Je profite d'avoir le net pour donner mon avis sur ce premier épisode. En un mot : wahou.
C'est hyper speed, ça part de partout, ça en met plein la vue, c'est intelligemment animé et c'est surtout hyper punchy. Subjectivement, je surkiffe.

Objectivement, j'ai tout de même un certain nombre de reproches à faire à ce premier épisode. Si je voulais être méchant, je dirais "C'est bien mais ... c'est du Go Nagai ?" On va pas se le cacher, Imaishi savait que son anime allait plaire, il n'avait rien à prouver à personne et du coup, il met plein de références à plein d'animes partout tout le temps. Ce qui fait qu'au final, ce premier épisode manque un peu d'ambition. Le MC qui tombe dans la cave de la figure paternelle (ici, le vrai père) et qui trouve une arme secrète capable de lui donner le pouvoir qu'il recherche, c'est texto le début de Mazinger Z. On a donc un truc hyper classique, ce dont on pouvait s'attendre mais tellement classique qu'il perd presque son identité propre.

Après, voilà, c'est hyper rapide et c'est peut-être trop rapide. Si l'anime veut développer ses personnages et ses sentiments, il n'a pas le choix, il va devoir ralentir. L'anime fait 24 épisodes (chiffre donné cet aprem par Heiji-sama pour ceux qui se posent la question donc on peut lui faire confiance) et il ne tiendra pas à ce rythme jusqu'à la fin.

Dernier point, mais moindre celui-là, on a pas beaucoup de Sakuga. Alors attention, je ne reproche pas à l'anime d'utiliser de la 3D sur un certain nombre de plans, ce n'est jamais un point qui m'a dérangé quand c'est bien utilisé. Je parle vraiment des passages en animations traditionnelles qui sont au final moins Sakuga-esque que ce qu'on pouvait espérer. En soi, c'est logique. On a beau les porter à nu, TRIGGER reste un petit et jeune studio qui n'a dans les faits que le budget que lui a rapporté Little Witch Academia, c'est à dire pas mal mais pas suffisamment pour éjaculer de l'argent sur chaque plan comme peut le faire KyoAni. Mais du coup, et c'est au final un point positif pour ce premier épisode, ils font très bien avec très peu. Ils déploient des trésors d'inventivité pour ne pas claquer leur budget, et c'est particulièrement visible par la présence de nombreux cellulos qui, en plus d'être une référence à l'anime d'Ashita no Joe, leur permettent de gagner un temps, donc de l'argent, précieux tout en nous en mettant plein la vue.

Au final, ce premier épisode, même s'il est loin d'être parfait, est la claque que j'en attendais. C'est à partir de maintenant que Kill la Kill va pouvoir montrer ce qu'il dans le ventre et j'en attends beaucoup de lui. Le train de la hype est lancé et il n'est pas prêt de s'arrêter.

J'ai regardé le premier épisode par pure curiosité. Je n'ai pas vu Gurren Lagann, donc ce style trèèèès particulier d'animation m'a sauté au visage comme un facehugger surexcité !
C'est vraiment déjanté et exagéré à outrance. Je suppose que c'est un peu la clé de cet animé, parce que ce côté délirant poussé à l'extrême fait passer la pilule du scénario qu'on a déjà vu dix milliards de fois. J'ai pris ça comme une lecture nouvelle d'un thème usé jusqu'à la corde, et c'est assez agréable quand on se laisse prendre au jeu.

Arme bizarre, protagoniste orpheline à poil au pouvoir unique, vengeance du père, système de nivellement de puissance, un grand méchant avec des lieutenants, etc, etc ; sans ce graphisme et cette animation de taré, j'aurais grommelé et pesté tout mon soûl avec la plus grosse mauvaise foi du monde, mais là je me suis fait emporter par un tourbillon de couleurs, de bastons épileptiques et de gags faciles mais jouissifs.

Je n'ai pas été transcendé, mais j'ai été agréablement diverti par ce premier épisode. Je regarderai cet animé sans spécialement espérer en devenir fan. Je pense que ce sera comme un petit bonbon acidulé hebdomadaire. Pas une expérience de fou, mais un truc agréable !

L'anime que je vais suivre attentivement, mon gros coup de cœur, quel bonheur une telle animation, et surtout on ne s'ennuie jamais durant l'épisode, l'histoire? Est-ce vraiment important? Surtout quand on a tout pour ne pas ce prendre la tête et admirer un tel travail d’esthétisme. En effet le chara design peu rebuter certain, mais il est indéniable que les fan de GL y trouveront leurs comptes! Vivement la suite.

C'est hyper hystérique quand même! Très drôle et très trippant, n'importe quoi et vraiment péchu dans la mise en scène: de ce côté-là, c'est du tout bon. Reste que je me demande aussi comment la série peut garder un tel rythme. Sans lasser surtout. Ca sent la rupture violente pour très rapidement, non? On ne devrait pas avoir plus d'un ou deux autres 2 étoiles, pour déboucher sur le 3 étoiles des Sports. Et là, ça devrait bifurquer.

Sinon, je me demande quand même comment ces studios font pour produire des séries sur des pitch a priori improbables. Là, c'est en gros "une fille se bat à poil dans une école qui fabrique des uniformes à super-pouvoirs." Et que je te brode l'image de la couture, avec les ciseaux, le costume qui parle, la tenue légère qui gène l'héroïne, etc. Comment ça peut passer???

En tout cas, c'est très amusant, hyper dynamique. J'attends maintenant qu'on aille plus loin encore que l'aspect référentiel, blague et potache. Si ce cap est passé, ça sera vraiment très fort!

Le studio TRIGGER est un des seuls bénéficiant d'une certaine liberté au niveau du choix de leurs sujets. Le fait que c'est certes un jeune studio d'animation, mais que leur staff jouit d'une certaine renommé, étant donné qu'ils ont tous participé à la production de projets majeurs s'étant tous plutôt bien vendus dans une certaine mesure. Et il faut également prendre en compte le fait que ces animateurs, réalisateurs, etc, ont en plus une grosse fanbase derrière eux qui les supporte.

TRIGGER c'est un peu le studio de la PASSION, des mecs qui adorent l'animation et qui hésitent pas à réaliser des projets pour les gens qui l'aiment autant qu'eux. Du coup il n'y a pas vraiment de limite à leur créativité et à l'univers artistique qu'ils ont formé au fil des années.

Imaishi <3 Yoshinari <3

C'est un peu comme ça qu'on décrivait la Gainax à l'époque non? (oui ils viennent tous de là on n'a qu'à dire que c'est le noyau conservateur qui s'est détaché de la maison mère... mais j'ai plus entendu parler de la gainax depuis longtemps, ça existe encore?)

Gainax c’est un peu mort niveau hype depuis une dizaine d’années. Si on regarde depuis 2003, seules les deux séries réalisées par Imaishi (Gurren-Lagann et Panty & Stocking) ont marqué les esprits. Malheureusement Imaishi et Consort sont partis fonder Trigger.
La dernière série de Gainax c’est l’adaptation de Medaka Box, mais une adaptation plutôt fade et qui n’a rien de remarquable en soi…

Après je ne connais pas tous les méandres du hype Otaku au Japon, mais les studios qui tiennent ce rôle aujourd’hui sont plutôt KyoAni, Shaft ou encore Ufotable. Trigger étant un nouveau challenger plutôt sérieux hein^^

Après il y a le cas particulier d’Anno avec Khara mais bon pour l’instant il se concentre sur Rebuild of Evangelion - concernant l’après RoE, ça par contre^^

Edit : ah oui pour Anno j'ai également lu ça! J'avais complètement zappé! Il me semble que ça a surgi lors des interviews de Miyazaki pour la sortie de son dernier film.

Je te corrige ange bleu, la dernière série de GAINAX ce n'est pas l'adaptation de Medaka Box mais Stella Women’s Academy, High School Division Class C³ , une série relativement médiocre finalement mais qui a un certain charme. Sinon oui, la GAINAX est un studio qui se meurt petit à petit depuis que ses membres les plus talentueux sont partis ; désormais son objectif principal devrait être celui de reconquérir le cœur de ses fans mais a priori le but est plus de sauver le studio d'une mort économie qui pourrait arriver si ça continue comme ça.

TRIGGER d'ici quelques années devrait être assez safe financièrement pour pouvoir s'imposer sur le marché de l'animation en proposant au moins deux séries par an, si ce n'est trois. En attendant ils ont besoin d'argent et ne peuvent pas trop s'éparpiller sur plusieurs projets en même temps -- la preuve, Little Witch Academia 2 est prévu pour 2015. Il faudra donc être patient en attendant l'arrivée du BR dans la boîte aux lettres ^_^

Pour finir, en ce qui concerne le futur d'Anno il y a des rumeurs comme quoi il pourrait se lancer dans un projet en rapport avec Nausicaa. Je sais pas trop d'où ça sort mais beaucoup de monde semble adhérer à cette théorie...

PS : Bullzor n'est même pas là pour tenter de défendre son studio favoris qui sombre petit à petit... Triste époque les amis.

De mon avis, affirmer que GAINAX est en état clinique de mort actuellement n'est pas quelque chose qui puisse être en véritable adéquation avec la vie de ce studio : si on se remémore les rythmes de production du studio ces dernières décennies, ils ont toujours été très espacés dans le temps entre eux (le studio n'est clairement pas dans un modèle comme beaucoup d'autres où il doit sortir une série par saison pour s'en sortir – merci, entre autres, les royalties liées à EVA) et ils le sont encore davantage depuis la fin des années 1990, correspondant avec les départs et retours de certaines personnes à la tête de la compagnie. Entre FLCL (2000) et Gurren Lagann (2007), on a connu déjà une longue période similaire à celle que l'on connaît actuellement où les nouvelles références n'arrivent pas à marquer les esprits de manière générale (par exemple, Mahoromatic (2001) qui a son succès chez les fans du studio mais j'imagine peu au dehors). Aujourd'hui, entre Anno qui a créé sa propre bulle avec khara en conservant des liens étroits avec GAINAX et Imaishi qui a fait de même tout en prenant soin d'avoir une réelle indépendance suite aux incompréhensions avec la direction suite à Panty & Stocking with Garterbelt (souvenez vous, à l'époque, le boss Yamaga vendait davantage The Mystic Archives of Dantalian que cette série...), GAINAX souffre surtout de voir la plupart de ses équipes avoir suivi les bankables réalisateurs pré-cités et donc son esprit perdurer au delà de ses murs. Après, rien n'interdit comme auparavant que ceux-ci reviennent un jour claquer quelque chose qui permette de continuer l'histoire de cette importante compagnie ; en attendant ça sera adaptation sur adaptation de light novels pour payer les charges comme Medaka Box.

franchement osef de la Gainax.
On dirait que l'anime est tellement intéressant que les gens préfèrent parler d'autres choses. Pourtant le jeudi c'est l'épisode et voilà que je reviens sur le sujet.

D'abord et rapidement pour le rigolo :
Yep TTGL fais parti des rares animes auquel j'ai mis 9/10 donc non je n'ai pas aimé. Et franchement rabaisser le fan service de Yoko à celui de Ryuuko c'est pas cool. Sauf si tu parles de la version spatiale ou là oui c'est dégueux. Mais évidement c'est en tant que rageux du design du sailor fuku de Kill la Kill que je dis cela.

Après je constate que les gens crie un peu aux génies alors qu'eux même disent que le scénario ne vend pas du rêve. Bin ouais, on s'en fou d'avoir un scénario stupide, tant que l'animation est au top. Évidemment je rage encore mais il faut bien quelqu'un sinon j'ai peur que la série ne croule trop sur les superlatifs par ici. Faut que je me dévoue à être l'avocat du diable.

Sinon épisode cool dans lequel on garde le rythme toujours dingue du début et la suite le sera probablement, et la suite... On rentre donc dans un train train de combat contre les deux étoiles et là la peur commence à envahir mon esprit, ou disons que j'ai vu l'épisode après celui de Saint Seiya Omega. Oui ca fais mal je sais. Le scénario n'avance pas du tout. On a juste le prof qui se révèle et qui donne un gant à Ryuuko pour activer sa combi à l'envie. Du coup ça avance quand même mais pas de quoi fouetter un chat. En fait ce qui est bizarre c'est qu'il y a plein de choses que je trouve habituellement antipathique mais qui là passe très bien. Du coup j'ai un avis pas très définitif et toujours un peu brumeux pour l'instant je ne sais pas quoi en penser. On a vu quelques petites choses qui m'ont fait penser à d'autres petites choses mais j'aurais surement l'occasion d'en reparler.

De mon côté j’attends aussi une explication sur la bornitude de Kamui Senketsu. Je n'arrive pas à imaginer qu'il n'y ai pas de back ground derrière cela.

Épisode 2 : Séduisante au point d'en perdre connaissance



J'ai trouvé cet épisode efficace grâce aux nouvelles informations sur le background qu'il apporte mais aussi grâce à l'affrontement final à grand renfort de petites balles jaunes contre un nouveau chef de club sportif de l'établissement. En ce qui concerne ce dernier affrontement, j'ai retrouvé un enthousiasme similaire à la semaine précédente, ce qui est de bonne augure pour ma part.

La présentation un peu plus poussée des personnages qui gravitent autour de Ritsuko a notamment permis à mes yeux d'étoffer un personnage qui m'avait déjà tapé dans l’œil la semaine dernière : Mako. Il serait étonnant que les prochaines semaines elle parvienne à échappé à son rôle de victime à sauver : elle prend à nouveau cher dans cet épisode mais son optimisme et son traitement comique parviennent à faire des merveilles. À côté de ça, sa famille a l'air réellement bien barrée et sur la même ligne comique qu'elle, j'espère les revoir de ci de là au fil des épisodes.

Pour l'instant, je n'ai pas trop d'attache pour Senketsu malgré son rôle primordial : ses temps de parole sont réduits et il ne semble pour l'instant pas attaché à dégager un profil dans ses interventions. De même, je m'interroge encore sur mon positionnement vis-à-vis du prof d'Histoire exhibitionniste : j'espère que ses interventions ne seront pas sur un modèle homéopathique comme dans cet épisode et que son côté apparemment décalé pourra être étoffé par la suite. En revanche, un personnage central gagne des points cette semaine grâce à sa présence incontournable : Satsuki, qui se pose par ses actions comme une antagoniste propre à tenir l'ambiance de la série.

Une nouvelle fois convaincu et curieux de découvrir la suite.

Episode 02 : So Sexy She Might Pass Out

Une famille pleine de joie et toujours prête à aider son prochain malgré une grande pauvreté...
Un Club de tennis prêt à conquérir tout le nord du Japon pour la gloire de l'Académie Honnôji...

Donc nous en apprenons plus sur les projets de Satsuki-sama qui ne consistent pas en moins qu'en un Plan de Conquête et de Libération de l'Humanité via une production en masse d'uniformes bien particulier - les Clubs de sport servant a priori d'avant-garde à travers les compétitions nationales.
Côté Ryûko, le prof d'histoire se révèle plein de surprise (et c'est peu de le dire) et enseigne à notre héroïne les bases de fonctionnement de son uniforme de type Kamui (rien que ça^^).
Sur le déroulement de l'épisode le passage chez la famille de Mako est hilarant : on sent que la jeune fille et sa famille vont être les relais de la partie "ville" de la folie furieuse de la série! Puis c'est le retour à l'Académie avec donc le passage explicatif du prof et le combat contre la capitaine du Club de Tennis - combat bien cool avec son lot de WTF et qui nous propose un petit match de tennis nekketsu.
Concernant les Kamui je demande s'il y en a plus de deux car nous avons le noir et le blanc, qui peuvent marcher comme un système complet. Je me demande aussi si Ryûko gagnera des alliés avec des pouvoirs/uniformes ?_?
Pour l'instant nous sommes plutôt dans la phase d'invasion de la Citadelle et notre héroïne est obligée de battre en retraite à chaque fois car elle ne peut pas enchaîner tout le monde à la suite - surtout si la Big Boss met directement la main au katana^^
En tout cas c'était de nouveau bien cool et ultra trippant, avec des personnages et des situations toujours très fun!

J'ai énormément aimé ce deuxième épisode de Kill la Kill ! J'ai trouvé le tout vraiment très inventif dans la mise en scène et le rythme de l'épisode est absolument fabuleux. Du début à la fin on a tout le temps quelque chose à regarder devant les yeux, l'animation est super vivante et le tout peut même se payer le luxe d'avoir un fanservice plus ou moins justifié qui arrive à me faire rire sans aucune honte !

Accessoirement j'aime de plus en plus la façon que le studio TRIGGER a de cacher la 'misère'. Il est vrai que l'anime est somptueux par moment, mais on sait clairement un manque de budget et j'adore comment Imaishi & ses compères parviennent à camoufler cela, parfois en utilisant même une animation dans le même style que celle de Teekyuu (notamment au début de l'épisode). Et le pire c'est que ces procédés censés masquer leur budget trop serré donnent un charme indéniable à l'anime au final.

En somme, je ne suis absolument pas déçu par ce que Kill la Kill peut nous offrir ; de la belle animation, une réalisation punchy & novatrice, Imasihi <3, et du fun, c'est tout ce que je recherchais depuis l'annonce du projet. Bien entendu, s'ils arrivent à nous tisser une histoire bien sympa derrière, on ne va pas la refuser !

Épisode 3 : Junketsu



Quel épisode, mais quel épisode... Satsuki sort ses griffes et nous offre sur un plateau d'argent un avant-goût de ce qui pourrait être la confrontation finale de cette série avec Ryûko : quel affrontement démentiel et bien mené ! L'impression de puissance et de démesure qui se dégageait à mes yeux de ce combat était très marquée, j'ai même eu l'impression de retrouver à l'écran une fièvre similaire au premier combat dans Panty & Stocking with Garterbelt entre les sœurs Anarchy et Scanty & Kneesocks (cf. l'affrontement à l'intérieur des couloirs de l'académie).

Satsuki voit son personnage être étoffé très rapidement et mon intérêt pour elle ne cesse de grandir : on tient là un antagoniste de poids pour pousser Ryûko à réaliser des exploits afin de l'atteindre. Reste à attendre quand sera révélé le lien qui unit le père de Satsuki à celui de Ryûko dans la conception des costumes Kamui : rivaux ? Collègues ? Autre option bien loin de mon imagination ? Je suis aussi curieux de savoir si le geste interdit de Satsuki d'accéder à sa robe de mariée avant l'heure va porter à conséquence : est-ce que sa mère entrera en scène pour lui rappeler les règles et siffler la fin de la récréation ?

De son côté, Ryûko continue d'incarner une héroïne agréable à suivre de mon point de vue, son côté jusqu'au boutiste fonctionne bien et sa gêne face au casting masculin et sa libido même pas cachée continue de m'amuser, surtout quand elle les rappelle à de meilleurs sentiments avec ses poings ou son ciseau géant. Senketsu quant à lui commence à réagir davantage à l'action, c'est appréciable et prometteur pour sa relation avec Ryûko.

Reste encore une fois qu'à côté de ces titans, j'ai adoré les interventions de Mako, notamment celle où elle s'interpose entre la lame de Satsuki et son amie : il n'y a pas à écrire, j'apprécie énormément le caractère comique de ce personnage.

Bon, je n'ai pas réussi à caser dans cette critique le rôle mystérieux du prof d'Histoire qui commence un peu à se révéler, l'intérêt ou non que l'on pourrait porter à cette robe de mariée dans l'Ending après avoir entendu une bribe du passé de Satsuki ou bien encore l'intrigue autour du club de couture et ses costumes cinq étoiles, mais l'envie y est si d'aventure c'est évoqué dans de prochaines interventions ; quoiqu'il en soit je ressors très enthousiaste de cette nouvelle sortie de Kill la Kill et me demande encore quelles belles surprises peuvent nous attendre la semaine prochaine !

TRIGGER continue de sauver l'animation Japonaise !
Vivement leur anime de magical girl parce que ça ne peut être que réussi avec des transformations aussi bien orchestrés et savoureuses ^__^