Chapitre captivant avec notamment la trahison du capitaine des Hunters. Je trouve ça d'ailleurs intéressant que tu fasses plusieurs classes de chasseurs. Je suppose que chaque de ces classes doivent avoir des aptitudes au combat. C'est quelque chose qui à mon avis, tu devrais développer. Notre jeune garçon (car c'est bien le personnage principal - si j'ai bien compris) alors qu'il y a une effusion de sang au village, doit lui aussi faire face aux Jasses. Mais qui est la personne à la fin? L'ex-capitaine, qui par respect par le potentiel du jeune homme, ne le tue pas? Ou un personnage bien différent de celui-ci.
D'ailleurs, l'aptitude à contrôler les monstres et les faire s'effondrer, c'est une référence au Haki?
Je ne m'attends pas à ce que tu répondes à ces questions, elles sont simplement rhétoriques. J'aime bien à vrai dire, énumérer les questions que je me pose à chaque fin de chapitre d'une fiction. Ceci dit, si tu pouvais éclairer ma lanterne pour la dernière, je n'en serais pas moins content. ^^
Bon, je vais faire un copier/coller de ce chap. afin de corriger les fautes, car il y en a malheureusement :
Citation:
Chapitre 3 :
Le campement était en ébullition. Les Jasses continuaient à attaquer la porte malgré les rafales de flèches des Hunters. Ces derniers voyaient mal comment ils pourraient s’en sortir une fois que ces bêtes briseront la porte pour envahir le camp. Dès que les Jasses (nom propre) situés autour des trous de la porte étaient éliminés (s, puisqu'au pluriel), les Hunters(nom propre donc maj.) tentaient de la recouvrir de planches de bois, pour combler les trous. Mais en vain. Ces bêtes pouvaient déjà entrer leurs têtes dans les ouvertures (répétition, change de mot) et chaque planche ( pas de s : singulier!) les approchant étaient détruites grâce à leurs puissantes mâchoires. La peur commençait à envahir les Hunters qui avaient l’air épuisé. Leurs actions étaient plus confuses malgré la profusion d’ordres du capitaine de la base. Alors que la porte allait bientôt céder, ce dernier avança vers la porte et souri. Puis, la porte tomba face à la puissance des Jasses (maj puisque nom propre). Ces derniers chargèrent alors les Hunters. Mais ils s’arrêtèrent brusquement et étaient comme paralysés. Le capitaine se tenait devant eux, fièrement.
-Alors chères bêtes, vous ne voulez (présent s'accordant avec le sujet "vous") pas me laisser passer ? demanda-t-il aux Jasses (maj. puisque nom propre) tout en leurs adressant un regard perçant.
L’atmosphère était devenue très lourde. Sur ces mots, les Jasses (toujours la même chose) obéirent et laissèrent passer le capitaine Hunter. Les autres Hunters (avec un s puisque pluriel) ne comprenaient pas les agissements de leur capitaine quand soudain, ce dernier, qui était à quelques mètres en dehors de la base, dit :
-Désolé mais mes recherches ici n’ont mené à (pas d's, mais accent grave sur le à) rien, je n’ai absolument rien trouvé. J’ai cherché pendant deux ans mais aucune trace.
-Mais que dites (avec un s à dite) vous ? Vous êtes un Hunter Biologiste comme nous, vous avez-vous-même créé (avec un é puisqu'au passé) cette équipe de Hunters (il y a plusieurs Hunters dans l'équipe donc s) pour les recherches, répondit un des Hunters (même chose : Hunter s'accorde avec des).
-C’est vrai mais, à présent, vous ne me servez plus à rien ! Ajouta le capitaine. Donc pour faire simple, votre mort m’est totalement égale !
-Vous…non, ce n’est pas possible !
-Je vous aurais bien gardé avec moi, mais vous êtes très faibles comme Hunters (s puisque tu as mis un s à faibles), trop faibles (même chose ici) !
En réponse à ces mots, un des Hunters pris en main sa lance de bois et couru vers la sortie en criant. Mais immédiatement il fut arrêté par les Jasses qui bloquaient la sortie.
-Comment est-ce possible ? Les Jasses…apprivoisés ? se demanda un autre Hunter.
-Les Jasses reconnaissent ceux qui leur sont supérieurs (ce que tu as écrit n'était pas français), dit l’ex capitaine.
En disant cela, le capitaine retira d’une traite tous ses vêtements et il laissa apparaitre un homme avec de longs cheveux sombres et muni d’une tenue simple : un pantalon de soie (la soie avec un e : c'est la matière) noir, accompagné de bottes longues, ainsi qu’une ceinture qu’il portait en bandoulière autour du cou muni de deux couteaux l’un à côté de l’autre et de beaucoup de petites fioles dont on ignorait l’utilité. Il tourna subitement le dos au campement et commença à s’éloigner de la base sous le regard ahuri des Hunters. Mais, ces derniers n’eurent pas le temps de se poser de questions. Les Jasses (encore pareil) reprirent leur assaut et chargèrent les Hunters dans leur base. Un de ces animaux se lança sur un des hommes mais ce dernier esquiva en effectuant une roulade sur le côté tandis qu’un autre venait de se faire arracher le bras à cause d’un de ces monstres (s puisque pluriel). Il cria de douleur et, alors que le Jasse voulait l’achever, il fut secouru par un de ses camarades (possessif) qui enfonça deux lances dans le cou du monstre. Tandis que la bête hurlait, ils purent s’enfuir aidés (participe passé, pas infinitif donc és) par deux autres Hunters. La bataille faisait rage. Devant la porte, tous les Hunters archers s’étaient positionnés (s car on accorde avec être). Ils tirèrent alors une rafale de flèches (s car il y en plusieurs) touchant de plein fouet certains Jasses (pluriel et nom propre). Parmi ceux-là, peu d’entre eux tombèrent. D’ailleurs ils s’élancèrent sur le groupe d’archers qui eut le temps de tirer une rafale à nouveau, leur permettant de s’enfuir après avoir blessé ces monstres. Au même moment à l’arrière du campement, deux Jasses affrontaient deux Hunters (noms propres). Les deux hommes résistaient tant bien que mal aux attaques. Puis ils tentèrent à leur tour d’attaquer. Attaque verticale. Esquive. Attaque horizontale. Estoc. Esquive. Malheureusement ces bêtes esquivaient elles aussi certaines attaques des Hunters. Puis l’une d’entre elle esquiva un dernier coup avant de croquer, de ses dents acérées, la tête d’un des deux Hunters. Beaucoup de sang jailli. Le Jasse (maj puisque ce sont des nom propres) déposa l’homme au sol, dans une mare de sang.
De son côté, le jeune garçon venait de terminer l’ascension de la montagne. Après le dernier (ce n'est pas du féminin) effort, il s’allongea sur le dos et respira à grande bouffée. Il semblait exténué par ses multiples acrobaties (évitent les répétitions), mais il savait qu’il devait se relever et rejoindre au plus vite le camp des Hunters. Il entama alors sa course pour rejoindre le camp. Au bout de quelques minutes, il remarqua qu’il atteignit l’entrée du labyrinthe. Cette dernière était marquée par deux statues de pierre représentant deux gardes, munis de grands boucliers et de longues lances ainsi qu’une épaisse armure. Il n’hésita pas une seconde et s’engouffra dans le labyrinthe. Il ne connaissait pas la route menant au campement mais il entendit des hurlements d’horreur. Il décida de suivre ces cris. Il courut à toute vitesse. A gauche. A droite. De nouveau à droite. Cul de sac ! Retour. A gauche. Il arriva à un croisement. Il prit à gauche et tomba à nouveau sur un cul de sac. Il revint sur ses pas et pris à droite. Il passa un pont suspendu d'une fiabilité plus qu'incertaine (ce que tu as écrit ne se disait pas). « Je dois me dépêcher, il se pourrait que j’arrive trop tard ! » se disait le garçon. Il continua de tourner, de sauter des espaces vides, de revenir sur ses pas et de traverser des ponts. Au bout d’un long moment, il aperçut la fin du labyrinthe. Il trouva la force de courir encore plus rapidement pour atteindre la sortie. Une fois sorti, il vit environ une dizaine de Jasses en train de le dévisager. Le jeune homme fut soudain prit de panique. Il était paralysé alors qu’une de ces bêtes couru vers lui. Tandis que ce dernier ouvrait pleinement sa puissante mâchoire, le garçon eut au dernier moment le réflexe de tirer son épée et de l’insérer au plus profond de la gorge de la bête. Au bout de quelques secondes (il y en a plusieurs) du sang fit son apparition sur le bras du jeune homme. Il semblait souffrir. Il s’appuya sur la mâchoire du monstre pour en extirper son bras et son épée. Puis il tomba aux pieds d’une des statues de sentinelle et observa son bras. Il y avait beaucoup de sang et également trois plaies assez profondes. « Les dents…j’ai dû m’empaler sur ses dents.. » pensa le garçon tout en serrant les siennes (évitent les répétitions), « Je ne pourrai sans doute pas me servir de mon bras avant un bon moment je crois ». Il regarda les Jasses en train d’examiner la carcasse de leur homologue. Les bêtes (répétition) tournèrent violemment (deux "m") leurs têtes vers le jeune homme et lui lancèrent un regard glacial, lui montrant sa propre mort. « Je ne vais quand même pas mourir...non, je suis trop jeune merde ! » pensa-t-il les larmes aux yeux. Ils approchèrent lentement comme pour lui insuffler encore plus de peur.
-Oï ! Les animaux ! dit une voix dans l’ombre.
Les bêtes se retournèrent et observèrent l’ombre approchant.
-Vous ne devriez pas vous en prendre à lui, ça risque de m’énerver ! Dit alors l’ombre dont on discernait seulement une voix bien masculine.
-Mais tu es…commença le jeune homme blessé.
Les Jasses s’élancèrent alors sur le blessé pour le dévorer. Mais soudain l’atmosphère devenue très lourde et les bêtes s’effondrèrent les unes après les autres.
Tes principales erreurs, sont des oublis de majuscules aux nom propres 'j parle évidemment des Jasses), et de nombreux "s" que l'on ne voit pas.
Autrement mis à part quelques répétitions, tout est bien.
Voili voilou!