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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Ven 23 Déc 2011 19:49 
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Bon, ta fic est pas mal même si pour moi aussi tu est toujours dans le prologue.
Sinon je n'ai pas grand chose à dire de plus, sinon que tu pourrais mettre plus de dialogues, ça aèrerais ton texte et ça établira un équilibre entre discussions et descriptions maintenant que tu en fais beaucoup comme te la suggéré Pickloc'n.
Après j'attendrai que la "vrai" histoire commence pour que je puisse dire si c'est une très bonne fic ou une moyenne^^.

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Pourquoi est-ce que j'aime One Piece ?
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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Lun 16 Jan 2012 15:54 
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Finalement me voilà comme promis.

Alors pour commencer je n'avais pas lu ta fic au début parce que le thème ne m’intéressait pas. Même maintenant je ne suis pas totalement convaincu par le thème. Enfin bref question de goût. Mais je tiens à dire que j'ai tout de même pris du plaisir à te lire.
L'univers de l'histoire est riche ce qui est d'autant mieux que tu t'es séparé de celui de One Piece assurant pour la plupart des personnes un reposoir. Du coup sur ce point tu as assuré. La description de la même façon est elle aussi riche et bien dépeinte même si à quelques moments elle me semble un peu trop chaotique puisque je n'arrive plus à discerner de qui on parle et où cela se passe (de manière précise et par rapport à quoi/qui). Donc essayes de donner plus de détails pour bien bien comprendre l'action et surtout aères tes chapitres en le coupant en des parties bien distinctes. Concernant l'intrigue rien à dire, c'est parfait tu joues sur plusieurs plans à la fois, qui je suppose pour l'instant ne semblent pas avoir de liens entre eux mais qui finiront par se regrouper d'une manière ou d'une autre. Les fautes quant à elles ... toujours présentes (néanmoins je n'ai pas lu ta première fic) mais ce n'est pas affolant pour autant.


D'ailleurs je vais en profiter pour corriger tout cela :

Chapitre 3 : "Mais soudain l’atmosphère devint très lourde et les bêtes s’effondrèrent les unes après les autres." Même les correcteurs peuvent laisser s'échapper des fautes, hein Pick X)

Les fautes d'accords sont en rouge (pardon d'avance pour les yeux) et le reste en orange. Les explications/demande sont en vert (j'aurai préféré éviter ce panel de couleur qui à mon goût fait trop scolaire mais le rouge est la couleur attitrée pour les fautes et le reste me semblait être ce qui piquait le moins les yeux). Je ne suis pas une machine correctrice et je suis moi-même susceptible de commettre des fautes ou d'en omettre lors de la correction, donc n'hésites surtout pas à vérifier ce que je dis lorsque tu as un doute.

Gintoots a écrit:
Chapitre 4 :

Le jeune garçon regarda alors l’homme se tenant désormais face à lui. Il devait avoir à quelque chose près, la même taille que lui. Mais malgré l’opacité de la nuit, il reconnut son sauveur :

-Noyel ! C’est bien toi ? dit le jeune homme blessé avec une voix indécise.
-Ouais ! C’est bien moi l’ami ! répondit-il de manière très décontracté. Tu as fait peur au vieux tu sais ? Rajouta-il sans se retourner.
-Ce vieux crouton met trop de temps à réfléchir et à agir ! donna-t-il en guise d’argument tout en tournant la tête sur le côté.
-Tu te mets toujours dans des situations folles…Jiro ! Souffla-t-il en se tenant d’une main la tête.
-La ferme ! T’as rien à me dire ! Répondit brutalement Jiro.
- On n’a pas le temps de se disputer maintenant alors…On y va!

Jiro senti soudainement que son ami ne rigolait pas. Il allait s’occuper sérieusement des Jasses. Noyel avait pourtant une piètre allure avec son pantalon aux genoux rapiécés, ses chaussures dépareillées qui baillaient lamentablement et sa tunique de laine à manches longues nouées autour de sa taille à l’aide d’une corde. Seul son long manteau semblait relativement neuf. Mais le jeune homme blessé savait pertinemment de quoi était capable son ami. A l’idée de ce qui pouvait arriver, il ravala sa salive et se leva tant bien que mal pour suivre son ami. Ils faillaient qu’ils se hâtent au campement pour aider les éventuelles survivants. Malgré la douleur infligée par son bras, Jiro courait le plus vite possible.[ça me semble mieux comme formulation] Il s’inquiétait vraiment pour les Hunters. Mais seulement après deux minutes de course, un petit groupe de Jasses, composé de quatre d’entre eux, [ça ne veut rien dire un groupe de Jasses composés de quatre Jasses - à reformuler ou à supprimer] sautèrent des épaisses parois de pierres pour bloquer la route aux deux compagnons.

-Je n’est pas le temps de faire mumuse moi ! cria Noyel.

Il s’élança à toute allure vers le groupe de Jasses. Il frappa le premier qui se présenta à lui avec un uppercut dans la mâchoire. La bête fut alors propulsée dans les airs, [la virgule me semble appropriée] mais pour peu de temps. En effet, Noyel rattrapa la queue de l’animal avec de tournoyer avec [Déjà signalé dans un post précédent - à reformuler]. Il heurta ainsi les trois autres bêtes qui s’écrasèrent contre les parois rocheuses couvrant les côtés. Mais ce n’était pas assez pour se défaire de ces grosses bestioles. Rapidement remises [on parle des bestioles] sur pieds, elles chargèrent une nouvelle fois leur opposant. Mais le jeune homme les attendait impatiemment. Il avait à présent adopté une nouvelle position. Il faisait face au Jasses tout en serrant fermement son poing droit et en étant bien sur ses appuis. Alors que ces monstres assoiffés de sang arrivèrent presque à sa hauteur, il plaça sa main gauche devant lui comme pour viser avec. Puis après quelques secondes, il se décida : il frappa droit devant lui avec son poing droit. Ce qui eut pour effet de soulever une assourdissante et puissante onde de choc qui envoya valser loin d’eux ces affreuses bêtes. Jiro regarda alors son ami d’un air ahuri. Quel était la sensation qu’il venait de sentir ? Il regarda ses mains et vit qu’il tremblait. Mais quel était cette puissance ? Alors qu’il se posait une multitude de questions, son ami le sorti de sa torpeur pour qu’ils puissent continuer leur route.
Une fois le campement en vue, Jiro était stupéfait devant le spectacle qui s’offrait à lui. Le camp n’était presque plus qu’un tas de ruine. Une fois arrivé devant ce qui était la grande porte, Noyel et Jiro purent voir que le peu de Hunters qui restaient, allaient bientôt se faire tuer par les Jasses, en surnombre.

-Reste avec moi Jiro ! Ordonna alors Noyel tout en s’élançant vers le centre des ruines.
-Ne me donne pas d’ordres ! répondit alors Jiro qui suivait de près son camarade.

Les deux s’engouffrèrent dans ce trou de l’enfer pour l’homme et chargèrent le premier groupe de Jasses en vue. Noyel frappa de la même manière le groupe de Jasses que précédemment, laissant toujours aussi surpris Jiro. Les bêtes s’envolèrent et laissèrent ainsi les deux amis en compagnie d’un des Hunter survivant.

-Tu es apte à te battre ? demanda Noyel a l’attention du Hunter.
-Euh… Oui ! Après tout je me suis défendu jusqu’à maintenant, répondit-il.
-Bien ! Reste avec nous dans ce cas !

Le nouveau groupe se dirigea vers un autre groupement de Jasses, encerclant une petite équipe de Hunters. Noyel frappa les premiers alors que l’autre Hunter asséna de grands coups de ses deux gros marteaux.
Ils libérèrent rapidement tous les Hunters encore valides puis affrontèrent tous ensemble l’assaut des Jasses. Alors qu’un des Hunter soignait Jiro, les autres Hunter, accompagné de Noyel, faisaient reculer de plus en plus les bêtes.
Puis au bout de quelques dizaines de minutes, les Jasses prirent enfin la fuite. Ils partirent tout en se cognant les uns contre les autres, apeurés par la nouvelle force des Hunters. Certains d’entre eux se faisait piétiner voir tuer parce qu’ils bloquaient la route aux autres. Ainsi, la victoire revint au clan des Hunters et ces derniers s’enlacèrent, pleurèrent et dansèrent pour fêter cette victoire.
Au même moment les premiers rayons du soleil apparurent illuminant le visage de ces hommes souillés par une rude soirée [il s'agit plutôt d'une nuit puisque le soleil se lève] de combat. Jiro put observer avec bonheur les yeux rieurs de ses camarades. C’est alors que Noyel s’approcha de lui, le visage imbibé de joie. Grâce au lever du jour, Jiro put apercevoir le visage quelque peu enfantin de son ami. Il avait une barbe mal rasée de quelques jours et de profonds yeux bleus, aussi bleus que l’océan. Il avait également des cheveux plutôt court et blond doré. Ce dernier s’assit à côté de Jiro et commença a parler :

-Tu te fous dans des merdes incroyables toi quand même ! Dit-il avec un large sourire.
-La ferme ! répondit sèchement Jiro.
-Tu ne trouve pas ça étrange ? Que les Jasses aient attaqué comme ça ? demanda alors Noyel.
-J’avoue que c’est bizarre, ces bêtes ne nous ont jamais attaqué de la sorte.
-Leurs regards n’étaient pas normal, renchérit alors Noyel. C’est comme s’ils avaient peur, dit-il sous le regard interrogatif de son ami.


Gintoots a écrit:
Chapitre 5 :

Il y eut un long moment de doute et d’angoisse entre les deux amis. L’un comme l’autre ne savaient pas ce qui pouvait effrayer les Jasses. Ces bêtes puissantes et agiles ne connaissent aucun maître, aussi fort soit-il. Enfin…Normalement ! Ils avaient bien eu peur de quelques choses [Tu es sûr qu'il y a plusieurs causes ?], cela semblait certain. Noyel décrit alors le regard des bêtes. Selon lui, il ne traduisait qu’une chose : « Désolé mais on est obligé ! ». Après tout, ceci était tout à fait logique. Pourquoi ces bêtes n’auraient pas sauté sur Jiro quand elles en avaient l’occasion ? Pourquoi avançaient-elles lentement vers lui ? Peut-être pour lui laisser une échappatoire ? Toutes sortes de questions trottaient à présent dans la tête du jeune homme. Depuis son plus jeune âge, on lui avait toujours raconté que les Jasses ne pouvaient être apprivoisés, par aucun moyen en la possession de l’homme. Existerait-il des hommes pouvant être au-dessus de tous autres ? Au-dessus même des lois de la nature ? Comment ?....Trop de question lui occupait l’esprit. Il eut l’impression d’être chauffer à l’intérieur d’un grand four, se débattant contre les flammes rougeoyantes de l’incertitude. C’est alors que Noyel tira par le bras son ami et le releva. « On doit s’occuper de tes blessures, rentrons au village ».

Jiro l’avait oublié. Il était blessé. Et pas qu’un peu ! La douleur, elle-même, ne put le retirer de ses interrogations. Mais en revoyant sa blessure, il ne put s’empêcher de ressentir la souffrance qu’il éprouva au moment où il se fit attraper le bras par ce Jasse. Les deux amis se remirent en route, accompagnés des quelques Hunters survivants. Ils abandonnèrent le campement, ou du moins ce qu’il en restait, et s’aventurèrent dans le labyrinthe. Jiro put enfin voir ce qu’il avait traversé précipitamment dans la nuit. Et il ne se sentit pas vraiment fier : Des ponts suspendus, faits de petits rondins de bois reliés entre eux par des cordes d’un certain âge, tenant par l’action du saint esprit. Il ne put s’empêcher de se sentir bête. « Je suis quand même, assez inconscient » pensa-t-il en regardant avec de grands yeux le pont se tenant face à lui. Ils passèrent le pont et continuèrent alors leurs routes.
Le jeune garçon remarqua les motifs inscrit sur les murs délimitant le labyrinthe. Des soldats en armures et armés de lances et d’épées s’affrontaient. Il suivi alors du regard les dessins et se rendit compte que ces inscriptions représentaient le déroulement d’une bataille qui avait dû se passer il y a longtemps. Il y voyait violence, sang, amertume, souffrance, joie du vainqueur. Il y voyait la bataille qui venait d’avoir lieu. Mais comment une inscription vieille de plusieurs centaines d’années pouvait retranscrire exactement ce qui venait de se passer ? Il tenta de retrouver ses esprits et détourna le regard de ce mur. Puis, attiré par sa curiosité, il le regarda à nouveau et découvrit avec stupeur qu’il aperçut [A supprimer ou à reformuler, la phrase est correcte sans] un soldat avec sa tête. Il s’approcha et analysa bien le dessin. Oui c’était sa tête ! Une peur panique le consuma rapidement et il courut alors pour rattraper ses compagnons qui avaient quelques pas d’avances sur lui. Noyel le regarda d’un air impassible. Ce dernier venait de comprendre pourquoi Jiro courait. « On dirait qu’il est temps » lâcha-t-il péniblement.

Ils sortirent enfin du labyrinthe. Ils regardèrent tous le grand ciel bleu qui s’offrait à présent à eux comme un conquérant. Il les surplombait en grand maître. Le vent se leva et caressa la peau des Hunters. Ils retrouvèrent la joie d’apprécier ces petits moments de bonheur. En seulement une heure, ils descendirent de la montagne par le chemin principal en terre et retrouvèrent un paysage accueillant. Le vent brassait les herbes bien vertes calmement, donnant alors l’impression de les faire danser. La rivière se situant non loin de là, berçait tout ce qui l’environnait, de par le son mélodieux du frottement de son écume sur les rebords de la terre. Son bleu turquoise avait de quoi envouter plus que la beauté brute de la plus belle des femmes. Les montagnes, en arrières plan, tentaient d’atteindre la hauteur du ciel. Ce paysage magnifique laissa sans voix le groupe de Hunters. Jiro en eut presque les larmes. Il était heureux. Il avait bien cru qu’il allait y rester dans ce labyrinthe. Ils reprirent ensuite la route.
En chemin, ils croisèrent alors différentes espèces végétales et animales, toutes réveillant l’intérêt de Jiro : Les baihiros, sortes de baies rouges non empoisonnées (parfaites pour revitaliser un aventurier perdu), des champisauces, très utilisé en cuisine, des Cornus, un mélange entre le buffle et le rhinocéros (animal ressemblant plus au rhinocéros, plus fins mais plus puissant notamment grâce à ses trois cornes, deux sur la tête comme le buffle et une sur le nez comme le rhinocéros), des serpi-voleurs, serpent ayant une fâcheuse habitude à [Il s'agit de la préposition - "de" me semble plus approprié] voler les voyageurs, et bien d’autres créatures tout aussi farfelues. Jiro restait à côté des Hunters qui, tout en avançant, étudiaient ces bêtes et ce qui les entouraient. Il était émerveillé.

Après un bon moment de marche, ils arrivèrent à la grande porte de bois marquant l’entrée du village. Alors que Noyel se présentait devant la porte, la porte [pour éviter une répétition alourdissante je te conseille d'employer "ce dernier"] s’ouvrit. « Le vieux doit être en colère s’il ouvre aussi vite » pensa alors Noyel avec des gouttes de sueurs perlant sur son front. La porte laissa [Il s'agit d'une action donc passé simple] apparaitre un petit bonhomme, vêtu d’une simple toile. « On va se faire tuer ! ». Il leur fit signe d’entrer. Jiro entra le premier et n’hésita pas à faire face au vieux monsieur.

-On est rentré le vieux, commença alors Jiro.
-Je vois ça, je vois ça, lui répondit-il la tête vers le bas.
-Obligé que j’agisse parce que ce satané village est trop lent ! Tu te fais vraiment trop vieux !
-Qu’est-ce qui t’es passé par la tête, hein ? demanda-t-il d’une voix incertaine.
-J’ai juste voulu aider des amis, où est le problème ?

Le chef du village se releva de sa chaise en bois et s’approcha du jeune garçon. Dans un mouvement étonnement rapide, le vieux personnage asséna un coup au niveau du coup au jeune garçon. Personne ne put voir le coup sauf Noyel qui rattrapa alors son ami tombant, inconscient [Elle ne sert pas à grand chose cette virgule si ce n'est à alourdir la phrase. Pas besoin de marquer un temps de pause, je trouve que ça fait mieux sans]. Le hunter tourna la tête vers son chef et vit que celui-ci laissait couler des larmes de joie [Il me semble qu'il n'y a pas d'accord] sur ses joues ridées par le temps.

-Ce chenapan, dit-il, il a failli me faire faire une crise cardiaque.
Noyel eut un petit éclat de rire et leva la tête vers le ciel puis regarda le chef :
-Il est prêt ! Ajouta-il sans détail.
-Je vois. On dirait que notre petit chenapan va devoir choisir sa propre voie maintenant.
-Oui, on dirait bien…



Mon avis maintenant, parce que je ne l'ai pas encore donné. Ta fic est saisissante, riche dans l'univers que tu nous dépeins et évidemment conséquence de ces deux critères accrocheuse. Moi qui n'aimait pas bien le thème j'ai été au final séduit par la force qui se dégage de ta fic. Sans parler que tu donnes les éléments de l'intrigue au compte goutte, tu n'as pas honte ! :Ace Oulala: :Luffy hilare:
Maintenant, j'ai bien envie de connaitre la suite parce qu'il y a un dessous à toute cette histoire. Je suis curieux de voir comment tout ça va s'articuler ensemble. Ta fic a du potentiel.

En bref, je lirai à coup sûr la suite.


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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 19 Fév 2012 19:30 
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Localisation: En train d'être acclamé par une foule en délire!
Et ben !! Ça fait un moment que je n’ai pas posté et d’avance désolé. Le boulot, tout ça prend du temps et c’est chiant. Dans tous les cas, j’espère que vous aurez plaisir à lire cette suite qui annonce son petit lot de surprise ainsi que … ben voyez par vous-même^^
Enjoy !




Chapitre 6 :




-Choisir ma voix ? demanda tout étonné Jiro qui se tenait face au vieil homme.

-Exactement, tu vas être accompagné par Noyel qui te guidera ! Informa alors le chef.

-Accompagné…mais pourquoi ? demanda le jeune homme en tentant de rester calme face à ses interrogations qui l’énervait.

-C’est comme ça et pas autrement !

-Satané vieux !


Afin de mettre fin à ce début de dispute, Noyel intervint et tira par le bras son ami et l’emmena plus loin. Ils traversèrent le village et arrivèrent à son petit port. Ils continuèrent leur route et s’arrêtèrent enfin devant une veille cabane abandonnée. Jiro regarda, soucieux, son ami. Pourquoi l’amener ici… A la vieille cabane dite hantée ! « Qu’est-ce qu’il me veut ce vieux fou encore ! » pensa-t-il tout en suivant son ami, entrant dans la cabane. Il n’y avait rien dans cette cabane hors mis les bouts de bois et d’innombrable toile d’araignée. Le Hunter blond s’agenouilla et dépoussiéra le sol. Les deux amis virent alors apparaitre un vieux tapis. Noyel le souleva et laissa apparaitre une trappe.

-Et ben nous y sommes ! Moi je reste ici et toi par contre, tu continu !

-Je descends seul ?! Ok ! Pas de problème, si le vieux veut essayer de me faire peur il peut se mettre le doigt dans l’œil.

-Un conseil, sois prudent…et…ne te laisse pas abattre, ok ?

-Ouais ouais ok.

Sur ces mots Jiro ouvrit la trappe et s’y engouffra, sous le regard inquiet de son ami. Il descendit par l’échelle qu’il put discerner dans le noir. Il tâtonna à droite et à gauche, devant et derrière pour trouver son chemin. Il n’hésita pas une seule seconde sur ses décisions. A droite. Gauche. Tout droit. Une nouvelle fois à gauche puis tout droit, etc…
Après un moment de marche, il se mit à entendre de drôle de bruit. Il n’arrivait pas encore à les discerner mais un frisson parcourra son corps lui indiquant un danger imminent. Malgré cela, sa curiosité le fit encore avançait plus profond dans l’obscurité. Les voix devenaient de plus en plus audibles. Jiro eut le sentiment soudain d’entendre : « Aide-moi ! ». Cet appel au secours lui fit vraiment prendre conscience que quelque chose n’allait pas dans cette obscurité. Il avança prudemment et surement. Il avait l’impression que les voix le suivaient. « C’est quoi encore ce truc ? pensa-t-il ».

Soudain, ses jambes furent agrippées par quelque chose qu’il ne pouvait reconnaitre. Ca le serrait très fort, il ne pouvait pas se dégagé. N’ayant pas pris son arme, il essaya de se défaire a l’aide de ses mains. Mais aussitôt eut-il touché ce qui le retenait, il retira ses mains. Une sensation horrible l’envahie. Il tenta de se rassurer. « Ce n’est pas possible, hein ? Ce ne sont pas des mains ? Non, non, non, il ne faut pas que ce soit des mains ». Mais, une nouvelle main l’attrapa par derrière. En effet le bras obscur c’était enroulé autour du cou de Jiro. Le corps de celui-ci fut alors envahi de ces mains obscures l’empêchant de bouger.
Alors qu’il se débattait de toutes ses forces, des images apparurent devant lui. Il y voyait un jeune garçon aux cheveux brun foncé, jouant sur les épaules d’une personne adulte et masculine. Il le reconnu au premier regard. Son père ! Il s’agissait bien de lui et son père. Jiro eut les larmes aux yeux avant de demander pitié au « esprits » l’accablant de cette horrible vision. Il vit ensuite sa mère, une belle femme au corps sans équivalent et aux cheveux bruns reluisant d’éclat, dansait, le tenant dans ces bras. Ensuite il aperçut un beau jeune homme apparemment plus âgé que lui en compagnie d’un autre garçon blondinet. Il reconnut Noyel et son frère. Ceux qui se vantaient d’être les meilleurs amis au monde. Sa famille…il n’aurait jamais pu oublier ce fameux jour…le jour de leur mort :

C’était un jour de printemps qui se levait sur le village. Jiro, comme à son habitude, péchait avec son grand frère. Ce dernier était la version adolescente de Jiro. Il se ressemblait beaucoup. Aucun mal à dire qu’ils étaient bien frère. Mais leur habitude allait être bien vite secouée. Un incendie, apparemment criminel, attaqua le village de ses flammes ardentes. Pour sauver son frère, le grand frère de Jiro le poussa et fut assommer par une poutre enflammé. Leur mère et leur père était mort, dans la maison familiale. Cet incendie avait détruit plus de la moitié du village et avait emporté d’autres vies.

Des larmes coulaient sur les joues de Jiro. C’en était assez. Il protègerait ceux qu’il décidera de protéger : Les personnes qui comptent à ses yeux ! En tout cas tant qu’il resterait là, il en serait bien incapable. Mais les visions ne s’arrêtèrent pas là. Il vit le village une nouvelle fois en feu sauf que cette fois ci personne, sauf lui, n’était vivant. Les voix reprirent leurs activités : « Tu n’as pas pu les protéger ! Tu es incapable d’aider qui que ce soit ! ». Toutes ces voix répétaient la même chose. Jiro se sentait oppresser, il n’osait même plus bouger. « Après tout, pensa-t-il, c’est vrai, je n’ai pas pu sauver mes parents et… ». Il s’arrêta net et pris une grande inspiration : « Comme si j’allais me laisser marcher dessus par des sortes de je ne sais quoi qui ont du mal à parler hormis pour une phrase ! cria-t-il de colère ». Au même moment une force l’entoura et explosa mettant au tapis tous ces êtres de l’ombres et laissant enfin libres le jeune garçon.

« Ça m’a plaisir de les revoir, même par visions, pensa-t-il. En tout cas je suis sûr d’une chose, si ils pouvaient me parler je suis sûr qu’il me dirait de vivre, et d’y prendre plaisir ! Alors ce n’est pas vos "t'a échouer" qui va me faire penser différemment ! ».

De leur côté, Noyel et le chef du village eut la même sensation : il avait réussi ! Il ne lui manquait plus qu’à trouver ce qui ferait de lui un véritable Hunter.

Jiro était à présent enveloppée d’une aura. Il se sentait bien. Ses mouvements lui paraissaient bien plus fluides et facile à exécuter. Il marcha en suivant son instinct. Il continua sa route encore et encore tout en éliminant les quelques malotrus sombres s’opposant à lui.
Son itinéraire le conduisit à une porte. Sans une once d’hésitation et toujours dans un léger état léthargique, il ouvra la porte et pénétra alors dans la pièce. A la fermeture de la porte, l’ombre avait laissé place à une lumière aveuglante. Une fois sa vue habitué à ce changement soudain de luminosité, Jiro put découvrir la belle pièce dans laquelle il se trouvait. Tout lui paraissait du plus pur, du plus rayonnant et du plus beau bleu qui pouvait exister. Les commodes, les tasses, même les murs et le tapis étaient d’un bleu en parfaite harmonie avec les autres. Il tourna la tête et vit alors une personne assise dans le fond de la pièce. Il reconnut alors le fils du chef, l’attendant patiemment.

-Le fils du débris, je les aurais tous vu aujourd’hui ! Commença Jiro.

-Hahaha ! Toujours le mot pour rire toi ! répondit-t-il de sa voix rauque.

-C’est quoi le truc ? demanda le jeune homme d’un ton sérieux. Il s’est passé des choses bizarres.

-Avant de répondre à ta question, tu devras répondre à la mienne. Comment ton instinct ta mener ici ?

-L’odeur de l’océan, répondit-il sans détail comme si cela était logique.

-Oh ! Tu es vraiment fait pour ça alors ? Lâcha le fils du chef.

-Ça ? demanda alors Jiro, perplexe. Qu’est-ce que tu veux dire Amack ?

Le prénommé Amack se leva de sa chaise, puis s’approcha du jeune homme. Du haut de ses deux mètres, Jiro se senti soudain bien inférieur à lui. Il lui tendit un bracelet fait artisanalement avec une dent de requin. Amack posa alors son regard sage sur le jeune garçon et lui dit :

-Ceci fait à présent de toi…un Sea Hunter !






Voili Voilou!

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 19 Fév 2012 20:36 
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Comme promis, me revoilà!

Alors... L'histoire en elle-même m'a l'air assez bien faite, bien ficelé (bien que le héros ayant perdu ses parents, c'est un cliché récurrent ^^) et agrémenté de divers éléments bien sympas. Il y a juste un hic, c'est la narration. Pour moi, elle manque d'un petit "truc" qui fait qu'on accroche à l'histoire. Prenons ce passage par exemple:

Gintoots a écrit:
Soudain, ses jambes furent agrippées par quelque chose qu’il ne pouvait reconnaitre. Ca le serrait très fort, il ne pouvait pas se dégagé. N’ayant pas pris son arme, il essaya de se défaire a l’aide de ses mains. Mais aussitôt eut-il touché ce qui le retenait, il retira ses mains. Une sensation horrible l’envahie. Il tenta de se rassurer. « Ce n’est pas possible, hein ? Ce ne sont pas des mains ? Non, non, non, il ne faut pas que ce soit des mains ». Mais, une nouvelle main l’attrapa par derrière. En effet le bras obscur c’était enroulé autour du cou de Jiro. Le corps de celui-ci fut alors envahi de ces mains obscures l’empêchant de bouger.
Alors qu’il se débattait de toutes ses forces, des images apparurent devant lui. Il y voyait un jeune garçon aux cheveux brun foncé, jouant sur les épaules d’une personne adulte et masculine. Il le reconnu au premier regard. Son père ! Il s’agissait bien de lui et son père. Jiro eut les larmes aux yeux avant de demander pitié au « esprits » l’accablant de cette horrible vision. Il vit ensuite sa mère, une belle femme au corps sans équivalent et aux cheveux bruns reluisant d’éclat, dansait, le tenant dans ces bras. Ensuite il aperçut un beau jeune homme apparemment plus âgé que lui en compagnie d’un autre garçon blondinet. Il reconnut Noyel et son frère. Ceux qui se vantaient d’être les meilleurs amis au monde. Sa famille…il n’aurait jamais pu oublier ce fameux jour…le jour de leur mort :

C’était un jour de printemps qui se levait sur le village. Jiro, comme à son habitude, péchait avec son grand frère. Ce dernier était la version adolescente de Jiro. Il se ressemblait beaucoup. Aucun mal à dire qu’ils étaient bien frère. Mais leur habitude allait être bien vite secouée. Un incendie, apparemment criminel, attaqua le village de ses flammes ardentes. Pour sauver son frère, le grand frère de Jiro le poussa et fut assommer par une poutre enflammé. Leur mère et leur père était mort, dans la maison familiale. Cet incendie avait détruit plus de la moitié du village et avait emporté d’autres vies.

Des larmes coulaient sur les joues de Jiro. C’en était assez. Il protègerait ceux qu’il décidera de protéger : Les personnes qui comptent à ses yeux ! En tout cas tant qu’il resterait là, il en serait bien incapable. Mais les visions ne s’arrêtèrent pas là. Il vit le village une nouvelle fois en feu sauf que cette fois ci personne, sauf lui, n’était vivant. Les voix reprirent leurs activités : « Tu n’as pas pu les protéger ! Tu es incapable d’aider qui que ce soit ! ». Toutes ces voix répétaient la même chose. Jiro se sentait oppresser, il n’osait même plus bouger. « Après tout, pensa-t-il, c’est vrai, je n’ai pas pu sauver mes parents et… ». Il s’arrêta net et pris une grande inspiration : « Comme si j’allais me laisser marcher dessus par des sortes de je ne sais quoi qui ont du mal à parler hormis pour une phrase ! cria-t-il de colère ». Au même moment une force l’entoura et explosa mettant au tapis tous ces êtres de l’ombres et laissant enfin libres le jeune garçon.


Selon moi, toujours, à part le dernier paragraphe qui n'est pas si mal, le reste me semble fade. Mais il y a aussi le fait que maintenant que j'écris un livre, ma critique a augmenté en "dureté". Mais ça me semble sans vie. je ne sais pas si c'est à cause d'une mauvaise utilisation des virgules et des points ou si les phrases sont trop longue, mais ce passage en particulier ne m'a pas emballé.

Niveau orthographique, ben tu connais la musique hein... Quelques fautes par-ci par là, mais rien de bien grave, une bonne relecture devrait suffire pour gommer ça.

Bref, il faudrait que je lise tout tes chapitres pour comprendre plus en détail l'histoire, mais sinon tu as l'air bien parti!

_________________
In the darkness or light,
In cities or the countryside,
A Song resounds forcefully
The Song of the Phoenix Dragon.
Fear it, Love it, weep on,
Because the only people who fit
Are the souls of the damned pirates


Une future légende est en marche... Découvrez ses aventures ici!
-Walk The Phoenix Dragon-


My Name Is: HILRÉ LAMOU (Star Wars) - CONFUSED DRUADAN (Terre du Milieu) - CELEGORM CÚTHALION (Langue Elfique) - DRACO (SSBB) - Phénix Dragoon (Volonté du D)


Dernière édition par Phénix Dragoon le Sam 10 Mar 2012 22:11, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 19 Fév 2012 20:42 
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Ce sont ces commentaires que j'affectionne et tu le sais Phénix! Petit Malin. Je vois ce que tu veux dire pour le passage, mais qu'entend tu par fade? Le passage ne transcrit-il pas assez d'émotions? Ou est-ce l'enchainement qui est mal fait/formuler?
Sinon ben tu le sait sans doute, sa me plait que ta critique augmente en dureté. Moi avec des critiques comme ça je peux que m'améliorer ^^

Alors bon...déchainez vous (pas trop quand même...histoire qu'il me reste un peu de fierté et d'amour propre^^)

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 19 Fév 2012 21:08 
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Par "fade", je veux dire que d'habitude, quand je lis un récit, je ressens pleins d'émotions en même temps, selon le ton du passage. Or ici je n'ai pas ressenti grand chose...

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Jeu 8 Mar 2012 12:21 
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Comme promis et avec un peu de retard, voici la critique de ta fiction Gintoots. J'espère que mes conseils et commentaires te permettront de t'améliorer. Parce que tu as le potentiel pour écrire quelque chose de bien, très bien !


I) La Forme


J'attaque donc la critique de ta fiction par la forme et qui dit forme dit obligatoire, orthographe. Et là, je sais que tu sais que le bas blesse. C'est peut-être le point le plus faible de ton histoire. Pourtant, de tout les membres du Comité, c'est certainement moi qui à le plus de problèmes avec l'orthographe. Et pourtant, même moi, j'ai repéré pas mal de fautes à la première lecture, sans concentration particulière. Cela indique que tu ne dois sans doute pas relire attentivement tes chapitres à la fin de leurs rédaction. Sérieusement, pas mal de fautes d'orthographe peuvent être corrigée grâce à une relecture. Je t'encourage vivement à bien relire tes chapitres avant de les poster.

Second point que j'aimerais aborder, quant à la forme, c'est ton utilisation, pour moi exagérée des "Mais". Tu débutes beaucoup de phrases par ce mot. Je trouve cela inesthétique, mais bon, c'est certainement subjectif. Par contre, quitte à utiliser ce genre de mot, essaye alors de le varier par "Cependant, Soudain, Tout à coup". Cela donnera plus de force à ton récit qu'un "Mais" mollasson et donnera aussi du relief à l'allure général du texte grâce à une variation de mots.

Un autre point dans la partie Forme que j'aimerais aborder, c'est l'utilisation, dans ta fiction, de phrases très courtes.
A certains moment, cela te sert bien, cela donne de la vie dans le texte, je pense notamment à la course dans le labyrinthe, j'ai trouvé ça vraiment pas mal, ça rend le tout haletant.
Cependant, cela te dessert parfois aussi. Tu as la qualité de ne pas tomber dans de longues phrases ennuyeuse mais inversement, certaines phrases sont vraiment, mais alors vraiment trop courtes, par exemple :

Citation:
Il décida de suivre ces cris. Il courut à toute vitesse.


Je trouve ces deux phrases vraiment trop courtes, prend le temps de les lires à voix haute et tu t'en rendra aisément compte. J'aurais, à ta place, écrit : Le jeune homme décida de suivre ces cris en courant à toute vitesse". Cela donne un aspect plus construit à ta fiction.

Autre exemple :
Citation:
Il reparti effectuer sa ronde accompagné de l’autre garde. Mais ils entendirent un autre bruit provenant du même endroit.


Cette phrase est elle aussi un bon exemple de ce que je veux te dire : tu donnerait plus de suspens à ta phrase quand virant le Mais et en reliant tes deux phrases, comme ceci : "Il repartit effectuer sa ronde en compagnie de l'autre garde quand ils entendirent une nouvelle fois un bruit provenant du même endroit.".
Lis les phrases à voix haute, cela te permettra de savoir où relier tes phrases et comment.

J'ai remarqué également que la dernière phrase du chapitre 3 n'est pas correcte : on comprend ce que tu veux dire, mais c'est suffisamment gros pour nous faire marquer un temps d’arrêt :
Citation:
Mais soudain l’atmosphère devenue très lourde et les bêtes s’effondrèrent les unes après les autres.


Encore ce problème de Mais ^^. L'utilisation du mot Soudain aurait été largement suffisant à ce niveau là. Tu peut remplacer devenue par devint, sans cela, ta phrase manque de sens.

Enfin, la dernière chose qui me chiffonne, sur la forme, c'est l'utilisation de parenthèses pour décrire certaines choses, notamment la descriptions des bêtes parcourant le monde que tu as créé. Le fait que tu enferme ces descriptions dans des parenthèses, m'a, moi, personnellement, donné l'impression que tu te précipite dans ces descriptions, que plus vite tu les as décrit, plus vite tu es content et tu peux passer à autre choses. Tu as eu la bonne idée de créer ton propre univers : ne le bâcle pas, même si les descriptions, c'est pas le plus intéressant à écrire. Ne le bâcle pas car cela reviendrait à nier le potentiel de ta fiction et du monde que tu as créé.

Sinon, hormis ces quelques points, la forme de ta fiction est toute à fait agréable, j'ai particulièrement apprécié les descriptions que tu as fait dans le chapitre 1, avec l'océan, etc... Tu possède un vocabulaire assez riche, ce qui rend tes descriptions plus qu'agréable à lire, continue ainsi !

J'ai apprécié aussi la petite ellipse que tu as placé, entre le chapitre 5 et 6. Tu nous as ainsi évité le réveil de Jirro, j'ai bien apprécié cela. C'est un outil à manié avec parcimonie, mais correctement utilisé, il donne un vrai plus à un récit !


II) Le Fond


J'entame maintenant la tâche la plus ardue maintenant, celle de critiquer le fond de ta fiction.
Déjà, je dois le dire, j'ai aimé suivre les aventures des tes jeunes héros, vraiment. Malgré les défauts de la forme, cités et malgré quelques points dans le fond qui m'ont gêné, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ta fiction et donc, écrire cette critique.

Le point le plus appréciable, je crois, est que tu nous as sortit du monde de One Piece pour un univers bien à toi ! Bravo ! C'est très bien, ton univers à l'air assez riche et extravagant, je ne peut que t'encourager à continuer ainsi et à, bien sur, prendre ton temps pour développer ce monde !

Ensuite, tu construis ton intrigue sur plusieurs niveaux, qui, je n'en doute pas, se rejoindront par après. Noyel est assez énigmatique et badass dans son genre, bravo ! Tu mets du suspens, surtout dans les premier chapitre, j'ai trouvé ça vraiment pas mal de ne pas découvrir le héros directement !

Bon, maintenant, les points pour moi plus négatifs par rapport au fond.

Premièrement, je t'avoue que je me suis vraiment dis WTF? quand j'ai lus que tout les Hunter avaient donné leurs armes au forgeron ! J'ai trouvé cela vraiment abusé, c'est au comble de l'inconscience, ce qui est vraiment bizarre étant donné que tu décris l'île comme dangereuse. Et pour moi, ce problème de fond en entraîne un second :

J'ai trouvé abusé, sur le coup, que le grand père du village, parce que cela mettrais trop longtemps en charrette d'apporter les armes, reste sur son séant à réfléchir. A sa place, j'aurais dépêché les volontaires jusqu'au camps des Hunters, à dos de cheval, avec chacun une certaines quantité d'arme sur eux. Un cheval au galop, c'est quand même plus rapide qu'une charrette, non ?

Ce qui entraîne, à son tour un troisième élément qui m'à perturbé : le coup des armes construites avec du bois. Franchement, j'aurais préféré alors qu'ils installent des pièges avec des pierres ou ce genre de choses. Parce que, ils les ont taillés comment leurs bouts de bois ?

Autre point qui m'a turlupiné : la mort des parent de Jirro. J'ai trouvé cela extrêmement dommageable que tu n'aies pas pris la peine de décrire encore plus l'accident et la mort de ses parents, ni les tenants et aboutissant de cet évènement important ! Et en plus, le frero, mort ou vivant ?

Enfin, j'ai trouvé les scènes de combats parfois trop fouillis, vraiment, j'avais du mal à m'imaginer l'attaque des Jasses. Cependant, bravo pour le twist avec le capitaine traitre, c'est une chose que l'on attendait vraiment pas, pour le coup ! Hélas, Noyel est un peu comparable à Chuck Norris sur ce coup là ! Honnêtement, autant l’utilisation de cet espèce d'haki est intéressant, autant, donné un coup de poing à un espèce de dinosaure pour ensuite l'envoyer valdinguer en le faisant tournoyer avec sa queue, j'ai trouvé ça abusé ! Il te faut un équilibre dans tes combats, sinon, cela risque vite de tourner au n'importe quoi !



Avis général


Le monde des Hunters est une bonne fiction, qui a du potentiel, vraiment ! Tu as créé un monde riche, qui ne demande qu'à être exploité. Fait attention aux remarques que j'ai émises (et que bien d'autres ont écrits avant moi) et tu verras, ta fiction seras alors à la hauteur de son potentiel ! Continue ainsi Gingoots, tes efforts payeront à coup sûr !


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Edit : Et voici l'avis de Phénix Dragoon ! Deux pour le prix d'un, veinard !

Phénix Dragoon a écrit:
Puisque tu as déjà critiqué la fic de Gintoots, place la mienne comme suit avec en quote: "Critique rédigé par Phénix Dragoon" juste en dessous de la tienne.

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Critère N°I: La Forme

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Aaah, mon cher Gintoots... Un ami de longue date, c'est comme ça que je te vois. De longue date, car toi et moi, on a commencé à peut de chose près en même temps. Avec les mêmes défauts, surtout au niveau de la forme. Je ne dit pas que je ne l'ai ait plus, mais disons que chez toi, ils sont un peu plus persistants à dégager.

Surtout au niveau de l'orthographe.

C'est ton gros point faible, Gintoots. Tu possède une bonne patte orthographique, on va pas se le cacher. Mais disons que, chez toi, tes fautes reviennent souvent. Et en grands nombres.

Les plus nombreuses sont des fautes d'inattentions, que je ne reporterait pas ici, pour la simple et bonne raisons que tu ai bien plus apte que moi à les corriger. C'est de ton récit que l'on parle, c'est donc à toi de repérer les fautes que tu effectue dans l'inattention. Mais sache qu'une bonne séance de relecture, dico et Besherelle à la main, et le tour est joué. Mais puisque j'aime faciliter la tâche des gens, les fautes qui reviennent le plus sont souvent des fautes de conjugaisons et d'accords féminin/pluriel. Et généralement, ce sont des fautes facilement évitable.

Ensuite, il y a aussi quelques petits problèmes de placement de phrases. Comme cité plus haut par l'ami Dark, tu places trop de "petites" phrases à de trop mauvais moments. Comme ici:

Citation:
Le soleil couchant illumina de ses dernières lumières le village de Yokiriki, village situé sur une île infesté de redoutables créatures, quelque part sur un vaste océan. Ce village était petit. En effet on y trouvait seulement quelque marchands étalant leurs produits sur des bancs de pailles tel que l’armurier, le forgeron (obligatoire sur une île dangereuse comme celle-ci), ou encore la poissonnière. Ce village était surélevé par rapport au niveau de la mer grâce à des installations en bois et se laissait donc envouter par la beauté de l’océan, de par les va et vient des vagues, par la blancheur rayonnante de l’écume et par le clapotis mélodieux de l’eau sur le bois.
L’échange était la principale source de revenu du village. Toutes sortes de navires marchands, étranger au village, y faisaient halte.
Le chef du village était assis sur sa chaise, comme à son habitude et fidèle au poste, à scruter le vaste océan. il était toujours d'une grande sagesse, malgré son grand âge, et il était vêtu d'un simple habit de toile. Le vent lui caressait son visage terni, et ainsi il se sentait bien. Le calme régnait en maitre absolu. Mais c’était le calme avant la tempête. Un homme d’une trentaine d’année accouru vers le chef tout en s’égosillant pour capter son attention. Il traversa la quasi-totalité du village pour finir à genoux, exténué par la course qu’il venait de faire, aux pieds du chef. Ce dernier, étonné demanda à son villageois ce qui pouvait bien le mettre dans un tel état.

Je sais, ce n'est que le début du premier chapitre, mais c'est pour moi celles qui m'ont le plus percuté. Car sachez-le, chers amis lecteurs, c'est souvent dans les débuts que se forme l'envie de lire ou non.
Or ici, pour moi, ces quatre phrases mises en rouges, sont pour moi trop courtes, et peuvent être articulée autrement. La première ne m'inspire pas vraiment, mais les trois autres peuvent être placée autrement, selon moi:
"Le vent caressant son visage terni par les âges, le vieux sentit un bôme apaisant monter dans sa poitrine. La mer était calme. Mais sur l'île, le calme allait être de courte durée."

Tu vas me dire que j'utilise aussi une phrase courte dans cet extrait remodelé par mes soins. Mais trop de phrase courte tue les phrases courtes. Ici, elle est plus percutante, elle interroge le lecteur. Alors qu'au début, ces phrases ne m'ont percutée que parce qu'elle donnait lieu à un rebondissement scénaristique.

Un autre problème de la forme est l'utilisation abusive des "Mais". Cela se ressent surtout au niveau des derniers chapitres parcourus, mais... *Bzzzt* CAR (voilà, c'est mieux...) c'est surtout dans ceux là que t'en use et abuse le plus. Pour moi, cela donne une impression de bâclé. Que tu avais envie de poster le chapitre pour être tranquille par la suite (désolé si je suis cassant, mais ce problème te suit comme les boulets d'aciers suivent les Daltons dans Lucky Luke). Et c'est pas franchement agréable pour le lecteur. Comme l'a cité l'ami Dark Knight, essaie de varier un peu tes goûts et tes couleurs, et utilise des "Cependant"; des "Par contre"; des "Aussi";... Je te jure que ça fait un bien fou au texte, il s'en trouve moins chargé.

Ce que je vais dire va paraître paradoxal, mais dans ce genre de critique, la première catégorie est souvent négative, tandis que la deuxième est là pour redorer le blason de l'histoire. J'espère que la deuxième va être à la hauteur, car, mon cher Gintoots, tu avoueras que pour l'instant, m'avoir fait écrire un tel pavé signifie clairement que la forme n'est, pour moi, pas très brillante...

Paradoxal, je vous disais, car au niveau de la fluidité, je n'ai presque rien à redire. Un style fluide, quelque peu entaché par les phrases courtes placée à tout va sans vraiment aucun intérêt scénaristique, mais fluide quand même. Ce style fluide se ressent surtout dans la scène du labyrinthe, scène qui justifiait réellement l'utilisation des phrases courtes.

Il reste un dernier détail dans la forme que j'ai relevé et qui m'a un peu embêté aussi, c'est l'équilibre dialogue/texte.

Dans les débuts, les dialogues étaient... Rares. Rares, et trop "déjà-vu". Alors je sais que l'on parle de fiction, mais je trouve que certains dialogue sont tellement copié-collé... Comme le discours de l'ex-capitaine qui trahit ses alliés Hunters. Je l'ai tellement vu qu'à la fin j'ai survolé le reste du chapitre et il m'a fallu de la motivation pour lire le reste, je t'assure. Heureusement que par après, l'équilibre est un peu mieux géré!

(Je crois que jamais je vais en avoir fini avec ça...^^) J'ai oublié de préciser un truc dans les points à amélioré: Les points et les virgules. On te l'a souvent dit mais je me répète (car il parait qu'il faut dire 7 fois une info à quelqu'un pour qu'il la retienne): L'abus de virgules et de points tue le texte. Je me suis déjà prononcé la dessus auparavant, je quoterai donc le paragraphe en question:

Phénix Dragoon a écrit:
Gintoots a écrit:
Soudain, ses jambes furent agrippées par quelque chose qu’il ne pouvait reconnaitre. Ca le serrait très fort, il ne pouvait pas se dégagé. N’ayant pas pris son arme, il essaya de se défaire a l’aide de ses mains. Mais aussitôt eut-il touché ce qui le retenait, il retira ses mains. Une sensation horrible l’envahie. Il tenta de se rassurer. « Ce n’est pas possible, hein ? Ce ne sont pas des mains ? Non, non, non, il ne faut pas que ce soit des mains ». Mais, une nouvelle main l’attrapa par derrière. En effet le bras obscur c’était enroulé autour du cou de Jiro. Le corps de celui-ci fut alors envahi de ces mains obscures l’empêchant de bouger.
Alors qu’il se débattait de toutes ses forces, des images apparurent devant lui. Il y voyait un jeune garçon aux cheveux brun foncé, jouant sur les épaules d’une personne adulte et masculine. Il le reconnu au premier regard. Son père ! Il s’agissait bien de lui et son père. Jiro eut les larmes aux yeux avant de demander pitié au « esprits » l’accablant de cette horrible vision. Il vit ensuite sa mère, une belle femme au corps sans équivalent et aux cheveux bruns reluisant d’éclat, dansait, le tenant dans ces bras. Ensuite il aperçut un beau jeune homme apparemment plus âgé que lui en compagnie d’un autre garçon blondinet. Il reconnut Noyel et son frère. Ceux qui se vantaient d’être les meilleurs amis au monde. Sa famille…il n’aurait jamais pu oublier ce fameux jour…le jour de leur mort :

C’était un jour de printemps qui se levait sur le village. Jiro, comme à son habitude, péchait avec son grand frère. Ce dernier était la version adolescente de Jiro. Il se ressemblait beaucoup. Aucun mal à dire qu’ils étaient bien frère. Mais leur habitude allait être bien vite secouée. Un incendie, apparemment criminel, attaqua le village de ses flammes ardentes. Pour sauver son frère, le grand frère de Jiro le poussa et fut assommer par une poutre enflammé. Leur mère et leur père était mort, dans la maison familiale. Cet incendie avait détruit plus de la moitié du village et avait emporté d’autres vies.

Des larmes coulaient sur les joues de Jiro. C’en était assez. Il protègerait ceux qu’il décidera de protéger : Les personnes qui comptent à ses yeux ! En tout cas tant qu’il resterait là, il en serait bien incapable. Mais les visions ne s’arrêtèrent pas là. Il vit le village une nouvelle fois en feu sauf que cette fois ci personne, sauf lui, n’était vivant. Les voix reprirent leurs activités : « Tu n’as pas pu les protéger ! Tu es incapable d’aider qui que ce soit ! ». Toutes ces voix répétaient la même chose. Jiro se sentait oppresser, il n’osait même plus bouger. « Après tout, pensa-t-il, c’est vrai, je n’ai pas pu sauver mes parents et… ». Il s’arrêta net et pris une grande inspiration : « Comme si j’allais me laisser marcher dessus par des sortes de je ne sais quoi qui ont du mal à parler hormis pour une phrase ! cria-t-il de colère ». Au même moment une force l’entoura et explosa mettant au tapis tous ces êtres de l’ombres et laissant enfin libres le jeune garçon.


Selon moi, toujours, à part le dernier paragraphe qui n'est pas si mal, le reste me semble fade. Mais il y a aussi le fait que maintenant que j'écris un livre, ma critique a augmenté en "dureté". Mais ça me semble sans vie. je ne sais pas si c'est à cause d'une mauvaise utilisation des virgules et des points ou si les phrases sont trop longue, mais ce passage en particulier ne m'a pas emballé.


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Critère N°II: Le Fond

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Là, par contre, il y a du progrès! Depuis tes débuts, je crois me souvenir que c'est ta seule fiction à libre univers. Quand on a commencé dans un univers déjà tout fait, c'est assez dur de sortir dans un nouveau monde sans avoir gardé des repères de l'ancien.

Ici, tu as commencé comme dans tes débuts, mais tu as eu la bonne idée de te détacher de One Piece pour le Monde des Hunters. Un choix judicieux, car dès le départ, ça ne pouvait marcher. On le sentait dès le départ. Des créatures complètement nouvelle dans l'univers d'Oda... Moyen, comme idée. Avoir fait passer ton univers sous le label "libre" a donné plus de crédibilités à ces saletés, et a rendu par la même occasion la suite plus agréable et plus fun à suivre.

Au niveau des personnages, si je ne me trompe pas, tu as décidé de rester dans un shémas assez classique: Le héros doit faire ses preuves dans un monde sauvage et hostile. C'est un bon début. Reste à voir ce que cela donnera par la suite, mais laisse moi te mettre en garde: Ce genre de shéma classique finit par essouffler un récit s'il n'y a pas de réel changement. Mais les personnages secondaires aident aussi le lecteur, dans ta fic, à apprécié l'histoire. Surtout le Noyel, qui m'a l'air pas mal.

Au niveau de l'univers, au départ, je n'était pas nécessairement emballé par le thème. Surtout quand on m'a dit qu'il était partie intégrante du récit d'Oda. Mais par après, le niveau a remonté, pour après devenir très intéressant par l'apparition des "Sea Hunters". Une idée très intéressante si, bien exploitée, peut amener des bonnes choses au récit. Je t'encourage donc à développer ton projet pour exploiter au maximum les possibilités offertes par cela.

Mais, car il y a quand même un "Mais", plusieurs incohérences due au thème ont jeté un peu d'ombre sur le tableau. Je pourrais les citer, mais quelqu'un l'a fait mieux que moi:

Alors que je pensais que cela allait être Enitu, il se trouve que cette personne se trouve être Dark Knigth! a écrit:
Premièrement, je t'avoue que je me suis vraiment dis WTF? quand j'ai lus que tout les Hunter avaient donné leurs armes au forgeron ! J'ai trouvé cela vraiment abusé, c'est au comble de l'inconscience, ce qui est vraiment bizarre étant donné que tu décris l'île comme dangereuse. Et pour moi, ce problème de fond en entraîne un second :

J'ai trouvé abusé, sur le coup, que le grand père du village, parce que cela mettrais trop longtemps en charrette d'apporter les armes, reste sur son séant à réfléchir. A sa place, j'aurais dépêché les volontaires jusqu'au camps des Hunters, à dos de cheval, avec chacun une certaines quantité d'arme sur eux. Un cheval au galop, c'est quand même plus rapide qu'une charrette, non ?

Ce qui entraîne, à son tour un troisième élément qui m'à perturbé : le coup des armes construites avec du bois. Franchement, j'aurais préféré alors qu'ils installent des pièges avec des pierres ou ce genre de choses. Parce que, ils les ont taillés comment leurs bouts de bois ?


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Avis Général et Conseils Additionnels

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Tu nous présente là une bonne petite fic, qui est une première pour toi puisque tu la fait dans un nouveau monde. Et j'espère que c'est ce nouveau monde qui fait que la Forme est à revoir (j'ai envie d'ajouter "presque entièrement"). Comme toujours, tu as encore des progrès à faire. Mais comme dit au dessus, tu es un bon ami à moi, et je te connais depuis tes débuts dans le cabinet. Je connais donc tes points faibles, et ils se situent surtout dans la forme du Récit. Dans le fond, rien à redire. C'est simple, classique (peut être trop au début), et assez bien construit. C'est assez malheureux que la Forme viennent mettre du noir sur le fond blanc du tableau...
Bref, t'a encore du chemin à faire, et ce genre de fic est souvent interminable, donc t'a le temps!

Fait le: 10/03/12 - 6 chapitres lus

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 11 Mar 2012 09:50 
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Après coup, je me dit que j'y suis allé un peu fort... Mais je précise tout de suite:

Gintoots est au courant, mais pour les newvieuwers (notez le mot-valise, yeah!), je suis actuellement occupé d'écrire un bouquin, un roman, un peu dans le style "fanfic". Depuis que j'ai commencé à l'écrire, les fautes et les imperfections me sautent plus au yeux que le Fanficeur moyen. Donc il est bien possible que ma critique soit plus dure de ce fait. Mais ne vous en faite pas, c'est plus que normal!

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 11 Mar 2012 20:44 
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Ne t'inquiète pas Phénix, ton commentaire est très bien, tout comme celui de DK(si tu permet^^). Je te l'ai déja dit Phénix, Ce sont ce genre de commentaire qui me font avancer et je peux voir, grâce a vos deux com, que les problèmes que vous relevez sont les mêmes. Déja ça cible bien les aspects a retravailler. Je vais essayer de prendre un maximun en considération vos conseils.
Après je dois bien avouez que les situations citées (je pense notament aux problèmes des armes) peuvent paraitre folles mais normalement les Jasses ne quittent pas leur lieu de chasse ou de reproduction. Et oui en effet je donne le baton pour me faire battre je ne l'ai pas dit dans le texte. D'où le fait qu'il me semblait normal que les Hunters puissent déposer leurs armes comme si rien n'allait arriver. Mais c'est une grosse erreur et je ferais attention a l'avenir.

Enfin j'apprecie vraiment vos commentaires^^ D'autre pourrait se croire persécuter mais j'ai apprécié. J'espère que vous me lirez encore après, vos conseil sont toujours les bien venus^^

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Jeu 5 Juil 2012 17:20 
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Et ben salut à tous et me revoilà après un bon moment d’absence^^ J’ai essayé de prendre en compte vos différents conseils et j’espère m’être amélioré.
Je vous laisse le soin de juger cher lecteurs !


Chapitre 7 :


A présent, Jiro songeait au bord d’une falaise se situant non loin du village et jouait avec ses jambes dans le vide. Le soleil illuminait de ses derniers rayons la verdure qui se mélangeait à la roche. Les vagues frappaient violement le pied rocheux tandis que le vent semblait vouloir apaiser les choses. A l’horizon, seul la mer était visible.
« Un Sea Hunter ? » pensa alors le jeune garçon. Les dires d’Amack l’avaient troublé et il se retrouver simultanément Hunter. Mais qu’est-ce que cela signifiait ? Pourquoi ce type de Hunter ? Il regarda la mer au loin, attendant une sorte de réponse de celle-ci. Il n’eut droit qu’au bruit des vagues cognant contre la paroi rocheuse. Soudain, une personne arriva derrière lui et entama la discussion :

-Tu étais donc là ! dit alors une voix masculine.
-Noyel ?! Qu’est ce qui s’est passé ? Je veux dire dans cette cabane, demanda Jiro d’une petite voix.
-Quelque chose que l’on nomme l’éveil, expliqua alors Noyel.
-Et c’est quoi ça ? Questionna le jeune garçon.
-Ça porte bien son nom pourtant. Tu es « réveiller » maintenant. Disons que c’est comme une seconde naissance, qui t’offre une nouvelle vie : celle d’un véritable Hunter !
-Un véritable Hunter ? Donc tous les Hunter du village ont connu ça aussi ?
-Non. Ces Hunters n’ont pas été éveillés. Toutefois il droit au titre de Hunter pour avoir passé les tests, développa Noyel.

Jiro ne comprenait pas ce qui avait bien pu se passer dans cette cabane pour que ce soit si spécial. Pourquoi serait-il plus un Hunter que les autres sans qu’il est passé les tests ? De plus en plus chaque jours, des questions diverses viennent s’ajouter à celles dont il n’a pas encore trouvé les réponses. Ces mystères non résolu arrivèrent même à le faire douter de lui.

-Bref, commença Noyel, pour « ça » il vaut mieux que tu aies droit à une démonstration.
-Hein ?!

Avant même qu’il n’eut le temps de faire quoique ce soit, Noyel le tapota dans le dos. Jiro fut alors dégager par une force invisible qui le poussa vers la mer. Il ne savait absolument pas ce qu’il se passait. Il tomba à l’eau, a environ une vingtaine de mètre de la falaise. Il remonta très rapidement à l’eau, grâce à ses compétences en natation.
Une fois la tête hors de l’eau, il fut extrêmement étonné : son ami se tenais, non loin de lui, debout sur l’eau. Quel pouvait bien être ce phénomène ? Ce dernier se mit à courir vers le jeune garçon et donna un violent coup de pied une fois proche de lui. Le nouvel Hunter eut le réflexe de plonger un peu avant et évita ainsi un puissant coup : Noyel avait créé comme un faille dans l’eau par la seule action de sa jambe. « Quelle force ! » pensa alors Jiro. Ce dernier décida donc de reprendre l’air assez loin de son ami, celui-ci n’ayant pas bougé. Cependant, un petit sourire se dessina sur son visage et tout à coup, le jeune Hunter ne le vit plus. Il tourna la tête plusieurs fois dans tous les sens. Ou pouvait –il bien être ? Devant ? Derrière ? Gauche ? Droite ? Non ! En haut ?
Après un petit moment, il entendit : « Je suis juste là ! ». Noyel se trouvait derrière lui. Mais comment est-ce possible ? C’est alors que Jiro assista à quelle chose d’incroyable. L’eau se souleva de la position de départ de son ami jusque à ses pieds. « Quoi ? Il serait si rapide que l’eau aurait du retard par rapport à lui ? » Raisonna-t-il alors à la fois admiratif et méfiant. En un instant, Noyel passa devant son ami et présenta la paume de sa main a environ un mètre de sa poitrine. Une puissante onde de choc propulsa le jeune homme en arrière avant qu’il n’eut le temps de tenter quoique ce soit. Il fit des ricochets sur l’eau jusqu’à atterrir et s’enfoncer dans une petite plage de sable qui se trouvait à quelques pas de la falaise.
Jiro se releva difficilement du sable. Il remarqua en passant sa main sur sa bouche qu’il saignait abondamment. Il découvrit le coté Hunter de son meilleur ami. Noyel était vraiment exceptionnel. Mais comment peut-il être si loin devant lui ? Une telle différence de niveau peut exister ?
De plus belle, en un éclair, il se retrouva sur le bord de la plage. Il contemplait son ami se relever avec difficulté.

-Tu encaisse bien les coups ! lança Noyel avec un petit sourire en coin.
-C’est quoi ça ? Comment est tu capable de faire ça ? demanda Jiro tout en tentant de se maintenir debout.
-C’est ce que tu es capable de faire une fois éveiller l’ami ! expliqua-t-il avec un grand sourire.
-Tu veux dire que je peux faire ça ?
-Pas encore mais tu y arriveras. Il suffit de s’entrainer. Laisse-moi t’expliquer ce qui fait que toi et moi somme de véritable Hunter. Il s’agit de « la Force » ! Elle se divise en trois parties principales : la force physique, mentale, et la force du cœur ! La Force est l’appellation qu’on donné les Hunter à l’aura ou l’énergie produite par le corps de l’homme et des êtres vivants. La Force physique est la force pur du corps que tu peux entrainer au-delà des limites fixé par le corps. La Force mentale ou Force de l’esprit est le dégagement de la Force à l’extérieur du corps. La Force du cœur est particulière : Alors que pour les deux autres parties on peut tous avoir des techniques semblables, la Force du cœur est unique pour chacun.
-Ah ouais quand même ! C’est balèze comme truc ! répondit Jiro plein d’étoiles dans les yeux. Ce qui veut dire que….

Noyel fut étonné. Son ami se tenait face à lui, les yeux fermés, et était en train de concentrer son énergie dans les pieds. Aurait-il compris comment faire juste avec une démonstration ?
Jiro rouvrait lentement les yeux et commença à marcher vers la mer. Une fois arrivé à hauteur de l’eau, il eut un petit moment d’hésitation puis mis le pied sur l’eau. Après quelques pas, ils se rendirent compte tous deux qu’il marchait sur l’eau. Il se retourna vers Noyel et lui adressa un large sourire. Cependant le jeune Hunter commença à perdre l’équilibre avant de se retrouver à l’eau. Noyel n’en revenait pas. Il a appris ça si vite ! Bien qu’il ne maitrise pas encore ce petit tour de passe-passe, les débuts du jeune Hunter étaient très prometteurs.

-Tu es incroyable ! avoua-t-il tandis que Jiro sortait la tête de l’eau. Peu de personne serait capable de faire ça !
-Pourtant je n’ai fait que te recopier, je ne vois pas où est la difficulté, dis alors franchement le jeune Hunter. Il me reste plus qu’à rester concentrer en le faisant et sa devrait aller.

Il avait raison. Au moment où il regardait Noyel, il s’était quelque peu dissipé. Cela ne lui permettait plus de se concentrer sur ses pieds et son aura n’était donc plus stable. C’était incroyable. Avec une connaissance minime sur la Force, il a su analyser les mouvements de son adversaire et les reproduire. « Serait-ce… ? pensa alors Noyel. Non ce n’est pas possible, il vient de s’éveiller à la Force ». Il semblait perdu. Son étonnement le mena à une certaine confusion. Ce n’était sans doute pas dû à de la chance. Il se retourna comme pour chercher une réponse en analysant Jiro du regard. Toutefois, ce dernier venait tout juste de s’endormir au bord de la petite plage, laissant alors le Hunter avec ses questions. Celui-ci ricana puis se dirigea vers son ami. Il le porta à l’aide de ses deux bras comme l’on porterait une princesse. Puis il pensa : « Quand je vais raconter ça au vieux, ça va lui faire un choc ». Il reparti alors en direction du village soucieux du talent de son ami.

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Jeu 12 Juil 2012 21:11 
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L'histoire

- Un univers riche et varié où l'on est facilement immergé.
- Un monde original puisque l'histoire ne se passe pas dans le monde de one piece.
- Des personnages assez énigmatique.
- Pas mal de combat et d'actions qui s'enchainent a une vitesse incroyable.
- Beaucoup de suspens
- Le passé du héros un peu trop classique

L'écriture

- Un style d'écriture agréable à lire.
- Des descriptions détaillées.
- Quelques fautes d'orthographe de grammaire et d'accord.
- De rare phrases mal tournée.
- Pas mal de répétition. Tu pourrais éviter ça en utilisant des pronoms ou des synonymes.

Ce que j'en pense

Une bonne fic que j'apprécie, à partir du chapitre 3 je ne pouvais plus m’arrêter de lire.
Les chapitres ne sont ni trop longs ni trop courts et la fin est toujours emplie de suspens. Et je trouve que depuis le début tu t'es amélioré car avant tu allais trop vite au niveau de l'intrigue. Quelques fautes par ci par là qui ne rendent pas le texte désagréable.
Bref j'attends la suite.(au fait les jasses sont ils des dinosaures ?)

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Mar 17 Juil 2012 12:33 
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L'histoire continue. Après avoir passé l'épreuve de la cabane ^^, Jiro se voit maintenant développer un début de super pouvoir. A voir ce qu'il va en faire. Car j'imagine qu'il aura des responsabilités en tant que sea hunter. Tiens d'ailleurs, quelles sont les autres sortes de hunter ? Un earth/terra hunter ? ...
Et puis, un sea hunter est-il aussi efficace sur terre ? Ce serait problématique pour les Jasses et leur chef ...

En parlant de Jasse, fais attention au rapport de force entre hunter et Jasse. Il ne faudrait pas sous prétexte d'un power-up qu'ils (les Jasses) deviennent trop facilement battables.

Spoiler: Montrer
J'ai changé mon code couleur :

Rouge pour ce qui est à supprimer.
Vert pour ce qui est à rajouter ou à changer.
Orange pour les questions de formulations ou de syntaxe.
Violet pour les fautes que tu devras corriger toi-même (avec une indication).
Bleu pour les notes, explications et conseils.


Gintoots a écrit:
A présent, Jiro songeait au bord d’une falaise se situant non loin du village et jouait avec ses jambes dans le vide. Le soleil illuminait de ses derniers rayons la verdure qui se mélangeait à la roche. Les vagues frappaient violement le pied rocheux tandis que le vent semblait vouloir apaiser les choses. A l’horizon, seule [Etant un adjectif, "seul" doit s'accorder avec le nom qu'il qualifie, ici "mer"] la mer était visible.
« Un Sea Hunter ? » pensa alors le jeune garçon. Les dires d’Amack l’avaient troublé et il se retrouver [Ce n'est pas l'infinitif. A corriger] simultanément Hunter. Mais qu’est-ce que cela signifiait ? Pourquoi ce type de Hunter ? Il regarda la mer au loin, attendant une sorte de réponse de celle-ci. Il n’eut droit qu’au bruit des vagues cognant contre la paroi rocheuse. Soudain, une personne arriva derrière lui et entama la discussion :

-Tu étais donc là ! dit alors une voix masculine.
-Noyel ?! Qu’est ce qui s’est passé ? Je veux dire dans cette cabane, demanda Jiro d’une petite voix.
-Quelque chose que l’on nomme l’éveil, expliqua alors Noyel.
-Et c’est quoi ça ? Questionna le jeune garçon.
-Ça porte bien son nom pourtant. Tu es « réveillé » maintenant. Disons que c’est comme une seconde naissance, qui t’offre une nouvelle vie : celle d’un véritable Hunter !
-Un véritable Hunter ? Donc tous les Hunter du village ont connu ça aussi ?
-Non. Ces Hunters n’ont pas été éveillés. Toutefois ils ont [J'imagine que c'est ce qui manque] droit au titre de Hunter pour avoir passé les tests, développa Noyel.

Jiro ne comprenait pas ce qui avait bien pu se passer dans cette cabane pour que ce soit si spécial. Pourquoi serait-il plus un Hunter que les autres sans qu’il est passé les tests ? De plus en plus chaque jours, des questions diverses viennent [Le verbe est au présent alors que le récit est au passé. A corriger] s’ajouter à celles dont il n’a [Même chose : mauvais temps. A corriger] pas encore trouvé les réponses. Ces mystères non résolus arrivèrent même à le faire douter de lui.

-Bref, commença Noyel, pour « ça » il vaut mieux que tu aies droit à une démonstration.
-Hein ?!

Avant même qu’il n’eut le temps de faire quoique ce soit, Noyel le tapota dans le dos. Jiro fut alors dégager [Ce n'est pas l'infinitif. A corriger] par une force invisible qui le poussa vers la mer. Il ne savait absolument pas ce qu’il se passait. Il tomba à l’eau, à environ une vingtaine de mètres de la falaise. Il remonta très rapidement à l’eau [n'est-ce pas plutôt "de l'eau" ? Là on a l'impression qu'il retourne dans l'eau (alors qu'il y est déjà)], grâce à ses compétences en natation.
Une fois la tête hors de l’eau, il fut extrêmement étonné : son ami se tenais [Mauvaise conjugaison], non loin de lui, debout sur l’eau. Quel pouvait bien être ce phénomène ? Ce dernier se mit à courir vers le jeune garçon et donna un violent coup de pied une fois proche de lui. Le nouvel Hunter eut le réflexe de plonger un peu avant et évita ainsi un puissant coup : Noyel avait créé comme un faille dans l’eau par la seule action de sa jambe. « Quelle force ! » pensa alors Jiro. Ce dernier décida donc de reprendre de l’air assez loin de son ami, celui-ci n’ayant pas bougé. Cependant, un petit sourire se dessina sur son visage et tout à coup, le jeune Hunter ne le vit plus. Il tourna la tête plusieurs fois dans tous les sens. Ou pouvait-il bien être ? Devant ? Derrière ? A gauche ? A droite ? Non ! En haut ?
Après un petit moment, il entendit : « Je suis juste là ! ». Noyel se trouvait derrière lui. Mais comment est-ce possible ? C’est alors que Jiro assista à quelque chose d’incroyable. L’eau se souleva de la position de départ de son ami jusqu'à [Vu que deux voyelles se suivent (en fin de mot et en début de mot suivant) et que la deuxième est un "e", on fait la contraction] ses pieds. « Quoi ? Il serait si rapide que l’eau aurait du retard par rapport à lui ? » Raisonna-t-il alors à la fois admiratif et méfiant. En un instant, Noyel passa devant son ami et présenta la paume de sa main a environ un mètre de sa poitrine. Une puissante onde de choc propulsa le jeune homme en arrière avant qu’il n’eut le temps de tenter quoique ce soit. Il fit des ricochets sur l’eau jusqu’à atterrir et s’enfoncer dans une petite plage de sable qui se trouvait à quelques pas de la falaise.
Jiro se releva difficilement du sable. Il remarqua en passant sa main sur sa bouche qu’il saignait abondamment. Il découvrit le coté Hunter de son meilleur ami. Noyel était vraiment exceptionnel. Mais comment peut-il [Mauvais temps. A corriger] être si loin devant lui ? Une telle différence de niveau peut [Même chose. A corriger] exister ?
De plus belle, en un éclair, il se retrouva sur le bord de la plage. Il contemplait son ami se relever avec difficulté.

-Tu encaisses bien les coups ! lança Noyel avec un petit sourire en coin.
-C’est quoi ça ? Comment es-tu capable de faire ça ? demanda Jiro tout en tentant de se maintenir debout.
-C’est ce que tu es capable de faire une fois éveiller [Ce n'est pas l'infinitif, c'est le participe passé. A corriger] l’ami ! expliqua-t-il avec un grand sourire.
-Tu veux dire que je peux faire ça ?
-Pas encore mais tu y arriveras. Il suffit de s’entrainer. Laisse-moi t’expliquer ce qui fait que toi et moi sommes de véritable Hunter. Il s’agit de « la Force » ! Elle se divise en trois parties principales : la force physique, mentale, et la force du cœur ! La Force est l’appellation qu’ont donné les Hunters à l’aura ou à l’énergie produite par le corps de l’homme et des êtres vivants. [Il me semble que c'est un "ou" et non un "où". Donc si c'est "à l'aura", ce sera aussi "à l'énergie"] La Force physique est la force pure du corps que tu peux entraîner au-delà des limites fixées par le corps. La Force mentale ou Force de l’esprit est le dégagement de la Force à l’extérieur du corps. La Force du cœur est particulière : Alors que pour les deux autres parties on peut tous avoir des techniques semblables, la Force du cœur est unique pour chacun.
-Ah ouais quand même ! C’est balèze comme truc ! répondit Jiro plein d’étoiles dans les yeux. Ce qui veut dire que…

Noyel fut étonné. Son ami se tenait face à lui, les yeux fermés, et était en train de concentrer son énergie dans les pieds. Aurait-il compris comment faire juste avec une démonstration ?
Jiro rouvrait lentement les yeux et commença à marcher vers la mer. Une fois arrivé à hauteur de l’eau, il eut un petit moment d’hésitation puis mis le pied sur l’eau. Après quelques pas, ils se rendirent compte tous deux qu’il marchait sur l’eau. Il se retourna vers Noyel et lui adressa un large sourire. Cependant le jeune Hunter commença à perdre l’équilibre avant de se retrouver à l’eau. Noyel n’en revenait pas. Il a [Mauvais temps. A corriger] appris ça si vite ! Bien qu’il ne maîtrise pas encore ce petit tour de passe-passe, les débuts du jeune Hunter étaient très prometteurs.

-Tu es incroyable ! avoua-t-il tandis que Jiro sortait la tête de l’eau. Peu de personnes seraient capables de faire ça !
-Pourtant je n’ai fait que te recopier, je ne vois pas où est la difficulté, dis alors franchement le jeune Hunter. Il me reste plus qu’à rester concentrer en le faisant et ça devrait aller.

Il avait raison. Au moment où il avait regardé [Ici c'est du plus-que-parfait car il s'agit d'un acte passé s’inscrivant dans un récit écrit au passé. Une explication peut-être plus compréhensible. Tu l'as pourtant mis par la suite ...] Noyel, il s’était quelque peu dissipé. Cela ne lui permettait plus de se concentrer sur ses pieds et son aura n’était donc plus stable. C’était incroyable. Avec une connaissance minime sur la Force, il a [Mauvais temps. A corriger] su analyser les mouvements de son adversaire et les reproduire. « Serait-ce… ? pensa alors Noyel. Non ce n’est pas possible, il vient de s’éveiller à la Force ». Il semblait perdu. Son étonnement le mena à une certaine confusion. Ce n’était sans doute pas dû à de la chance. Il se retourna comme pour chercher une réponse en analysant Jiro du regard. Toutefois, ce dernier venait tout juste de s’endormir au bord de la petite plage, laissant alors le Hunter avec ses questions. Celui-ci ricana puis se dirigea vers son ami. Il le porta à l’aide de ses deux bras comme l’on porterait une princesse. Puis il pensa : « Quand je vais raconter ça au vieux, ça va lui faire un choc ». Il repartit alors en direction du village soucieux du talent de son ami.


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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Mar 17 Juil 2012 13:32 
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J'avais un peu de temps, donc je viens de rattrapper les chapitres que j'avais de retard.
Même s'il reste beaucoup de fautes bêtes (des "s" pour le pluriel ou pour les accords des verbes), ton style a beaucoup évolué. C'est plus posé et agréable à lire, même si certains passages me paraissent moins fluide. En effet pour certaines phrases, tu devrais les relire plusieurs fois pour simplement réajuster l'ordre des mots pour un rendu plus agréable.
Citation:
Le vent brassait les herbes bien vertes calmement, donnant alors l’impression de les faire danser.

Tu ne trouves pas qu'avoir "Calmement, le vent brassait les herbes vertes" est un peu plus élégant. Et pour la comparaison qui suit, c'est bien d'en mettre mais il faut mieux l'intégrer, qu'il y est une impression de ''pas fait exprès'' (je sais pas si je suis vraiment clair ><).

Autre chose sur le rythme : mets des virgules ! Tu fais beaucoup de phrases très courtes ce qui à force est assez désagréable. Lies les plutôt à coup de pronoms ou même simplement de virgules.

Petit point sur l'histoire. C'est sympathique, mais je pense qu'il faudrait que tu réfléchisses mieux à ton découpage en chapitre. Comme quelqu'un l'a mis plus haut, tes 5 premiers chapitres font très "prologue" et se révèle assez inutile au final du point de vue de l'avancée de l'histoire. On apprend réellement des choses sur le monde, les personnages et toussa dans les chapitres 6 et 7. Donc pour la suite, réfléchi bien, même s'il faut faire des chapitres de longueurs différentes, fait en sorte qu'il y ait quelques éléments intéressants pour les lecteurs, autre qu'un super rebondissement à la fin. Mets en aussi en plein milieu, sinon beaucoup liront en diagonale ou s'arrêteront en cours de lecture car rien ne semble vraiment intriguant.

Mais sinon c'est une bonne fanfic ^^

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Lun 30 Juil 2012 21:43 
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Localisation: En train d'être acclamé par une foule en délire!
Eh bien voilà la suite ! Surtout n’hésitez pas à commenter et j’espère que ça vous plaira ^^
Enjoy^^


Chapitre 8 :


Une nuit fraiche s’était abattu sur le village de Yokiriki. Le chant des chouettes suivait de près le rythme imposé par les hiboux. La douce mélodie des vagues, clapotant contre les structures du village, berçaient les habitants. La lune, d’un blanc éclatant, illuminait de toute sa splendeur les moindres recoins d’ombre.
Sur la place centrale, le chef était assis et fixait inlassablement le feu de campement se trouvant face à lui. Son regard vague se perdait dans la danse parcimonieuse des flammes.
A ses cotés se trouvait Noyel et Amack. Aucun d’eux ne parla, chacun se concentrant sur une chose différente. Le premier dégustait un poisson grillé tandis que le second sirotait une bouteille de saké. Tout à coup, le vieil homme décida de briser le silence. Il dit alors au jeune Hunter qu’il avait une solution : il confiera Jiro à quelqu’un de confiance et qui plus est, qui lui apprendra à contrôler la Force. Il indiqua que cette personne se trouvait sur le continent Aquaria, plus précisément dans la ville portuaire Egée. Amack fut étonné de cette déclaration.

-Père ! Tu souhaites vraiment lui confier ? interrogea-t-il.
-Oui ! J’y est murement réfléchi et il est sans doute la personne la plus qualifiée, répondit alors le vieux chef.

Noyel éclata de rire. Il ne pouvait plus s’arrêter. Il s’imagina la rencontre et les débuts qui s’annonçaient difficile entre les deux individus. « Tu vas t’amuser tient ! Jiro ! pensa-t-il après s’être calmé ».
Le vieil homme reprit en annonçant que le départ du jeune garçon aura lieu le lendemain, dans l’après-midi. Sur ceux, le chef quitta le feu et invita ses deux camarades de camps à faire de même. Ils se levèrent et chacun se dirigea vers son cabanon.

-Tu risques de ne plus avoir la vie tranquille mon ami, commença Noyel. Mais après tout, c’est ce que tu as toujours voulu, conclut-il en ricanant.


Le lendemain après-midi, Jiro sorti enfin de sa maisonnée et fut intrigué par le nombre de personne se trouvant au petit port du village et s’y rendit hâtivement. Quand il arriva, tous les regards étaient fixés sur lui. Tous les habitants du village s’étaient donné rendez-vous. Etonné et anxieux, il avança dans la foule qui se dépêcha de lui faire de la place. Après avoir traversé la foule, il vit le vieux chef se tenir devant un bateau, sur lequel se tenaient son ami et le fils du chef. Le bateau n’était pas grand, toutefois il pouvait aisément accueillir un petit groupe de personne. Il y avait une petite salle en bois où se trouvait le gouvernail ainsi qu’une petite table servant a déposé toute sorte de carte maritime.
Jiro ne savait pas ce qui se passait. Il regarda Noyel, celui-ci ayant un petit sourire et lui demanda :

-Qu’est ce qui passe ? Vous partez ?
-Nous partons, répliqua son ami.
-Nous ? Questionna le jeune Hunter.
-Tu viens avec nous, je t’expliquerais pourquoi une fois parti.
-Mais attend ! Pourquoi je dois partir maintenant ?
-Il ne serait pas temps que tu vives ta propre aventure ? Questionna Noyel avec un clin d’œil. Comme si tu allais te contenter de rester sur cette île toute ta vie !

Il ne savait pas quoi dire ou même quoi faire. Certes il avait toujours eu envie de partir mais c’était si soudain !
Le chef prit alors la parole. Il lui expliqua que tout le monde sait que depuis toujours ses regards ne se portaient que vers l’horizon et qu’il avait enfin la possibilité de partir. « Il est un temps où un homme doit savoir aller de l’avant et ne pas avoir peur du monde qui l’entoure ». Jiro baissa la tête et se remémora ses meilleurs moments passé dans ce village et sur cette île. Ses cheveux empêchaient de voir ses yeux néanmoins, des larmes se mirent à couler sur ses joues et tombèrent, dans un rythme irrégulier, au sol.
Ensuite, il avança et sauta sur le navire. Il se redressa avant de se retourner pour enfin laisser apparaitre au grand jour son visage ruisselant de larmes, accompagné d’un large sourire. Tous les habitants du village lâchèrent également quelques larmes, tout comme le chef qui ne put s’empêcher de pleurer.
C’est alors qu’Amack commença à défaire la corde raccordant l’embarcation au port. Tandis que le bateau avançait lentement sur l’eau, Jiro effectuait de grand signe vers son village, tout en criant : « Au revoir tout le monde ! A bientôt ! Je reviendrais ! ». Les villageois lui souhaitèrent, en réponse, un bon voyage et lui demandèrent de bien faire attention à lui.
Le chef sécha ses larmes et regarda le navire qui se trouvait, à présent, à l’horizon. Ce sourire l’avait marqué à vie. « Ce chenapan, pensa-t-il, il a fallu qu’il grandisse aussi vite. Surtout vis ta vie pleinement mon grand ! ».
Jiro, qui se tenait debout sur le bateau, tourna une dernière fois le dos en direction de son île. Le vent caressait sa chevelure brune et le soleil illuminait son visage.

« Au revoir…Yokiriki »


Environ une heure plus tard, tandis que l’embarcation avançait à toute allure, Noyel le rejoignit sur le petit pont du navire et il l’interpella.

-Il est temps que je t’explique tout ça maintenant. Nous nous rendons à la ville portuaire d’Egée, sur le continent Aquaria. Là-bas nous allons te confier à quelqu’un.
-Je croyais partir à l’aventure ? rétorqua alors Jiro.
-Tu pourras mais seulement après quelques leçons.
-Leçons ?
-La personne que nous allons voir t’enseignera l’art de maitrisé la Force. C’est aussi quelqu’un de très fort. Mais ça tu le verras sans doute plus tard.
-Je suis parti pour vivre mon aventure ! Je ne vais pas attendre qu’on m’apprenne quoi que ce soit ! répliqua le jeune homme d’un ton colérique.

Noyel perdait peu à peu patience. Il adorait son ami mais il avouait aussi qu’il était très enquiquinent comme garçon. Alors qu’il allait lui répondre, Amack prit la parole pour tenter de résonner le jeune homme :

-Si tu n’as pas un minimum de connaissance sur la Force, ton aventure pourrait bien se finir plus vite que prévu Jiro.
-Et pourquoi ?
-Simplement parce que tu peux tomber contre des adversaires maitrisant également la Force. Tu sais il y a des Hunters de partout dans ce monde et tous ne sont pas forcément des gens bien. Il est même probable que tu tombes contre des personnes non-Hunters mais qui contrôlent la Force ! Ce monde est vaste. !

Jiro se sentait soudainement idiot. Il remarqua que son comportement était digne d’un gamin jamais content. Il prit sur lui, même si ça ne l’enchantait pas vraiment, et accepta de s’en remettre à l’apprentissage d’un maitre.

Le lendemain matin, aux premiers rayons du soleil, Amack averti ses deux compagnons que le port d’Egée était en vue. A l’horizon, on ne voyait plus désormais que le continent terrestre. Jiro était impressionné car il n’avait jamais vu un morceau de terre, ou quoi que ce soit d’autre d’ailleurs, être plus grand que son île. Cela lui faisait peur mais son sentiment d’excitation pour l’aventure était toutefois plus grand.
Au fur et à mesure que le navire se rapprochait des côtes, Jiro apercevait la ville plus en détails. Cette ville s’emblait être très étendu depuis la mer. Le port était vraiment très grand. Un haut phare en cylindre se trouvait à son entrée. Des centaines de navires de toutes tailles s’y trouver, tous plus beaux les uns que les autres aux yeux du jeune garçon. La majorité des bâtiments de la ville étaient apparemment construits en pierre.
La ville semblait très active. Une fois arrivé au port, et une fois le navire amarré, les trois compagnons découvrirent tout un tas de monde se bousculant sur les quais. Il s’agissait d’une véritable guerre entre marchant. Dire lequel avait le plus de client était impossible mais tous usaient, de toute leurs force, de leurs cordes vocales pour ameuter les acheteurs potentiels. De plus, l’odeur forte du poisson était omni présente mais cela ne semblait pas déranger Jiro.

-Maintenant, va falloir le trouver ! dit alors Noyel.
-D’après le vieux, c’est aussi un vendeur sur ces quais, informa Amack.
-Alors cherchons !

Ils partirent alors à la recherche de ce fameux maitre de la force. Ils tentèrent de se faufiler vers chaque marchand bien que, parfois, ils étaient très vite réexpédié de là où ils venaient. Le trouver n’allait pas être une partie de plaisir.
Après des heures passées a cherché cet homme dans cette foule en délire, les quais commencèrent à se vider. Totalement démotivé et fatigué, les trois compagnons se dirigèrent vers un stand de poissons assez sale. Il se trouvait presque à l’ opposé d’où était amarré le navire. Le stand était très modeste, avec peu de poisson, toutefois Jiro fut frappé par la qualité et la fraicheur apparente de ces poissons. Il y avait également, derrière ce présentoir, une table de travail ou l’on pouvait voir du sang séché par le soleil et des poubelles où se trouvaient tous les résidus tel que les os ou encore des têtes de poissons. Des poissons entiers ou prêts à être cuisiner était présenté.
Soudain, un homme, avec des dreadlocks et une barbe mal rasé de trois jours, sorti de derrières les détritus. Il portait un débardeur totalement taché, un pantalon léger servant sans doute pour son travail ainsi que de simples sandales. Il tenait dans sa main droite une cigarette à moitié consumé. Il prit alors la parole, après avoir tiré une latte sur sa cigarette :

-J’ai bien cru ne jamais vous voir ! Souffla-t-il d’une voix tranquille. Je sais que c’est le vieux qui vous envoi et j’imagine que c’est pour toi, dit-il en pointant du doigt Jiro.

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Jeu 2 Aoû 2012 01:25 
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Ta fic est très bien écrite différente de l'autre j'avais l'impression que c'était pas toi qui avait écrit . Je viens d'enchainé les 8 chapitres et je trouve que tout va un peu vite après c'est mon avis . Continu comme sa l'univers de ta fic est super!!!

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