matin pour pêcher du poisson.
La nuit tombée, toujours à pêcher.

La tempête se lève et de ses grands bras enlacés,
La mer, si belle à ce moment, emporte le pauvre mari(n).
La femme, apprenant la nouvelle :
"Mer, dit-elle, t'es cruelle".


Merci d'avoir lu jusqu'ici (et tant pis pour les autres).

voila le dernier poéme en date et le premier qui a un titre.

Les masques du tourments

Je ne saurais dire comment au fil du temps
Je parviens a tourner les pages de ma vie
Sans me lamenter sur celui qui me poursuit
Lui qui peu a peu me dévore en souriant

Je reste une prisonniére soumise a mon passé
Pourtant un part de moi parvient a s'échapper
Et peut prétendre au bonheur du moment présent
Jusqu'a ce que ces masques reviennent en tournoyant

Ces masques sont les seuls rescapés de mes souffrances
Ils sont seuls gardiens de mes larmes dissimulées
Ils s'accordent a me donner une faible esperance
Pour me la reprendre une fois la seconde passée

Grace a eux j'ignore ou je vais
Mais je sais ou je fnirais
Cloitrée en quatre murs blancs
Bras liés et surement en pleurant

Petit poème sans prétention écrit un jour où il faisait gris.

Le monde est gris
Chaque chose est grise
Le bleu terne des bancs publics
Le jaune passé des voitures
Le rouge morne des coquelicots
Mais quand je ferme les yeux
Les bancs publics sont bleu azur
Les voitures sont jaune pastel
Les coquelicots rayonne, leur rouge est éclatant
Malheureusement la réalité reviens bien vite
Le monde est gris

Dernier poème en date, pas très joyeux je sais

Chaque larme qu'elle a versé l'a un peu humiliée
Et toutes ces paroles prononcées l'ont faite souffrir
Cette tornade qu'elle vient de créer va l'emporter
Elle en est consciente mais elle voudrait en rire

Lui, il regrette simplement leur rencontre, leur histoire
Il souhaiterait pouvoir effacer sa mémoire
Pour finalement parvenir a la protéger
Et qu'elle n'ai plus de raisons de crier, d'hurler

Sa douleur l’étreint nuit et jour dans ces quatre murs blancs
Malheureusement rien ne sera plus comme avant
Elle lui a caché les traces de sa maladie
sauf que inconsciemment c'est ça qui l'avait séduit

Il s'en veut de ne pouvoir l'aider, la calmer
Elle n'en est plus consciente mais il l'a aimé
Seulement elle n'a qu'un seul choix, l'euthanasie
Si elle espère guérir de sa schizophrénie

Un Haïku de ma conception:

Bonjour chers et chères poètes, vous avez ici le créateur de ce topic qui a été considéré comme un des principaux de la section du carnet d'écriture. Quele belle réussite et quels beaux poèmes! J'ai créé un poème (sans rimes) qui porte sur la guerre puisque je lis actuellement un livre qui se porte sur ce thème.


Les soldats, aveuglés par les résonnements des ordres,
S'avancent à pas lourds et sourds vers la bataille,
Où règne le pire cauchemar de l'humanité :
Les organes et le sang jallissent comme les geysers;
Les armes font le génocide; la douleur,
Si vive que les hurlements des damnés résonnent comme un séisme.
Épuisés par les hostilités, les survivants ne font que souffrir
Comme de pauvres fous qui pleurent leurs frères
Qui se sont sacrifiés pour leur nation,
Où leur chef ne veut que le pouvoir absolu.
La guerre, c'est une erreur de l'homme qui est aliéné.

bon je me lance


s'endormir! paupières qui tombent
douceur invisible du temps
qui dans la nuit s'enfuit,
dans le présent blottie,
j'ouvrent mes souvenirs,
aux rèves mystérieux
du sommeil qui s'éveille,
s'endormir sur autre chose,
un souffle,un secret,
un parfum du passé,
étteindre les lampes,
glisser vers la nuit,
ne plus savoir qui je suis,
m'endormir j'usqu'à demain,
qui m'offrira un nouveau chemin

Mon passé m'empêche d'avoir accès à mon avenir
J'étais bien sur le moment, mon malheur je l'ai pas vu venir
Beaucoup sur terre on eu un destin pathétique
Moi j'ai refais surface avec un paquet de tripes
Je croyais la vie belle mais j'étais dans la matrice
Je suis conscient que tout a foiré et vraiment ça m'attriste
Je me demande pourquoi je cours de galère en galère
Je m'enfonce dans la boue, même si j'en ai pas l'air
On m'a souvent dit, Dav tu sais les opposés s'attirent
Je l'ai vécu mais en cas de conflits, aucunes sommations, ça tire.


Voila pour mon premier post ici, et courage à ceux qui continue d'écrire :)

J'ai été le nègre, d'un amoureux et il m'a demandé d'écrire celui-ci. Qui est pas franchement terrible. En tout cas je n'en avais jamais écris et je suis encore surpris de sa demande.


D'un regard, j'ai longé ton corps
La fenêtre, les sièges, mais encore...
Une fille, le matin dans un car
Réveille des choses bien rares...

Il n'y a plus d'amour perdu
Seulement des souvenirs
J'oublie tout ce que j'ai du
Et je me contente de palir

Devant le profil du futur
Je ne veux plus c'est sur
Qu'il y ait un arrêt
Et qu'il soit tout près

Je veux le trajet long
Et dehors une pluie rude
Dehors les mystères féconds
Mes sentiment s'eludent

Je m'attendris,
D'un regard j'ai longé ton corps
Et chérie,
Crois moi, j'en veux encore