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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Mar 14 Aoû 2012 00:15 
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Ce chapitre m'étonne beaucoup : tu élargis ton univers. C'est en soi une bonne chose car tu t'ouvres de nouveaux horizons et ça te permet de développer/enrichir ton monde. Pourtant d'un autre côté, je trouve ça un peu maladroit. On a eu droit à 7 chapitres durant lesquels il ne m'a pas semblé avoir d'indications sur un quelconque ailleurs (dis-moi si je me trompe). L'intrigue s'en tenait aux Jasses, à leur meneur et à la place importante que devait occuper Jiro (+ Hunter). Et puis soudain, tout d'un coup apparaît un endroit en dehors de l'île. Alors qu'adviendra-t-il de l'intrigue en cours ? Le traître va-t-il lui aussi se déplacer ? De même pour l'intrigue ?
C'est un pari risqué que tu fais là. Mais pourtant j'imagine que tu as déjà prévu une suite cohérente et que par ce fait, tu arriveras tout de même à lier nouveaux continents et évènements de Yokiriki.

Sinon, appeler un continent Aquaria ... ça fait bizarre quand on sait qu'un continent est fait de terre. Une explication ?

PS : J'espère ne pas avoir dit de bêtise avec mes remarques, car comme tu le sais, mon suivi a été assez irrégulier.
PPS : Fais attention à ne pas trop coller à l'univers de Hunter X Hunter. Avec ce chapitre j'ai eu comme une impression de déjà vu.

En bonus :
Spoiler: Montrer
Rouge pour ce qui est à supprimer.
Vert pour ce qui est à rajouter ou à changer.
Orange pour les questions de formulations ou de syntaxe.
Violet pour les fautes que tu devras corriger toi-même (avec une indication).
Bleu pour les notes, explications et conseils.

Citation:
Une nuit fraîche s’était abattue sur le village de Yokiriki. Le chant des chouettes suivait de près le rythme imposé par les hiboux. La douce mélodie des vagues, clapotant contre les structures du village, berçaient les habitants. La lune, d’un blanc éclatant, illuminait de toute sa splendeur les moindres recoins d’ombre.
Sur la place centrale, le chef était assis et fixait inlassablement le feu de campement se trouvant face à lui. Son regard vague se perdait dans la danse parcimonieuse des flammes.
A ses cotés se trouvait Noyel et Amack. Aucun d’eux ne parla, chacun se concentrant sur une chose différente. Le premier dégustait un poisson grillé tandis que le second sirotait une bouteille de saké. Tout à coup, le vieil homme décida à briser le silence. Il dit alors au jeune Hunter qu’il avait une solution : il confiera Jiro à quelqu’un de confiance et qui plus est, qui lui apprendra à contrôler la Force. Il indiqua que cette personne se trouvait sur le continent Aquaria, plus précisément dans la ville portuaire Egée. Amack fut étonné de cette déclaration.

-Père ! Tu souhaites vraiment lui confier [Soit tu écris "le lui confier" soit tu écris "lui confier Jiro" mais dans tout les cas il faut désigner la personne qui est confier] ? interrogea-t-il.
-Oui ! J’y est murement réfléchi et il est sans doute la personne la plus qualifiée, répondit alors le vieux chef.

Noyel éclata de rire. Il ne pouvait plus s’arrêter. Il s’imagina la rencontre et les débuts qui s’annonçaient difficile entre les deux individus. « Tu vas t’amuser tient ! Jiro ! pensa-t-il après s’être calmé ».
Le vieil homme reprit en annonçant que le départ du jeune garçon était prévu [Ça me semble mieux quand même] le lendemain, dans l’après-midi. Sur ce, ["ceux" est un pronom démonstratif. En le mettant, c'est comme si tu indiquais qu'il y avait quelque chose sur des personnes, ce qui est complètement absurde. Si je ne me trompe pas, le "ce" vient de cela. En disant "sur ce", on laisse la situation actuelle en suspend pour passer à autre chose. Bref, tout ce paragraphe pour dire que c'est "sur ce"] le chef quitta le feu et invita ses deux camarades de camps à faire de même. Ils se levèrent et chacun se dirigea vers son cabanon.

-Tu risques de ne plus avoir la vie tranquille mon ami, commença Noyel. Mais après tout, c’est ce que tu as toujours voulu, conclut-il en ricanant.


Le lendemain après-midi, Jiro sortit enfin de sa maisonnée et fut intrigué par le nombre de personnes se trouvant au petit port du village et s’y rendit hâtivement. [On fait mieux comme formulation, tu en conviendras. Plutôt que de mettre "et", enchaîne sur une nouvelle phrase en plaçant un point. Ce sera plus court mais mieux tourné. Sinon, et ce serait même peut-être mieux, reformule] Quand il arriva, tous les regards furent fixés sur lui. [On est dans l'action donc passé simple] Tous les habitants du village s’étaient donnés rendez-vous. Etonné et anxieux, il avança dans la foule qui se dépêcha de lui faire de la place. Après avoir traversé cette dernière [Ça évite la répétition], il vit le vieux chef se tenir devant un bateau, sur lequel se tenaient son ami et le fils du chef. Le bateau n’était pas grand, toutefois il pouvait aisément accueillir un petit groupe de personnes. Il y avait une petite salle en bois où se trouvait le gouvernail ainsi qu’une petite table servant a déposer toutes sortes de cartes maritimes. [Je ne serai pas catégorique sur l'accord de "toute sorte" puisque les règles étant assez compliquées et floues, mais pour ma part, je l'écrirai comme ça]
Jiro ne savait pas ce qui se passait. Il regarda Noyel, celui-ci ayant un petit sourire et lui demanda : [Si tu souhaites garder cette tournure le "et" est à enlever]

-Qu’est ce qui passe ? Vous partez ?
-Nous partons, répliqua son ami.
-Nous ? Questionna le jeune Hunter.
-Tu viens avec nous, je t’expliquerais pourquoi une fois partis.
-Mais attend ! Pourquoi je dois partir maintenant ?
-Il ne serait pas temps que tu vives ta propre aventure ? Questionna Noyel avec un clin d’œil. Comme si tu allais te contenter de rester sur cette île toute ta vie !

Il ne savait pas quoi dire ou même quoi faire. Certes il avait toujours eu envie de partir mais c’était si soudain !
Le chef prit alors la parole. Il lui expliqua que tout le monde sait que depuis toujours ses regards ne se portaient que vers l’horizon et qu’il avait enfin la possibilité de partir. [La formulation est assez bancale (+ fautes). Sans changer grand chose (quoique), je te propose : "Il lui expliqua que tous savait depuis longtemps qu'il ne portait ses regards qu'en direction de l'horizon. Et par conséquent, aujourd'hui pour la première fois, il avait enfin la possibilité de partir". Tu l'arrangeras à ta façon mais je te donne une base sur laquelle repartir : coupes ta phrase en deux. Sinon c'est assez ardu à formuler] « Il est un temps où un homme doit savoir aller de l’avant et ne pas avoir peur du monde qui l’entoure ». Jiro baissa la tête et se remémora ses meilleurs moments passés dans ce village et sur cette île. Ses cheveux empêchaient de voir ses yeux néanmoins, des larmes se mirent à couler sur ses joues et tombèrent, dans un rythme irrégulier, au sol.
Ensuite, il avança et sauta sur le navire. Il se redressa avant de se retourner pour enfin laisser apparaître au grand jour son visage ruisselant de larmes, accompagné d’un large sourire. Tous les habitants du village lâchèrent également quelques larmes, tout comme le chef qui ne put s’empêcher de pleurer.
C’est alors qu’Amack commença à défaire la corde raccordant l’embarcation au port. Tandis que le bateau avançait lentement sur l’eau, Jiro effectuait de grands signes [Il y en a plusieurs] vers son village, tout en criant : « Au revoir tout le monde ! A bientôt ! Je reviendrais ! ». Les villageois lui souhaitèrent, en réponse, un bon voyage et lui demandèrent de bien faire attention à lui.
Le chef sécha ses larmes et regarda le navire qui se trouvait, à présent, sur l’horizon. Ce sourire l’avait marqué à vie. « Ce chenapan, pensa-t-il, il a fallu qu’il grandisse aussi vite. Surtout vis ta vie pleinement mon grand ! ».
Jiro, qui se tenait debout sur le bateau, tourna une dernière fois le dos en direction de son île. Le vent caressait sa chevelure brune et le soleil illuminait son visage.

« Au revoir…Yokiriki »


Environ une heure plus tard, tandis que l’embarcation avançait à toute allure, Noyel le rejoignit sur le petit pont du navire et il l’interpella. [Mouais ... Ça fait un peu trop. Je te conseillerai de mettre "il l'interpella" dans une phrase indépendante de la première. Ou alors de mettre un truc du genre "à partir duquel il l'interpella" histoire de lier les deux actions par une enchaînement logique]

-Il est temps que je t’explique tout ça maintenant. Nous nous rendons à la ville portuaire d’Egée, sur le continent Aquaria. Là-bas nous allons te confier à quelqu’un.
-Je croyais partir à l’aventure ? rétorqua alors Jiro.
-Tu pourras mais seulement après quelques leçons.
-Leçons ?
-La personne que nous allons voir t’enseignera l’art de maitriser la Force. C’est aussi quelqu’un de très fort. Mais ça tu le verras sans doute plus tard.
-Je suis parti pour vivre mon aventure ! Je ne vais pas attendre qu’on m’apprenne quoi que ce soit ! répliqua le jeune homme d’un ton colérique.

Noyel perdait peu à peu patience. Il adorait son ami mais il avouait aussi qu’il était très enquiquinent comme garçon. Alors qu’il allait lui répondre, Amack prit la parole pour tenter de résonner le jeune homme :

-Si tu n’as pas un minimum de connaissance sur la Force, ton aventure pourrait bien se finir plus vite que prévu Jiro.
-Et pourquoi ?
-Simplement parce que tu peux tomber contre des adversaires maitrisant également la Force. Tu sais, il y a des Hunters de partout dans ce monde et tous ne sont pas forcément des gens bien. Il est même probable que tu tombes contre des personnes non-Hunters mais qui contrôlent la Force ! Ce monde est vaste. !

Jiro se sentait soudainement idiot. Il remarqua que son comportement était digne d’un gamin jamais content. Il prit sur lui, même si ça ne l’enchantait pas vraiment, et accepta de s’en remettre à l’apprentissage d’un maître.

Le lendemain matin, aux premiers rayons du soleil, Amack avertit ses deux compagnons que le port d’Egée était en vue. A l’horizon, on ne voyait plus désormais que le continent terrestre. Jiro était impressionné car il n’avait jamais vu un morceau de terre, ou quoi que ce soit d’autre d’ailleurs, être plus grand que son île. Cela lui faisait peur mais son sentiment d’excitation pour l’aventure était toutefois plus grand.
Au fur et à mesure que le navire se rapprochait des côtes, Jiro apercevait la ville plus en détails. Cette ville s’emblait être très étendue depuis la mer. Le port était vraiment très grand. Un haut phare en cylindre ["Cylindrique" ne serait-il pas mieux ?] se trouvait à son entrée. Des centaines de navires de toutes tailles s’y trouver [Pas d'infinitif. A conjuguer] , [Espace en trop] tous plus beaux les uns que les autres aux yeux du jeune garçon. La majorité des bâtiments de la ville étaient apparemment construits en pierre.
La ville [Répétition] semblait très active. Une fois arrivés au port, [Ce sont les les 3 compagnons qui arrivent] et une fois le navire amarré, les trois compagnons découvrirent tout un tas de monde se bousculant sur les quais. Il s’agissait d’une véritable guerre entre marchants. Dire lequel avait le plus de clients était impossible mais tous usaient, de toute leurs force, de leurs cordes vocales pour ameuter les acheteurs potentiels. De plus, l’odeur forte du poisson était omni présente ["omniprésente" s'écrit en un seul mot. A corriger] mais cela ne semblait pas déranger Jiro.

-Maintenant, va falloir le trouver ! dit alors Noyel.
-D’après le vieux, c’est aussi un vendeur sur ces quais, informa Amack.
-Alors cherchons !

Ils partirent alors à la recherche de ce fameux maître de la Force. Ils tentèrent de se faufiler vers chaque marchand bien que, parfois, ils étaient très vite réexpédié de là où ils venaient. Le trouver n’allait pas être une partie de plaisir.
Après des heures passées à cherché [Infinitif. A corriger] cet homme dans cette foule en délire, les quais commencèrent à se vider. Totalement démotivés et fatigués, les trois compagnons se dirigèrent vers un stand de poissons assez sale. Il se trouvait presque à l’ [espace en trop] opposé d’où était amarré le navire. Le stand était très modeste, avec peu de poissons, toutefois Jiro fut frappé par la qualité et la fraîcheur apparente de ces poissons. Il y avait également, derrière ce présentoir, une table de travail ou l’on pouvait voir du sang séché par le soleil et des poubelles où se trouvaient tous les résidus tel que les os [Pourquoi ne pas dire des arrêtes ?] ou encore les têtes de poissons. Des poissons entiers ou prêts à être cuisiner était présentés.
Soudain, un homme, avec des dreadlocks et une barbe mal rasée de trois jours, sorti de derrières les détritus. Il portait un débardeur totalement tâché, un pantalon léger servant sans doute pour son travail ainsi que de simples sandales. Il tenait dans sa main droite une cigarette à moitié consumée. Il prit alors la parole, après avoir tiré une latte sur sa cigarette :

-J’ai bien cru ne jamais vous voir ! Souffla-t-il d’une voix tranquille. Je sais que c’est le vieux qui vous envoie et j’imagine que c’est pour toi, dit-il en pointant du doigt Jiro.


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