Épisode 11 : Ne dites pas que je suis mignonneCet épisode se rapproche davantage de la canonnade ininterrompue que d'autre chose... Mais que de retournements de situations en série ! Je sors enthousiaste de cette nouvelle expérience, où une nouvelle fois les cartes sont redistribuées.
Dans la veine de la semaine dernière, j'ai adoré la fin de l'affrontement entre Ryûko et Nonon. Ce qui est cool, c'est de constater que la stratégie de cette dernière ne se basait pas uniquement sur la maîtrise des airs : son rappel a failli faire son effet, si tant est que son adversaire n'ait pas la capacité d'adaptation du tandem Ryûko/Senketsu.
À partir de la fin de ce combat, c'est
Sacrée soirée dans le verbe... Ragyô et sa boîte sont dans la place ! Finalement, la mère de Satsuki se révèle être à la tête d'un quatrième groupe plutôt qu'un soutien de sa fille ; ça risque d'être intéressant à découvrir... Ils ne vont quand même pas oser justifier le comportement de la fille par une folie encore plus prononcée et moins morale chez la mère ?!
Et puis, quelle bombe lâchée par la grande couturière Nui... Est-ce qu'elle est réellement la meurtrière du père de Ryûko comme elle semble l'indiquer ? Même si elle possède une moitié de ciseaux, je reste quelque peu perplexe : le sien est violet et son design ne ressemble pas à celui de Ryûko. Après, peut-être que pour ce dernier point, il s'agit tout simplement de la partie supérieure de ces fameux ciseaux... Pour l'instant, je ne suis pas convaincu, j'ai davantage l'impression que c'est un stratagème pour obliger Ryûko à se battre contre quelqu'un qui n'a pas de costume Goku.
En tout cas, elle impressionne la grande couturière grâce à sa connaissance avancée des vêtements : défoncer grâce à un coup d’œil et son petit doigt un costume Goku trois étoiles, ça redistribue assurément les cartes sur les rapports de force dans la série. Il est aussi bienvenu de comprendre grâce à sa démonstration de force quelle est la fibre vivante que Ryûko récupère à chaque victoire.
Vivement la semaine prochaine pour retrouver on peut l'imaginer l'explosion d'une colère dantesque de Ryûko, mais aussi retrouver la petite vie du merveilleux bancs des loosers, les agissements du Nudist Beach fasse à ce défilé ininterrompu de costumes dangereux ainsi que l'attendue arrivée de la famille du charlatan dans les gradins !