City Hunter tomes 1 à 4

Du très grand classique que ce manga, et il le mérite largement. Une succession d'histoires et d'affaires de ce cher Ryo Saeba - bientôt rejoint par Kaori-la-Massue - jamais identiques, toujours fraîches, mélant humour et action, alternant moments de détente et classe... Il n'a pas usurpé sa renommé çui-là. J'en connais un qui va se vanter lorsqu'il va lire ça. Stop, tu as l'ego suffisamment enflé (et c'est moi qui parle, c'est pour dire). Les chapitres sont une floppée de dialogues envahissant les pages : on en serait presque aux petites notes qui disent que le personnage tourne la porte. Je conçois qu'il faut bien cela pour faire un scénario consistant, mais j'ai du mal à comprendre l'une des attaques qu'on a fait à Gunnm sur ses pages d'expliquations. Mauvaise foi, va !
Pis on me changera pas de l'idée que Gally est mieux que Ryo, muhéhéhé.
M'enfin mis à part cette petite pique, City Hunter est un manga lourd à ne pas en douter, et dans le bon sens du terme j'entends.

Ca y est: je sort la grande classe, l'artillerie lourde, le calibre imposant, j'ai nommé:

Berserk tomes 1 et 2:

Berserk, la première impression, c'est un peu "adulte": dès la première page, une scène d'amour "intense"...Puis, l'on alterne avec un côté gore et brutal...La présentation de Glénat correspond bien avec ce tome: " derrière lui, les cadavres s'amoncellent" Ouais, tu l'as dit bouffi: des combats médiévaux comme ça, j'en ai pas vu beaucoup: magnifiques, extraordinaires, lassant à la longue mais telllement jouissif !

Mais passons à l'histoire: Guts ( déjà, je crois que ça veut dire tripe en anglais, le ton est donné ^_^) est un espèce de vagabon mercenaire recherchant les God Hand...Qu'est ce que c'est ? Aucune idée mais cela m'intrigue beaucoup ! Dès le début, l'auteur nous place dans une taverne de ville moyennageuse: on est vraiment dans l'ambiance médiévale, violente...Un elfe est en train de se faire torturer par des hommes barbares. Guts s'excuse par avance d'un dérangement quelconque...En effet, il massacre les barbares à coup de flèches habilement tirées et achève le dernier avec sa gigantesque épée ! MAGNIFIQUE !!!!!

Mais Guts se fait finalement emprisonner par le comte qui gère les terres avoisinnantes car l'homme qu'il a tué est un soldat d'un royaume gouverné par un tyran à demi humain...La riposte ne tarde pas: le comte monstre envoie ses troupes raser la ville ! Guts prend part au combat et c'est là qu'on voit que Maitre Kentaro Myura est un habile mangaka car des combats comme ça, on n'en voit pas tous les jours !

Je passe d'autres combats qui sont tout aussi magnifiques ( combat contre des squellettes, des soldats, des colosses avec des marteaux de guerre ^_^) pour revenir à l'histoire: Guts fait étape dans une ville gouvernée par un tyran qui fait de la chasse aux sorciers un peu trop abusive ^_^ Aidé dans son combat par un vieil homme, Guts trouve refuge chez le vioque. Et là, il trouve une Béhérit, un coquillage avec une bouche, des yeux et un nez dispersés sur une surface grande comme un oeuf. D'après le récit du vieux, le comte aurait trouvé cet objet et aurait fondu un plom par la suite...Le vieillard dit aussi que le comte s'est livré à des expériences pas très orthodoxes sur des prisonniers et en particulier sur le vieux et sa famille...Depuis, ce dernier veut se venger et demande à Guts de tuer cet être abject....

Apèrs quelques péripéties ( comme la décapitation en public du vieux), Guts s'attaque au chateau du comte: des combats à couper le souffle et une affrontement final contre le comte qui promet, le tome 3 est plus qu'allechant !

Mon Avis pour ces deux premiers tomes: Berserk s'est classé deuxième de mon classement Manga en seulement deux tomes, c'est un exploit: Maitre Miura maitrise son sujet et rivalise d'ingéniosité pour nous surprendre ! En fait, ce Manga, contrairement à d'autres, révèle la vraie face de notre monde: il n'y a rien qui choque dans le monde et c'est pareil dans ce manga: la séance de torture par le comte le prouve, le massacre de la caravane au milieu des zombies....Tout ça fait que Berserk, c'est plus fort que TOI !

J'en peux plus, il me faut les prochains tomes !!!

Bon on essaye de pallier a ses meconnaissances mais plein de bonne choses que je decouvre encore je me rends compte que je passe a coter de chose excellente.

Vagabond Tome 1:

1 tome c'est court meme si il est épais(en meme temps j'ai 10 pages blanches dedans l'intéerte et la nature et les arbres vous y pensez!!!!!) enfin soit bref un tome court pour se faire une idée vu que l'intrigue n'est pas encore mise en place réelllement enfin je ne crois pas a moins que je sois passer a coté mais ceci dit ca à l'air pas mal,attend de voir la suite pour me faire reellement une idée.

20th century Boys Tome 1:

J'ai vraiment bien aimé je voyais pas çà comme çà on a un dessin trés bien une bonne intrique et un bon scénario le passage aux differents age des protagonistes est une bonne idée et on voit l'évolution des personnages ,une intrigue des mysteres tournent autour de nos héros de cette marque et ce cet "AMI" bref tout ceci annonce que du bon.
Et cette serie sera ma priotité je pense pour le moment,aprés en avoir entendu du bien et aprés avoir lu ce premier tome je regrette d'avoir passé a coté.
reste a voir l'évolution de ce manga mais je dis banco.
Concernant mes futurs mangas maintenant je n'ai plus aucun doute quant à a suivre les avis favorables ou conseil de certains.

Gunnm Last order Tome 6 à 9:

Voilà j'ai enfin rattrapper mon retard ben j'avoue qu'aprés les premiers tomes de last order je me suis dit ca baisse un peu par rapport a gunmm mais ca reprend bien par la suite.
Poursuite du ZOTT avec un sechs remonté a bloc,une bonne évolution du personnage,Gally continue sa quete de son passé et l'histoire avec vilma plus que sympathique ,elle pourrait faire un manga a etre toute seule excellent personnage.

Bref encore du bon dans ce last order ca continue dans sa lancée ces manags ,il ne faut pas passer a coté vous louppez vraiment du grand moment

Golden Wind tome 4

En refermant ce quatrième volume de Golden Wind, et faire le bilan des changements rencontrés au fil de l'histoire, on se rend compte que le scénario avance beaucoup; surtout en faisant la relation de ce qui se passe au début et à la fin.
Le tome peut alors se décomposer en trois parties.

Primo, le combat entre Mista et Sale : ce combat est haletant, car la mise en scène est très bien menée et les pouvoirs stands des deux combattants plus intéressants qu'ils n'y paraissent au départ. Combat mêlant humour et action, la conclusion est surprenante. De plus le décor planté, c'est-à-dire la ville de Capri, est très riche en détails, ce qui est impressionant pour un manga qui se passe hors du Japon.

Secondo, les membres de l'équipe Buccellati réunis, la chasse au trésor prend fin avec en dénouement l'attribution d'une nouvelle mission d'une grande importance, qui pourrait permettre à Giorno de se rapprocher un peu plus du mythe qui tourne autour du Boss de la Passione.

Et tercio, Narancia est cette fois mis en avant, après ses compères Abbachio et Mista, dans un combat contre un manieur de stand dont le pouvoir peut vous surprendre. Ces deux nouveaux stands que l'on découvre alors, Aerosmith et Little Feat, ne m'ont pas encore totalement convaincu, mais attendons la suite pour découvrir toutes les facettes de ces stands.

Araki montre une nouvelle fois dans ce tome que son imagination est débordante et que ses mises en scènes à priori sans intérêts peuvent se révéler de l'ordre du génie. Toutefois attention aux allergiques de l'absurde en prenant du recul face aux situations incongrues, car ce tome en est rempli. Mais cela peut aussi devenir un atout majeur pour ceux qui en raffolent. En définitif, je suis totalement tombé sous le charme, mais on s'en doute, le meilleur reste à venir.


Ippo tome 5

Ce volume 5 d'Ippo marque un temps mort après plus de quatre volumes d'action en majorité. Mais d'abord, la fin du combat entre Ippo et Ozma s'annonce avec l'essouflement des deux boxeurs ainsi que les dernière cartes qu'il ne reste plus qu'à jouer. L'auteur arrive à nous tenir en haleine avec des retournements de situation à chaque page, jusqu'à ce que l'on ne pense plus à soutenir quiconque et admirer la combattivité des deux personnages. A l'issu du combat, Ippo et Ozma méritent chacun d'eux leur moment de gloire, car ce combat est tenu en suspense jusqu'au bout, et la joie ainsi que la peine du dénouement du match est retranscrit dans l'histoire par les supporters mais ressenti également par le lecteur.
Ensuite, le reste du volume est consacré sur les personnages en eux-même, mélangeant humour, moral, et courage. Ippo rencontre alors une jeune fille qui va lui faire poser beaucoup de questions, et qui se posent également au lecteur, car cette fille a tout de mystérieux. Néanmoins on sent qu'elle aura un rôle à jouer dans la suite de l'histoire.
Au final, bien qu'Ippo marque une trêve dans la trame générale, la série est toujours aussi divertissante, et l'humour plus présent que jamais. Un bon moment de détente qu'il ne faut pas rater.

Twentieth Century Boys tome 22

Impressionnant de refermer ce vingt-deuxième volume de Twentieth' et de se dire que tout est fini, sans l'être. L'auteur nous avait tellement habitué à étirer son intrigue que la fin arrive presque trop vite, même si le cliffhanger du précédent tome amorçait le final. Il est troublant de voir à quel point l'auteur peut terminer aussi rapidement quelque chose qu'il avait fait avec tant de soin, à l'image d'un enfant qui balaye son château de cartes après avoir passé tant de temps dessus -métaphore allant extrêmement bien dans le contexte, vous en conviendrez-.
L'ensemble de l'histoire était tellement bien ficelé qu'à première lecture, ce dernier tome est assez décousu, mais il est clair que vu la myriade de personnages que Urasawa avait pris le temps de développer, ils ne tiendraient pas tous dans l'épilogue, ce qui est en parti dommage. Toutefois, l'un des passages nous prouve une fois de plus que tout a été plus ou moins prévu depuis le début : le moment où Kana se réveille en entendant le robot et dit "Ca recommence", situé je le rappelle au premier chapitre du premier volume, est enfin dévoilé ici. Diabolique.
Beaucoup des sous-intrigues développées en parallèle de l'histoire sont laissées en suspens, mais un seul tome n'aurait pas été suffisant pour apporter une vraie conclusion au manga.
Cependant, la fin est à l'image de Monster : certes frustrante, mais ô combien émouvante et ne laissant pas insensible. Personnellement, j'adore l'ultime passage avec Kenji se donnant en concert devant des milliers de personnes, c'était absolument ce qu'il fallait pour faire une bonne conclusion.
Reste maintenant qu'il faudra attendre Twenty-First Century Boys, la suite directe, pour avoir enfin certaines révélations qui feront qu'une bonne partie du manga n'aura pas été un pétard mouillé. Scans, me voilà !


Phénix tomes 7 à 11

Des histoires, des histoires. De l'émotion, de l'humanisme et surtout une véritable expérimentation sur le découpage des cases. Voilà ce que je retiendrai de Phénix, outre le presque-mal au crâne que m'a infligé la lecture de tous les tomes (faut s'accrocher, c'est un fait, surtout sur ceux qui se passe dans le Japon ou la Chine médiévale et qui se ressemblent en majeur partie, sans doute parce qu'ils sont dans la plupart des cas liés), à moins que ce soit un coup de soleil que j'ai pris. En tout cas la série m'aura fait l'effet d'une claque dans la gueule. Je retiendrai principalement les histoires se passant de préférence dans le futur (ou dans un monde futuriste), puisque les univers décrits sont fortement différents les uns des autres pour vraiment être attactifs. Le deuxième restera sans aucun doute le meilleur, pour l'aspect spirituel qu'il prend au final, mais le neuvième est lui aussi excellent dans la malédiction qu'il introduit et qui est visible de façon presque inconsciente depuis le premier tome et son découpage très intéressant (en petites capsules pour faire une ambiance oppressante de l'esapce et partagée entre chaque personnage).
J'avoue que le style est prise de tête, quasi-hermétique, mais il est réelement génial. A essayer au moins une fois.

Tiens me rapelle pas avoir posté ici, mais c'est surtout pour promouvoir :

FULL AHEAD ! COCO

Volume 1à 3 :

Allons-y pour un mangas de pirate (qui a commencé à paraitre avant One piece, je tiens à le rappeler) qui m'a conquis.

L'aventure d'un garçon de huit ans qui s'embarque dans la vie de pirate et en découvre les facettes.

On commence par l'apparition de l'idole du jeune homme : John Bart, dit Bart aux deux lames, dit Crazy Bart.

Un mec completement frappé, déjanté, qui peut attaquer un navire rempli d'or, non pas pour son or, mais uniquement pour voler toutes les vivres^^

On apprends alors qu'il est a la recherche de la légende de falcon, dont on dit qu'il sagit d'une civilisation tombée du ciel très avancée créatrice de créatures métamorphes.

Il recherche donc des indices sur cette civilisation et justement, coco en porte un, une boucle d'oreille.

Seulement, l'enfant est sur le territoire des hommes du red skele dirigé par la capitaine spado...

Bon, un manga qui démarre sur les chapeaux de roue puisse que l'on va dans le vif du suget avec une chasse au trésor qui apparement va être le fil rouge de la série.

Que dire sinon que le découpage est niquel que la partie combat est fluide et surtout qu'on y a un humour délirant.

L'équipage est aussi composé de dingues et pas un seul n'est là pour rattrapper l'autre, que ce soit bart (qui s'amuse au jeu du planté de poignard entre les doigts avec le corps d'un adversaire à terre), migal l'acrobate, backchi ou les autres...

Le volume deux est centré sur Devil KAmara, un tueur engagé par Spado et le trois sur le combat contre le fameux kamara.

Enfin bref, pour moi, coco est mon manga coup de coeur du moment. il a tout ce qu'il faut pour ne pas être comparé de copie de one piece et s'en différencier. J'espère en tout cas que la série continuera dans ce rythme, parce que là, je ne risque pas de m'ennuyer...

Berserk Tome 1

Comment les tomes de berserk sont emballés!!!!!
Ca va me mettre des mois pour tout lire. Bon alors parlons de ce tome 1 qui commence en FANFARE(-obsédé-comment pas du tout^^).Je vous laisse la surprise. Tel est ... qui croyait .... .
Sinon,le manga me fait penser à ken le Survivant mais en plus violant,plus cruel,moins d'espoir mais surtout en meiux.
Le personnage de Guts et tout à fait comme Ken:
humour noir,tue sans raison,force surhumaine et surtout "y s'prennet pas pour rien".
La grosse différence entre les 2 persos est que Guts se bat pour lui,pour ses convictions,le reste ne le concerne pas.
Mais il reste malgré tout,très mystérieux. Ce que j'aime bien,c'est que le spectateur se retrouve également dans cet univers mélant démons,démons et surtout des démons sous la peau d'un.......ELFE.
Puck apporte énormément au manga, à chaque fois qu'il agit,on peux penser qu'on serait comme lui dans ce monde.
Et enfin il y a beaucoup de bons dans ce tome 1,les 2 permies chapitres sont excellents et seul les forts ont droits de lire ce manga.
Le troisème en revanche est dur à comprendre mais j'imagine qu'il faut lire la suite pour le comprendre.
Enfin pour terminer, si Berserk continue de me surprendre il y a des chances qu'il soit l'un de mes mangas préférés avec FMA et One Piece. Il y a très peu de chances qu'il devienne comme SDK.

Gunnm Tomes 2 et 3

Reprise du manga. Alors là je suis blujffé,Gunnm se classe dans mon Top 10 manga et se classe meme très bien. J'aurais eu très peur que le manga reste sur l'atmosphère du tome 1 mélant combat entre hunter-warrior et science dégénré mais il n'en était rien.
Franchement j'ai adoré, pour moi ce sonnt des tomes qui mértient d'etre lus par le monde entier.
Gally est de nouveau trsè bien expolitée, on sent ces sentiments,la belle progresse à chaque combat.
Ensutie arrivée d'un autre personnage.....-raah,j'ai oublié son ,nom,comment ai-je pu comùmettre un tel affront^^- qui relance de manière phénoménale le manga. Il n'est pas super beau mais il a eu les faveurs de la belle. Et tant d'étapes,les ont attendus.
Ce personnage va faire une terrible dépréssion et gally sera-telle assez forte pour le sauver!!
Ce que j'ai aimlé c'est le réalisme avec lequel cette affaire est exploitée.
Et cette affaire va aller aussi loin qu'elle donnera sur un nouveau départ qui remettra en cause l'amitié(?) entre Gally et Daisuke.
Enfin un tournoi approche,plus de précésions dans le tome 4 si vous ne comprenez pas ma derniere phrase.

Mushishi tome 5

Ca y est, je l'ai lu (un p'tit mois de retard, ça ne fait jamais de mal).
Toujours pareil devrait-on dire ? Surement, toujours même scénario, toujours aussi sympathique.
Ginko se lance encore dans diverses aventures de genres à chaque fois différent (les résumer serait inutile). Touchantes pour certaines, lourdes pour d'autres, complexes pour d'autres encore, il y a de vraiment de tout dans ce tome. Et même si quelques unes donnent envie de lâcher, tant elles sont floues au niveau des explication et tant elles sont ennuyeuses scénaristiquement (la grande diversité des histoires n'est pas forcément pour le meilleur...), on lit, on se laisse prendre par l'ambiance onirique des petits contes, par le dessin qui laisse rêveur (pas extrémement beau, non, mais suffisant pour se dépayser). On passe donc un moment sympathique, détendant mais pas trop, impeccable pour les soirées au calme avec un petit fond de musique.
Si en plus on a le droit à de belles pages couleurs encore une fois en grand nombre, le tout ne fait que plaisir, même si quelques problèmes se posent quelquefois pour entrer dans les histoires.

Death Note tomes 6 et 7

Prêtés par un copain (allais pas les acheter quand même ^^), je vois maintenant en papier directement l'événement... Après un tome six un peu meilleur que le précédent, bien qu'encore un peu fouilli (les Dieux de la morts qui se croisent et se recroisent, entre vrais-plans et faux-plans, ça m'énerve toujours autant), le tome sept apporte le moment redouté par tant, la victoire totale de Light. On passe ensuite pas mal d'années en dix pages, avec des morts à la pelle à ce moment là. Mais ! Tiens donc ! Light n'a pas pris une ride O_O. L'est fort quand même, il peut même tuer la vieillesse ! Arrivent ensuite Near et Mello. Near est dans l'ensemble pas mauvais, un genre de deuxième véritable L, bien que beaucoup moins charismatique à mon goût. Mello, simple, je peux pas le piffer <_<. J'ai sauté les deux chapitres de fin, premièrement parce qu'ils parlaient de Mello (j'vous dis, le supporte pas lui), deuxièmement parce que l'auteur part déjà, sans trève, dans des enlèvements et des magouilles pas possibles. Je lirai le huit pour voir (en sautant tout les passages qu'il faudra), histoire de vraiment voir ce que ça devient, mais c'est trèèèèès mal parti.


Pas lu grand chose encore, restent plein de Cobra, le Tezuka qui commence à prendre la poussière, l'intégrale de Ping-Pong (ceux-là, ça va être quelquechose é_é), et bientôt la suite et fin de Dragon Head (je crois...).

Jojo's bizarre adventure, tome 13 à 21

Toujours aussi bien, j'accroche vraiment; Le pouvoir des stands donne des affrontements plus complexes et vraiment interessants, sans doute les meilleurs que j'ai pu voir dans un manga. Et heuresement qu'ils sont si interessants, car c'est tout le manga. Les différents stands montrés sont en général très sympa, mention spéciale au cargo du singe et au stand des rêves. L'équipe formée pour abattre Dio est bien sympatique, Polnareff, Jotaro, et compagnie sont vraiment sympas à suivre ("de mieux en mieux").

20th century boys tome 4 à 6

J'adore, j'adhère. Ce manga mérite vraiment d'être lu, il est franchement génial. L'intrigue est palpitante, les personnages attachants et pourtant terriblement banals. L'arme secrête lâchée lors de décembre 2000 m'intrigue, surtout pour la manière de la neutraliser, car elle semble véritablement invincible. Le bond dans le futur m'a un peu surpris, et bien qu'au début j'avais un peu de mal à me faire à la nouvelle intrigue qui se mettait en place, Shogun et le fait qu'Ami soit au pouvoir m'ont donné terriblement envie de continuer.

J'ai pas le temps de développer, mais j'ai également lu :

Kurozakuro tome 5
Death note tome 7
Wilderness tome 2

EDIT : un peu plus de temps maintenant, donc on va développer...

Kurozakuro tome 5

Bof, ce tome m'a pas emballé des masses. Notamment parce que la réaction des personnages dans bien des cas sonne faux. Cet aspect était déjà un peu présent dans les tomes précédents mais là on a atteint le paroxysme lors de la révélation sur les armes de chasseurs. Ils prennet la nouvelle calmement, en discutent tranquillement alors qu'ils sont les premiers concernés et que ça risque de boulverser pas mal leur vie... Enfin bref. De plus, le fait de voir le passé de Zakuro m'a énormément déçu, a mes yeux ça fait perdre beaucoup de valeur au personnage. Parce qu'à mes yeux, le petit démon n'était pas du tout comme présenté dans le flashback, parce que son côté mystérieux et décalé face à la réalité n'est aucunement présent à ce moment. J'aimais le fait qu'il soit plus attaché aux fleurs de cerisiers qu'à des vies humaines, et j'aurais préféré que ce soit parce qu'il n'a pas véritablement conscience de ce qu'est une vie, plutôt que parce qu'il se fout complétement des hommes. Bref, assez déçu, mais ça m'empêchera pas de finir de lire la série.

Death Note tome 7

Je me demande si je ne m'arrêterai pas à ce tome là. L est mort, c'est la fin du bras de fer entre lui et Kira. Et je dois dire que depuis le tome 5, c'est L et L seul qui me faisait continuer DN. Même quand le vrai Kira revient, je le trouve sans plus. Plus sympa que le Light du tome 6, mais avec énormément moins de saveur que lors du tome 2. De plus, le succedeur à L et son rival, j'accroche pas. Peut-être que je ne leur laisse même pas le temps d'être bien developper, mais j'accroche pas. Et vu comme les protagonistes de Death Note évoluent en profondeur le long du manga (à savoir très peu), je doute que j'accrocherais plus loin. D'où mon hésitation sur le fait de continuer la série.

Wilderness tome 2

J'ai moins aimé que le premier tome, mais c'était tout de même pas mal. J'ai moins apprécié à cause du refuge où est allé notre trio de choc : une résidence de réalisateur de film X. D'où pas mal de scènes chaude, d'espionnage sous la douche, etc. Mouaif... Ce qui a fait que j'ai tout de même accroché, c'est qu'on a eu le droit au passé de l'ex-detective (dès le tome 2, ouah, il est pressé le mangaka). Et là y avais moins de paires de nichons et on retrouvait beaucoup plus l'ambiance du premier, à savoir beaucoup de fusillades, une action très confuse, tellement que l'on ne comprend pas tout même au bout de la troisième relecture. Et si y en a beaucoup qui vont pas adoré cette mise en scène fouilli, moi j'aime bien. J'aime bien parce que l'ambiance qui en ressort est exactement comme les films d'actions (je précise que je ne suis pas fan des films d'action en général, mais retranscrit en manga, j'aime bien). Bien sympa, et vivement le tome 3.

Blackjack tome 1

J'ai lu la version Blackjack dessinée par Kenji Yamamoto, et je dois dire que j'aime bien. N'ayant pas lu l'originale, de Tezuka, je ne peux pas faire de comparatif, dire quel dessin ou quelle mise en scène est mieux. Les différentes histoires présentes dans ce tome sont toutes passionantes, surnaturelles et pourtant réalistes. Surnaturelles quant aux maladies ou aux exploits chirurgicaux présents dans ce tome, mais réalistes pour la description médicale, et la réaction des personnages face à la mort (d'eux ou de leurs proches). Le petit plus du bouquin réside pour moi dans le combat philosophique entre les deux médecins qui occupent le manga. S'acharner à sauver des vies ou leur offrir une mort douce ? Il est vrai qu'il s'agit de toute un débat, un débat actuel et futur, et on est pas près d'avoir une réponse.

Gunnm last order tome 1 à 6

Comme dit je-sais-plus-où, j'avais déjà lu les Gunnm last order, avant même de lire les gunnm premier du nom, d'ailleurs. Cependant cela faisait un petit moment et je ne les avais plus véritablement en tête. Cette relecture était donc quasiment comme une découverte, étant donné que je ne me rappellais que de deux-trois passages marquant. Et bien Gunnm last order est certes moins bon que son predecesseur, mais il reste toutefois d'une qualité honorable, et même très honorable. Après les deux premiers tomes que j'ai trouvé vraiment moyens, excepté un premier chapitre sublime, un intrigue se met en place lorsque Galy monte à Jéru, autour de Trinidad, autour de l'echelle, autour du passé de Gally (pour cette dernière intrigue, c'est surtout dans le tome 6, en fait). Pour moi, le meilleur tome est le 5, qui est principalement centré sur Sechs, ce clone de Gally. Un combattant en quête de vérité, hanté par la supériorité de Gally, qui cherche une valeur à sa vie... En apparence il est sur de lui, en vérité lui aussi est envahi de doutes. Vraiment un bon perso.

Berserk tomes 3, 4, 5, 6 et 7:

I]Tome 3: Une fin de combat qui restera dans les mémoires:

Etant resté sur ma fin lors des deux premiers tomes, j'en voulais encore, en espérant que la fin du combat contre le comte ne finirait pas en queue de poisson ( en Naruto quoi !)...Et bien pour tout vous dire: il n'y a qu'un seul mot pour caractériser cette fin de combat: génialissime, ni plus, ni moins ! Guts est à terre, blessé de partout et le comte semble vouloir l'achever...Mais c'est alors que PUCK (ta da da dam !) rentre en scène et occupe tant bien que mal le monstre...Mais c'est alors que Theresia, la gentille fille faible débarque et les retrouvailles avec son père sont...monstrueuses ! La case où le père se rend compte de la présence de sa gamine est terrble pour les deux protagonistes ! Le "Salut, c'est Papa !" semble effrayer Theresia qui se morfond tout seule dans son coin. Le comte prend alors Puck pour cible mais voilà que GUTS se réveille et placarde le vil monstre ! La fin de l'affrontement au cours duquel Guts prend en otage la fille est sublime ! Et la technique à la Zorro est tout simplement à couper le souffle ! Je n'ai jamais vu ça de ma vie ! Enfin, la scène où Guts achève le monstre avec des pichennetes et le Béhérit qui hurle, cela fait un tourbillon d'émotions dans le ventre ! J'accroche complètement !

II] Les cinq God Hands:

Wow ! Dès que le coquillage hurle, cinq individus font leur apparition: ils sont étrangement vétus, ils ont une sale geule mais qui sont-ils réelement ? Les God Hands, ceux que Guts recherchent ! En plus il semble en connaitre un, le dénommé Griffith ! Découverte du passé du comte, où l'on apprend que c'est lui et non le culte inerdit qui a pris la mère de Thérésia...Apparition brève de l'enfer tel qu'il est vu par l'auteur: une colonne de cadavres qui vient chercher celui qui porte la marque du sacrifice...Sublime tout simplement ! Les GH s'en vont, laissant notre héros baignant dans le sang du comte, sa fille terrorrisée à côté...Et la case où Guts a les larmes aux yeux, je suis...les mots me manquent pour en parler ! Bravo Maitre Miura !

III] Une enfance meurtrie avant la naissance:

Puis, l'auteur nous présente le passé de son héros...Déjà, naitre d'une morte pendue à un arbre, on sent bien que c'est à Guts que l'on à affaire ! Elevé par une femme à demi-folle et par un père belliqueux à souhait, le jeune Guts est rapidement initié au maniement des armes blanches et de la guerre...Mais sa mère adoptive succombe d'une maladie et c'est son père qui prend en charge son éducation...Les champs de bataille à six ans, c'est pas le top ! Guts croit que son père l'aime mais il n'en est rien: il paie Donovan, un guerrier en manque de sexualité, pour violer Guts après une bataille ! C'est là le pas entre Shonen et Seinen: la réalité ! Dans les Shonens, rien de tout cela n'aurait été montré, ni même signifié alors que dans Berserk, c'est la réalité qui est décrite, si l'on aurait été dans notre monde, cela aurait très bien pu se passer...(Alors, dans le GT, que sanjii nous dise que les Shonen c'est mieux, voilà quoi ^_^)

IV]La troupe du Faucon:

Afin de se venger, Guts isole Donovan au cours d'une bataille et le plante un careau dans la gorge...Mais le doute le ronge, Donovan a dit que c'était Gambino, le père du garçon qui a vendu Guts...La réponse ne tarde pas: Gambino vient dans la tente à Guts une nuit et essaue de le tuer...La vérité éclate: Gambino n'a jamais aimé Guts de sa vie, rien que le fait de savoir qu'il est né sous une morte le répugne ! Malheuresement, Guts le tue sans faire exprès, en lui tranchant le cou...Il est vite repéré et doit fuir...Blessé, il survit pendant quatre ans et se forge une solide réputation de mercenaire...Au cours d'une de ses missions, il rencontre la troupe du Faucon, une bande de jeunes gens se battant pour leurs idéaux...Guts en tue quelques uns qui voulaient tester sa force mais il est battu par Griffith, le même qui fait aujourd'hui partie des God Hands...

V] Un duel qui se passe de mot:

Guts est ramené blessé et meurtri dans le camp de la troupe du faucon. A peine sur pied, il est provoqué en duel par Griffith car ce dernier semble être interressé par Guts ( Tiens, Griffith pourrait être comparé à Hisoka de Hxh dans le style " Ya pas à dire, toi tu me plais" ^_^). Et le duel qui s'en suit se passe de mot, comme l'indique le titre de la partie, le tout sur fond orageux, c'est de l'art à l'état pur ! Malgré la super force de Guts, son adversaire triomphe habilement et dorénavant, comme Guts l'a promis, il devrai suivre Griffith car il lui appartient désormais...

La suite bientôt car je n'ai pas tout lu et car je n'ai guère le temps ! A plus tard pour la suite de ce terrbile et sublime Manga !

Et oui, après lecture, j'édite !

VI] Victoires :

Griffith fixe immédiatement une mission délicate à sa nouvelle recrue : retenir des cavaliers : les chances de survie sont faibles mais notre héros arrive tant bien que mal à survivre, aidé par la troupe du Faucon. La scène de victoire qui s’en suit est très belle, avec les leaders de la Troupe qui félicitent Guts et le font tourner en bourrique. Miura a vraiment fait du bon travail avec ces plaisanteries et avec l’entrevue Guts-Judo, qui révèle l’ambiance du groupe. Griffith révèle à Guts son projet de conquérir Midland, avec sa troupe du Faucon. Autre chose étrange : Griffith possède une Béhérit…Cela n’occulte rien de bon, puisque lorsqu’un de ces coquillages pleure, les God Hand apparaissent…

VII] Nouvelle bataille :

C’est la seule chose que je peux reprocher à Berserk : trop de batailles inutiles, bien que très bien réalisées. Le Faucon remporte une autre victoire haut la main durant cet affrontement et devient très influent puisque Griffith fait désormais partie de la bourgeoisie…Petit à petit, son plan de conquête avance…

VIII] Zodd, l‘immortel :

Le meilleur élément du tome 5 pour moi : c’est une légende, un homme qui aurait vaincu des milliers d’hommes et qui vivrait plus de trois cents ans…Manque de bol pour la Troupe : il a rejoint les rangs adverses…Guts le provoque en duel et réalise l’ampleur de son erreur : son adversaire ne peut être tranché par une lame et détient une force surpuissante ! Après une passe d’armes mémorable, Guts réussit à effleurer la bête. Seulement, Zodd semble prendre plaisir à trouver un adversaire à sa hauteur : il se transforme en un immense démon de plusieurs mètres de haut et attaque Guts, qui ne peut que reculer et subir la déferlante de coups de son opposant…Il finit à demi broyé par la force colossale de Zodd mais Griffith arrive à temps pour empêcher le massacre…Grâce une attaque combinée des deux hommes, le bras de Zodd finit à terre mais ce dernier ne lâche pas pour autant l’affaire : il accule Griffith, recolle son bras et menace de lui porter le coup de grâce jusqu’à ce que…

IX] Une déclaration lourde de significations :

Zodd aperçoit la Béhérit rouge au coup de Griffith et semble paniqué…Il ne semble pas vouloir tuer celui qui la possède…Déployant ses ailes, il avertit Guts de l’imminence de sa mort…Terrible double page qu’est celle là ! Guts en reste secoué et se fait même remonter par cette cruche de Casca ! C’est quand même pas sa faute !

X] Affaires royales :

Vu que la troupe du Faucon prend de plus en plus d’ampleur, le Roi décide d’en faire sa garde personnelle au mépris de l’ancienne…Le chef de cette dernière ne l’entend pas de cette oreille et organise un plan pour tuer Griffith, lors d’une partie de chasse à cour…Griffith en profite pour sympathiser avec la jeune et belle Charlotte, princesse de Midland…Mais se prend un carreau dans la poitrine…Par chance, la Béhérit a protégé les organes vitaux du chef de la Troupe…Qui commence également à porter des soupçons sur Julius, le chef de la précédente garde.

XI] Meurtres :

Griffith ordonne à Guts d’aller assassiner Julius, celui qui a tenté de le tuer. En observant sa cible, Guts se reconnaît dans le fils de Julius, Adonis, qui subit les entraînements rigoureux de son père. Cela lui rappelle son enfance, avec Gambino…Reprenant le cours de sa mission, notre héros tranche facilement Julius avant de se faire repérer par Adonis…Pour éviter de se faire dénoncer, Guts l’empale contre un mur…La scène où le garçon tombe et s’écroule au sol est vraiment atroce, j’ai versé quelques larmes devant ce pauvre Adonis, le ventre ouvert…

XII] L’après meurtre :

Griffith en profite pour accroître son influence chez les nobles…Il terrorise le secrétaire du Royaume d’un seul regard….Le chef des Faucons jure à la princesse de revenir vivant des guerres et revoilà nos héros repartis pour une nouvelle aventure !

XIII] La bataille et ses conséquences :

Casca semble fatiguée avant même de commencer l’affrontement : très vite, elle se retrouve à combattre un chef de troupe de l’armée adverse…Le duel tourne largement à l’avantage de l’ennemi mais c’est sans compter Guts qui flanque une raclée au guerrier…Malheureusement, Casca et notre héros tombe dans une rivière déchaînée… En l’examinant, Guts comprend que Casca avait ses règles au moment de débuter l’assaut…Comme il dit « Ah, les bonnes femmes ! » Veillant sur elle durant des heures, il est surpris par la réaction de sa compagne lors de son réveil : elle lui lance un couteau en plein tête ! Elle raconte alors son passé, comment elle fut recrutée par Griffith, comment elle est devenue si peu féminine…
Au milieu de cet émouvant Flash Back, des ennemis approchent et nos héros doivent fuir pour ne pas être tués : Guts se charge de les retenir tandis que Casca va chercher des renforts chez Griffith…Le combat entre Guts et la centaine de soldats est hallucinant, tout simplement ! Il y a de la violence ( pour changer ! D’ailleurs, Guts me fait penser à Obélix dans sa façon de se préparer aux combats « Allez venez mes petits ! ») mais aussi de l’humour (comme lorsque les soldats se disputent pour savoir qui va tuer Guts, bien qu’ils n’y arriveront jamais ^_^)

Nos héros s’en sortent finalement sans trop de dommages puisque les Faucons viennent sauver Guts et Casca…

XIV] Dernier acte de la guerre :

Enfin la dernière bataille ! Guts se retrouve confronté au Rhinocéros, le plus puissant ordre guerrier du pays ! Va-t-il s’en sortir ? To be continued !

CONCLUSION GENERALE: Berserk reste un très bon Manga où l’auteur mélange à la fois humour et dureté de la guerre. J’accroche complètement et je ne regrette pas de l’avoir commencé !

berserk tome 19:
bon petit tome,j'adore de plus en plus serpicolo,il a la classe quad il se met en mode serieux.Gut s fait vraiment plaisirs a voir,des que le snag pleut on sent l'adrenaline monter et un sentiment de puissance incroyable nous envahit.
sinon je dois dire que depuis le tome 17,je redoute les scenes de torture,
par contre je suis ocntent qu'isidoro joue enfin un role de compagnon, je trouve que ça manquait de heros bis en ce moment

dorohedoro tome 1:
voici ce que certain appele le one piece du seinen,c'est vrai que c'est univers pas banal, un monde cyberpunk avec de la magie, voila qui me plait bien.dej aça commence fort avec l'homme dans la bouche...
ça continue avec des mages tous plus etrange les uns que les autresn un avec des champignons, un autre avec un nez comme pinochio,ou encore un a vec un masque d'un coeur humain.
N'empeche que j'aime bien le heros,c'est vraiment un relation etrange qu'il entrettient avec sa copine,bref une decouverte bien sympa!

Et pourtant, il semble bien que ce soit la première fois qu’il m’ait donné de visiter ces provinces lointaines, succursale du temple des lectures. J’ai atterri ici par hasard. Moi j’avais jamais rien demandé. Je demande jamais rien. Mais voilà, c’est arrivé comme ça. C’était inattendu et je n’avais pas prévu. Aux lueurs sombres de ma chambre funèbre, je repose quelques livres d’un éclat heureux. Des livres, il s’agissait en fait de mangas ; mais après tout, quelle importance ? Le plaisir est le même. Alors dans mes pensées évasives, je me dis : Quelle beauté ! Et me voici. A vous parler donc de cette beauté, intacte et féconde d’un sentiment nouveau : la joyeuse mélancolie ; extravagance ressentie dans l’instant mais qui perdure même bien des temps après. C’est dans cet état d’égarement que je suis là, à écrire pour une œuvre, pour un chef d’œuvre, pour Le nouvel Angyo Onshi.

Le nouvel Angyo Onshi : Volume 01 à 15

Première approche : Le nouveau n’est pas l’ennemi du mieux

Il était une fois un royaume appelé Jushin. Les Angyo Onshi étaient des agents secrets de ce royaume. Ces représentants de l’empereur voyageaient incognito à travers le pays, punissant les gouverneurs injustes et secourant les plus démunis. C’était, en quelque sorte, des justiciers officiels. Mais un jour, le royaume de Jushin disparut… Aujourd’hui, un Angyo Onshi solitaire parcourt ce pays à la dérive…

Ce qui m’a d’abord frappé, c’était la splendeur indescriptible des planches. On aurait dit des monceaux de rêves, juxtaposés pour nous égarer au fin fond d’une illusion. Plongé de plein pieds dans ce monde onirique mais cruel, j’ai vécu les aventures de Mun-Su comme si j’étais à ses côtés. On se perd dans ce labyrinthe. Et on nage dans ce torrent inextricable, se délectant du grand tout. On admire et on s’imprègne de l’éclisse magnifique des traits, nets ou diffus mais toujours empreints d’une grandeur sans pareille.
J’ai aimé l’intronisation qu’on nous apporte de l’univers terrible de Mun-Su. Les références véritables aux légendes coréennes. Les déclinaisons et les visions inédites qui nous sont proposées. Car c’est bien là le charme du Nouvel Angyo Onshi : faire du neuf avec du vieux. Et à ma grande satisfaction, je me suis rendu compte que le nouveau n’était pas l’ennemi du mieux.

Seconde approche : Entre maître et serviteurs, nulle amitié ?

La terre s'use, l'amitié des âmes, jamais. Quand on s'aime d'amitié, on voudrait pourtant que nos corps ne vieillissent point parce qu'on sait que la séparation approche de jour en jour.

Il est bien connu que même le plus grand des guerriers ne ferait pas long feu contre un régiment entier qui lui est hostile, aussi a-t-il besoin de compagnons pour l’épauler. Dans ce sens, Le nouvel Angyo Onshi n’échappe pas à la règle : par essence, le héros ne peut pas être un solitaire définitif. Alors intervient la première phase du récit, la constitution des alliés de Mun-Su. Si cette partie de l’histoire, bien qu’indispensable, est des plus classiques, on peut avouer sans mal qu’elle est diantrement bien traitée. D’abord parce qu’elle est pleinement justifiée ne serait-ce qu’en marge de la condition dans laquelle se trouve Mun-Su (ce dernier est en effet atteint d’une mystérieuse malédiction qui le rend peu endurant). Ensuite parce qu’elle ne tombe jamais dans la démesure d’une troupe qui s’agrandit jusqu’à devenir une vallée de corps sans réelle utilité que de servir de décor de luxe. Fi ! Le nouvel Angyo Onshi ne se verra guère affubler que de deux serviteurs : une jeune fille et un gamin, Sando et Ecuyer.
J’apprécie grandement Sando pour ce qu’elle apporte au personnage de Mun-Su : un semblant d’humanité chez un être blessé au plus profond de lui-même, un semblant de confiance chez un être qui a perdu la capacité de l’accorder à jamais. Si ses traits fins et ses habits dénudés pourraient nous faire croire qu’elle fait partie de ces écueils immondes, production de notre temps, il en est rien en vérité. Car Sando cumule un paradoxe étonnant, celui d’être tout à la fois émotive au plus haut degré et taciturne jusque dans ses moindres retranchements. A ce titre, est-elle bien plus profonde que ce que le premier abord aurait pu nous dicter.
Cependant, je dois dire que le personnage qui m’a le plus profondément touché reste l’Ecuyer. Doté déjà d’un tempérament propre au comique, il devient une muse à l’amusement. Détenteur de la touche d’humour nécessaire à toute sombre œuvre, il est pourvu d’une volonté à toute épreuve qui ne fait de lui qu’un garçon de plus en plus attachant et adorable car de plus, il ne tombe aucunement dans le cliché basique du personnage lourd et redondant. Ses interactions avec Mun-Su sont délicieuses puisque l’Angyo Onshi demeurera de marbre pendant un long moment avant de daigner lui accorder tout son crédit. Parti de rien, c’est bel et bien l’Ecuyer qui va construire à la force de sa promesse et de sa persévérance sa relation avec un maître qui l’a longtemps rejeté. Tout simplement admirable.
Au travers de tout ceci, on peut ainsi extirper une conclusion : entre maître et serviteurs, l’amitié ne peut être que tacite. Et c’est ce qui en fait précisément toute la beauté.

Dernière approche : Trahison, rêve et ennemi, panacée d’une légende

La trahison n'est qu'un mot inventé par les hommes pour confondre leurs frères qui ne pensent pas de la même façon qu'eux. Et elle ne réussit jamais, car, lorsqu'elle réussit, on lui donne un autre nom.

Un autre point qui fait la force du Nouvel Angyo Onshi, c’est sa propension à aller de l’avant, de ne jamais se perdre dans le feu ardent de mille futilités. L’histoire de Mun-Su est racontée en trois étapes : présent, passé et futur. Du présent, on en tire la présentation, on y découvre les motivations de chacun, les tenants et les aboutissants. Du passé, on en tire le pourquoi de la quête de Mun-Su, les raisons connues du temps seul et les déboires d’un honnête homme depuis lors devenu tout autre. Du futur, on en tirera sûrement la conclusion, apothéose d’une œuvre florissante et tenace d’une image rémanente : celle d’un respect entier et d’une exaltation totale. Pas de fioriture donc. Tout est mis en place dans le but de nous transporter vers la fin d’une épopée fantastique. Et on en redemande.
Parmi tout, je dois reconnaitre que le très long rêve de Mun-Su, causé par le Mandarage, est véritablement bien conté. Mêlant tour à tour, passé et présent, alternant entre illusion, voyage et réalité, on se laisse porter par cette onde au goût imprononçable. En parallèle, la trahison de Sando, provoquée par un complet désespoir, est sertie d’une mélancolie et d’une tristesse incroyables, en même temps qu’elle bouleverse toute la sympathie que l’on pouvait éprouver pour la garde du corps de l’Angyo Onshi. Bien entendu, cette question de trahison est une nouvelle fois un classique de tous les récits mais il faut remarquer avec quelle efficacité celle-ci a été traitée et avec quelle minutie elle a été préparée. J’ai aimé aussi la promenade de Mun-Su sur les méandres de son inconscient, cherchant le moment de sa vie qui lui était le plus heureux de vivre. Sur les sentiers de ses pérégrinations, on se plonge avec lui dans l’époque de l’ascension puis de la chute de Jushin. Tous les secrets nous sont alors délivrés de manière si entière et directe qu’on en reste là, bouche bée, et sans mot dire. On apprécie et c’est bien là le principal car nulle déception ne peut se dessiner sur notre visage décoloré par la surprise et l’émotion. Joie, plaisir ou infinie tristesse, tous ces sentiments nous traversent d’une unique salve et alors, on ne regarde plus Le nouvel Angyo Onshi de la même façon qu’auparavant…
Une chose est sûre : le dénouement est proche ! Et assurément, on ne ressort pas indemne de l’œuvre de Youn In-Wan et Yang Kyung-Il…

Claymore tomes 2 et 3

Ai un peu continué pour voir, bien que le premier ne m'avait pas enthousiasmé.
Et c'est pas mauvais du tout ! J'ai beaucoup aimé ces tomes. D'abord par l'histoire, intéressante à suivre et tenant en haleine, mais aussi pour les personnages charismatiques (Thérésa n'aura pas de vote contre elle de ma part ^^) et l'ambiance générale.
Petit défaut néanmoins à remarquer (je chipote, je sais, mais j'aime bien chipoter), peut-être le défilement des missions qui se succèdent un peu à la va-vite... M'enfin, c'est le début, c'est un détail, et je ne doute pas que cela ne continuera pas tout le temps (de même pour les dessins que j'apprécie pas vraiment).
La suite pour juger, mais sympa.


Ultra Heaven tome 1

Ooooh Yeaaaaah !
Drôle de tome, drôle d'histoire, drôle de manga. Que ceux qui aiment la science-fiction lèvent la main ! Bien, bien. Je reconnais quelques têtes. Je vous propose aujourd'hui de découvrir Ultra Heaven, nouvelle série de chez Glénat. Pour faire simple, c'est l'histoire d'un mec qui vit dans un monde où la drogue est autorisée, voire même recommandée. Toutes sortes existent, pour toutes les émotions, et petits, grands, riches ou pauvres se shootent pour oublier le quotidien. Notre héros veut tenter toutes les expériences possibles, tant que ça lui fait de l'effet. Et il tombe sur l'Ultra Heaven, produit si puissant qu'il peut faire mourir.
Vous avez donc ici, mesdames et messieurs amis de la science-fiction, une histoire originale et délirante, au sens non-comique du terme, servie qui plus est par un cadrage extrèmement original lors des séances de shoot. Rêve et réalité se mélangent alors, et nous passons de mer à forêt, de larmes à enfance, d'espace à meurtre sans aucun lien logique, par le biais des cases se tordant, se tournant, se rapetissant, s'aggrandissant et s'encastrant à tour de rôle. Si bien d'ailleurs que même le lecteur averti que vous êtes des mangas d'anticipation ne saura plus lors du final, s'il est encore dans le rêve, ou si la réalité est véritablement telle que nous la voyons.
Amis et adeptes, une nouvelle série vous appelle et vous demande, et même si le graphisme et l'incertitude du déroulement de l'histoire peuvent rebuter, n'ignorez pas cet appel au dépaysement. Drogué ou non.


Gen d'Hiroshima tome 1

Bah oui. C'que c'est que ce machin-là ? Du grand, môsieur, du grand.
L'histoire d'une famille avant et après la chute de la bombe le 6 août 1945, les Nakaoka. Le récit est quasi-autobiographique, et est souvent comparé à Maus d'Art Spiegelman. Et ça le vaut.
Les Nakaoka sont une famille japonaise vivant à Hiroshima. Ils ont quatre fils, dont un parti travailler à l'usine ne pouvant rentrer à la demeure familiale que rarement, un autre laissé à la campagne pour éviter les bombardements. Les deux autres sont restés avec leurs parents et leur soeur. Le plus vieux des deux se nomme Gen. On pourrait dire que tout va bien dans cette famille. Mais non. Le Japon est en guerre et la propagande fait rage, tout le monde doit contribuer à la "victoire" promise. Mais voilà, le père de notre famille est pacifiste et ne veut pas de la guerre. Il est alors enfermé et torturé avant d'être relaché. Les enfants en souffiront, traités par tous de traîtres, le quartier entier se levant contre eux en les empêchant de se ravitailler ou en détruisant leur champ de blé. Mais les garçons sont courageux, malicieux, et en font voir de toutes les couleurs aux autres habitants. Morsure, bagarres et bien d'autres, c'est la survie. D'autant que leur mère attend un enfant, ils se mettent à mendier sans que leurs parents le sachent pour pouvoir la nourrir. Et alors, la bombe tombe.
C'est juste bon. Rien d'autre. Ni plus ni moins. Le plus grand atout vient de la véracité des faits, on voit vraiment la profondeur du propos, la dénonciation du système japonais sans jamais nommer, et en plus le côte pathétique du récit. On rit avec ces personnages, on aime avec eux, on pleure avec eux. Enfin, non, on ne pleure pas avec eux (comptez si un jour ça vous dit, mais il doit au moins y avoir 100 larmes versées dans un seul tome... Alors pour pleurer à chaque fois, c'est un peu dur quand même ^^).
Parlons défauts. Le graphisme qui rebutera. Ah ça, c'est très hermétique, extrèmement hermétique, pas toujours très connu de la "nouvelle" génération (années 70 je crois). Dommage d'ailleurs. Ensuite, faut avouer que certains détails gènent vraiment. Voir Einstein préparant la bombe atomique, ça laisse une drôle d'impression, surtout quand on sait qu'il ne voulait pas la créer et qu'il s'en est voulu toute sa vie par la suite (un détail, mais pour quelqu'un qui adore l'histoire comme moi, ça passe mal). Dernier détail : le dynamisme. Ca court dans tous les sens, ça crie et se chamaille à tout va, et à force, oui, ça peut taper sur les nerfs (perso, j'm'en fous un peu, mais certains peuvent ne pas apprécier).
Alors voilà, même si Gen d'Hiroshima n'a pas le succès aujourd'hui qui lui revient, il n'en reste pas moins très bon malgré ses défauts, un véritable témoigagne vivant et poignant. Avec L'Histoire des trois Adolf, à ranger dans les meilleurs mangas sur la Seconde Guerre Mondiale.
"Soyez comme ce blé, fort, même si vous vous faites piétiner…" dira le père à ses enfants. Pour sûr !


A venir pleins de trucs :p

Un peu de lecture ne fait pas de mal.

D-Gray man Tome 8:

Ben ben veritablement un tome passionnant j'ai trouvé centré sur le combat du bateau tou çà pour gagné une nouvelle coupe de cheveu pour lenalee c'etait pas super utile,bref un peu lu pour dire de continuer mais j'accroche de moins en moins pour le moment, avoir ceci dit j'aime bien les dessins que je trouve trés bien fait et de belle vouverture compense un peu le scenario pour le moment.

20th century Boys Tome 2 à 10:

Aprés mes peripethies pour trouver le tome 3 alors que j'avais ceux d'aprés j'étais en manque.
Bon notre histoire se poursuit les changement d'epoques bien réalisé, des personnages interéssant des revelations mais aussi de nouvelles intrigues fait que le suspens reste entier et on accroche bien à l'histoire je trouve.
Le passage en 2014 m'avait un peu fait peur que je trouver cela un peu rapide mais il n'en est rien bien ficelé tout çà bref je ne peux que le conseiller,je suis vraiment bien pris dans l'histoire et j'ai hate de lire la suite et en savoir plus sur tout çà et lever sur le mystere de certains personnages et le sort d'autres car on a toujours le doute a ce qui est arrivé a certains.
Bref que du bon,je n'ai pas encore trouvé d'ombre dans ce tableau,je trouve qu'on est bien pris dedans et on veut toujours en savoir plus

Mes dernieres lectures mangas :

Battle royale 1 / 2 / 3 /4 :
Vraiment très accroché par l'histoire , l'idée qu'une classe doit s'entretuer m'embalait vachement (rohh jsuis sadique ^^)
Le premier tome nous met tout de suite dans l'ambiance , avec l'enlevement des eleves , l'explication des regles , leur ex prof mort la cervelle degoulinante ...
On vois le pire pouri que j'ai jamais vu , Kamon . le nouveau "prof" des eleves qui ne aucuns remords a tuer , violer , torturer psychologiquement les eleves ... un vrai mechant ^^
Dans les tomes suivant on decouvre l'alliance du heros et de sa copine avec Kawada , des assassins en herbes apparaissent , notament Kiriyama.
Mais on remarque quand meme qu'il y a des gentils comme Mimura , sugimura ...
On observe donc le massacre des eleves de cette classe de 3e petit a petit , avec des flashs back pour chaque eleves. certains luttent contre le programme et veulent s'enfuir , d'autres participent , d'autres deviennent fou.
Un manga que j'adore vraiment , avec des perso bien sympathique (j'adore mimura et sugimura ^^) mais qui reste TRES violent , avec des cervelles qui degoulinent , des yeux qui volent ; on a aussi quelques scenes coquines ^^ a ne pas mettre entre toute les mains donc.

Gantz 1 :
J'ai bien aimé l'histoire , meme si en 1 tome on peu pas vraiment juger . Les dessins sont tres beau (enfin c sur , fais a l'ordi ... ^^)

2 jeunes tentent de sauver un clodo qui est tombé sur les rails , mais le train arrivent et les ecrasent (belle image des tetes et bras qui volent au passage ...) les 2 jeunes qui sont normalement mort , se reveillent dans un appartement ou ils trouvent d'autres personnes normalement "morte",
une grande sphere au milieu de la piece . Apres les presentations des personnages des mots apparaissent sur la sphere : "tuer l'homme poireau" , la boule souvre et leur permet de prendre des armes et combinaison il sont ensuite téléporté en ville ou la chasse au poireau peut commencer ...
Un manga sympa donc , avec de la violence (des membres arrachés bien detaillés ...) et assez sexy (la derniere fille teleporté est entierement nue ^^) l'histoire en elle meme m'intéresse meme si les tomes francais coutent TRES cher (9euros ...)