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 Sujet du message: [Fic] The Legend of Mythologia: The Destiny of Brother
MessagePosté: Dim 11 Mar 2012 10:07 
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Deux écrivains chevronnés a écrit:
La Vie et la Mort.
Le Bien et le Mal.
L'Amour et la Haine.
Dans ce monde, chaque chose possède un contraire et un synonyme.
Chaque être se complète.
Tel est constitué le Cycle.
La Vie
est la Mort.
Le Bien
est le Mal.
L'Amour est La Haine.

Mais bientôt, ce Cycle va être rompu.


Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, bienvenu dans cette nouvelle fic du Cabinet!
Alors, bien sûr, vous êtes sans doute occupés de vous demander: "Encore une Fic de Phénix?! Il les collectionne, ma parole!"
C'est vrai, j'aime écrire des histoires. Mais celle que je vous propose aujourd'hui est totalement nouvelle pour moi, et aussi pour Dark Knight, car lui et moi se lançons aujourd'hui dans un projet en Duo!

Et oui, l'ami Dark m'a gentiment proposé de faire équipe avec lui pour produire un récit qui sera, je n'en doute pas, fabuleux.

Pour info, l'histoire se déroule entre notre dimension et une autre dimension. Pas dans l'univers d'Oda ou que sais-je encore. Non, c'est un univers presque nouveau que nous revisitons ensemble. Elle mettra en scène deux héros suivant chacun leurs aventures, mais sans vraiment s'éloigner l'un de l'autre. Je ne vous en dit pas plus, car je pense que vous serez très surpris!

Sur ce, voici le prologue, écrit par l'ami Dark et corrigé par mes soins:

Citation:
Prologue


Les sirènes des voitures de polices hurlent à travers la ville. Les camions de pompier submergent les routes à l’image d’un torrent de boue à travers les rues désertes d’un village. La mort prend naissance, la vie décède. Le cycle à recommencé, encore et encore. Et cela va recommencer. Cela doit recommencer. Cela recommence depuis des siècles. Ils se posent des questions. Emettent des thèses, des hypothèses, des antithèses. Ils sont si loin de la réalité. Cependant, pour eux, être incapable d’effleurer un temps soit peu la réalité les rends malades. Il faut des réponses. Des réponses absolues. L’Écosse à donné le Loch Ness. Le Tibet lui donna le nom de Yéti. L’Europe entière propose les Loups Garou. Les légendes sont nées ainsi. Les mythes créés dans le mensonge. Dorénavant, la peur refluera dans le cœur des gens, tapie dans l’ombre. Ils oublient. Ils sont aveugles de grimages.
La vérité est toute simple. La vérité est absolue. La vérité prendra vie dans les actes de deux hommes.
Ceci est le début du voyage. La balance éternelle du bien et du mal n’a pas encore penchée. Chaque camp peut triompher. Tout est à faire. L’Histoire est à écrire. A réécrire. L’heure est arrivée pour la vérité d’éclater.

L’heure est venue, pour le monde de


Mythologia


Spoiler: Montrer
Liste des Chapitres:

1°) Nuit d'été
1°) L'été, de nuit

-------------

2°) ???
2°) ???

_________________
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In cities or the countryside,
A Song resounds forcefully
The Song of the Phoenix Dragon.
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Because the only people who fit
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-Walk The Phoenix Dragon-


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Dernière édition par Phénix Dragoon le Mar 13 Mar 2012 21:28, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: [Fic] The Legend of Mythologia: The Destiny of Brother
MessagePosté: Mar 13 Mar 2012 20:07 
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Chapitre 1:

Nuit d'été


La mort et la vie. L’air et le vide. Le cycle le plus naturel qui soit et qui pourtant, cause le plus de peine à l’homme. Les hommes, si fort, si sage, si humainement humains. Si loin, pourtant de la vérité.

L’air quitte les poumons de l’homme, pour ne plus jamais y retourner. Sa respiration, définitivement bloquée, sous les coups de masses de la bête, ne viendra plus jamais apporter l’oxygène salvateur aux cellules du corps. Les os de l’homme remplissent piètrement leurs offices. Ils craquent et se brise sous le martèlement incessant de la créature. L’être humain, pauvre être endosquelettes n’est pour elle qu’un jouet, une poupée. Une poupée terriblement appétissante. Les crocs pénètrent la fragile chair, la langue lape le sang chaud qui s’en écoule. L’homme lui, agonise, rassemblant ses dernières forces pour penser à ses proches. A sa femme qu’il a plusieurs fois trahit. A ses enfants, bouche trop occasionnel d’un agenda trop chargé. L’homme pleure et hurle, alors que sa vie, elle, s’enfuit.

Un hurlement dans la nuit déchira l'air ambiant. Se propageant à travers les paisibles quartiers endormis, le bruit inhumain atteint les oreilles de Lumen, tel un faucon se posant sur le poing tendu de son maître. D’effroi, celui-ci se redressa. Une nouvelle fois, c’était arrivé. Proche de la maison familiale, cette fois-ci. Trop proche. A pas de loup, le jeune homme sortit de son lit et s’habilla, avant de sortir dans la rue par la porte arrière. L’air frais d’une nuit d’été emplit ses poumons. Inspiration. Expiration. Lumen, plus que tout, savoure la vie qui s’écoule le long de ses veines, qui se propage en lui à chaque battement de cœur. Ses yeux bleus regardent alors l’astre lumineux qui l’éclaire : la lune. La pleine lune. Inflexible, régulière et apaisante. Son halo le couvre, comme une mère couvre d’amour ses enfants. Loin de l’inquiéter de déambulant dans son petit quartier en pleine nuit, la lune l’encourage et le soutient. Elle lui donne le courage nécessaire à faire ce qu’il pense être juste. Protéger sa ville.

Profondément bon, Lumen était apprécié de tous en ville. Contrairement à son frère, ce garçon respirait une joie de vivre communicative et un désir puissant de rendre service aux autres. D’une politesse sans faille, Lumen, loin d’être un fayot, savait pourtant déclaré la plus désagréable des vérités à qui avait besoin de l’entendre. D’un tempérament aimant, ce jeune homme, plus que tout, ne supportait ni la solitude, ni l’injustice. Et c’est ce tempérament qui l’avait un jour conduit à se retrouver en pleine nuit dans sa ville. Le petit Tommy avait disparus en pleine nuit et personne n’avait pu mettre la main dessus. Seule une description, abracadabrantesque avait été recueillie par la police, description mise à la poubelle dès les premières lignes. Et c’est ainsi que les recherches pour le petit Tommy furent suspendus, oublié, comme cette boulette de papier dans la poubelle portant en en-tête le nom de Loup-Garou.

Lumen Samari avait alors pris les choses en mains pour son propre compte. Si les policiers n’avaient guère daigner poursuivre les recherches longtemps, cela faisait plus de deux mois que Lumen, lui, sortait dans les rues de son quartier à chaque bruit suspect. Avec déception, son travail n’avait pas encore porté de fruits. Pas encore. Car le jeune homme qui courait, cette nuit-là, était certain de trouver un indice le jour même. Ce hurlement était décidément trop inhumain que pour provenir d’une bagarre de deux ivrognes. A petite foulée, Lumen courait, le long des sombres trottoirs de la ville, à la recherche d’un simple élément susceptible de l’aider à se diriger. Un simple élément comme le glapissement, bruyant comme le tonnerre qui se fit entendre derrière lui. D’un coup de rein, le jeune garçon fit volte-face, pour contempler une rue déserte. Presque déserte. Dans l’ombre, la silhouette du plus gros chien qu’il n’avait jamais vu le fixait. Sans voir ses yeux, Lumen était pourtant certains que celui-ci le fixait, immobile.

Et soudain, ce qu’il vit le stupéfia. Il s’était attendu à ce que l’ombre avance, que chaque pattes se soulèvent, les unes après les autres, pour finalement avancé jusqu’à lui. Mais l’ombre fit toute autre chose. Les deux pattes avant du chien se soulevèrent. Pour ne plus jamais se reposer. La silhouette était décidément bien grande, plus de deux mètre de haut, surplombant à elle seule le mur bordant le parc municipal situé à sa droite. A voix basse, ne pouvant détacher ne serait-ce qu’une seconde ses yeux de ce qui s’apparentais à un Loup Garou, Lumen murmura

- C’est impossible. Les Loups Garous n’existent pas ! Ce sont des légendes !

Un grognement, à peine contenu, interrompit ses pensées. Et soudain, le Loup Garou se détourna et disparut dans le parc. Sans aucune hésitation, Lumen le suivit, attiré, tel un aimant, vers ce qu’il pensait encore n’être qu’un rêve.

A large enjambée, Lumen poursuivait la créature, la lune éclairant faiblement le parc. Même s’il venait au parc depuis qu’il avait l’âge de marcher, celui-ci lui paraissait toujours aussi immense malgré les centimètres que lui avait conférer son adolescence. Havre de paix, le parc avait petit à petit perdu en fréquentation, depuis que les junkies du coin et les sans-abris disparaissaient sans aucune explication, sauf l’hypothèse de l’alcool et du thc. L’affaire avait comme toujours été classée sans suite par la négligente police de la ville. Dès qu’une personne considérée comme potentiellement accros à une quelconque substance disparaissait, les policiers laissaient tomber l’assiette, préférant consacrer leurs temps à rechercher les gens « bien » et à compulser de vieux dossier. L’échevin de l’environnement avait jugé l’entretient du parc bien trop couteux pour la ville et avait donc décidé de suspendre les contrats des trois ouvriers de la nature. Le parc, depuis six mois, était à l’abandon.

Le Loup Garou disparut derrière l’arbre, s’enfonçant sous l’épais manteau de feuilles occultant la lumière de l’astre nocturne. La terre, au fur et à mesure qu’il s’enfonçait dans les bois, devenait humide. Plus d’une demi-heure de marche l’avait conduit au cœur même de celui-ci. Sans se départir de son courage, chaque bruissement de feuilles et craquement de branches poussait Lumen à poursuivre la bête. Et soudain, l’horreur. Un charnier dont l’odeur prit immédiatement Lumen à la gorge apparaissait devant ses yeux, à l’entrée d’une grotte naturelle. Des dizaines des corps, déchiquetés gisaient là, certains en cours de décompositions, d’autre éventrés, tripes et viscères complètement étalés sur le sol. Mais chacun de ces corps marquaient les même signes : les jambes, bras et ventre complètement dévoré, des lambeaux de peau gisant çà et là. Et le Loup Garou fut soudain introuvable. Plus aucun bruit n’environnait le jeune Samari. Le calme, obscure et lugubre enveloppa Lumen, de sa froide étreinte.

- Il m’a piégé !

Au même moment, une douleur lancinante alarma dangereusement ses nerfs dans le dos. Lumen s’affala à terre, de profondes plaies dues aux griffes du Loup Garou béaient dans son dos, laissant couler le sang. La bête, forte de sa vivacité d’esprit, avait attiré le garçon avant de grimper dans un arbre, laissant le jeune homme contempler le charnier avant de lui tomber dessus. Péniblement, Lumen se releva et courut vers la grotte, seul endroit accessible pour lui et à l’opposé d’où se trouvait le monstre. Il entendit le crissement des longues griffes de la bête sur le sol terreux et poussiéreux de la grotte. Alors que Lumen courait de toutes ses forces, l’halètement de la bête le poursuivait et se rapprochait. Un souffle chaud et puissant pesait sur sa nuque, promesse d’une mort imminente. Soudain, l’irréel se produit : dans les ténèbres rocheux, l'adolescent tomba, se retrouvant, non pas sur le sol dure de la grotte, mais sur un moelleux tapis d’herbe de prairie. Roulant sur le dos, Lumen se retourna et contempla le ciel. Assurément, il ne se trouvait plus au même endroit. Abasourdis, il contemplait dans le ciel étoilé une fenêtre, d’un mètre de côté donnant directement vue sur la grotte qu’il venait de fuir. Flottant à hauteur d’homme, je jeune garçon pouvait observer le plafond de la grotte, faiblement éclairé par une douce lumière rouge. Il releva la tête : une double lune occupait le ciel : la première, d’une blancheur éclatante était obscurcie par un nuage, voilant sa lumière apaisante. L’autre par contre, à l’opposé de la lune blanche, était rouge écarlate, comme gorgée de sang. Son aura, plus maléfique qu’apaisant éclairait, dans le ciel, cette fenêtre donnant accès à un lien totalement différent. Un monde différent. Il prit alors cinq secondes pour contempler les alentours et découvrir cet endroit, pour le moins atypique. Lumen était perdu dans une énorme prairie, au sommet d’une de ses plus grandes buttes, d’après ses observations. De hauts feu brulaient, çà et là, mais le jeune garçon étaient bien trop éloigné pour observer précisément si ce feu était d’origine humaine ou naturel, contrôlé ou incontrôlé. L’adolescent lâcha alors un gros soupir, chose peu familière pour lui. C’était d’ordinaire son frère qui manifestait sa désapprobation en tout point, pas lui. Cependant, tout ce qui s’était passé cette nuit le dépassait totalement, laissant en lui l’amer sentiment d’incrédulité et de frustrations. Rien de ce qui n’était arrivé n’était naturel. Tout comme la créature qui se laissa tomber dans la prairie, comme l’avait fait peu avant Lumen. Le Loup Garou, babine retroussée, darda de ses yeux jaunes le jeune garçon. Une bave blanche, gluante, coulait de la gueule du monstre pour tomber sur l’herbe et se répandre le sol humide tel le sang des victimes du monstre.

« Je suis un homme mort »

La bête toisa une nouvelle fois la chair fraiche de Lumen et s’avança, toutes griffes dehors.

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Dernière édition par Dark Knight le Mar 13 Mar 2012 20:47, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: [Fic] The Legend of Mythologia: The Destiny of Brother
MessagePosté: Mar 13 Mar 2012 20:35 
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Triple Scheize et boule de morve! Ça promet à mort!
Je sais qu'il est toujours agréable d'avoir un commentaire après le premier chapitre (J'ai bien vu qu'il y avait deux Chapitres 1) et donc en voici un.
Premièrement, c'est très bien écrit avec du vocabulaire recherché et des expressions précises et agréables. Deux ou trois fautes d'orthographes à relever mais pas gênant. La longueur du texte est idéal, ça prend pas trois plombe à lire.
Ensuite, l'histoire. Va falloir faire trèèèèèèèèèèèèèèès attention parce que je sens que ça va partir dans une histoire à double face avec jeu de miroir. Prise de risque énorme car Dieu sait que c'est ultra-difficile de tout coordonner pour avoir un ensemble cohérent sans oublier le moindre petit détail mais.... Ça rend très bien quand c'est réussi! Et d'ailleurs, j'adore votre thème d'histoire!
Après c'est qu'une supposition mais ça m'a tout l'air de partir dans cette direction avec le Chapitre 1 et le Chapitre 1. (Notion d'opposition complémentaire). Mais bon, il se peut aussi que je me trompe complètement et que ce soit pas exactement, voire pas du tout ça.

M'enfin, brefounet.

Je termine sur un petit conseil:

Citation:
Au même moment, une douleur lancinante alarma dangereusement ses nerfs dans le dos. Lumen s’affala à terre, de profondes plaies dues aux griffes du Loup Garou béaient dans son dos, laissant couler le sang. La bête, forte de sa vivacité d’esprit, avait attiré le garçon avant de grimper dans un arbre, laissant le jeune homme contempler le charnier avant de lui tomber dessus. Péniblement, Lumen se releva et courut vers la grotte, seul endroit accessible pour lui et à l’opposé d’où se trouvait le monstre. Il entendit le crissement des longues griffes de la bête sur le sol terreux et poussiéreux de la grotte. Alors que Lumen courait de toutes ses forces, l’halètement de la bête le poursuivait et se rapprochait. Un souffle chaud et puissant pesait sur sa nuque, promesse d’une mort imminente. Soudain, l’irréel se produit : dans les ténèbres rocheux, Lumen tomba, se retrouvant, non pas sur le sol dure de la grotte, mais sur un moelleux tapis d’herbe de prairie. Roulant sur le dos, Lumen se retourna et contempla le ciel. Assurément, il ne se trouvait plus au même endroit. Abasourdis, il contemplait dans le ciel étoilé une fenêtre, d’un mètre de côté donnant directement vue sur la grotte qu’il venait de fuir. Flottant à hauteur d’homme, Lumen pouvait observer le plafond de la grotte, faiblement éclairé par une douce lumière rouge. Il releva la tête : une double lune occupait le ciel : la première, d’une blancheur éclatante était obscurcie par un nuage, voilant sa lumière apaisante. L’autre par contre, à l’opposé de la lune blanche, était rouge écarlate, comme gorgée de sang. Son aura, plus maléfique qu’apaisant éclairait, dans le ciel, cette fenêtre donnant accès à un lien totalement différent. Un monde différent. Il prit alors cinq secondes pour contempler les alentours et découvrir cet endroit, pour le moins atypique. Lumen était perdu dans une énorme prairie, au sommet d’une de ses plus grandes buttes, d’après ses observations. De hauts feu brulaient, çà et là, mais le jeune garçon étaient bien trop éloigné pour observer précisément si ce feu était d’origine humaine ou naturel, contrôlé ou incontrôlé. L’adolescent lâcha alors un gros soupir, chose peu familière pour lui. C’était d’ordinaire son frère qui manifestait sa désapprobation en tout point, pas lui. Cependant, tout ce qui s’était passé cette nuit le dépassait totalement, laissant en lui l’amer sentiment d’incrédulité et de frustrations. Rien de ce qui n’était arrivé n’était naturel. Tout comme la créature qui se laissa tomber dans la prairie, comme l’avait fait peu avant Lumen. Le Loup Garou, babine retroussée, darda de ses yeux jaunes le jeune garçon. Une bave blanche, gluante, coulait de la gueule du monstre pour tomber sur l’herbe et se répandre le sol humide tel le sang des victimes du monstre.


Vous avez deviné? La répétition du nom du protagoniste! J'avoue que c'est difficile de trouver des substituts dès le début étant donné que la description physique du perso est au point mort mais vers la fin du paragraphe, ça devient redondant.
Pas trop grave et pratiquement inévitable mais fallait bien un petit conseil pour l'amélioration :)

J'attends le Chapitre 1 Miroir avec impatience, bonne continuation à vous deux!

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~ Président Giga du Club Ps ~


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 Sujet du message: Re: [Fic] The Legend of Mythologia: The Destiny of Brother
MessagePosté: Mar 13 Mar 2012 20:40 
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Bordel Paku, mais tu as totalement raison, le redondance du nom ! Alors que je me suis relus 36 fois ! Je me vois dans l'obligation de démisionn.....
Merci pour ton commentaire en tout les cas ! C'est fichtrement agréable d'avoir un regard sur son travail et fichtrement plus agréable de pouvoir dire "notre" travail ^^.

La suite est entre les mains de notre bon Phénix !

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 Sujet du message: Re: [Fic] The Legend of Mythologia: The Destiny of Brother
MessagePosté: Mar 13 Mar 2012 21:25 
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En effet, le "Lumen" m'a également échappé...

J'en profite pour donner une légère explication sur le choix du style d'écriture:

Au départ, Dark m'avait contacté je ne sais plus trop pourquoi en vantant mon style d'écriture, puis m'a proposé de faire un Duo à deux. J'ai accepté, mais comme je ne voyais pas trop comment on pouvait faire pour écrire une fic à deux, j'avais pensé à ce système de deux héros pour deux histoire (presque) différente. Certes, il y a un gros risque de faux raccords, mais c'est là tout la magie de l'écriture: Rien ne doit être laissé au hasard, et c'est pourquoi on va chacun essayer de laisser une fin à libre choix. Si mes idées, par exemple, ne collent pas avec la vision de l'histoire par l'ami Dark, comme le choix est laissé libre, il aura la possibilité de le changer par la suite. Mais nous avons déjà le speech général de l'histoire, ainsi que la fin qu'on espère terminer en apothéose (notez le terme classe, yeah!). Et puis, on possède un bon contact, et on se donne chacun nos chapitres avant de le poster pour une relecture attentive. Donc pas de soucis de ce coté là.

Mais il faut l'avouer: Dark ayant du respect pour moi et mon style propre alors que j'ai que 16 ans, je dois admettre qu'il se débrouille pas trop mal, voire même excellemment bien pour un début qui se doit de mettre le lecteur en ambiance. Mais ne vous inquiétez pas, s'il foire, je suis toujours la pour rattraper la balance^^

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 Sujet du message: Re: [Fic] The Legend of Mythologia: The Destiny of Brother
MessagePosté: Lun 19 Mar 2012 17:33 
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Chapitre 1:
L'été, de nuit


Le destin et le hasard. Ces termes si vastes et si précis à la fois. C’est ce qui pourrait définir le plus Typhon Samari. Amateur d’hasard et de destin.
S’il se savait assez hasardeux dans ses actes et sa façon de penser, Typhon n’en était pas moins certain de sa destiné : Il se savait fait pour faire couler le sang.

Depuis tout petit, il n’aspirait qu’à une chose : la tranquillité. Vivre avec une femme, des enfants, deux ou trois, être casé dans un petit village tranquille. Certes, il avait la femme : Solène était la plus belle fille qu’il avait jamais rencontrée. Jeune, jolie, amoureuse, elle respirait l’amour et la bonté. Là où son imbécile de frère jumeau s’était heurté à un râteau monumental il y a trois ans, lui a réussi à la charmé par son physique plus avantageux que Lumen. Aussi par son prénom, Typhon.
Par contre, le reste avait été un véritable carnage. De par son comportement impulsif et agressif, les Samari avaient été contrait de déménager. Du petit village de campagne, ils avaient opté pour un petit appartement cinq pièces au plein cœur de Céliston, une ville d’Île-de-France. Le style d’habitation pourri à l’extérieur mais cosy et chaleureux à l’intérieur, qui tremblait quand le métro passait juste au dessus. Car c’était là que se trouvait l’école la plus stricte et la plus bridée de toute la France en 2020.
Depuis leurs déménagement, il n’avait eu que des ennuis : bagarres, vols à l’étalage, dispute parentale et, surtout, fraternel, arrestations,… Bien sûr, Solène n’en avait jamais rien su pendant deux ans. Puis ce fut la rupture. Puis de nouveau la remise en couple, Typhon ayant effectué un mea culpa de trois semaines devant chez elle. Juste après, il avait dû s’enfermer dans sa chambre pendant deux jours. Il n’en dit rien à personne, mais cet isolement était nécessaire. Il détestait se pardonner.

Aujourd’hui, il faisait chaud, même la nuit. C’était un vendredi 13, Juillet pour être précis. Une nuit de pleine lune.
Typhon était en route pour l’extrême Ouest de la Bretagne, là ou vivait Solène. La jeune fille de 19 ans avait déménagé près de la mer pour la symbolique de la nuit à la belle étoile en amoureux. Typhon détestait amèrement tout ce qui avait trait au romantisme, mais il ne pouvait rien refuser à Solène. Il allait donc lui rendre visite tout les week-ends en Bretagne. Il avait pris le dernier train de justesse pour rallier Brest, avant de prendre l’autocar vers Irosie, le village ou elle habitait. Le village tranquille, il l’avait aussi.
Seulement voilà. Il ignorait totalement des évènements que Lumen était occupé de vivre. Il s’en fichait même. Bien qu’au fond de lui, un lien le reliait encore à son frère jumeau de 19 ans, il n’avait rien à faire de son frère. Typhon se considérait supérieur à lui, de part le fait qu’il était né le 31 Juillet à 23h59’20’’, et que Lumen était né le 31 Juillet à 23h59’40’’.
Typhon ne pensait plus qu’au bras chaleureux de Solène, à ses lèvres douces et duveteuse, à son odeur délicieuse de vanille et à ses cheveux roux cuivrés aussi soyeux que la soie.
Dans le train, il écoutait du Mickaël Jackson, qu’il poussait à fond dans son casque. Une jambe contre le siège, l’autre replié sur lui, avec une main posée sur son genoux, Typhon ignorait que dans quelques heures, les évènements qu’il avait vu au journal parlé hier soir allait se produire devant ses yeux.
Car hier soir, le présentateur du JT avait touché un mot sur de récents évènements étranges se déroulants dans divers endroits du monde : En Angleterre, des touristes de toutes nationalité étaient retrouvés morts, le cœur arraché ; En Egypte, des hommes recouverts de bandelettes, dans un état de putréfaction immonde, avaient été aperçu sur les rives du Nil, polluant pas moins de dix-milles foyers en eau potable. Et plus proche de lui, à Paris, des gens était retrouvés sans vie un peu partout, bras et jambes manquants. Mais ce que pointait le journaliste du doigt, c’était surtout l’inaction des différents groupes de polices des zones concernés, qui se contentaient de classer les affaires au profit de crimes facilement solubles par les technologies actuelles. Aussitôt Lumen s’était levé et avait crié :
-Vous voyez, même les autres pays étaient touchés par ces phénomènes étranges ! J’en étais sûr !
-Putain, Lumen, avait grogné Typhon, ce ne sont que des légendes ! Qui irait croire ce genre de choses ? Toi-même tu disais encore hier soir que c’était des sottises !
-Mais maintenant, j’en suis sûr ! J’peux te le prouver !
-On te croit, on te croit…
-Ah mais c’est vrai… ! Suis-je donc bête, ce genre de conneries sont trop compliqués pour ton cerveau ramolli par ta musique de fous !
-Quoi ?! Répète-ça, pour voir si t’es un homme !
Et ainsi avait continué la discussion posé et calme avec son frère, qu’il tenait parfois jusqu’à minuit.

Il regardait par la vitre et souriait encore, quand il pensait aux victoires écrasantes qu’il faisait subir à Lumen depuis longtemps. Mais il n’eut plus le loisir d’y penser : Le train ralentissait, pour finalement s’arrêter complètement.
Typhon descendit du train, joua des coudes pour passer premier et quitta la gare. Il s’avança dans l’allée sombre, à peine éclairée par la lumière de la lune, et prit l’autocar de minuit en direction d’Irosie. Enfin, il appelait cela le « Taxi de Minuit », car à cette heure, seul lui et le chauffeur étaient assez fous pour voyager sur les routes de France.
Mais soudain, un choc à l’avant fit stopper net le bus dans sa course. Typhon fut projeté sur le sol, s’écorchant doigts et lèvres contre le métal rouillé du véhicule. Énervé, le jeune homme hurla :
-Putain, chauffeur du dimanche, t’a pas les yeux en face des trous ou quoi ?!
-Mais ce n’est pas m… !
Il n’eut pas le loisir de terminer sa phrase. Un puissant craquement retentit, suivit d’une coulée d’hémoglobine. Typhon écarquilla les yeux en voyant le sang devant lui et releva la tête. Pour la baisser juste après. Une ombre venait de gober la moitié du corps du chauffeur.
Une odeur putride s’était répandue dans le bus. Comme si un amas de chaire putréfiée s’était mis à se déplacer de son cercueil. Comme si… la mort elle-même avait redonné vie à un cadavre.

Rien que d’imaginer un zombie en face de lui, Typhon n’eut qu’une idée en tête.

Il sauta par la fenêtre et atterrit sur le bitume chauffé par les roues de voitures. Il observa les environs autour de lui, et vit avec horreur des dizaines de pairs d’yeux qui l’observaient dans le noir.
Non pas qu’il n’avait pas la force de les écraser, mais plutôt qu’il n’avait pas envie de mettre les mains dans de la pourriture.
-Oh putain… Qu’es-ce que c’est que ce bordel… ?
Sur sa droite, une femme-zombie s’approcha de lui, l’air hagard et le regard vitreux. Une seconde avant, elle était telle qu’on aurait qu’elle allait tomber. Mais la seconde après, c’était comme si une gymnaste athlétique avait bondi sur lui. La femme morte-vivante possédait une force incroyable, à tel point qu’elle avait envoyé le frère Samari au sol. Il fallut trois coups de pieds à Typhon pour la déloger, elle et sa bouche remplie de vers.
-Putain, mais quel cauchemar !
Il se mit à détaler en direction d’Irosie, qu’il savait à trois cent mètre de sa position. Derrière lui, il entendait les râles des zombies qui couraient à toute vitesse derrière lui, sans doute pour se repaître de sa chaire. Ce qui l’effraya davantage.
Le petit village d’Irosie était un petit village côtier, survivant encore grâce à la pêche et à la culture des champs. En cela, c’était un village paisible. Mais la nuit allait bientôt devenir agitée.
Typhon couru à travers la grand-rue du village, jusqu’à atteindre la colline qui le surplombaient. Au sommet se trouvait la maison de Solène, sa bien-aimée. Dès qu’il fut sur le perron, il martela la porte jusqu’à ce que la jeune fille lui ouvre.
C’était une magnifique jeune femme, habillé d’un gros pull gris à capuche, presque trop grande pour elle. Elle s’était maquillée, et son visage exprimait un bonheur immense de voir Typhon devant sa porte.
Mais celui-ci avait trop peur pour exprimer le moindre signe de bonheur. Il entra comme une tornade chez sa bien-aimée sans prendre la peine de l’embrasser.
-M’enfin, Typhon, que se passe-t-il ? Demanda-t-elle d’un air angoissée.
-Surtout, ne sort plus, murmura-t-il, de la sueur perlant de son front. Tu ne me croiras pas, si je te dis ce qui s’y passe…

Elle voulu l’embrasser pour le calmer et il ne résista pas. Il resta immobile, jusqu’à ce qu’un cri affreux vienne les déranger.
-Va préparer tes affaires, souffla-t-il à son oreille. Va. Moi, je m’occupe de préparer la voiture.
Elle acquiesça d’un signe de tête et revint un instant plus tard, un sac à main immense pendu à son bras, dans le garage de sa maison. Elle s’installa sur le siège passager, et fit un signe de tête à Typhon. Celui-ci mit le contact, et la belle Porche rugit au quart de tour. A l’aide d’une petite télécommande, il ouvrit la porte du garage. À la grande surprise de Solène, elle vit une horde de cadavre en décomposition forcer le passage du garage. Typhon écrasa l’accélérateur, et la voiture défonça les zombies, répandant des restes pourris sur le pare-brise.
Typhon fonça dans la forêt qui se situait juste en dessous de la colline. Il se souvenait d’une grotte, caché dans une lézarde du sol, où il pourrait y cacher sa fiancée, le temps qu’il trouve une solution.

La voiture soubresautait au fur et à mesure que la forêt remplaçait la ville. Typhon alluma les phares, et remarqua enfin la lézarde, après une demi-heure de route. Durant ce laps de temps, il avait su raconter à Solène son aventure. D’abord effrayée, elle affichait maintenant de grands yeux que Typhon interpréta comme étant terrifiée. Mais il n’y pouvait rien y faire pour le moment.
Il gara la voiture derrière un pin et accompagna Solène dans une petite grotte à ciel ouvert, que lui appelait « lézarde » car la fissure du sol de la forêt ressemblait à un éclair. Un petit ruisseau coulait au fond de la grotte, mais ce n’était rien de plus à présent qu’un mince filet d’eau. La grotte partait en pyramide vers la fracture. Au fond de la grotte se trouvait une arche, faite avec des pierres blanches qu’on ne trouvait pas dans la région. D’étranges symboles, en forme de spirale, ornaient cette arche qui semblait avoir toujours été là. Une étrange lumière en émanait. Bizarrement, lui et Solène furent attirés par elle, comme s’ils avaient toujours su qu’elle était là, à les attendre, mais qu’ils n’en avaient jamais pris conscience…
Et soudain, ils se retrouvèrent dans une plaine sombre, déchirée par les volcans et les flammes. Une terre inhospitalière, vallonné, peuplée d’arbres couleurs charbon et d’ombres flottant dans un vide si oppressant, si renfermé, que Typhon et Solène se sentirent comme écrasé par une force invisible.
-On est où, ici… ? Murmura Solène, presque effrayée.
-Je ne sais pas… En tout cas, je ne suis jamais venu dans cette endroit… Répondit le jeune Samari, presque aussi effrayé qu’elle.

Au loin, plusieurs montagnes bouchaient la vue, mais Typhon remarquait très bien une porte gigantesque, faite de pierre en fusion et de flammes. Par contre, le jeune homme espérait se tromper en voyant que la porte portait un dessin de sourire grossier.
L’endroit avait tout pour plaire à Typhon.
Mais soudain, Solène lui tira la manche, et pointa quelque chose au loin : Un coin vert, sur une haute colline, bercée par de grandes flammes rougeoyante. Un arbre était planté sur cette colline, un bel arbre blanc aux feuilles aussi verte que l’herbe sur laquelle se tenait un jeune homme, pourchassé par une créature humanoïde, mais ayant les traits d’un loup. Un Loup-Garou. Elle ajouta :
-Ce ne serait pas ton frère, là bas ?
Typhon fronça les sourcils, mais tout ce qu’il vit se résuma à un point noir dans la nuit. Et justement, ce fut la nuit qui perturba le plus Typhon. Celui-ci avait l’habitude de se retrouver au clair de lune avec Solène, sur une colline. Mais jamais, au grand jamais, il n’avait eu à subir le lourd regard de deux lunes opposées dans la couleur. La Lune Blanche dardait sur lui un regard apaisant. Mais la Lune Rouge donnait un sentiment de malaise au jeune homme : elle était signe de mauvais présages et de mort certaine. C’est ainsi qu’il l’interpréta.
Il descendit de la colline sur laquelle ils avaient atterrit, Solène et lui. Mais au moment où il posa son pied sur le sol rocailleux, un cri sourd se fit entendre au loin. Le rugissement d’une bête, long et puissant, qui semait la mort sur son passage. Presque au même instant, une horde de cavaliers en armure blanche se détacha de la pénombre ambiante. C’était de fiers soldats, armés d’épées et de lances, chevauchant fièrement vers eux. Quand ils ne furent plus qu’à quelques mètres, le chef de la horde – du moins, c’est ce qu’il semblait – ordonna à trois de ces soldats d’aller aider le deuxième frère Samari, agressé par un Loup-Garou. Le reste se plaça en éventail autour de Typhon et Solène, comme pour les protéger d’un danger. Le chef de la horde leur demanda :
-Êtes-vous blessé, jeune gens et gentes dames ?
-Non, répondit Solène.
-Non plus, répondit Typhon. Mais vous allez me dire qui vous êtes. Sinon on risque d’avoir un problème.
L’homme en armure se retourna sur sa selle et se présenta :
-Je suis Percedal de Von Gotha, Chef des Chevaliers Blancs. Et vous, cher ami, vous êtes notre prisonnier.

_________________
In the darkness or light,
In cities or the countryside,
A Song resounds forcefully
The Song of the Phoenix Dragon.
Fear it, Love it, weep on,
Because the only people who fit
Are the souls of the damned pirates


Une future légende est en marche... Découvrez ses aventures ici!
-Walk The Phoenix Dragon-


My Name Is: HILRÉ LAMOU (Star Wars) - CONFUSED DRUADAN (Terre du Milieu) - CELEGORM CÚTHALION (Langue Elfique) - DRACO (SSBB) - Phénix Dragoon (Volonté du D)


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