Je commence ma propre fic. J'attends vos impressions et j'espère que vous passerez un bon moment en la lisant.

Personnage :

Alex Driver


Creeper Jack

Le plus grand explorateur du XVI siecle.

Prologue

Alors que Monkey D Luffy navigue avec ses compagnons pour devenir le futur roi des pirates, une autre personne se prépare à voyager sur les mers mais pour une carrière et des buts bien différents. Il vivra des aventures palpitantes et verra des lieux incroyables. Mais ça il ne le sait pas encore ...

15 Juin 1522 : Une base navale de la Marine établie à West Blue

Tout était calme dans le couloir. Alex, qui bailla pour la onzième fois depuis qu'il était levé, avait terminé de balayer le premier étage de la base. Cela tombait bien car il commencait à en avoir assez. Pas seulement de balayer mais bien de toutes les corvées qu'il devait effectuer. Mais tout ça serait bientôt terminé, à 12 heures pile il pourrait enfin quitter cette caserne et entreprendre son voyage. Finis la lessive, l'épluchage des légumes et autres taches ingrates. Grâce à ce poste de concierge dans la base de la marine qu'il avait accepté il avait pu économiser assez d'argent pour s'acheter un bateau des provision et des munitions.

Alex révait à sa vie future lorsqu'il entendit un bruit sourd provenant du deuxième étage. Sans réfléchir il se précipita dans l'escalier pour atteindre l'étage supérieur.

Chapitre 1 : Mon ami, ce boulet.

Tout en grimpant 2 à 2 les marches de l'escalier Alex libéra son aura. Il ne détecta qu'une seule présence. Sans s'en rendre compte il avait atteint le deuxième étage et courait à présent dans un long couloir. Tout à coup il vit une scêne qui le calma ausitôt. Son ami Jack était prisonnier sous une lourde étagère et tentait de se libérer. Par réflexe Alex mit sa main sur le haut de sa figure et soupira. Jack darda sur lui un regard noir et lui dit furieux :

- Au lieu de facepalmer aide moi plutôt et soulève cette foutue étagère !

Alex obéit et dès que Jack fut sur pieds ils rangèrent les objets qui étaient tombés par terre tout en discutant.

- Comment t'as fait pour faire tomber l'étagère ?
- Je voulais attraper le détergeant mais il était trop haut alors j'ai utilisé un tabouret, je suis monté dessus, j'ai perdu l'équilibre, je me suis rattrapé à l'étagère et je l'ai entrainé dans ma chute.

Il dit ça si vite qu'Alex mit un temps avant de pouvoir déchiffrer les paroles de son ami mais lorsqu'il compris enfin il soupira une deuxième fois et repensa à ce qui les avait amené tout les 2 à nettoyer le sol avant qu'il ne soit sept heures.

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FLASH BACK
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17 heures plus tôt : Réféctoire de la base

Alors qu'Alex et Jack balayaient le réfectoire, la porte s'ouvrit violemment et le commandant Drig de la base fit soudain irruption suivi de tous les soldats de la base. Le commandant commença par faire un long discours sur l'importance de la marine dans ce monde et du danger que représentaient les pirates et continua sur une explication de la prochaine expédition qu’ils allaient mener. Alex n’y préta pas attention, pensant plutôt à son voyage mais il remarqua une chose qui lui fit froid dans le dos. Jack se rapprochait dangereusement d’une armoire sur laquelle trônait la coupe du meilleur commandant de la marine qu’avait remporté Drig l’an passé. Elle représentait sa fierté et son bien le plus précieux, et c’était pour cette raison qu’il l’avait exposé dans le réfectoire pour que tous les soldats la voient. Si Jack percutait l’armoire il briserait cette coupe et la colère du commandant s’abattrait sur lui mais il ne semblait pas s'en rendre compte.. Brusquement Alex fonça sur son ami le plaqua au sol et entraina dans leur chute celle d’une table sur laquelle était posée une pile d’assiettes qui se brisèrent. Lorsque les garçons rouvrirent les yeux ils virent Drig les regarder avec mépris avant de dire :

- Vous deux, qu’est-ce que vous fichez ! Mon cher Alex Driver ce n’est pas parce que vous nous quittez demain que vous pouvez vous permettre ce genre d’écart, puisque vous aimez faire le clown demain à l’aube vous me nettoierez les étages 1 et 2 pour me rembourser les assiettes que vous venez de briser. Quant à vous Creeper Jack c’est pareil !
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- Eh Alex tu m’écoutes ?
Alex se tourna vers lui et le regarda d’un air étonné.
- Tu me disais ?
- Je te demandais comment tu comptais te défendre si des pirates ou des brigands t’attaquaient.
- Tu te souviens de mon aura de perception ?
- Oui tu la libères tout autour de toi ce qui te permet de déceler les présences d’êtres vivants et leur nombre mais tu ne peux pas attaquer avec.
- Oui mais elle a évolué, maintenant je suis capable d’enduire mon corps d’aura ce qui me donne une force surhumaine et je peux même enduire des objets pour augmenter leur puissance. C’est une aura offensive. Cela s’appelle aussi Haki.
- Mais pourquoi tu pars en mer ?
- Je veux devenir explorateur, découvrir des iles, vivre des aventures et les retranscrire dans mon propre carnet de bord, mais pour ça il me faut des personnes qualifiées. Dis moi tu veux m’accompagner ?

Jack le fixa indécis il hésitait beaucoup mais finit par dire :

- J’y réfléchirais.
- Ben réfléchis vite je pars dans 5 heures.

Alex se retourna et se dirigea vers sa chambre pour les derniers préparatifs.

4 heures 30 plus tard : La chambre d'Alex

Toujours affairé dans sa cabine, Alex bourra son sac de nourriture et jeta un œil aux 2 fusils qu’il avait subtilisé dans l’armurerie. Il savait que 2 ans de salaire n’aurait pas suffit à les payer mais aussi que si on l’attrapait il serait dans de beaux draps. Il les rangea dans un grand sac de toile, prit toutes ses affaires puis sortit dans le couloir lorcequ’il entendit une voix dans son dos :

- Attends je t’accompagne.
C’était Jack, une valise à la main.
- Je pourrais être le navigateur de ton navire.
Un sourire illumina le visage d’Alex. Il lui tendit le sac des fusils et lui dit :

- D’accord prends moi ça

Ils continuèrent leur chemin jusqu’à ce qu’ils croisèrent un soldat. Ils les fixa d’un air méfiant avant de leur dire :

- Eh toi qu’est ce que c’est dans ton dos ?!

Le canon d’un des fusils dépassait du sac que Jack avait mis dans son dos. Alex serra les poings, les joignit et s’élança vers le soldat en criant :

- Aura offensive

Il frappa le buste du marin qui vola plusieurs mètres en arrière, visiblement assommé.

- On se tire !

Ils coururent jusqu’à l’embarcation, détachèrent la corde qui l’a retenait à la terre ferme, embarquèrent à bord, et hissèrent les voiles. Après avoir repris son souffle Alex se tourna vers son compagnon.

- Passe moi les fusils, je vais les ranger dans la calle.

Jack le fixa avec des yeux bizarres et lui dit avec embarras :

- Dans la précipitation je les ai lâché, désolé.

Un cri de colère secoua la mer, jusque là tranquille. Alex attrapa le col du pull de son ami, le souleva et lui cria dessus :

- Abrutit, ces fusils coûtent une fortune, c'était déjà un miracle que je réussisse à en voler 2. Et toi tu me dis que tu les as laissé ?!

Jack se gratta nerveusement le cuir chevelu et balbutia quelques mots d'excuses qui ne calmèrent pas la fureur du garçon qui alla se détendre dans l'unique pièce du bateau.

Après quelques heures à ruminer dans son coin Alex remonta sur le pont du bateau et observa Jack. Il s'était assis à l'avant du bateau et fixait un point de l'horizon, le regard vide. Alex souligna une nouvelle fois à quel point ils étaient différent à part leur gabarit. Ses cheveux étaient bruns clairs tout comme ses yeux alors que Jack était blond aux yeux bleus. Il était sérieux et colérique, Jack était bavard, blagueur et maladroit. Mais malgré leurs différences ils étaient amis et Alex ne changerait ça pour rien au monde.

Alex se posta à la droite de Jack et lui dit :

- Je ne suis plus fâché alors arrête de faire cette tête.
- Dès le début je te crée des problèmes, tu ferais mieux de me déposer sur la prochaine ile.
- Dis, tu te souviens de notre première rencontre ?
- Bien sûr, tu m'avais aidé à éponger le sol parce que j'avais renversé un seau d'eau par terre.
- Et tu sais pourquoi je t'ai aidé ?

Jack se mit à réfléchir à la question puis hochât négativement la tête.

- C'est parce que la première fois que je t'ai vu, tu étais plié de rire d'avoir renversé ce seau. Un rire franc et sincère. Je me suis demandé comment on pouvait rire dans un endroit pareil. Et je me suis dit que tu devais une force de caractère exceptionnelle et que je ferai tout pour que tu devienne mon ami.

Jack en resta bouche bée. Alex lui tendit la main.

- Prêt pour l'aventure ?

Son compagnon se leva et lui serra la main. Alex lut dans ses yeux un regard qu'il ne lui connaissait pas. C'était un mélange de détermination et de courage qui lui allait comme un gant. Jack finit par répondre à l'interrogation :

- L'aventure ? Et comment !!!

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Et voila, j'attends vos commentaires.

J'aime bien ta fiction, je trouve sa plutôt pas mal de commencer le récit d'un aventurier...

Pour les fautes moi j'en ai vu aucune mais bon je ne suis pas du tout un expert en la matière étant un grand dyslexique

Le seul point qui ma un peut interloqué est le faite qu'Alex, qui a l'air assez fort vu qu'il possède le haki défensif/ offensif, reste dans une base a faire des corvées... Je veux dire il aurait pu faire d'autre truc non, être un vrais Marine qui combat, etre au service d'un roi quelconque...

Mais bon, je dis sa, en réalité sa peut faire vrais aussi, c'est juste un détail...


En tout cas bonne continuation !

Ca commence pas mal cette fic . Sans fautes selon moi .

Don si j'ai bien compris Alex a les 2 Hakis de perception et de l'armement ce qui lui permet de dire qu'il est sacrément fort .
Ensuite il demande a son ami Jack de l'accompagner a l'aventure .

Si c'est bien ça ca comme assez bien mais je ne vois pas encore quelle seront les actions qui vont faires avancer l'histoire .
Ton prochain chapitre sera quand ? Tu les écrit tout les combien de temps ? .

J'attend avec impatience

Tout d'abord merci à vous deux d'avoir lus et commetés ma fic





Vous aurez des explications dans le chapitre 2 qui est plutôt un chapitre d'infrmations.


Pour ta première question je le posterais dans maximum une semaine. Pour la deuxième je ne n'ai pas bien compris.

Pour la 2eme questions elle c'est la même ^^' je sais pas pourquoi j'ai écrite :)

Sympatoche comme début. Ça ne traîne pas mais ce n'est pas non plus précipité. Les persos n'ont pas l'air caricaturaux ni faire dans le mary sue, ce qui est bien (oui, je commence à en avoir assez des persos idéalisés).
Concernant le haki, ça me semble un peu trop much. Les deux !? J'attends des explications crédibles.
La musique ne me semble vraiment pas nécessaire. Elle a l'effet inverse de ce qu'elle devrait faire. Elle est à l'image des musiques de fin de certaines séries pour t'expliciter l'impression que j'en retire. Le genre de truc qui appui bien sur le fait que c'est un moment triste, mélancolique, où l'on doute, où on est plus sûr, ... Bref, ça accentue à outrance quelque chose qu'on comprends naturellement. Ca me donne une impression de forçage et d'artificialité.
Sinon, j'ai bien aimé le coup des fusils. Pour une fois qu'on leur accorde de l'importance ...

Quant aux fautes, il y en a quelques une. Très peu. le plus gênant c'est que parfois tu oublis l'espace entre le tiret et le début de la phrase.

Faute d'inattention. 'Fallait tout de même que je la note celle-là.


Un conseil : ne te presse pas trop pour poster. Accumule les chapitres, relis-toi, corrige-toi, vérifie la concordance de l'histoire, des chapitres entre eux, ... Tu ne tiendras jamais le rythme d'un chapitre par semaine sur la durée.
Bonne continuation.

Morfidable ! Pardon !!!
Formidable ! ni vue ni connue. J'aime beaucoup ce début, à dans une semaine pour la suite, et je n'oublie pas de lâcher mon argument pertinent de la semaine, fait attention à ne pas faire des incohérence de puissance comme j'en vois si souvent dans plusieurs Fic que je ne citerais pas (n'est-ce pas Sanjilopus !?!). Juste une petite remarque. Bonne journée.

Voila après 3 semaines je poste le deuxième chapitre. Je suis d&solée d'avoir mis autant de temps tous ça à cause du collège.(ah la troisième et ses contrôles de fin de trimestre à coefficient 4...) Bref ! Bonne lecture.

Chapitre 2 : L'i.C.E, Atari et le petit garçon

17 Juin 1525 : En pleine Mer

Le bateau continuait lentement son périple, il faisait une chaleur intense et il n’y avait pas beaucoup de vent. Cela faisait maintenant deux jours qu’ils naviguaient sur West Blue mais Jack se posait toujours autant de questions sur leur voyage. Il finit par interroger Alex.

- Eh Alex ! J’aimerais te demander quelque chose.
- Je suis là, qu’est-ce qu’il y a ?
- Tu m’as dit que tu voulais devenir explorateur mais tu ne m’as pas expliqué comment on le devenait, pourquoi tu voulais faire ça et aussi qu’est-ce qu’on faisait une fois que tu le serais devenu.
- J’ai vais te faire un cours accéléré. Pour pouvoir devenir explorateur il faut aller se présenter à l’I.C.E, le conseil international des explorateurs (International Council of Explorers) et passer un examen. Pour pouvoir se présenter à l’I.C.E il faut que l’équipe d’exploration soit composé d’au moins un botaniste, un médecin et un zoologue. Une fois que l’équipe est présentée, les examinateurs donnent une carte de membre au chef de l’expédition. Sur cette carte il y a 5 étoiles blanches qui représentent l’évolution de l’équipe, à chaque fois qu’elle monte en grade, elle gagne une étoile. Si l’examen que tu passes au début est réussi tu gagnes ta première étoile et ainsi de suite. Une fois que l’équipe a une étoile l’I.C.E lui attribue des missions à remplir. Et moi je compte bien obtenir les 5 étoiles !
- Mais il nous faut un botaniste, un médecin et un zoologue
- Pour le botaniste, sache que j’ai fait 6 ans d’études en botanique, il nous manque juste le médecin et le zoologue.

Jack réfléchit longtemps aux informations que venait de lui donner Alex mais un point le turlupinait. Alex le remarqua.

- Bon allez, accouche.
- Je me disais qu’avec tes pouvoirs tu aurais pu devenir officier de la marine, tu aurais gagné beaucoup plus d’argent et très rapidement en plus mais au lieu de ça t’a pris un poste de concierge.
- La marine ? Très peu pour moi. T’es obligé de te lever à cinq heures tapantes, et de te coucher à vingt-deux heures avec une pause de quarante minutes pour les repas, alors qu’en étant concierge je me lève à huit heures j’ai une pause d’une heure pour manger et puis je travaille le matin et l’après-midi mais j’ai ma soirée de libre pour effectuer mes recherches. Et lorsque tu t’engages dans la marine c’est pour minimum un an et quand tu veux la quitter tu dois faire des démarches interminables et moi j’étais pressé.

Satisfait d’avoir eu des réponses, Jack retourna à l’avant du bateau, sortit un manga de son sac et commença à le lire. Le bateau passa aux abords d’une minuscule île, sur laquelle se trouvait une falaise imposante qui prenait les trois quart de la surface de l’île, mais Jack ne semblait pas la voir. Il ne remarqua pas tout de suite que le bateau s’était arrêté en face de cette île, à une vingtaine de mètres de distance mais lorsqu'il s'en aperçut il lâcha son livre et courut vers Alex.

- Qu'est-ce qu' y se passe ? Pourquoi le bateau est arrêté ?!
- J'ai jeté l'ancre, un ami m’attend depuis 6 mois sur cette île.

Jack fut stupéfié de cette révélation, il regarda l'île en détail. Elle semblait déserte, et il n'y avait aucun arbre, juste une plage de sable blanc et une falaise qui la surplombait. Comment quelqu'un pouvait l'habiter ?

- Heu… Tu t’es pas trompé d’île ?
- Nan c’est bien celle là.
- Mais pourquoi on est si loin ? Si tu veux qu’il monte à bord il faut qu’on accoste sur la plage.
- T’inquiète pas, tu vas bientôt comprendre.

Alex siffla un air de 4 notes puis attendit quelques minutes. Au bout d’un moment ils virent un point noir dans le ciel se rapprocher d’eux. Puis une ombre passa tout près de Jack et l'effleura. La surprise fut telle qu’il tomba par terre et ferma les yeux. Quand il les rouvrit il vit un magnifique oiseau noir à tête blanche qui volait près d’Alex. Ce dernier tendit la main, attrapa vigoureusement celle de son compagnon et le tira en avant. Une fois remonté, Jack observa le rapace. Il avait la taille d’une tête humaine et ses plumes semblaient si soyeuses que Jack ne put s’empêcher de tendre la main vers l’oiseau. Celui-ci qui jusque-là ne s’intéressait qu’à Alex planta son regard dans celui du navigateur, un regard acéré qui lui donna l’impression d’être sondé jusqu’aux tréfonds de son âme.

- Il s’appelle Atari. finit par dire Alex pour briser le silence. Il y a 8 ans, mon grand-père qui était un explorateur est revenu d’un de ses voyages avec un œuf. Il me l’a confié en me disant que si je réussissais à le faire éclore et à prendre soin de la créature qui en sortirait, je ferais un pas vers mon rêve. Je m’en suis occupé comme une mère depuis qu’il est né on est resté inséparable mais vu que la base n’acceptait pas les animaux il m’a attendu sur cet îlot pendant 6 mois.

Atari approuva d’un cri joyeux avant de se percher sur la tête de Jack et de s’envoler avec lui.

- Eh mais qu’est ce qui se passe ?! Je veux redescendre !
- Ah j’oubliais, mon grand-père me l’a ramené d’une ile où on élève les animaux au combat. Les habitants pensaient qu’il était la réincarnation du dieu Phoenix le roi des oiseaux de l’ile. Il est capable de porter une personne pendant 30 minutes.
- Dis-lui plutôt de me reposer ou il finit à la casserole.
- Atari, lâche !

L’oiseau ouvrit ses serres et sa proie retomba lourdement sur le pont du bateau, avant de se relever rouge de fureur et de courir derrière l’aigle en tentant de l’attraper.

- Saleté de piaf ! Reviens ici !

Pendant que ses deux amis jouaient au chat et à la souris Alex vérifia la direction du bateau. Après avoir jeté un coup d’œil à l’aiguille de la boussole, il se tourna vers ses compagnons et leur cria :

- On arrivera à la prochaine île dans 3 heures, d’ici là, essayez de vous comporter en adultes !

Il se demanda s’ils avaient entendu. Visiblement non puisqu’ils continuaient à se battre. Le capitaine dut intervenir pour les séparer, non sans peine. Puis il tenta de les raisonner.

- Jack, t'as vingt-deux ans et toi Atari tu en as huit et vous vous comportez comme des enfants, maintenant nous sommes sur la mer et nous devons rester soudés et ne surtout pas nous battre.

- C'est lui qui a commencé ! cria Jack tout en pointant un doigt accusateur vers le volatile.

Celui-ci poussa immédiatement un petit cri avant de repousser sa tête vers la gauche en ayant un air boudeur.

-Ca va être long pensa le capitaine.

3 heures plus tard

Au loin les futurs explorateurs aperçurent une ile. Après être revenus sur la terre ferme et amarrés le bateau, Alex commença à donner des explications à ses compagnons :

- Nous nous trouvons sur l'ile Oran, la majeure partie de cette ile est habitée mais il y a aussi de grandes plaines qui la couvre . L'économie de cette ile est basée sur l'industrie.

Il ne fallait pas être un génie pour le découvrir : partout sur le port on pouvait observer des hommes et des femmes en uniforme décharger la cargaison de grands bateaux pour les poser sur des charriot et le transporter dans des entrepôts.

- Bon ! s'exclama le capitaine. Ne trainons pas, nous devons trouver un médecin et un zoologue qui veuille bien nous accompagner. Allons interroger les habitants de l'ile.

Ils se dirigèrent vers un homme qui poussait un chariot et lui adressèrent la parole :

- Bonjour monsieur, nous voulons organiser un voyage en mer mais ils nous manquent des professionnels, plus précisément un médecin et un zoologue et nous aimerions savoir si vous en connaissiez qui seraient intéressés.

- Vous voyez pas que je suis occupé ! Au lieu de trainer sur les quais à déranger ceux qui bossent vous feriez mieux de rentrer chez vous !

Sans plus de manière il s'éloigna en laissant ses interlocuteurs médusés. A chaque fois qu'ils interrogeaient les passants ils obtenaient la même réponse. Au d'une heure ils se laissèrent tomber sur le sol, épuisés.

- On devrait laisser tomber. lança Jack désespéré.
- Pas question, on réessaye !

Ils virent un gamin courir sur les quais, un ballon entre les mains.

- Eh si on lui demandait ? proposa Alex en le pointant du doigt.

- Tu peux essayer. lui répondit Jack sans trop y croire.

- Hey ! Toi là avec le ballon !

- C'est qui qui m'appelle ? demanda le garçon en se tournant de tous les côtés.

- C'est nous viens voir !

Le garçon intrigué s'approcha des deux jeunes hommes.

- Qu'est-ce que vous me voulez ?
- On aimerait savoir si y a de bons docteurs et de bons zoologues sur cette ile
- Un zoo Quoi ?!
- Un spécialiste des animaux si tu préfères.
- Heu ben pour les médecins je sais pas mais si ça vous intéresse y a la famille Gally qui fait des recherches sur les animaux.
- Super ! s'exclama Jack qui reprenait courage. Tu peux nous emmener chez eux ?
- Ma mère ne veut pas que je m'éloigne des quais mais la maison des Gally se trouve en dehors de la ville. Si vous continuez tout droit vous tomberez sur une colline. Leur maison est à ses pieds. Vous leur direz que c''est Kay qui vous envoie.
- Merci !

Ils suivirent les conseils de Kay ils avancèrent en ligne droite pendant plus d'une heure et arrivèrent enfin devant la maison indiquée. Ils frappèrent à la porte en attendant une réponse et finir par entendre des bruits de pas se rapprocher puis une voix à travers le bois.

- Grande soeur c'est toi ?

Enfin la porte s'ouvrit, laissant derrière elle un peti garçon aux cheveux brun qui les regardait interloqué.

- Vous ètes qui ?!

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Vous avez peut-être eu l'impression que le rythme s'était ralenti et si c'est le cas j'en suis navrée mais il fallait que je donne pas mal d'explication mais nous vous inquiétez pas le prochain chapitre a un ton plus rapide.

EDIT : C'est vrai que comme ça il a l'air trop fort mais en fait non d'ailleurs je l'explique dans le troisième chapitre.
Et pour les dessins je les trouve sur le net, je voulais absolument que mes lecteurs puissent voir les personnages tel que je les imagine moi et j'ai de piètres talent de dessinatrice.

Bon déjà tu es en troisième comme moi c'est un énorme point positif
Bon c'est pas mal, je savais pas que les explorateurs existaient dans OP mais pourquoi pas? Sinon le personnage d'Alex m'a l'air OverCheaté donc fait gaffe aux mauvais rapports de forces. Sinon il-y aura t-il des combats? Parce que être explorateur n'a pas l'air exitant :/.
Sinon les illustrations des persos tu les a fait toi même ou tu les a prises sur Internet? Parcequ'ils ont l'air bien fait, trop bien fait pour ne pas faire partie d'un animé. mais si c'est tes dessins gg ;D
Sur ce bonne continuation.

Je poste enfin mon chapitre, désolé pour le retard. ah la troisième que je te hais toi tes stages et tes brevets blancs

Chapitre 3 : L'attaque du Rypérior

- Je m'appelle Alex et lui c'est Jack. Nous sommes des visiteurs de passages dans cette ville. Nous voulons entreprendre un voyage mais il nous manque quelque chose, et un garçon nommé Kay nous a indiquer cette maison.

Tout en lui disant ça le jeune homme observa son interlocuteur. Il avait des cheveux et des yeux bruns, plus sombres que les siens. Il portait un short noir et un tee-short orange et il ne semblait pas avoir plus de quatorze ans.

- Vous êtes des amis de Kay ? Dans ce cas-là vous devez être sympas. Entrez, je vous invite !

Après les avoir installé dans des fauteuils face à une petite table le garçon alla dans la pièce voisine tout en continuant à leur parler

- Je vous ramène une boisson, vous m’expliquerez votre histoire devant une tasse de thé. Au fait je m’appelle Léo, Gally Léo !

Il revint, un plateau à la main. C’est ce moment que choisit Atari pour se montrer, il était jusque-là resté au fond du sac à dos de Jack. Léo semblait émerveillé de le voir, il posa le plateau sur la table puis dit :

- Vous avez un aigle ! Vous avez trop de chance, il est super beau ! Attendez je crois que j'ai quelque chose pour lui.

Léo courut prestement dans l'autre pièce puis en revint, un morceau de viande à la main qu'il jeta sur le sol. Atari se jeta dessus comme un affamé. Après qu'il se soit assis et qu'il est entendu les explications de ses invités Léo réfléchit.

- Le seul zoologue de ma famille qui puisse vous accompagner c'est ma grande sœur. Elle est super douée et elle a même reçut un diplôme mais je vous prévient : elle est pas commode, ce sera difficile de la convaincre de s accompagner.

- Et elle est où ta sœur ?
- En ce moment elle travaille mais elle m'a dit qu'elle reviendrait dans une heure
- Bon, ben on va l'attendre

La montre de Léo émit alors un son. Celui-ci se leva et se tourna vers ses hôtes.

- J'ai quelque chose à faire au sous-sol mais vous pouvez m'accompagner si vous voulez.

Léo souleva alors le tapis du salon, ouvrit la trappe qui se cachait derrière et lassa découvrir un tunnel vertical dans lequel était fixée une échelle. Après être descendus ils se retrouvèrent devant une porte que Léo s'empressa d'ouvrir. Ce que virent Alex et Jack les laissa bouche bée. Devant eux s'étendait une immense pièce de forme rectangulaire. Parallèlement aux deux plus long murs avaient été fixées deux grandes baies vitrée, une pour chaque mur. Ces deux "couloirs" étaient fractionnés en plusieurs pièces par de petits murets en briques. Et dans chacune de ces pièces se trouvait une espèce d'animal rare ou en voie de disparition.


- C'est quoi cet endroit ?! crièrent en chœurs les deux visiteurs.
- Je vous l'ai dit mon père était un zoologue, il étudiait la faune mais il devait aussi garder des espèces menacées. Il travaillait à l'I.C.E., bien sûr c'est eux qu'ont financés les installations et l'entretiens des animaux.
- Ton père travaille à l'I.C.E ?! S’exclama Alex. Si ta sœur veut pas nous accompagner, on pourrait lui demander !
- En fait, se rembrunit Léo en baissant la tête, il...il est mort, cela fait 2 ans.

Un silence angoissent tomba entre l'hôte et ses invités

Bon ! dit Léo en se redressant. Je suis pas venu pour broyer du noir, il faut que je leur donne de l'eau !

Il courut jusqu'à un tableau de commande près de la porte et abaissa un levier. Un bruit étrange se fit entendre pendant quelques secondes puis disparut.

- Dans chaque enclos, repris le jeune garçon, il y a un tuyau relié à une citerne et à chaque fois que je presse ce levier l'eau coule directement dans leurs abreuvoirs, mais allez voir par vous-même.

Il ne se le firent pas dire deux fois, ils se collèrent à la vitre de la pièce le plus proche et écarquillèrent les yeux. Devant eux un cerf entièrement blanc se désaltérait à son abreuvoir mais le plus surprenant était que le sol était enneigé.

- Vous avez reconstitué son univers ?!
- Exact ! Cet animal se nomme Hirchnee, nous l'avons ramené des terres glacées de North Blue, sa race a presque entièrement disparu. Nous avons aussi du reconstituer son habitat naturel pour qu'il puisse survivre.
- Moi je vais voir les autres ! dit Jack en s'éloignant
- Moi je continu à regarder le Hirchnee, je te rejoins tout de suite. lui répond Alex.
- La température de son enclos est de -4° et nous changeons la neige tous les mois. continua Léo. On raconte qu'il y a 300 ans son pelage était brun mais que pour se protéger de ses prédateurs il est devenu bl...
-RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!!!

Un rugissement provenant du fond de la pièce les interrompit. Ils se précipitèrent voir la cause ce hurlement et trouvèrent Jack assis devant un enclos, tétanisé.

- Qu'est ce qui se pase ?!
- Il va sortir! réussit à peine à dire Jack

Ils se tournèrent vers la cage devant lequel il était prostré. A l'intérieur, un dinosaure se tenait sur ses quatre pattes, Alex et Léo comprirent tout de suite ce qui effrayait leur ami.

- Le Rypérior... Son enclos n'a pas de vitre ?! faillit s'étrangler Léo
- Comment c'est possible ?!

Le dinosaure qui avait remarqué qu'il n'était plus enfermé sortit de sa cage en rugissant. Malgré ses 6 mètres il n'atteignait pas tout à fait le plafond de la salle. Ses crocs et ses griffes étaient impressionnants. Il se rapprochait dangereusement du jeune blond qui, suite à son choc s'était évanouit, son ami le remarqua, fonça sur lui, l’attrapa et s'enfuit en le portant aux cotés de Léo . Le Rypérior les vit et les suivit à pas lents.
Alex se tourna vers lui tout en continuant à courir.

- Si je le fais tomber il est foutu , y a pas un endroit où je pourrais le poser en sécurité ?
- Y a un enclos vide plus loin, on pourrait l'installer là-bas.

A ce moment ils entendirent un bruit sourd. Le mastodonte s'était arrêter devant une des cages et donnait des coups de queue sur la vitre qui tenait bon. De leurs côtés les humains trouvèrent la cage vide. Léo sortit un boitier de sa poche appuya sur un des deux boutons et la vitre coulissa sur le côté, dès qu'elle fut ouverte Alex s'y engouffra déposa son ami sur le sol et sortit. Au moment où Léo tendit la télécommande et allait appuyer sur l'autre bouton, Alex la lui arracha des mains, le poussa près de Jack et actionna la porte en verre qui se referma.

- Qu'est ce que tu fais ?! lui cria le petit garçon en frappant la vitre.
- Je vais tenter quelque chose et ça peut être dangereux alors tu attends bien sagement ici.
- Nan arrête ! le supplia Léo. Le Rypérior va te massacrer ! Ouvre-moi !

Mais Alex ne l'écouta pas, il fonça vers le Rypérior toujours occupé à donner des coups dans les murs, sans sucées. Dès qu'il fut proche de l'animal, le jeune homme sauta, concentra son aura dans son poing droit et frappa le Rypérior de toutes ses forces au niveau du flanc gauche du dinosaure puis retomba sur ses pieds près du monstre . Bien que n'ayant rien ressentit le mastodonte repéra ce petit être qui se dressait devant lui et qui finirait bientôt dans sa gueule. Il tenta tout d'abord de broyer sa proie de sa patte. Celle-ci l'esquiva habilement mais ne put éviter le coup de queue qui suivit. La bête emprisonna sa pauvre victime, étendue au sol sous sa patte et l'écrasa de tout son poids. A l'instant où il crut que s'en était finit de lui, Alex crut voir une silhouette derrière la créature écaillé.. C'est aussi à cet instant qu'il vit de la brume tout autour de lui et que le Rypérior relâcha son emprise pour finalement s'effondrer sur le côté droit. Ce fut seulement à ce moment qu'il la remarqua, cette fille qui se tenait devant lui.

Je commente comme je t'avais dit que je le ferai au prochain chapitre, alors pour commencer:

1) l'histoire

Donc elle est différente des autres fics en général, il ne part pas pour devenir seigneur des pirates, ensuite tu prends un thème peut aborder "l'exportateur" sa me fait penser à Montblanc Norland, donc je trouve ça bien.

2) Les personnages.

Déjà tu nous montres leur tête, comme ça on peut bien les cerner ensuite, je suis content car tu as gardé l’apparence de Nobu pour Jack, les personnages en eux-mêmes sont intéressés, derrière son aire de maladroit je pense que Jack va changer par la suite ( enfin j'espère pour lui (: ). Après par rapport à la force d'Alex son fait un peu bizarre mais bon pourquoi pas changé après tout.

3) Le texte

Bah eh j'aime bien comment du écrire, tu détailles bien les lieux etc. et puis niveau orthographe je pense que d'autres personnes pourraient d'aider car moi j'ai aucun conseillé pour ce domaine-là mais je pense que tu n'en as pas besoin car tu te débrouilles bien de ses côtés là

En clair j'attends la suite des aventures.

Chapitre 4 : Une découverte majeure ! Le phœnix pourpre et sa plume

Alex n’arrivait pas à distinguer ses traits à cause de la brume, il ne voyait que son ombre. Il tenta de se relever mais tout son corps semblait paralysé. Il pouvait à peine relever les yeux vers la mystérieuse femme qui se retourna vers lui. L’avait-elle vu ? Il ne le sut pas car à ce moment il s’évanouit.
Lorsqu’il se réveilla, la première chose qui frappa Alex fut la mine angoissée de Jack, penché sur lui. Il essaya de se relever mais il ne réussit qu’à s’asseoir. C’est alors que son ami l’attrapa au col, le soulevant à moitié et lui criant dessus :
- Qu’est ce qui t’as pris d’aller affronter seul ce dinosaure ?! Tu veux mourir ?
- Fallait bien qu’on l’arrête nan ?
- Et pourquoi t’as pas utilisé ton haki pour l’assommer ?!
- Mais je l’ai utilisé abrutit ! Ça ne veut pas dire que je suis invincible !
- Pardon ?!!!
- LA FERME VOUS DEUX !!!!!!!!!!!

Une jeune femme de leur âge les toisait durement et braquait le canon d’une arme sur eux. Avec sa haute et fine silhouette et sa longue chevelure noire elle aurait leur pu paraitre mignonne si elle ne les fixait pas d’un air furieux.

- Qu’est-ce que vous faites là ?! Ici c’est une propriété privé et protégée par l’I.C.E ! Foutez moi l’camp !

Léo se précipita devant ses deux incités et s’écria :

- Du calme grande sœur ! Je t’ai expliqué ce qui s’est passé, tu devrais comprendre…
- Oh toi la ferme ! répliqua cette dernière en lui tirant l’oreille droite. Tu n’écoutes jamais rien et tu passes toutes tes journées dans le labo de papa ou dehors et tu te permets de ramener des inconnus !
- Quoi ?! Alors c’est de ma faute peut-être ? T’es jamais là quand j’en ai besoin ! J’ai pas envie de rester dans cette grande maison vide ! Tu penses qu’à travailler et à gagner de l’argent !
- J’y crois pas ! Tu oses me reprocher de me tuer à la tâche pour pouvoir te loger, te nourrir et t’éduquer ! Sale ingrat, tu sais parfaitement que j’ai raison !
- C’est totalement faux
- C’est vrai !
- Nan !
-On se calme vous deux. Nous ferions mieux de discuter de tout cela devant une tasse de thé plutôt que de rester ici à s’énerver et à se taper dessus. Cela ne sert à rien.

Celui qui venait de prononcer ces mots était un homme grand et massif qui était resté en retrait depuis le début des évènements.

- C’est notre majordome, Algon. venait de glisser Léo à l’oreille de ses invités toujours par terre.

Ce fameux Algon en avait effectivement tous les traits, que ce soit son costume noir, sa chemise et ses et ses gants blanc ou ses cheveux en brosse parfaitement coiffés. Il s’avança et se posta devant les deux « intrus ». Ces derniers furent tellement impressionnés par lui qu’ils se sentirent obligés de se relever pour ne pas paraître ridicules face à lui. Jack dut soutenir son ami qui n’arrivait toujours pas à bouger.

- Bonjour messieurs. leur dit-il tout en leur tendant une main. Il va falloir que nous discutions.
- D’accord répondit Alex. Mais d’abord expliquez-moi pourquoi je suis paralysé.
- Tout simplement parce que j’ai utilisé un puissant somnifère sous forme de parfum pour calmer le Rypérior. réagit la jeune femme sur un ton cassant. Tu étais sur le chemin et tu en as respiré les effluves.
- SI j’étais « sur le chemin » c’était pour tenter de l’arrêter
- Quand on n’est pas préparé à ce genre d’expérience on ne joue pas les héros, si je n’étais pas intervenue il t’aurait mis en pièce.
- Oh, je vous remercie infiniment de m’avoir sauvé ! continua-t-il ironiquement. Et puis-je connaitre votre nom ?
- Gally Silice, membre officielle de l’I.C.E, bienvenue chez moi ! Enfin, c’est ce que j’aurais dit si vous n’étiez pas des intrus.
- On se calme s’il-vous-plait. reprit Algon qui sentait venir la crise. Vous m’avez l’air honnête
- Mais pour plus de sureté veuillez décliner vos identités
- Creeper Jack
- Alex Driver
- Driver ? Tu veux dire comme Fargas Driver, l’un des plus grands explorateurs de l’I.C.E ?

Comme tout membre de l’I.C.E qui se respecte, Silice connaissait parfaitement cet illustre personnage, il avait fait partie de la plus grande équipe d’exploration, qui comptait également l’actuel chef de l’organisation parmi ces membres. Il avait contribué à des avancements majeurs et on ne comptait plus les exploits qu’il avait réalisés.
- Fargas Driver est mon grand-père. expliqua le concerné
- Ça, ça reste à prouver. rétorqua Silice, incrédule. Je vais tout de suite appeler les services de renseignements.

Au même moment : port abandonné de la ville

Toute la bande était réunie dans le hangar n°3, groupée autour du chef pour attendre les ordres. Tous auraient voulu faire cette réunion dans un autre hangar, puisqu’ils en avaient quatre autre à leur disposition et que le trois était le plus petit mais ce dernier avait la particularité d’être le mieux aménagé. Le patron avait décrété que les autres serviraient à entasser la marchandise. Cela faisait trente minutes qu’ils attendaient le coup de fil d’un gros client sans que rien ne se passe et leurs esprits commençaient à s’échauffer. Trois d’entre qui jusque-là jouaient aux cartes se battaient puisque il semblait y avoir tricherie. Un autre lisait le journal et plus particulièrement l’article de la première page.
- Hey écoute ça ! Il semblerait que le lotus blanc ait encore frappé.
- Le lotus blanc ? Tu parles de ce type qui aurait perpétré 70 cambriolages en un an ?
- Oui. Il aurait volé l’étoile pourpre, le plus gros rubis de West Blue ! Ce serait bien s’il nous rejoignait.
- C’est qu’un tissu de conneries cette histoire. T’es vraiment idiot d’y croire.
- Répète-moi ça enfoiré !
- Parfaitement, et si t’es pas d’accord, t’as qu’a me le dire en face que je t’étale !
- C’est ce qu’on va voir gros tas.
- Bouclez là ! intervint le lieutenant du chef. Si vous continuez on entendra pas l’escargophone alors fermez là un peu !
- Tu te fous de nous ou quoi, t’es celui qui gueule le plus.
A ce moment l’escargophone sonna enfin. Le patron lança un regard noir à toute l’assemblée avant d’empoigner le combiné. Personne ne fit un bruit car chacun savait à quoi s’en tenir.
- Allo M Aguro ? Est-ce que notre affaire est conclue ?
- Presque M Barata. Résonna la voix grave du chef. Nous avons déjà récupéré la perle de Manchury et l’obtention de la flamme pourpre est en cours
- N’oubliez pas que si vous ne me les rapportez pas dans deux jours notre contrat est rompu et j’engagerais d’autres voleurs
- Ne vous inquiétez pas, quant à vous n’oubliez pas l’argent.
- Bien sûr ! Mes hommes vous attendront au port sud de l’ile à 19 heures avec les 100 millions de berrys, c’est tout ce que j’avais à vous dire.
- Dans ce cas au revoir.
Agura se tourna vers ses subordonnés qui n’avaient rien manqué de la conversation.
- Bien, vous connaissez le plan n’est-ce-pas ? Nous agirons donc demain et cette fois tachez de ne pas vous rater.
- Pourquoi ne pas le faire tout de suite Boss ? demanda timidement un des hommes
- Patience mes amis, c’est dans la précipitation que l’on commet des erreurs…

Au laboratoire Gally

- Bon, il semble que tu n’aies pas menti sur ton identité. reprit Silice en reposant le combiné. Mais ça ne t’empêche pas d’être suspect.
- Puis-je émettre mon avis ? demanda Algon.
- Bien sûr. lui répondit-elle
- Ces jeunes gens me semblent honnêtes, nous n’avons aucune preuve de leur culpabilité dans la libération du Ryperior et ils n’ont pas tenté de fuir : ils sont restés pour tenter de le calmer et pour protéger votre frère et nous leur devons un grand service. Le système électrique a surement eu un court circut ce qu a abbaissé la vitre. Je pense qu’ils n’y sont pour rien mais qu’ils étaient au mauvais moment au mauvais endroit.
- Tu as raison, vu sous cet angle ils ont sauvés Léo, c’est incontestable. Pour vous remercier, continua-elle, j’accepte d’écoute votre requête mais seulement demain, aujourd’hui j’ai du travail et je n’aurai pas le temps mais vous pouvez dormir chez nous, Algon vous y conduira.
- On va dormir ici ? demanda Jack
- Non, ici c’est l’ancien laboratoire de mon père, il faisait parfois de longues recherches durant lesquelles il restait enfermé, donc il s’est construit une espèce de base où il pouvait manger et dormir, ça lui évitait de faire des aller-retour avec la maison et ça lui faisait des économies de temps.

Ils sortirent tous ensemble mais une fois dehors, Silice se dirigea vers l’ouest et les autres à l’est. Bien que pouvant de nouveau marcher, Alex était sonné, il demeura donc silencieux jusqu’à ce que Jack lui pose la question qui l’intéressait :

- Hey Alex ! Tu m’expliques pourquoi ton haki n’a pas marché sur le monstre de tout à l’heure ?

Ce dernier semblait être là sans vraiment l’être. Il tenta de se concentrer, de recentrer son esprit et de se souvenir avant de répondre :

- Ben c’est tout bête : je t’ai dit que je maîtrisais l’aura, pas que je la maîtrisais bien.
- Pardon ?! Ça veut dire que tu manques d’entrainement ?
- En gros oui. Tu te souviens quand j’ai assommé le marine dans la base avant qu’on ne parte ? C’est la quantité maximale d’aura offensive que j’arrive à maîtriser. Si j’en concentre trop elle devient incontrôlable et s’évapore.
- Mais alors t’es nul ! Moi qui croyais que t’étais balèze…
- Faut minimum un an pour maitriser chaque haki, mais tu verras quand j’aurai réussi à la manier complètement. Et j’ai déjà un bon niveau : je peux envoyer valser quelqu’un, détruire un mur, anticiper certaines attaques et toucher le vrai corps d’un utilisateur de fruit du démon. Et puis moi au moins, je peux me défendre
- Qu’est-ce que tu sous entends par là ? Tu crois que je peux pas me battre ? Je te mets au tapis quand je veux !
- Hey les gars on est arrivé. les interrompit Léo

En effet ils n’avaient pas remarqués que devant eux se dressait un imposant manoir. Ils y entrèrent et se retrouvèrent dans un grand hall. Les deux visiteurs admirèrent la taille et la beauté des lieux.

- Eh ben, souffla Jack à l’oreille de Léo, tu as une belle et grande demeure et tu traines dans la cabane de ton père
- Je n’aime pas rester dans cette grande maison vide, lui répondit Léo, et quand je suis dans le labo de mon père j’ai l’impression qu’il est toujours là.
- Suivez-moi, reprit Algon, et surtout ne vous éloignez pas vous risqueriez de vous perdre.

Ils montèrent un escalier, puis bifurquèrent à droite et à gauche plusieurs fois avant de finir leur trajet devant une porte. Derrière elle se trouvait une pièce bien équipée. En face de la porte se trouvait un bureau, à leur gauche il y avait une étagère remplie de livre et à droite un canapé avait été installé.

- Mettez-vous donc à l’aise. leur dit Algon

Les trois garçons prirent donc place pendant que le majordome fouillait les tiroirs du bureau. Il en sortit un objet recouvert d’un tissu blanc qu’il retira. Ils découvrirent une plume d’un rouge vermeil, dont la taille ne dépassait pas un doigt et protégée à l’intérieur d’un cube de verre.

- Elle est magnifique. dit Alex en ne cessant de la fixer
- Ceci est la plume de Kerudo, on l’a surnomme la caresse de l’espoir car on raconte que l’oiseau qui porte des centaines de ces plumes serait apparu durant une guerre. Les soldats cessèrent de combattre pour l’admirer avant qu’il ne disparaisse, après quoi les deux camps firent la paix. Mais elle a un autre surnom.

Algon retira la plaque du cube de verre puis l’exposa à la lumière. Aussitôt le rouge de la plume s’intensifia à tel point qu’elle eut l’air de prendre feu, un feu aux reflets violacés.

- Lorsqu’elle est traversée par les rayons du soleil, elle semble s’enflammer et devient d’une toute autre couleur, c’est pour cette raison qu’on l’appelle aussi la flamme pourpre. Voulez- que je vous raconte l’épopée de l’homme qui l’a découverte ?
- Oui ! lui répondirent en cœur les deux invités.
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FLASH BACK
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2 ans plus tôt : Manoir Gally

Silice monta les escaliers quatre à quatre, courut dans tout un tas de couloir puis termina sa course en surgissant dans une chambre. Là elle vit son frère sur le dos d’un homme, blond grand et fort à quatre pattes sur le sol.

- Papa, s’écria-t-elle, tu es rentré !

L’homme, Gally Eido, se redressa et reposa son fils au sol avant d’embrasser sa fille.

- Ca fait longtemps qu’on ne s’était pas vu, hein les enfants et demain je dois repartir . Pour me faire pardonner de mon absence ça vous direz de voir ma dernière découverte ?
- Oui ! répondirent-ils en cœur.
- Alors allons dans mon bureau.

Tout en s’y dirigeant les enfants donnèrent les dernières nouvelles de l’ile à leur père. Ryga lui apprit qu’elle passerait bientôt l’examen pour l’obtention de son diplôme de zoologue. Une fois arrivé dans son bureau, Eido leur montra la fameuse plume et leur expliqua tou ce qu’il savait puis il leur raconta sa rencontre avec le Kerudo :

- Est ce que vous avez déjà entendu parler du Kerudo ?
- Non, répondit sa fille, et pour Léo c'est pareil.
- C'est un oiseau légendaire que les marins auraient apercus à plusieurs reprises et chacune d'elles il auraient retrouvé une plume sur les lieux. Cette dernière n'appartiendrait à acune espèce de volatile connue à ce jour. Cela faisait déjà 2 mois qu’on le cherchait sans succès, on était arrivé sur une île où des personnes l'auraient vu mais quand on est arrivé tout ce qu'on a distingué c'était une ombre lointaine dans le ciel et cette plume qu'on a trouvé par terre. Vous imaginez : si cet oiseau était exposé au soleil, ce serait un véritable phoenix pourpre !
- Mais il existe vraiment ? demanda Léo
- Même si personne ne l'a encore jamais réellement vu, je crois à son existence et cette plume en ait la preuve vivante.
- J'aimerais beaucoup le voir, dit Silice fascinée, ce serait génial.
- Tu pourrais y arriver, il suffit d'être persévérant et d'y croire.
- Un jour je le trouverai !

Ils continuèrent à en parler jusqu’au lendemain. Avant de partir le père embrassa fort ses enfants et leur fit des recommandations :

- Léo, travaille bien à l’école.
- Oui papa
- Et Silice, je suis sûr que tu réussiras ton test, et après tu pourras travailler avec papa.
- Ce sera génial, j'ai hàte d'y être !

Environ six mois plus tard Algon rentra en trombes dans la chambre des enfants alors que Silice lisait et que Léo jouait avec des figurines en bois.

- Venez vite dans la chambre de votre père ! Il vient de rentrer et il est malade !

Ils se ruèrent tous les trois dans les couloirs jusqu’à la chambre du père. Lorsqu’ils entrèrent, l’atmosphère était oppressante : les rideaux étaient tirés, l’air sentait le désinfectant. Et ils le virent, allongé sur un lit, les yeux clos. Silice se pencha sur lui et lui chuchota à l’oreille :

- Papa, tu es réveillé ?
- Hum, gémit-il ou ouvrant un œil, c’est toi ?
- Oui papa, c’est Silice, qu’est-ce que tu as ?
- Le médecin est arrivé. annonça Algon. Mademoiselle vous devriez sortir, vous et votre frère durant pendant que votre père se fait examiner
- Il a raison, reprit ce dernier, attendez dans le couloir, Algon viendra vous chercher quand ce sera fini.

Ils obéirent et sortir de la chambre alors que le médecin, un homme maigre et grand aux cheveux grisonnants y entra. Il en sorti à son tour une demi-heure plus tard en compagnie du majordome qui lui serra la main.

- Je suis navré. dit-il en repartant.
- Les enfants, dit Algon avec un ton sombre, venez.

Ils rentrèrent à nouveau dans la chambre, encore moins rassurés que la première fois. Cette fois-ci Eido était en position assise, le dos calé contre la tête du lit et les regardait et leur dit :

- Venez près de moi, il faut que je vous dise quelque chose
Ils se rapprochèrent donc de lui, attendant anxieusement le résultat de la consultation.
- Il y a deux mois mon équipe et moi-même avons été chargés d’arrêter des braconniers. Durant la bataille une flèche m’a entaillé le bras droit. J’aurais dû guérir vite mais mon état s’est aggravé et des symptômes sont apparus. On m’a donc reconduit ici. Et d’après le médecin j’ai été empoisonné, je suppose que c’est dû à la flèche qui en été couverte. D’après le médecin j’en ai pour une semaine tout au plus.
- C’est pas vrai. dit Léo les larmes aux yeux
- Il doit exister un antidote, s’écria Silice, il existe forcement !
- Non il n’existe pas, ou plutôt plus : l’animal qui produisait les anticorps nécessaires à l’antidote a été exterminé il y a déjà quelques années par des brigands pour vendre leurs cornes à des nobles.

A cet instant Léo ne put se retenir, il hurla comme on n’avait jamais entendu quelqu’un crier comme ça alors que sa grande sœur laissa couler des larmes de désespoir et de colère

- Je les hais, réussit-elle à dire entre deux sanglots, ils ne pensent qu’à eux et se fichent du mal qu’ils font à autrui.. Je hais les humains !
- Il ne faut pas dire ça, reprit le père, ils ne sont pas tous comme ça, il y en a aussi beaucoup qui ne sont pas mauvais, comme Algon, les gens de l’I.C.E, Léo et ta mère. Aies foie en l’humanité.
- Mais à cause d’eux tu vas mourir !
- De toute façon je serais mort un jour, que ce soit aujourd’hui ou dans dix ans, c’est pareil. Chaque entité vivante est destinée à mourir, c’est pour ça qu’il faut toujours vivre à fond et réaliser ses rêves pour ne pas avoir de regret, j’ai vécu plus d’aventures que ce qu’une personne peut espérer, donc je n’en ai pas. Je m’inquiète juste un peu pour vous, mais tu as eu ta majorité, tu peux t’occuper de ton frère et puisque tu as eu ton diplôme tu peux faire ce que tu veux, d'ailleurs je suis fier de toi et de ta réussite. Hey, continua-t-il en posant une main sur la tête de son fils, je sais ue c’est dur mais vous vous en sortirez sans moi, je vous connais.

Il profita de ses derniers instants pour finir son travail et profiter de ses enfants. Il ne tint pas une semaine comme l’avait prédit le médecin mais dix jours. Jusqu’à son dernier souffle, il continua à parler à son entourage :

- Algon prenez soin d’eux
- Oui, monsieur.
- Quant à vous les enfants, vous devez être fort, je compte sur vous. Vous ressemblez tellement à votre défunte mère, vous avez les mêmes yeux qu’elle. Je vous aime. termina-t-il avant qu’il ne succombe.
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Après avoir entendu cette histoire, ils sortirent tous de la pièce pour que le majordome leur montre leur chambre, sauf Léo.

- Je vais ranger la plume. dit-il avec un grand sourire.

Lorsqu’il se retrouva seul il reposa le cube à sa place et en profita pour essuyer la larme qui perlait à son œil alors que personne ne le regardait. Enfin c’est ce qu’il pensait puisque Jack l’observait de l’entrebâillement de la porte.
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Après 3 mois sans chapitre, ma fic refait surface ! J'avais décidé de mettre plusieurs projets de côté dont ma fic, d'où l'absence prolongée. Mais je la reprends. Normalement le prochain chapitre devrait sortir dans deux semaines mais si je le sors après je posterais un bonus en attendant.

Je commente juste pour signaler une petite incohérence de rien du tout. Tu dis dans le chapitre 3 que monsieu Gally est décédé il y a de cela quatre ans:


Or dans le chapitre qui suit, tu insères un flahback de deux ans en arrière et pourtant on retrouve le père:


Voilà, c'est tout ce que j'avais à dire. Bonne continuation pour ta fic !!

Edit: Je voulais aussi juste souligné le fait qu'il y avait beaucoup trop de dialogue à mon gout !

Pour le dialogue je sais mais il y aura plus d'action et moins de parole dans le chapitre suivant. Quant aux 4 ans, je sais erreur de ma part, d'ailleurs je croyais l'avoir crrigé.

Comment ça je suis jamais venu ici ? On va y remédier de ce pas !
Bien qu'il sera plutôt court pour cette fois ci.

Premièrement, j'aime bien comment tu écris, tu as ton propre style, bien qu'il ne soit pas encore maîtrisé à la perfection. En effet, on peut relever de temps en temps quelques hésitations, des moments où tu t'embrouilles les pinceaux. Mais ça s'effacera avec le temps, donc pas d’inquiétude. Pour les fautes, tu dois te relire plus d'une fois puisqu'il y en a peu, mais ce qui me gêne un peu plus, ce sont les très réguliers oublis de point. En effet en fin de phrases, il t'es déjà arrivé de laisser un vide.

Ensuite pour l'histoire, on a 2 jeunes aventuriers qui veulent partir à l'aventure, original, non pas parce que ce sont des aventuriers (au fond, on s'en fout, c'est le même but) mais plutôt, si j'ai bien compris, parce qu'il vont intégrer une organisation (à confirmer, mes souvenirs sont flous). Or, le point fort, je le sens, de ta fic, sera la diversité. En effet, on a déjà des légendes, des perles, des flammes pourpres etc. Attention à la répétition à long terme, mais pour l'instant, ça parait pas mal.

En conclusion, un bon début, il faut continuer ainsi ...