Hier j'ai vu un super épisode de Hentai/ecchi déguelasse.
Donc grosso modo je ne suis pas très satisfait.

Après l'épisode 1 c’était : mais encore ?
L’épisode 2 me proposait un : oui.
Ce dernier était un gigantesque : NON.

Techniquement j’ai rarement vu un épisode aussi dingue et abouti. C’est plus qu’une gifle c’est tsunami qu’on se prend dans la tronche. Mais alors, le design, je …buh =X excusez moi j’ai de puissant vomissement depuis hier. Le scénario est bâclé en quelques minutes pour permettre à la série de s’étendre sur une multitude d’épisodes. Ouais parce que bon l’héroïne fais déjà quasiment jeu égal avec son adversaire du coup le suspens est l’intérêt des prochains épisodes juste pour l’atteindre va être… ho excusez moi un trou noir. Donc ouais grosso modo le scénario va être plus qu’ultra poussif et mauvais tel que je l’imagine.

Le plus gros problème c’est le design, les transformations, et les angles choisis. Alors ok c’est voulu. N’empêche que quand on veut mettre du fan service et de l’ecchi dans un anime on s’arrange pour que cela soit agréable à l’œil et pas gerbant comme cet immonde (et encore j’insulte les immondices là) épisode 3. La transformation de Satsuki c’est encore plus dégelasse que celle de Ryuuko là. Et ouais je suis vulgaire parce qu’à un moment faut arrêter. Les plans de 10-20 secondes ou on voit 90% de poitrines. Les vêtements qui rentrent complètement dans les vagins. J’ai juste envie de dire on est où là ? Dans un délire de gros pédophile pervers adepte de bondage. Donc NON, simplement NON. La série est déjà menacée de drop de mon côté.

Une excellente animation ne pardonne pas tout.

C'était juste énorme... J'adore ! Un gigantesque OUI! Pour ma part :D. Je marre je frissonne... Tout ce que j'attend d'une bonne série anime. Contrairement à Keisuka je suis presque sûr que le studio va encore nous prendre à contre-pied et offrir une intrigue bien plus poussée que ce que les dernières minutes de l'épisode laissent penser (ce fil directeur de l'intrigue pourrait très bien passer au second plan). Jouer avec les codes du genre d'une manière aussi délirantes ça me plaît juste énormément et pourtant à priori je déteste le fan service erotique, mais là ils vont tellement loin dans le délire auto-dérisoire que ça me fait juste marrer et ça donne même du cachet suplémentaire à l'ambiance de l'anime, bien fun avec des partis-pris trés assumé et sans retenue.

Bref, pour moi c'est déjà le meilleur anime de l'année j'attend beaucoup de la suite, le hype est cette fois totalement mérité ! Une vraie perle cette série *_* j'attend beaucoup de la suite :D

Bon ben moi je n'en suis encore qu'à l'épisode 2 (vous êtes tous trop au taquet, là!!), et j'ai beaucoup aimé une fois de plus. Le côté décalé fonctionne très bien, notamment par les side kick (Famille de Mako en tête, prof d'histoire juste derrière). Le coup du match de Tennis m'a bien amusé et après l'adversaire garçon, c'est drôle d'avoir la fille.

Reste que les enjeux sont bizarres pour le moment: idée de conquête "simple", associée à la dimension militaire des uniformes scolaires japonais (c'est pas idiot comme propos n'empêche). Ce ne peut pas suffire pour construire une action cependant. De même, ça va super vite: le régime des étoiles semble déjà dépassé tout comme le système des clubs lambdas à affronter. Il y a un truc qui va complètement péter dans le déroulement de l'action à un moment donné, ce n'est pas possible sinon.

Vais essayer de voir le 3 ce week-end pour me tenir à jour: pas lu le détail mais ça semble davantage diviser les avis!

Episode 03 : Junketsu

Une robe de mariage qui demande le sang de la promise pour être portée...
Des Dieux vivants qui sont au delà de la morale et des lois du monde des mortels...

Un épisode assez démentiel et qui propose un avant goût du possible combat final, combat qui a un sacré punch quoi *_* Ca va vite, ça défie la gravité et ça fait tout voler en éclats!
Le motif c'est donc que les dieux n'ont pas besoin d'être habillé, leur pouvoir émane de leur corps même - le kamui fusionnant avec la peau du porteur. On revient au temps mythologique là^^ Sinon pour avoir revu les scènes, la poitrine de Satsuki-sama est bien plus développée hein. Les transformations sont vachement cool et leur dimension sexuelle ne me dérange pas personnellement.

L'épisode semble achever la phase d'exposition avec maintenant des pouvoirs clairement définis, ainsi que le contexte de la première ligne droite. Il ne reste plus qu'à voir comment cela sera traité car effectivement Ryûko semble avoir atteint un niveau de puissance d'intouchable pour les mortels. L'objectif de Satsuki-sama étant la production d'uniformes vivant à fort pourcentage, on peut penser que Ryûko va servir de cobaye. Et quid du kamui de Satsuki-sama ? C'est vrai que sa posture céleste implique qu'elle ne peut pas être le sujet de ses propres recherches. Et sinon nous avons d'un côté une figure de père seul et de l'autre uniquement pour le moment l'évocation d'une figure maternelle. A creuser ?

Et comme toujours le show spécial Mako était parfaitement calibré^^

Bon. J'ai lancé le premier épisode cet après-midi et du coup j'ai rushé les deux autres : c'est quand même sacrément prenant une fois lancé. Par contre, une fois arrêté.. ben j'ai un peu l'impression d'avoir regardé un truc drôlement creux :/

Du point de vue de l'animation je n'ai rien à redire, c'est juste magnifiquement bien animé et ça joue agréablement sur les plans fixes et les dynamiques ; la direction artistique est toute aussi superbe, mais - et c'est un gros mais - on ne peut pas en dire autant du chara-design.. Ça ne m'a pas choqué outre mesure, une fois passé l'étape « da fuk is that shit ? » on s'habitue rapidement, mais quand même.. Je rejoins un peu keikei (sans être totalement d'accords) : à un moment ils ont du consommé quelque chose de pas net, parce que là c'est carrément vulgaire.

Surtout que ça va un peu en contradiction - je trouve - avec l'aspect nekketsu très bon enfant qui règne le reste du temps, j'imagine que l'aspect dichotomique de la chose est voulue, mais je ne trouve pas que ça fonctionne très bien pour ma part. Et puis paye ta justification complètement naze scénaristiquement parlant.

C'est d'ailleurs un peu le truc qui me fait tiquer actuellement : le scénario est vraiment limité à son strict minimum avec, grosso modo, une simple rivalité exacerbée entre les deux protagonistes principales. Sans parler de l'univers qui se résume à la ville (dont on ne sait rien..).
Jusqu'ici j'ai été happé par l'action trépidante et les délires bien sentis - big up au prof d'histoire et à Mako (qui est LE personnage de l'animé) -, mais au bout de dix épisodes ça risque de devenir lassant. Surtout que la "rupture" prédite par Seleniel - qui semblerait logique et nécessaire somme toute - ne semble pas près d'arriver, avec cette fin d'épisode 3 qui entérine le modèle de la succession bêbête de combats..

Enfin bref, pour l'instant je ne sais pas trop quoi penser de Kill la Kill, c'est un énorme délire incroyablement divertissant, mais si le scénario n'arrive pas (vite), je risque d'avoir un avis plus tranché et ce serait bien dommage, au vu des qualités de la réalisation.

Et si cette série n'avait pas un scénario fouillé, voire un scénario considéré académiquement à minima comme riche, elle serait automatiquement une mauvaise série ?

Pour ma part, je ne vois pas (encore ?) le problème arriver si la série joue la carte de l'intrigue simpliste sur le papier : le périple vengeur d'une personne qui cherche à atteindre son ultime cible, quitte à balayer des armées de sous-fifres devant elle pour réaliser cet objectif, ça me semble quand même être le fond de commerce de bon nombre de choses qui ont marqué divers arts depuis Homère au VIII ème siècle avant JC (ouais, et le prof d'Histoire 3D>2D qui fait réviser ses gamins pour le Brevet s'émeut du 30 janvier 1933 qui devient le 10 dans Kill la Kill, monde cruel). Avec la structure qui semble se dégager, pour le peu que l'affrontement de la semaine déboîte et que l'on ait une ou deux interventions comiques à côté, je trouve qu'il y a de quoi se divertir avec des éléments de qualité avec cette série.

En fait la question serait plutôt : est-ce que le scénario est vraiment le point central pour avoir une bonne histoire ? Personnellement je pense que le plus important c'est surtout d'avoir une bonne narration, en jouant habilement sur le rythme et sur les éventuels rebondissements ou sur les interactions entre les différents protagonistes. Il y a d'ailleurs d'excellentes séries qui ne reposent que sur ça et qui n'ont tout simplement pas de scénario global (Oz, Breaking Bad, je pense très fort à vous). Donc non, l'absence de scénario n’entraîne pas forcément la nullité d'une oeuvre.

Sauf qu'ici, ben on a pas grand chose à se mettre sous la dent : la narration est incroyablement plate avec toujours le même schéma (« je monte en haut, je me fight cinq bonnes minutes et je redescends dormir chez les fous du village »), surtout que le schéma étrange à base de journée fonctionne mal pour ma part ; et les personnages ne sont pas très très développé en dehors de leurs archétypes - limite c'est Mako qui parle le plus.. Et je ne parlerais pas du background complètement inexistant jusqu'ici.

Ensuite est-ce qu'une mauvaise histoire entraîne nécessairement que l'oeuvre est mauvaise ? Ça j'ai envie de dire que ça dépend vraiment de la personne et du média, dans les jeux vidéo par exemple, si l'aspect jeu est bon l'histoire peut passer à la trappe pour ma part. Idem au cinéma où une belle image peut à elle seule me faire aimer un film.
Par contre pour ce qui est d'une série.. Bah c'est quand même beaucoup plus important qu'il y ait une histoire pas trop dégueux : faut quand même réussir à capter l'attention pendant plusieurs semaines et même si c'est divertissant - vu que ça bouge de partout -, une fois l'épisode finit ça laisse une impression bizarre - pour ma part en tout cas - et je ne suis pas sûr qu'après une pause d'une semaine j'ai encore envie de lancer l'épisode suivant (car bon, on sait tous ce qu'il va se passer dans les grandes lignes).
Surtout si ça devient répétitif et lassant.

Par son titre et son propos (une histoire de vengeance avec un personnel très féminin), Kill la Kill m'a semblé dès le début inscrit sous le patronage de Kill Bill. (C'est peut-être une grosse projection complètement à côté de la plaque). Et le côté trash, voire vulgaire, pourrait encore une fois nourrir une lointaine filiation tarantinesque.

Reste que ce qui passe pour une chronique sur deux films ne peut pas être directement transposé dans un rythme sériel, à moins qu'à chaque épisode l'héroïne accomplisse quelque chose ne lien avec sa quête, c'est-à-dire, dans la trame de vengeance, élimine un personnage responsable de la disparition du proche. Comme ce n'est pas le cas dans Kill la Kill (les personnages éliminés sont des écrans, pas des responsables), je me dis que la trame est appelée à être bousculée, l'intrigue à se complexifier, ou simplement se ramifier. A voir...

Panty & Stocking with Garterbelt est à la base un hommage à l'animation américaine, avec la reprise de pas mal de codes et de références purement américaines. Dans les derniers épisodes il y a même eu une reprise plan par plan de séquences de Roméo+Juliette de Baz Luhrmann et de Bad Boys 2 de Michael Bay ^_^
A partir de là le lien qu'on peut éventuellement faire de Kill la Kill avec Kill Bill ne peut avoir échappé à Hiroyuki Imaishi – ça me semble impossible. Reste à voir à quel niveau cette référence peut jouer – en tant que source ou recoupement ?

Ce qui est sûr c'est que les références et les codes, la transgression des limites et l'hubris sont au cœur de l'oeuvre de Hiroyuki Imaishi.

Il est néanmoins difficile de savoir où Kill la Kill nous mènera :
- Tengen toppa Gurren-Lagann reprenait le schéma traditionnel du super-robot pour porter sa dimension nekketsu et hubris à un niveau rarement atteint. C'était démesuré et bouillonnant mais ça restait dans un déroulement plutôt classique.
- Panty & Stocking with Garterbelt : était au contraire une pure œuvre de déconstruction qui se jouait des attentes et des codes classiques pour proposer un récit anarchique fait de pied de nez et de transgression (souvent à caractère sexuel mais aussi narratif).

Ce qui est sûr ce qu'Imaishi a déjà fait du « schéma classique et linéaire » avec Gurren-Lagann et de l'anarchique / déconstruction avec Panty & Stocking. On peut imaginer un croisement des deux pour Kill la Kill, mais j'avoue pour ma part que je préfère laisser venir car au vu de ses travaux précédents tout est possible en termes de narration et de jeu référentiel^^

Entièrement d'accord avec AB, comme je l'ai dit plus haut ce n'est pas parce qu'on nous présente en fin d'épisode un certain schéma qu'ils vont forcément y rester fidèle (ce qui fait peur à tout le monde), la rupture et la transgression peut trés bien avoir lieu (comme le curriculum du réalisateur nous laisse présager, pourquoi toujours anticiper le pire?).

La trame a de quoi se complexifier, bien sûr qu'on ne connait rien de la ville encore, ni de l'univers, on en apprend petit à petit sur les uniforme, les recherches sur le kamui et les 5 étoiles et sur le passé de satsuki-sama (qui va probablement être un gros morceaux dans le développement du background) ça fait 3 épisodes quoi! On a surtout du trés trés lourd d'un coté et un début de développement de l'autre avec suffisamment de zone d'ombre pour partir dans un délire intéressant... Gurren Lagann ça commençait avec des gosses qui faisaient les 400 coup dans une ville sous-terraine, voyez comment on est parti au fin fond de l'univers à la fin! Vous craigniez vraiment la redondance ? Je ne vois pas matière à s'inquièter, en connaissant les bonhomme on a de quoi s'attendre a du bon quand même (pas qu'ils nous ferons jamais de la merde mais on a pas de quoi justifier nos inquiétudes avec ce qu'ils nous servent en 3 épisodes).

Bien sûre j'ai beaucoup d'attente et je pourrais trés bien être déçu au final mais jusqu'ici je n'ai rien vu qui puisse m'inquièter, j'entre facilement dans le délire. Gurren Lagann était classique mais savait poussé les codes du genre trèèèès loin ! Et c'était ultra jouissif, si Kill la Kill suit l'exemple et nous offre un divertissement de qualité ça restera pour moi la meilleure série de l'année, si elle fait dans rupture et la transgression des codes ce sera encore mieux !

Beaucoup aimé cet épisode 3, et pas du tout gêné par le fan service. Il me semble "justifié" à chaque fois qu'employé:
- les zooms sur la poitrine de Satsuki a clairement un fonction comique et amorce le développement sur la nudité comme façon de s'assumer
- les phases de transformations avec les seins qui rebondissent me rappellent des scènes similaires de magical girls ou encore de vieux dessins animés (cobra, galaxy express...)

Sur le fond, on a du changement brutal et une inscription dans du sériel pur. C'est troublant. Du changement brutal avec le combat final déjà entamé (c'est pas une première en termes de construction scénaristique, mais ça fait toujours son petit effet). De la continuité avec l'annonce des affrontements contre les chefs de club. Mais le teaser du prochain épisode donne l'impression d'un pause, paradoxalement. Et je vois bien un truc genre "mêlée" avant de se farcir les 3 étoiles.

En tout cas, on a bien de la marge, avec les 3 étoiles très relativiser par les god dress qui seraient (au moins...) à 10. D'ailleurs, dans l'opposition entre Junketsu et Senketsu, si on a bien vu la polarité noir/blanc, pureté/dépravation, je me demande si derrière l'aspect chromatique on n'a pas du masculin/féminin. La wedding dress en blanc de Satsuki appelle le tuxedo noir du marié. Du coup, la robe noir de Ryuuko peut faire deuil (elle a perdu son père) comme symboliquement costume de marié. A voir... Et puis l'absence des parents de Satsuki est louche: Voyage? Disparition? Recherche?

Vivement la suite!

Épisode 4 : Un matin bien malheureux



Un épisode efficace pour ma part : on a certes sous les yeux une intrigue « gratuite » qui ne fait fondamentalement pas avancer le schmilblick mais j'ai été bien amusé par les différents gags présentés tout du long. Cette course contre-la-montre mortelle à travers la ville a en effet eu l'occasion de présenter des situations bien délirantes à un rythme battant (le passage en car dans le quartier résidentiel des une étoile) tout en rajoutant une couche au caractère comique de nombreux personnages (ah, mon unique déception pour l'instant n'est de ne pas voir plus longtemps à l'écran le bouillant Ira du conseil disciplinaire...). De plus, même si c'est le temps d'un épisode, j'ai été intéressé par la folle duplicité de Maiko qui donne un cachet supplémentaire à l'enjeu ici proposé. Un bref « répit » dans l'intrigue avant de découvrir la semaine prochaine l'un des derniers personnages présentés dans l'Opening ainsi que la majorette du conseil des quatre étoiles en action apparemment.

Episode 04 : Dawn of a Miserable Morning

Un matin unique, comme il n'y en a qu'un seul par semestre...
Une amitié qui naît dans les épreuves et l'entraide mutuelle...

On se demandait tous qu'est-ce que ce premier "stand-alone" allait nous proposer : eh bien ni chef de Club et ni combat titanesque au programme. De plus Ryûko traverse tout l'épisode sans Senketsu : je me demande à quel dose ce procédé - qu'on attendait - sera utilisé ?

Sur l'épisode du jour c'est une déferlante non-stop^^ Le rythme est toujours autant endiablé et nous avons donc droit à un parcours du combattant, avec des pièges et des moyens de retardement tous plus déjantés et exubérants les uns des autres! Les répliques et les morceaux de bravoure (tournés en ridicule) s'enchaînent vraiment bien et de façon générale c'était une nouvelle fois bien fun (et déjà le détournement de l'iconographie de la série avec le passage du vol). L'attachement à des personnages passent aussi par le fait de passer de bons moments avec eux, et là j'accroche à mort aux aventures "scolaires" de Ryûko et Mako! Et Ira est parfait dans son rôle aussi^^

Le prochain épisode semble effectivement revenir au "serious busines" avec l'entrée en scène de personnages "importants".

Episode 05 : Trigger

Un homme qui ne croit pas que les humains et les vêtements peuvent vivre ensemble...
Une jeune fille dont le premier ami fut son uniforme...

Un épisode qui s'amuse une nouvelle fois avec le schéma classique en faisant intervenir un membre d'une guérilla anti-uniforme! Le personnage est plutôt cool et diablement efficace dans sa mise en scène, balayant tout sur son passage^^ Plusieurs clubs sont également passés en revu vite fait bien fait^^
Le background se dessine un peu plus avec d'un côté la confirmation que le plan de conquête de Satsuki-sama est bel et bien lancé - avec la mention d'académies qui lui sont affiliés et qui utilisent ses uniformes - et de l'autre l'existence d'une force anti-unifrome - même si pour l'instant elle semble être réduite à d'anciens "assistants" du professeur Matoi (ou approchant).
L'épisode est également l'occasion de creuser et de renforcer le lien entre Ryuko et Senketsu, et cela plutôt de belle façon.
Bref un épisode intéressant toujours sur le même mode délirant et qui fait avancer le récit!

Épisode 5 : Trigger



« J'ai deux choses intéressantes à (vous) dire » : j'ai adoré cet épisode et j'espère bien revoir à un moment donné Tsumugu le guérilleros anti-uniforme ! Quel épisode tout de même, on sent quand même le talent derrière : tout cette mise en scène pour sublimer les « armes à feu » de Tsumugu valait le détour (quel bon délire d'ailleurs que sa mitraille ressemble furieusement à des machines à coudre !).

Pour l'instant, l'introduction d'un troisième parti, le Nudist Beach, redistribue les cartes de l'intrigue : Ryûko veut la tête de Satsuki mais elle n'est pas la seule, le prof d'Histoire et son groupe n'étant apparemment que des alliés de circonstance. Comme l'a relevé précédemment Ange Bleu, on sent quand même que le Nudist Beach est formé d'anciens subordonnés du père de Ryûko (est-ce que lors de l'une de ses expériences, la petite-amie voire la femme de Tsumugu est morte comme l'indique le flashback en 4/3 – énorme ce jeu de ratio avec le 16/9 -). Va t-on voir débarquer au fur et à mesure des membres du Nudist Beach à l'académie Honnōji ?

Sinon, j'ai trouvé intéressante l'intervention de la présidente du club de musique Nonon : outre son intermède musical qui valait le détour durant le règlement de compte entre Ryûko et Tsumugu, j'ai été intrigué par sa mise en avant quand elle affirmait être une amie d'enfant de Satsuki : est-ce qu'à un moment donné, elle sera une clé dans l'intrigue pour comprendre le bakcground de sa dirigeante ?