Il faut avoir conscience que, sur ces 80 millions, le distributeur américain n’en touche que 36. Le reste, presque 60%, va aux exploitants. Sur ces 36 millions qui restent, le distributeur prend une commission, environ 30%. Il reste donc 26 millions de dollars. Or, sortir un film aux Etats-Unis, sur 1500 copies minimum, c’est entre 20 et 25 millions de dollars de frais.

Cette déclaration anéantit tout espoir de voir le cinéaste reprendre la réalisation de Terminator ou encore de développer le manga Battle Angel à l'écran.

[...] c'est John McTiernan qui est pressenti à la réalisation [...]

tu sens bien que le père Cameron s'en tape royalement de tout en dehors du fric qu'il pourra à nouveau gagner

Cela peut paraître un peu restreint mais je pense que je peux exprimer tout ce que j'ai à dire au sein de l'univers Avatar. Et le dire sous forme divertissante.

http://www.lefigaro.fr/cinema/2012/06/2 ... entree.php


http://www.planete-hd.com/John-Carter-test-t1084.html

En une demi-heure, t'apprends que les deux meilleurs films de tous les temps n'ont pas été et ne seront pas réalisés. LA DEPRESSION.
De tout mon être, James, je te hais. Tu feras trois films qui déboîtent en tranche, mais quand même, c'pas une raison. File ça aux Wachos et ils nous pondent un truc encore meilleur, mais ne laisse pas Len Wiseman s'en approcher.

Lisez la review de John Carter of Mars, c'est assez complet. Ce projet aux mains de John McTiernan, c'eût été fou.

"Nous allons nous focaliser sur Avatar pour les quatre ou cinq prochaines années. Avec un peu de chance après ça… Je ne doute pas que vous le verrez." De quoi parle ainsi le producteur Jon Landau au site suédois MovieZine ? Tout simplement de Battle Angel, l’autre serpent de mer de la galaxie James Cameron, celui que nombre de fans du cinéaste auraient bien aimé voir aboutir avant une trilogie Avatar. Trilogie et même selon toute vraisemblance tétralogie, même si le quatrième volet de la saga ne sera pas tourné en même temps que les deux précédents, et qui, s’il devait voir le jour, pourrait bien être un prequel, selon les dernières déclarations du réalisateur canadien :

« J’ai une idée pour un quatrième. Je n’ai pas vraiment commencé à l’écrire, mais en gros on reviendrait aux premières expéditions menées sur Pandora, et, en quelque sorte, à ce qui a mal tourné entre humains et Na’vi, à ce que c’était d’être un explorateur et de vivre dans ce monde. [...] Nous allons commencer, non pas en imitant Star Wars, mais c’est quelque chose de logique puisque nous aurons achevé l’arc narratif à la fin des trois épisodes. La seule chose qui restera à faire sera de revenir voir à quoi tout cela ressemblait lors de ces premières expéditions [...]. » Trois Avatar et Battle Angel sur le feu... On en connaît deux qui ne vont pas chômer d'ici 2020.

Disney annonce la sortie de «La Guerre des étoiles 7»
30/10 | 21:33 | mis à jour à 22:09
Dans la foulée du rachat pour 4 milliards de dollars de la société de George Lucas, Disney annonce également la sortie en 2015 de «La Guerre des étoiles 7».


Le géant américain du divertissement Disney a annoncé mardi la sortie en 2015 du septième épisode de « La guerre des étoiles », après l'achat de Lucasfilm, la société de production de George Lucas, créateur de ce film devenu culte.
« La guerre des étoiles 7 devrait sortir en 2015 et d'autres films devraient continuer la saga et faire prospérer la franchise bien au-delà dans le futur », indique le groupe américain dans un communiqué. Disney ne donne aucun autre détail sur ce septième épisode d'une saga qui a rapporté jusqu'ici 4,4 milliards de dollars au box-office mondial, si ce n'est que George Lucas, 68 ans, sera consultant créatif sur le projet.
« La guerre des étoiles », qui contribua à lancer la carrière du jeune Harrison Ford, a acquis un statut culte dès sa sortie en 1977, amplifié par les suites « L'empire contre-attaque » (1980) et « Le retour du Jedi » (1983). A la fin des années 90, George Lucas décida d'ajouter à sa série trois nouveaux films, se déroulant chronologiquement avant le premier épisode.
Ces trois nouveaux films --« La menace fantôme » (1999), ‘ »L'attaque des clones » (2002) et « La revanche des Sith » (2005) --ont fait des merveilles au box-office, malgré des critiques plus partagées que pour les films originaux. L'affiche en était notamment partagée par Liam Neeson, Ewan McGregor, Natalie Portman et Hayden Christensen. En février dernier, George Lucas avait ressorti avec succès « La menace fantôme » en 3D, surfant sur la vague des conversions au nouveau format. Les autres films de la série devraient connaître le même sort.
«J'ai toujours cru que La Guerre des Etoiles me survivrait»
Disney a annoncé dans le même communiqué mardi qu'il allait acheter LucasFilm, la société du père de « La Guerre des Etoiles » George Lucas, pour un montant évalué à 4,05 milliards de dollars en numéraire et en actions.
« Cette transaction combine un portefeuille de contenus de classe mondiale, incluant La Guerre des Etoiles, l'une des plus grandes franchises de divertissement familial de tous les temps, avec la créativité unique de Disney sur plusieurs plateformes », a indiqué le PDG de Disney, Robert Iger, cité dans le communiqué.
« La taille et l'expérience de Disney donne à LucasFilm l'opportunité d'ouvrir de nouvelles voies dans les films, la télévision, les médias interactifs, les parcs à thème, le divertissement et les produits de consommation », a estimé pour sa part George Lucas, qui détient jusqu'ici l'entreprise à 100%.
« Il est maintenant temps pour moi de passer La Guerre des Etoiles à une nouvelle génération de réalisateurs. J'ai toujours cru que La Guerre des Etoiles me survivrait, et je pense qu'il était important de mettre la transition en place de mon vivant », a-t-il commenté. Disney prévoit de payer environ la moitié de la transaction en numéraire, et le reste avec 40 millions de titres qui seront émis au moment du bouclage de l'opération.
Avant LucasFilm, Disney rappelle avoir racheté avec succès l'entreprise d'animation Pixar et le poids lourd de la bande dessinée Marvel Entertainment, démontrant à cette occasion sa « capacité à développer et étendre le potentiel financier de contenus créatifs de haute qualité ».