Entre ancienne série et récente, j’ai pas mal zieuté d’anime. Et puis au départ la saison qui arrivait ne m’inspirait pas mais finalement je trouve des choses quand même. L’avantage c’est que je vais pouvoir renouveler mon stock d’anime un peu plus vieux parce que là il à prit une petite claque ce fameux stock. Dans l’ordre de ce que j’ai fini le plus récemment au plus ancien.


Jormungand + Perfect Order
2 x 12 épisodes - 7/10
Dans le genre anime bien armé avec mercenaire et tout, il y a Black Lagoon. Mais franchement c’est tellement ridicule, puéril et caricatural que je trouve cela naze. En fait j’ai découvert sa version pour adultes et c’est Jormungand. Ici on ne fait pas de bang bang à tout va autour d’une intrigue et de personnages pathétiques, on préfère construire et développer de manière solide le background de l’univers mais également des objectifs de chacun en plus de quelques réflexions. Le visionnage de cette série a été très agréable. L’animation est vraiment bonne et les personnages attachant, même si on tombe sur le syndrome des personnages féminin qui se coupent les cheveux. On retrouve des intérêts militaires politiques et autres de manières simples mais efficace. C’était un vrai petit plaisir. Même si je ne peux pas dire non plus que j’ai trouvé cela renversant. Mais c’était plutôt cool.


Coppelion
13 épisodes - 6/10
Une série qui a divisée et que j’avais commence il y a un temps. Maintenant j’ai tout vu et j’ai plusieurs choses à dire. Le scénario est intéressant, mais l’action est beaucoup trop rapide et le scénario avec lui. En même temps cela c’était acquis avec les nombreux retours. Cependant le principal souci de cette série à mes yeux, c’est qu’on pleure tout le temps ! Quand on est content, quand on est triste, quand on a mal, quand on mange, quand on dort. Nan mais sérieux cela en devient épuisant de voir autant de personnages se lâcher sur les larmes. La série est sympa voilà quoi. Mais bon sang ce que les personnages peuvent pleurer… C’est vraiment énervant et ca a gâcher mon visionnage plus que tout autre chose. Même dans Bokurano ou dans X je n’ai pas vu autant de larmes, CROTTE !


Joshiraku + OAV
13 épisodes + 1 - 7/10
SI j’ai regardé cette série c’est parce que j’ai entendu qu’elle était l’adaptation d’un manga écrit par Kôji Kumeta. Mais si vous le connaissez, l’auteur de Sayonara Zetsubou Sensei et la création d’Itoshiki Nozomu, le meilleur professeur au monde. Forcément quand on a sur le poids mon grand amour pour ce manga, mes attentes pour une autre série sont importantes. Mais atteindre le degré de génie réalisé dans Sayonara est compliqué et ici on en est loin. Bien sur la série n’est pas mauvaise pour autant, c’est toujours bien écrit, mais le fait de n’avoir que 5 personnages récurrents et être trop souvent au même endroit fait que les blagues tournent en rond. Cela aura été sympa tout de même.


Medaka Box + Abnormal
2 x 12 épisodes - 7 et 8 /10
Oui, malgré mes réticences vis à vis du design de l’héroïne et de ses BOOBS. Oui je l’écris en caps lock et en anglais parce que j’ai toujours trouvé cette idée de design vulgaire. Comme je suis plus anime j’ai fais confiance à la Gainax qui m’a proposé un chouette spectacle sur la première partie. Puis la saison 2 tellement excellente avec des personnages plus sympa et plus fouillés. Mais également ce petit troll. Oui pour les gens qui lisent le manga par ici, la saison deux se termine avec l’apparition de Kamegawa à l’épisode 11. L’épisode 12 reprenant un flashback ou on voit son pouvoir. Sérieux je suis au bord de me faire le manga tant le perso m’a accroché en une petite vingtaine de minutes.


Machine Doll wa Kizutsukanai
12 épisodes - 7/10
Série dont j’avais déjà parlé. Maintenant je l’ai enfin finie et ouais, c’était bien sympa. Le scénario est intéressant et propose trois petit arcs de 4 épisodes chacun. Les personnages sont attachants et le héros fait partie de cette très petite poignée de héros qui me marque et que je trouve badass. Un chouette anime.


Seitokai Yakuindomo*
13 épisodes - 8/10
Seconde saison d’une série qui nous aura maintenus deux ans avec sa série de 3 OAV. Oups pardon 4 OAV. Ha non, 5 OAV. Bref qui nous aura maintenue pendant deux ans avec un total de 9 OAV tout aussi excellente que la série, et disponible à chaque sortie de tome au Japon. Cette saison c’était un peu l’occasion de retrouver les personnages de manière beaucoup moins sporadiques. Et bin c’était fabuleux, comme d’habitude. Bien sur il faut accrocher à l’humour particulier de la série.


Wizard Barristers : Benmashi Cecil
12 épisodes - 8/10
Série que j’ai pris un petit peu sur le tard après avoir un peu plus examiné les séries du moment. En effet quand j’ai vu que Umetsu Yasuomi était derrière cette série, tout de suite j’ai eu envie de la suivre. Le monsieur a quand même une bonne petite réputation dans le milieu. Du coup visuellement, bin disons que ce n’est pas forcément noël, comme on dit, mais ça envoi quand même du jolie pâté par moment. Malgré une 3D un peu maladroite, mais celle-ci n’est pas aussi moche que Nobunaga The Fool. Le scénario est très plaisant avec une intrigue intéressante autour de l’héroïne et de l’univers dans lequel elle évolue et qui est lié aux avocats. C’était très cool.


Nobunagun
13 épisodes - 7/10
Loin de l’extase procurer pas mes collègues j’ai trouve la série sympa sans plus. C’est le genre de série intéressante, que l’on suit de manière plutôt assidue chaque semaine. Mais qui ne restera pas longtemps dans ma mémoire. L’histoire était plutôt sympa et a su proposer quelque chose de vraiment bien écrit. Bon après il y a des personnages qui ne m’ont vraiment pas tapé dans l’œil, et même plutôt l’inverse. Mais malgré certaines traits énervant de l’héroïne, c’était très sympa de suivre ses aventures.


Space☆Dandy
13 épisodes - 8/10
Voici une série qui m’a fait peur. Oui parce que les épisodes qui ne se tiennent pas vraiment entre eux et qui refont une histoire différente à chaque épisode j’avais déjà gouté via Panty & Stocking. La ou tout change c’est que derrière il y a ce réalisateur talentueux qui s’appelle Watanabe. Et malgré un épisode, en tout et pour tout, qui ne m’a pas spécialement accroché. Bin le reste c’était juste du grand art, toujours une petite touche à droite à gauche qui rend l’expérience du visionnage de l’épisode unique et intéressant. Il me restera un souvenir tout particulier sur la boucle temporel qui a eu un effet bien particulier chez moi de vieux souvenirs. Purée, vivement juillet pour la suite !


Gundam Build Fighters
25 épisodes - 8/10
Comment expliquer. Cette série c’était un peu la blague de la saison. Tout le monde se disait, ‘nan mais en fait ca va reprendre le AGE, ça va être un gros bousin’. D’ailleurs je n’étais pas le dernier à faire des sarcasmes… Finalement j’aime beaucoup Gundam quand même et je me suis lancé dans l’aventure. Le premier épisode était très sympa. On coupait avec le robot réaliste pour repartir dans un format plus conventionnel d’enfants qui fond des compétitions. Pas mal de référencent et d’hommage. Et puis avec cet épisode 2 ‘la comète rouge’, je me suis dis –woh, il y a quelque chose la dessous-. Deux trois épisodes plus tard j’étais complètement conquis par la série. Il est dommage qu’elle ce soit arrêtée bien trop tôt, et le scénario me file encore un rhum au vu de la gigantesque porte scénaristique laissé ouverte. Mais bon sang, qu’est-ce que c’était épique et prenant !*_*


Saint Seiya Omega
97 épisodes - 6/10
En résumé ? La première partie était propre, mais le background n’était pas terrible. La seconde partie avait un background sympa, mais la forme était vraiment dégoutante. Une série très aléatoire donc, avec un combat final qui n’en ai pas un. Et qui est assez pathétique d’ailleurs.


Shit la Shit (surnom officiel)
24 épisodes - 2/10
Ou comment transformer la curiosité et l’envie, en consternation et haine viscérale. A vrai dire j’avais même débuté un post plutôt imposant mettant de multiples incompréhension de ma part. Mais ayant trop peur qu’il soit mal prit, mal interprété ou considéré comme du simple troll (et que sais-je encore, je suis suicidaire mais pas assez pour me faire insulter sur le forum), je vais seulement dire cela. A mes yeux, cette série est aisément l’une des plus mauvaise qu’il m’ait été donné de voir.


Millenium Actress
1 film - 8/10
Pendant longtemps je suis resté sans avoir vu d’œuvre de Satoshi Kon. Mon premier a été Paranoia Agent et déjà j’ai été transporté par une mise en scène léchée et un développement des personnages très intéressant. Avec Paprika, qui renvoie Inception au bac à sable (je ne me lasserais jamais de le dire), et Perfect Blue, j’avais deux gros films bien complexes et sublime à nouveau. Le film m’étant passé sous la main récemment j’ai sauté sur l’occasion pour le voir. L’approche ici et très différente de ce que j’avais pu voir. Cependant à nouveau j’ai été conquis par l’histoire d’une femme qui court après un fantôme mais finalement qui en est tout a fait consciente. Autour de ces films qui retrace différentes périodes historiques du Japon, et même plus, on a un personnage féminin qui se révèle plus fort qu’il ne semble au premier coup d’œil. Au bout d’un moment je me suis demandé si ce serait suffisant pour me plaire mais décidément, quel talent il avait ce monsieur !


Bayonetta : Bloody Fate
1 film - 5/10
Soyons honnête, si j’ai regardé ce film c’est vraiment par acquis de conscience. Le jeu je l’avais un peu drop au tiers de l’aventure. Le scénario teubé comme pas possible et les relents immondes de fan service autour de l’héroïne m’ayant profondément rebuté, malgré un gameplay très sympa. Ici disons que c’était la deuxième et dernière chance que je donnais une chance à la licence pour me proposer un scénario un minimum intéressant. Évidemment le métrage se prend les pieds dans le tapis de manière formidable. Reste un film d’action aussi commun qu’oubliable.


Ghost in the Shell Arise : Ghost Whispers
1 OAV - 7/10
Seconde OAV de la licence la plus populaire de Shirow. Un épisode sympathique comme le premier dira t’on. Nous sommes très loin de la vision de Oshii ou de la version de Kamiyama. Ici il est vrai que la complexité de l’univers est réduite à son minimum. La série propose tout de même un scénario plutôt sympathique et le visionnage est plutôt plaisant. Un bon point donc, même si on pourrait s’attendre à mieux.


Nobunaga The Fool
8 épisodes sur 24 - 6/10
Ma position par rapport à la série a déjà été mentionnée dans le sujet de ce fou de seleniel qui a voulu en parler et pousser d’autres à s’endormir. Pourtant l’épisode 3 était cool. Mais après j’ai attendu qu’il se passe quelque chose. Et puis j’ai attendu qu’il se passe quelque chose. Et j’ai encore attendu qu’il se passe quelque chose. Finalement j’ai dropé la série donc, oui, il s’est passé quelque chose.


Pupa
6 épisodes sur 12 - 3/10
La série me bottait par son synopsis mais franchement. En pratique c’est d’un naze. Déjà l’adaptation n’est pas gégén mais même le scénario est assommant et inintéressant au possible en réalité. Il faut quand même précisé que les épisodes ne faisaient que 3 minutes et que j’ai quand même drop la série. C’est beau je trouve.


Go ! Go ! 575
Fini en 4 épisodes - 6/10
Un peu la blague et la curiosité de la saison. A la base de la licence un jeu de SEGA. En voyant la popularité de Project DIVA les gars ce sont dit ‘Hé ! Marre de Vocaloid on va faire nos propre persos et on va faire pareil’. Oui le problème c’est que c’était pour faire des chansons aussi navrantes que dans Idolmaster et sans la qualité créatrice de ses producer. Bon en même temps je dis cela mais ce sont tout de même des habitués du célèbre logiciel auquel ils ont fait appel. Sauf que voilà, les chansons n’était pas très inspiré, de ce que j’ai pu entendre, on se retrouve avec de la chanson Vocaloid bas gamme proche de imas, comme je me l’identifie personnellement. Et puis juste deux personnages sortie de nulle part sans fan base déjà acquise, d’emblée on sentait venir le gros four qu’a été ce jeu. En bref cette mini série de quelques minutes reprend les personnages. C’est sympa, c’est divertissant, et ca s’oublie également dans la seconde. Dès l’instant où on voit que les filles finissent souvent aux bains.


Nisekoi
4 épisodes sur 20 - 5/10
Par curiosité pour le titre. Succès du Jump, donc il faut découvrir on va dire. Bin c’est non. Le scénario est cliché au possible et cela m’a bien gonflé. Les personnages sont désespérément plats. Les situations changent un peu de l’habitude mais dans le genre il y a déjà Seto no Hayanome, qui est tellement awesome que Nisekoi à côté c’est vraiment très moyen. Une très bonne série qu’est Seto no Hayanome donc, goutez en ! Nisekoi ? Drop ! (En plus c’est claris qui chante l’op de Nisekoi, chanteuse qui m’insupporte au plus haut point depuis que je l’ai entendu la première fois sur Madoka)

...

O_o
La vache !
Ca faisait un p'tit paquet !

J'ai mis les séries que je regardais en pause, pour cause d'(in)disponibilités personnelles, mais j'avais commencé Nisekoi en même temps que le reste et avait hésité entre cette série et Nobunaga pour créer le sujet. J'avais finalement opté pour ce dernier du fait des propos de DS à son égard. Et il va falloir que je me motive après les vacances pour rattraper réellement mon retard et ne pas laisser ange bleu tout seul sur un sujet dans lequel je culpabilise un peu de l'avoir embarqué.

Mais j'avais trouvé Nisekoi plutôt réussi et sympa. Avec pas mal de trouvailles de mises en scènes assez bien fichues. La série m'avait même fait une meilleure impression que le manga, ce qui est très très rare chez moi. Avec un vrai travail sur le décor du lycée, pauvre dans le manga, et des jeux sur les éclairages et les couleurs, une bonne rythmique et un bon rendu dans les expressions des personnages. Et il y a les yonkomas du mangas adaptés en post-génériques: une attention très bienvenue je trouve! Non franchement, ça m'a plu et je suis plus motivé pour continuer que Nobunaga The Fool.

En même temps, Kumagawa est hyper populaire. Depuis sa première apparition, il a remporté tous les concours de popularité et il a même atteint le point où il a eu plus de points que... l'ensemble des autres personnages du Top 10 réunis. Donc ouais, ce personnage a vraiment conquis tout le monde.

Dans ce que tu dis ce qui transpire abondamment c'est que tu n'es pas habitué aux travaux du réalisateur. Pour te faire une bonne idée tu devrais regarder la première série de Sayonara Zetsubou Sensei et Bakemonogatari. Depuis ces deux séries le réalisateurs fait toujours la même chose. En soit ce n'est pas forcément un problème, la mise en scène est léché, les images sont toujours très riche en détails et c'est un style unique vraiment très propre. Disons que cela tire même un peu plus de l'inspiration Bakemono. Le soucis c'est que c'est tellement bien fait qu'à présent il fait toujours la même chose. C'est un problème personnel, j'arrive à saturations des effets nouveaux du réalisateur alors qu'avant il pouvait faire des ambiances différentes pour des propros similaire, comme 'Soul Taker' ou 'Kozettto no Shouzou', son époque pré Sayonara et Shaft à plein tube en fait.

Du coup comme j'ai suffisament soupé de sa mise en scène qui reste trop souvent la même, cependant elle est moins marquée dans Mekakucity Actors (en tout cas épisode 1), hé bien tout reposait surtout sur le scénario. Et de là, bah c'est pas trop ma tasse de thé. L'histoire ne cache même pas ses twists et les personnages ne sont pas suffisament intéressant pour me faire lever le moindre sourcil. D'où le drop. ^^

L'autre truc avec Shinbo - et c'est vrai qu'il a tendance à se répéter et à se reposer sur les effets qu'il a développé - c'est qu'il fait des tonnes de séries et ne semble jamais faire de break. C'est tout de même un directeur qui fait souvent 3 séries par an, et là cette saison il en a 2 en même temps : Nisekoi (débuté la saison précédente) et Mekaku City Actors. De plus le mois prochain il nous proposera en spécial l'arc final de la seconde saison de Monogatari.
Il est omniprésent sur la scène et il travaille clairement à la chaîne - même si naturellement il n'est jamais seul à bord.
C'est sans doute un bourreau de travail, mais à force d'enchaîner les projets (série, film, spécial ou autre) sans discontinuité, cela joue contre lui et a pour conséquence qu'il est en mode automatique sans doute trop souvent.

Les coups de coeur :


Courtesy of Zettai Karen Children: The Unlimited – Hyobu Kyosuke
J'ai adoré l'histoire et les personnages, et ça m'a méchamment donné envie de vite les retrouver à travers le manga Zettai Karen Children. Les combats et les quelques pouvoirs qu'on a pu voir étaient bien cool et l'idée de centrer le récit de ce spin-off au manga autour du principal antagoniste m'a beaucoup plu, en grande partie grâce à une galerie de personnages très attachantes. Et Kaoru m'a l'air franchement bien délirante comme héroïne ^^


Toaru Hikuushi e no Koiuta
Gros coup de coeur pour ma part. Pourtant, l'histoire n'est pas bien formidable, les personnages sont très simples et bien qu'assez attachants s'effaceront vite de ma mémoire. Je ne saurai pas vraiment trouver d'arguments qui expliqueraient les raisons de mon attachement à cet animé ou révéler les qualités que je lui trouve. J'imagine que c'est une question de sensibalité et personnellement certaines scènes m'ont sacrément pris aux tripes. A commencer par les scènes de combat aérien que j'ai trouvé incroyablement prenantes avec quelques moments de grande tension, notamment lors des épisodes 7 et 11 où de duos de personnages secondaires s'affichent en premier plan. Deux moments d'héroïsme très forts où le réalisme des situations accentue l'inquiétude que l'on peut ressentir pour les personnages menacés.
En dehors de ça, j'ai beaucoup apprécié la mythologie de ce monde qui nous est proposé, même si ça reste assez avare en terme d'informations. Et le dernier épisode offre une conclusion parfaite et émouvante, bouclant toutes les storylines des jeunes élèves en aviation tout en restant ouvert aux possibilités futures qui leur sont désormais offertes.
J'en espère vraiment une suite !


Sekai Seifuku: Le complot de Zvezda
Où quand une sale morveuse capricieuse dotée d'un pouvoir incroyable se retrouve à la tête d'une organisation terroriste farfelue ayant pour ambition de conquérir le monde !
Un délire total de bout en bout défiant toute logique, des persos qui déchirent et un épisode final synthèse de toute une saison qui m'a fait pisser de rire. C'était extra ^^ Et les dernières secondes qui teasent une suite possible qui a l'air d'être encore plus bordélique que celle-ci !!


D-Frag
Complètement barré, je suis allé de fou rire en fou rire. Succession de gags tous plus cons les uns que les autres, ça n'arrête jamais ! Mention spéciale aux techniques spéciales élémentaires de nos héroïnes, au pote du héros ultra pervers et masochiste ou encore à la principale antagoniste apparaîssant tardivement, une sale gosse bien barge elle aussi, dotée du "super pouvoir" le plus fendard de tous les temps et de toutes les galaxies !!!!!


Tonari no Kaibutsu-kun
Gros coup de coeur pour cet animé, même si j'ai vite déchanté et ai été très déçu sur la seconde partie de la saison. Une histoire d'amour assez touchante entre un garçon et une fille très en retrait par rapport aux autres, et qui me promettait de grandes et belles choses dès la fin du premier épisode lorsque le garçon avouait sans détour son amour à la fille, et dès la fin du deuxième épisode lorsque la fille avouait sans détour son amour au garçon. De très jolis passages avec la certidute de voir au terme de cette relation évoluant maladroitement une véritable conclusion, et non pas une fin ouverte ne concrètisant pas les attentes que l'on est en droit d'avoir sur un tel récit. Quelque chose qui m'avait vraiment frustré sur d'autres animé.
Et en fait, c'est ça. Cet animé ne va pas au bout des choses alors qu'il annonçait d'entrée de jeu la couleur. La seconde partie laisse tomber plus ou moins l'histoire d'amour pour s'attarder sur d'autres intrigues et des personnages secondaires qui eux-mêmes ne mènent à rien. Un sentiment de déception d'autant que plus grand que les premiers épisodes m'ont passionné et que je reste très attaché aux deux personnages principaux.

Les coups de boule


Hamatora – The Animation
Totalement conquis sur les quatre premiers épisodes de cet animé. Je me suis vite attaché à l'histoire et aux personnages qui font très Getbackers, je trouvais les combats bien péchus avec des couleurs qui pètent bien à l'écran. Mais passé le cinquième épisode et l'aspect découverte, ça a été une cruelle douche froide. Une histoire qui n'avance pas et se contente de nous refourguer des petites intrigues toutes plus chiantes et inintéressantes les unes que les autres, une impression de perte de qualité au niveau du design des persos et des couleurs qui deviennent plus ternes, et ça en devient tellement horrible qu'on en multiplie les plans fixes qui traînent sur de très longues secondes et tuent toute notion de dynamisme. On en viendrait à se flinguer par moment et je me demande encore comment j'ai fait pour tenir le coup jusqu'au bout...
Le pire de tout c'est que l'histoire, qui après nous avoir ennuyé durant toute la saison, crache toute ses cartouches qu'elle gardait jalousement en réserve pour nous proposer un final foutrement intéressant et qui donne envie de connaître la suite. Terriblement frustrant.

Oui: c'est exactement cela. En bon béotien que je suis, je découvre le bonhomme, n'ayant pas fait attention au fait que celui qui est derrière Nisekoi était le même que celui derrière nombre de séries que vous avez souvent plébiscitées ces dernières années/saisons. En tout cas, pour le néophyte, et dans un registre "populaire" (adaptation d'un succès random du Jump), ça fait son effet et c'est assez bourré de qualités.

Ca me confirme encore une fois qu'il faut que je regarde les Monogatari and Co. Le souci étant que le temps n'est pas extensible... M'enfin clairement Nisekoi m'a donné envie de voir plus de ce réalisateur.

Heureux de voir Cielo que le spin-off animé consacré à Hyobu Kyosuke te donne envie de te mettre à Zettai Karen Children ^_^
Pour ma part je me le garde en réserve car de ce que j'ai vu il se déroule durant la (première) ellipse du récit, avec certains personnages que je ne connais pas encore (très bien). Donc j'attends d'être arrivé à ce moment du récit pour le regarder.

Sinon concernant Toaru Hikuushi e no Koiuta j'ai trouvé ça aussi très sympa malgré que ce soit très classique => pour les curieux, dans ma review j'ai utilisé le nom anglais de la série, Love Song of a Certain Pilot.

Sinon pour finir sur Shinbo, je trouve que Nisekoi a vraiment beaucoup de chance que ce soit lui qui réalise son adaptation animée! Là le manga a droit à une vitrine qui le sublime clairement (selon ton avis seleniel).

Ouais mais y'a HanaKana* qui prend sa voix Nadeko**-like et je supporte plus quand elle fait ce genre de voix donc j'arriverai jamais à me mettre à l'anime de Nisekoi*****.

*Kana Hanazawa, Seiyuu populaire de ces dernières années qui n'a pas moins de 7 rôles cette saison et qui a doublé entre Kuroneko de OreImo, Kanade d'Angel Beats, Kobato de Haganai, Charlotte d'Infinite Stratos ou*** Mikan de To LOVE-RU.
**Nadeko, une des héroïnes de la série des Monogatari qui est au coeur de la 2e saison de l'anime. C'est le rôle de Nadeko dans Bakemonogatari qui a lancé HanaKana en 2009 et c'est pour ce genre de voix "Moe" qu'elle est connue et appréciée****.
***Je dis ou parce qu'elle a un peu doublé la moitié de l'univers ces derniers temps donc allez-voir directement sa fiche genre sur MyAnimeList.
****Ce qui est particulièrement dommage parce que j'aime bien quand elle prend des voix plus matures genre Chiaki de Mouretsu Pirates, Sakura de Binbougami ga! ou la Kaichou du tout récent Mahouka*****.
*****C'était ma contribution à la discussion sur Nisekoi mais pour revenir à Shinbo, je partage l'avis d'ange bleu quand il dit qu'il fait du travail à la chaîne ce qui aboutit à toujours la même chose******.
******En vrai, j'avais juste envie de mettre plein d'étoiles de partout.

33 secondes de Sakuga* durant un concert dans le 3e épisode de Love Live! S2. Par le groupe rival. C'est vraiment le Boss final de l'anime.



Pour ceux qui ne suivent pas forcément, les concerts par les héroïnes de Love Live! mélangent la 2D et la 3D, comme vous pouvez le voir sur le concert des héroïnes pendant le même épisode.



Ouais, y'a eu deux concerts dont un en full 2D dans le même épisode. Surtout qu'on avait souvent rigolé que le groupe rival sert lui en full 2D pour montrer l'opposition. Quand Sunrise l'a fait, Internet est devenu fou, j'avais plus vu ça depuis longtemps.

*Vous êtes pas forcément au courant de ce qu'est un Sakuga du coup, je vais en profiter pour l'expliquer. Dans un épisode, il y a un poste qu'on appelle Animateur Clé, abregé en KA pour Key Animator, qui est en charge, comme son nom l'indique, de toutes les frames principales d'un mouvement. Ce KA peut ou ne pas être le directeur de l'anime. Imaishi par exemple est à la fois directeur et un des KA de Kill la Kill. Un anime qui a une équipe potable a au moins 3 KA qui tournent. Love Live! S2 tourne à un peu plus d'une dizaine par épisode, c'est n'importe quoi. Après, les Key Animations, pour raccorder les frames, vient un In-Between Animator, qui va dessiner les frames manquantes. Le KA, c'est quelqu'un qui a de la bouteille et qui est donc bon dans ce qu'il fait, en l’occurrence l'animation. Les frames intermédiaires sont elles par contre confiées soit à un débutant soit externalisées à l'étranger, par exemple en Corée ce qui explique pourquoi certains noms sont en romanji dans les génériques. Lorsque le KA s'occupe de l'intégralité du mouvement, on parle de Sakuga. En général, un Sakuga dure entre 2 et 7 secondes, soit une durée relativement courte à l'échelle d'un épisode. Si la scène peut être réutilisable, elle est souvent plus longue, comme par exemple une transformation de Magical Girl qui revient à chaque épisode. Un Sakuga se repère facilement puisque c'est un passage qui est bien plus fluide et bien mieux animé que le reste des scènes. En général, un film/OAV a tendance à avoir plus de Sakuga parce qu'il y n'a pas ce rush hebdomadaire pour sortir un épisode. Prenez Little Witch Academia ou le film d'HeartCatch! PreCure par exemple, c'est un peu du Sakuga porn. Côté anime hebdomadaire, le concert d'Haruhi était aussi orgasmique mais KyoAni est connu pour être très bon sur ses plannings et peut donc se permettre plus de Sakuga que les autres studios vu qu'ils sont moins en rush total. Plus proche de nous, prenez Noragami chez Bones ou Gundam Build Fighters chez Sunrise qui ont vraiment été bichonné par leur studio respectif de ce côté-là.

J'ai parlé des noms dans les génériques donc je vais en profiter pour expliciter aussi. Les gens qui traînent dans l'Antre du Fanboy sont en général des gens qui ont l'habitude de mater des animes / veulent s'y connaître plus donc ça va forcément vous intéresser. Il y a 3 manières de marquer un nom dans le générique d'un épisode, en kanji/hiragana, en katakana ou en romanji. En kanji signifie que c'est un jap qui a fait le boulot, pas de problèmes de ce côté là. Si le nom est en romanji ou en katakana, cela veut dire qu'un étranger a eu un rôle dans l'anime. Par contre, ce rôle est complètement différent selon l'écriture. En romanji, cela signifie juste que le taf a été externalisé et que c'est des étrangers, des coréens ou des chinois en général, qui ont réalisé le boulot, en général de l'in-between. De la sous-traitance dans la production de l'anime quoi. En katakana, c'est aussi un étranger qui a travaillé sur l'anime mais là, il a fait du vrai travail dessus. Prenez le générique de Space Dandy, Thomas Romain, notre bon jeune français sorti des Gobelins il y a quelques années et qui taffent maintenant pour le studio Satelight, est crédité en katakana puisqu'il est Mecha Designer sur l'anime. Un étranger qui a son nom en katakana dans les crédits d'un épisode a réussi dans l'animation japonaise là où un étranger avec son nom en romanji est juste un sous-fifre qu'on a payé à coup de lance-pierres pour faire un travail dont personne ne veut.

Pour en revenir à Love Live!, on était là, tranquille à mater l'épisode et tout à coup, bim, concert entier en full Sakuga. Comprenez que c'était un peu le bonheur.

D'ailleurs, si vous avez envie de voir des vrais beaux morceaux de Sakuga, y'a quelques fous qui tiennent un Sakugabooru et c'est un peu de la bonne. Même si bon, dans les faits, je suis pas tant Sakuga-fag que ça, JCC l'est beaucoup plus que moi.

Et à la base, je voulais juste poster telle qu'elle la vidéo d'A-RISE en train de danser, j'ai fini par pondre deux paragraphes sur l'animation japonaise, tss. Fin cela dit, si y'a des points que vous voulez éclaircir, n'hésitez pas, je devrai pouvoir vous répondre.

Je l'ai découverte hier soir : si Miyazaki faisait des animés "classiques" ?

AKB0048 : 26/26 épisodes

AKB0048 est un animé basé sur le groupe de Jpop AKB48. Bon je ne vais pas m'étendre sur AKB48, vu que je ne connais pas le groupe plus que ça (voir le lien wikipedia pour les curieux).
De façon surprenante c’est un animé de SF, lorgnant du côté de Macross : Après la destruction de l’écosystème de la Terre, l’humanité s’est répandue dans l’espace en colonisant plusieurs planètes. Parce que l’entertainment perturbe le cœur des gens, il a été banni de cette nouvelle civilisation, unie sous la bannière du DGTO. Néanmoins il existe un groupe d’idols, AKB0048, qui s’oppose à cette interdiction. Considéré comme des terroristes, le groupe est chassé par les forces armées du DGTO et leurs concerts sont la cible d'une violente répression.
En clair et pour faire simple, ce sont des idols qui combattent un système totalitaire. Comme pour AKB48, il s’agit plutôt d’une troupe que d’un groupe à proprement parlé. Ainsi pendant que les titulaires sont sur scène, les débutantes assurent la sécurité du concert (à bord de mecha). Sachant que leurs micros sont également des sabres lasers, les titulaires peuvent se battre - ce qui est arrive systématiquement en fait^^
Le récit suit un groupe de débutantes qui intègre AKB0048 au début de la série, et alterne leur apprentissage (pour devenir titulaire) et leur lutte contre le DGTO. Les débutantes sont doublées par des membres de AKB48, tandis que les titulaires par des seiyû professionnelles.
L’animé est produit par Satelight et c’est Shôji Kawamori (Macross, Escaflowne) qui est au commande. On reconnait facilement son style lors des combats et le rapprochement avec Macross est au final naturel (on zappe les militaires pour placer directement les idols sur le champ de bataille^^) - c'est amusant de voir des bâton lumière de concert se changer en missiles^^
Pour ma part j'ai trouvé ça très bien, avec un final de saison 1 intense et une saison 2 enchaînant les situations et les séquences palpitantes. Il y a beaucoup de personnages (entre les titulaires et les débutantes) et s'il y a celles clairement au premier plan, elles sont toutes très bien caractérisées et le récit sait leur ménager leur moment. Si Yuuko et Takamina tiennent drôlement bien leur rôle de titulaires expérimentées, et si le groupe principal des 9 débutantes est très sympa à suivre dans l'ensemble, ce sera assurément Mimori qui m'aura fait pleurer toutes les larmes de mon corps lors de la saison 2^^ Ils ont vraiment bien ménagé l'évolution et de développement de tous ces personnages, même si Nagisa, aura été trop hésitante trop longtemps (syndrôme du personnage principal qu'on ménage pour le grand final) - mais j'aime bien la combinaison qu'elle forme avec Chieri (qui lui vole tout de même la vedette lors du concert final je trouve).
A cela s'ajoute une petite dose de mystique avec la radiance des Idols, le "pouvoir" des Center Nova ou encore les "successions"... Le tout pour un mélange détonnant mais qui tient bien la route (j'aime aussi comment certains tics sont mis en scène comme les photos de Yuuko lors du concert final).
Bref c'était vraiment surprenant et très bien!

Ben-To : 12/12 épisodes

Adaptation d'un light novel, c'est une production de David Prod (Jojo's) tout à fait étonnante ! Schématiquement c'est assez simple, c'est de la baston type street fight avec une bonne dose de fan-service mais les mises en situations et les personnages sont quand même hors-normes !
Les supermarchés en fin de soirée mettent leurs Ben-To à moitié prix et cette tradition en a fait naître une autre : les plus forts combattants des villes se trouvent ainsi chaque soir pour se battre et obtenir ces quelques Ben-To.
Nous avons donc une hiérarchie avec les plus forts portant des titres (Ice Witch, Wizard, etc.) et un système de territoires - les supermarchés de l'ouest de la ville étant dominés par la Ice Witch.
Tout commence lorsqu'un innocent lycéen, nouvellement arrivé en ville et sans le sous, va vouloir acheter un soir un Ben-To à moitié prix. Il va alors découvrir que ces Ben-To doivent se mériter !
C'était très fun, avec des personnages hauts en couleur - entre la fan de Yaoi, la Yuri possessive ou encore la poisseuse il y a de sacrés cas pathologiques^^ - à cela s'ajoute plein de petits détails sympa comme le fanboyisme SEGA ou encore la brunette-dont-on-ne-voit-jamais-le-visage. Les situations sont souvent elle-mêmes très hyperboliques (le lycée avec des gardiens qui utilisent des fusils d’assauts ou des grenades^^). Les combats sont très bien fichus, dynamiques et vraiment bien animés/mis en scène, et surtout finalement assez variés. A cela s'ajoute un fan-service appuyé mais bon enfant.
Vraiment un animé excellent et qui propose tout de même un vrai récit, intense avec une conclusion -anti-climax- vraiment très jolie.

Je ne poste plus très souvent par ici puisque j'ai plus trop le temps de parler de ce que je regarde au quotidien, néanmoins je pense que pour une fois une étape par cette antre s'impose ; en effet, je viens de terminer PING PONG THE ANIMATION et c'était tellement grave cool tout du long que tout le monde devrait absolument regarder.
Bon déjà pour ceux qui connaissent pas trop PING PONG à la base c'est un putain de manga en cinq tomes qui déchire sa race de Matsumoto, c'est-à-dire le mec qui est également AMER BETON (ouais ça met la barre haute déjà). Du coup, comme vous devez vous en douter, ça parle de gens qui jouent au ping pong, logique. Mais attention, ne vous enflammez pas : même si vous n'aimez pas ce spor tout à fait charmant, celui-ci n'est qu'un prétexte plutôt stylé pour mettre en scène des personnages en quête d'eux-mêmes ainsi que des batailles titanesques entre des caractères qui diffèrent énormément. Bref c'est top cool quoi.

'Fin du coup même si le manga est déjà très bien, l'anime est à mes yeux encore mieux. Pour faire viteuf, il est entre autre réalisé par Yuasa un pur génie de l'animation qui est entre autre derrière MIND GAME ou KAIBA, qui s'est entouré pour le coup d'un staff vraiment talentueux. Et ce qui est bien dans ce projet, c'est que toute l'équipe a vraiment respecté du début à la fin l’œuvre original et son esprit, tout en prenant le luxe d'aller plus loin en nous proposant une mise en scène absolument oufffffiissssimmeee, qui déboite tellement.

Beaucoup de gens parlent de la troisième saison de JOJO'S comme étant l'anime le plus badass & épique de la saison, mais je pense que vous surestimez grandement STARDUST CRUSADERS ; enfin bref, quoi qu'il en soit tout ça pour dire que PING PONG a également beaucoup à vous proposer si vous voulez passer un moment devant un titre qui met bien la patate, qui a une originalité graphique ainsi qu'une réalisation propre à elle-même et qui en plus se permet d'avoir des thématiques plutôt fortes. Puis y a du ping pong et objectivement c'est vraiment le meilleur sport du monde.

Je vous laisse avec l'opening, ça devrait vous mettre l'eau à la bouche.
(pour info la série est terminée et est disponible chez wakanim.)

Avec un peu de retard, mon compte-rendu de la saison de printemps au cours de laquelle j'ai suivi 7 séries.



No Game no Life : 12/12 épisodes – 8/10
La découverte et mon coup de coeur de cette saison : j'ai adoré et c'était l'animé dont j'attendais avec le plus d'impatience l'épisode chaque semaine - parce que bon ils savent teaser leur affaire^^
C'est adapté d'un light novel : un frère et une soeur NEET ne vivant que pour les jeux sont projetés dans un monde fantastique où tous les conflits et les problèmes sont réglés justement par des jeux. Ce monde est peuplé de 16 races différentes, classées selon leur puissance et plus particulièrement par rapport à leur affinité à la magie. Les humains sont tout à la fin du classement tout simplement parce qu'ils ne peuvent pas utiliser la magie. Ils sont donc considérés comme les losers ultimes, dont on peut facilement se jouer. Mais ça, c'était avant l'arrivée de notre fratrie, qui va démontrer que les faibles ont leur propre façon de se battre.
L'animé pétait de couleur et de fan-service dans tous les sens, avec pas mal de clins d'oeil et de références, mais c'était aussi très haletant de voir la progression de nos héros : leur but est d'affronter toutes les races pour enfin avoir le droit d'affronter leur Dieu de ce monde.
Bon concrètement on est encore loin du compte, nous n'avons tourné qu'autour de 4 races, mais c'était déjà très très bien : de belles parties et des personnages simples mais très sympas et efficaces. Eh puis bon, j'aime bien la maxime de Sora et Shiro : "Blanc" ne perd jamais. Et effectivement ils ne perdent jamais et c'était toujours très fun de voir comment ils déjouent les pièges de leurs adversaires.



JoJo's Bizarre Adventure: Stardust Crusaders : 15/?? épisodes – 8/10
Bon inutile d'épiloguer, mes reviews ont débuté ici. L'animé est toujours très bien, et rend assez bien justice au manga, par contre dommage que le rythme soit plus lent. Nous avions eu 24 épisodes pour couvrir 12 tomes, et cette fois-ci il est annoncé 4 cours (~ 48 épisodes) pour couvrir 16 tomes. Forcément on perd en dynamisme et en intensité. Le rythme est plus pépère, même si ce n'est pas dramatique non plus.


Sidonia no Kishi [Knights of Sidonia] : 12/12 épisodes – 7/10
Reviews ici. C'était étonnement classique et générique pour du Tsutomu Nihei. C'était sympa, bien fichu, avec des situations de guerre plutôt cool, mais on reste tout de même sur notre faim. Il y a du potentiel, et on nous fait miroiter des choses mais on ne nous donne pas grand chose. A suivre en saison 2.


Soredemo Sekai wa Utsukushii [The World is Still Beautiful] : 12/12 épisodes – 7/10
Reviews ici. Adaptation soignée d'un shôjo manga fort classique. Rien de surprenant ou d'original, mais les personnes aux commandes savent raconter une histoire, et ça se voyait : bon rythme entre passage comique et moment sérieux, une très jolie insert-song, mais sans doute trop utilisée et le récit avançait bien, enchaînant les histoires à un bon rythme, ce qui rend le tout plutôt dense l'air de rien.
L'exemple typique de l'adaptation simple mais diablement efficace.


Captain Earth : 15/25 épisodes - 6/10
La série de mécha du studio Bones. Le scénario part un peu dans tous les sens, et c'est clairement inutilement compliqué - le début avec tous les personnages, les organisations et les noms "techniques" se la joue un peu à la "Eva", mais au final l'histoire est plutôt simple.
Caché au public, une race extra-terrestre ayant la forme de mecha-monstre tente d'atteindre la Terre. S'ils y arrivent, alors c'est Game Over (comme dans "Eva"). Pour les combattre, on a été conçu un mecha spécial mais il faut une capacité spéciale pour le piloter. Notre héros, un ado, se trouve justement doté du fameux "pouvoir" qui prend la forme d'un pistolet qu'il peut invoquer. On suit un groupe de 4 héros ados : 2 garçons et 2 filles.
Bon le début était amusant, mais rapidement on est parti dans un arc à la recherche des avatars-terriens des "méchants" pas super passionnant. Mais les derniers épisodes étaient sympa, avec l'histoire du boxeur et puis surtout le level-up d'Hana - avec Akari, les personnages féminins s'en sortent plutôt bien dans la série.
Bon ça reste très générique, mais il y a parfois des éclairs de badasserie, des passages inspirés, qui surprennent.


Mekakucity Actors : 12/12 épisodes - 6/10
Reviews ici. Pour résumer mon sentiment, c'était laborieux. C'est sensé suivre un groupe de personnages, attachant car de marginaux, reposant sur le mystère/secret qui les lie, mais ça n'a pas fonctionné. La partie découverte/présentation tombe rapidement dans l'exercice de style et les personnages n'ont pas grand chose à raconter. Trop hype sans doute, et la fin est rushée, avec des choses zappées j'ai l'impression. L'exemple typique est Shintaro qui une fois sa présentation passée, passe en mode passif jusqu'au dénouement où tout à coup il est capable de résoudre l'intrigue (quant à savoir d'où sort son histoire avec Ayano...)
Le concept et l'univers sont clairement bons, mais ça été raconté n'importe comment...


Nobunaga The Fool : 24/24 épisodes - 5/10
Avis final ici et c'était pas terrible. Pour citer DS, je n'ai pas compris ce qu'était sensé raconter. Il n'y a que le personnage d'Ichihime qui était un peu sympa, car pour le reste, on se demandait souvent ce qu'ils faisaient là...


A ces séries s'ajoute une petite session Lupin III que j'ai débuté (j'en ai encore quelques autres à regarder) :



Lupin III: Dead or Alive - 1996 - Film
Contexte : une île tombée sous le joute d'un militaire et qui est célèbre pour le "trésor" laissé par l'ancienne famille royale. C'était cool avec pas mal d'actions, des pitreries de Lupin et l'amourette m'a surpris. Ce film a la particularité d'avoir été supervisé par Monkey Punch et ça se sent via la violence et l'ambiance assez mélancolique.


Lupin III: Kutabare! Nostradamus - 1995 - Film
A Rio Lupin dérobe un diamant, mais voilà que son butin va être embarqué dans un conflit opposant une secte et un puissant homme d'affaire américain candidat à la Maison Blanche.
C'est plutôt rondement mené, on passe de la jungle à un immeuble ultra-moderne et surtout gigantesque. Après le reste c'est du classique mais l'action et l'humour fonctionne bien, avec une salles aux "trésors" assez WTF^^



Lupin III: Chi no Kokuin - Eien no Mermaid - 2011 - TV Spécial
Lupin se retrouve engagé pour retrouver le trésor d'une légendaire sirène du folklore japonais. C'est du niveau d'un épisode de série TV, mais le coup de la jeune fille qui se proclame apprenti de Lupin est amusant. L'action et l'humour est "OK", mais l'épilogue avec le grand-père de Lupin (aka Arsène mais on ne peut pas le nommer ^_^) était cool. Bon rien de reversant, même un peu paresseux mais ça allait grâce à certaines idées donc.



Lupin III: Bye Bye Liberty - Kiki Ippatsu! - 1989 - TV Spécial
L'histoire est complètement WTF O_o Il y est question d'un virus informatique (ah la vision romantique de l'information dans les années 80's), du vol par Lupin de la statue de la Liberté et d'un peu de magie satanique.
C'est un peu inénarrable, tant l'histoire va dans tous les sens, mais l'ensemble tient grâce à une narration plutôt bien menée. On retrouve le côté tragique de l'univers de Monkey Punch, avec le destin du premier rôle féminin... assez étonnant.



Lupin III: The Fuma Conspiracy - 1987 - OAV
Goemon va se marier lorsque la demeure de sa future belle-famille est attaquée par un légendaire clan de ninja, recherchant un ancien trésor.
Une petite aventure sympa dans la lignée des séries TV de l'époque. L'intrigue et l'ensemble était classique mais efficace, et la petite originalité vient de la présence de la fiancée de Goemon ^_^