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 Sujet du message: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 5 Juin 2011 19:17 
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Salut à tous. Comme vous le voyez, j’ai décidé de créer une autre fic, elle m’aura donné du fil à retordre celle-là. Je tiens à remercier trois personnes qui m’ont vraiment aidé : je leurs est demandé des conseils et ils m’ont très bien aidé de par leurs remarques et leurs encouragements, alors GRAND MERCI à Kaiko Duvent(grâce a toi j'ai pu donner une approche différente a la fic^^), Shanji21(merci de tes encouragements et conseils) et Phénix Dragoon(je compte sur toi pour mes erreurs^^).

Chapitre 1:

Le soleil couchant illumina de ses dernières lumières le village de Yokiriki, village situé sur une île infesté de redoutables créatures, quelque part sur un vaste océan. Ce village était petit. En effet on y trouvait seulement quelque marchands étalant leurs produits sur des bancs de pailles tel que l’armurier, le forgeron (obligatoire sur une île dangereuse comme celle-ci), ou encore la poissonnière. Ce village était surélevé par rapport au niveau de la mer grâce à des installations en bois et se laissait donc envouter par la beauté de l’océan, de par les va et vient des vagues, par la blancheur rayonnante de l’écume et par le clapotis mélodieux de l’eau sur le bois.
L’échange était la principale source de revenu du village. Toutes sortes de navires marchands, étranger au village, y faisaient halte.
Le chef du village était assis sur sa chaise, comme à son habitude et fidèle au poste, à scruter le vaste océan. il était toujours d'une grande sagesse, malgré son grand âge, et il était vêtu d'un simple habit de toile. Le vent lui caressait son visage terni, et ainsi il se sentait bien. Le calme régnait en maitre absolu. Mais c’était le calme avant la tempête. Un homme d’une trentaine d’année accouru vers le chef tout en s’égosillant pour capter son attention. Il traversa la quasi-totalité du village pour finir à genoux, exténué par la course qu’il venait de faire, aux pieds du chef. Ce dernier, étonné demanda à son villageois ce qui pouvait bien le mettre dans un tel état.
-Nous venons de recevoir un émissaire du camp des Hunter…dit-il rapidement.
-Et que se passe-t-il là-bas ? demanda activement le vieux sage.
-Le camp…il est…attaqué par une garnison de Carnivores, des Jasses!!!
-Quoi ??? Mais le camp était protégé par des gardes, non ??
-Apparemment, ils ont servi d’apéro aux Jasses.
Le chef ne savait plus quoi faire. De grosses gouttes de sueurs apparaissaient sur son front ridé. Il était perdu. Il demanda alors la situation au camp et d’après le villageois, les Hunter se seraient réfugier dans le labyrinthe des sentinelles de Pierres dans les montagnes.
-Mais ils n’avaient pas d’armes sur eux ? demanda le chef. Ils auraient pu s’en débarrassaient, je les connais bien.
-Le truc, c’est qu’ils avaient confié leurs armes au forgeron du village qui doit être dans son atelier derrière le village.
-Malédiction.
-Le camp n’est pas si loin, si nous leurs apportons les armes peut-être…commença le villageois.
-Nous n’arriverons jamais à temps avec tout ce qu’il y aurait a transporté, coupa le chef. Les jasses ne sont pas intelligent mais leurs odorats leurs permettra de les retrouver en moins de 2 heures. Et nous le temps de préparer une charrette et d’arriver au labyrinthe nous mettrions plus de 2 heures, et en plus il n’y a qu’une entrée pour ce labyrinthe, il constitue leur ultime défense en cas de gros problème. De plus, une seule entrée veut dire rencontre obligatoire avec ces bêtes.

La nuit à présent tombé, plus loin du village, aux portes de ce dernier, deux hommes montaient la garde en effectuant des rondes. Ces derniers restaient vigilent à n’importe quel bruit autour d’eux. Mais soudain ils perçurent un bruit des feuillages autour d’eux.
-Qui va là ?? Cria l’un des gardes en s’approchant des buissons.
Lorsque le garde arriva devant les feuillages, il vit un petit écureuil sortir, apeuré. Le garde expira un grand coup tout en pensant : « Ce n’est qu’un écureuil ! ». Il reparti effectuer sa ronde accompagné de l’autre garde. Mais ils entendirent un autre bruit provenant du même endroit. Le garde, ayant perdu patiente s’avança d’un pas rapide vers les buissons. Arrivé aux buissons, il décida de se faufiler dans la nature. Malheureusement pour lui, à peine il mit un pied dans les buissons, une corde s’attacha fermement à son pied et le souleva. Il était à présent suspendu à un arbre devant le regard incompréhensif de son ami.
-A toi maintenant, dit une voix tapis dans l’ombre.
-Hein ??? demanda le garde restant.
-Derrière toi ! Cria l’autre.

Le chef ne savait plus quoi faire, son vieil âge ne lui permettait plus les prouesses de ses jeunes années. Le villageois semblait également perdu, son regard traduisait une certaine pitié. Soudain, un homme d’une carrure très imposante se présenta devant le chef et le villageois. Il regarda le chef et lui annonça :
-Nous devons envoyer une équipe de secours, père !
-Qui mettrons nous dans cette équipe ? Des villageois ? C’est hors de question !
Le fils du chef avait l’air autant désemparé que l’était son père. À présent tous les habitants du village étaient réunis et discutaient sur telle ou telle décision à prendre. Le chef ne pouvait conserver un brin de calme à cause de tout ces gens en folie. Il s’assit alors sur une caisse et s’appuya la tête contre ses mains. Que faire ?
C’est alors que vint un homme muni de côte de maille et d’armes. Il demanda l’attention de tous les villageois. Le village mit quelque minute avant de redevenir calme et l’écouta. Ce dernier annonça que quelqu’un l’avait piégé, lui et son compagnon, et avait ensuite ouvert les porte du village. D’après le garde, il aurait emporté les armes et certain objet de son compagnon et se serait diriger vers les montagnes. Le chef se précipita sur le garde, et le questionna :
-A quoi ressemblait-il ?
- Aucun de nous ne le sait chef, répondit le garde en baissant la tête.
Le chef regarda tout autour de lui et semblait chercher quelque chose.
-Père ?
-Ce chenapan ! dit le vieux chef. Il m’étonnera toujours !

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 5 Juin 2011 20:05 
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Une partie de mon MP avant la création de la fic a écrit:
Niveau récit: L'histoire semble attrayante, mais une chose me chiffonne: je n'arrive pas à cerner l'histoire avec seulement l'extrait que tu m'a fourni.

Niveau écriture: j'ai vu pas mal de petite fautes de conjugaison. Heureusement pour toi, elle ne coupe pas le récit. J'ai aussi vu que tu répétait souvent les même noms, et que tu plaçais des mots qui n'avait aucune raisons d'être là.

Bilan: Ca m'a l'air d'être une fanfic plutôt pas mal, mais je pourrait t'en dire plus si j'avais un résumé, et non un extrait.


Tel fut ma conclusion quand je l'ai lu la première fois. Maintenant que tu me demande de faire la correction (On va tout de même demander à Silk de passer derrière moi^^), je dois ajouter plusieurs choses:

-"Ce village était petit. En effet on y trouvé seulement quelque marchands étalant leurs produits sur des bancs de pailles tel que l’armurerie, le forgeron (obligatoire sur une île dangereuse comme celle-ci), ou encore la poissonnière."
Le premier truc que j'ai à dire dans cet extrait, c'est ça:
[...]On y trouvait[...]
ensuite, il y a ça:
[...]tel que l'armurier, le forgeron[...]ou encore la poissonnière.[...]
C'est soit l'armurerie, la forge ou la poissonnerie; l'armurier, le forgeron ou la poissonnière, mais certainement pas un mix des deux.

-"Toute sorte de navire marchand étranger au village y faisait alte."
J'aurai plutôt mis ça, moi:
Toutes sortes de navires marchands, étranger au village, y faisaient halte

-"Le chef du village, petit vieux d’une grande sagesse, muni d’un accoutrement simple en toile, toujours assis sur une chaise, scrutait le vaste océan se présentant à lui."
Je te l'ai déjà dit, il me semble: c'est bien beau de vouloir mettre des virgules pour aérer le texte. Mais si il y en a trop, ça l'alourdit. Je crois que, comme ça, c'est mieux. Après, tu fais ce que tu veux:
Le chef du village était assis sur sa chaise, comme à son habitude et fidèle au poste, à scruter le vaste océan. il était toujours d'une grande sagesse, malgré son grand âge, et il était vêtu d'un simple habit de toile.

-"A toi maintenant, dit une vois tapis dans l’ombre."
Corrige moi cette faute ATROCE que je vois dans cette phrase, avant que je me mette à hurler de toute la puissance de ma voix!!

-"A présent tous les habitant du village étaient réunis et discuté sur tel ou telle décision à prendre. Le chef ne pouvait conserver un brin de calme à cause de cette foule en folie."
Met plutôt ça:
À présent, tous les habitants du village étaient réunis et discutaient sur telle ou telle décision à prendre. Le chef ne pouvait conserver un brin de calme à cause de tous ces gens en folie

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Sam 18 Juin 2011 14:01 
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Localisation: En train d'être acclamé par une foule en délire!
Voilà le second chapitre, j’espère qu’il vous plaira et n’hésitait pas à commenter.

Chapitre 2 :

Une silhouette passa à toute vitesse sur les terres, désolées et obscures, de l’île. On ne pouvait distinguer qui était cette silhouette mais on pouvait en discerner un homme, ou une femme, d’une assez grande taille. Elle continua sa course, passant rivière et pont suspendu. Au bout d’un moment, un rayon de lumière éclairci l’obscurité ambiante, laissant apparaitre, aux yeux du personnage, la grande montagne. La silhouette laissa place à un grand garçon dont on pouvait juste deviner des yeux et des cheveux sombres. Ce dernier scruta la montagne et décida de prendre un chemin tracé au sol. Après l’avoir suivi pendant une dizaine de minutes, le jeune homme s’arrêta et se baissa afin d’observer des traces au sol. « Ce sont bien les marques des jasses, pensa-t-il ». Il se leva et marcha tout en suivant les traces de ces bêtes. Il arriva à l’entrée d’une grotte. Il décida alors de se poster dans l’ombre, caché par des buissons. « D’après ce que m’avait dit le vieux, l’entrée du labyrinthe se trouve plus haut. Il va falloir que je prenne cette grotte et que je trouve un moyen plus rapide que le chemin habituelle, raisonna-t-il ».
Après avoir observé les alentours, il sorti de sa cachette et entra dans la grotte. Mais à peine entré, il entendit un bruit derrière lui. Il se retourna et regarda l’entrée du tunnel. Il vit des petites pierres tomber les unes après les autres jusqu’à ce que cela s’arrête. Son cœur battait très fort et il ne savait pas ce qu’il pouvait bien arriver maintenant. Soudain, la lune illumina l’entrée de la grotte et révéla l’ombre de ce qui était en cause du déboulement des pierres. « Je crois que j’ai tout intérêt à… courir très vite !!! ». Il se retourna et entama sa course lorsqu’un jasse fit son apparition. Ces bêtes, courant à l'aide de deux puissantes pattes, soutenant un corps massif et musclé auquel étaient rattachés deux pattes atrophiées en guise de mains possédaient également une machoire à toute épreuve. Le jasse poursuivi alors le jeune garçon. Ce dernier courait le plus vite possible afin d’échapper à cette bête. Il sorti du tunnel et, une fois au milieu des arbres, tourna dans tous les sens pour éviter les attaques sautées de l’animal. En un coup de mâchoire, il était capable de couper un arbre qui se trouvait au milieu.
La poursuite continua et le jeune homme remarqua qu’il s’éloignait de plus en plus de la falaise où il devait trouver un moyen de grimper. Cette fois ci, il décida de courir tout droit. Le jasse le suivait et même le rattrapait. Quand ce dernier fut proche de pouvoir déchiqueter sa proie, le garçon s’accrocha à un arbre sur le côté avec ses deux mains. Il fit le tour de l’arbre et donna un coup des deux pieds dans le ventre de l’animal. Ce dernier fut projeté contre un autre arbre et avant qu’il n'ait le temps de se relever, le jeune homme dégaina son épée et la planta dans la mâchoire du monstre, la transperçant de part en part. Il retira son arme et s’assura de la mort de la bête en lui brisant sa colonne vertébrale, à l’aide de grosses pierres. Il scruta les alentours pour voir s’il n’y avait plus de jasses puis il marcha en direction de la grotte. De retour, il regarda la falaise et décida d’escalader afin d’éviter de prendre la route principal (déjà qu’affronter un jasse a failli lui couté la peau alors plusieurs !).

Pendant ce temps, dans le camp se situant au cœur du labyrinthe, les Hunters s’activaient à défendre leur base. Ils barricadaient au mieux la porte et taillaient des bâtons de bois afin de les aiguiser pour qu’ils soient capables de pénétrer la chair. Ils construisaient également des arcs primaires, mais constituant tout de même une première défense. Un homme, muni d’une simple armure interpela un des gardes, posté sur une des tours de guets.
- Alors, comment avancent les jasses ?
- D’après le récent rapport de l’équipe d’éclaireurs, ils sont totalement perdus dans le labyrinthe, capitaine.
En effet la base pouvait communiquer avec ses troupes grâce à des petits oiseux envoyés à partir d’autre tour de guet à l’intérieur du labyrinthe.
- De quand date ce rapport ? demanda le capitaine.
- D’un peu plus de 30 minutes.
- Bizarre. En trente minutes, il aurait dû nous donner d’autre information, par exemple, leurs positions dans le labyrinthe, se dit le capitaine soucieux.
Le capitaine décida de grimper à l’une des tours et observa, à l’aide d’une longue vue tirée de son sac, l’ensemble du labyrinthe. Il scruta les alentours des autres tours pour voir si tout se passait bien. Rien d’anormal. Mais soudain, l’appel d’un des hunters interpellant le capitaine sema très vite la panique et la précipitation dans les rangs.
- Un des notre vient de revenir du labyrinthe capitaine ! Il est à l’article de la mort !
- Quoi ? demanda le capitaine.
Ce dernier descendit de la tour à toute vitesse et couru se placer à côté du corps de son camarade.
- Que s’est-il passé ? lui demanda-t-il
- Les jasses…sont plus nombreux que prévu…Ils ont attaqué les tours !
- Mais comment ? Tout a l’air d’aller bien d’ici, je ne comprends pas !
- Ils…nous ont attaqués depuis la montagne…dit-il en toussotant.
- Depuis la montagne ? Mais ? Ils ne devraient pas pouvoir y accéder a moins…
- De trouver le passage qui y conduit, coupa le second hunter aux côté du capitaine. Une chance qu’ils ne peuvent pas attaquer le camp par la montagne.
Soudain, Un des guets informa toute la base de l’arrivé au bout du chemin des jasses. La panique totale régna dans le campement quand soudain le capitaine s’éleva parmi les hommes et parla pour remotiver ses troupes. Il appela au courage, à la détermination sans faille que doit avoir un hunter digne de ce nom, à la volonté de vivre pour eux et pour le village. Il y eut un long silence puis tous poussèrent un grand cri afin de se redonner courage. Chacun d’entre eux prit une arme et se tenu prêt à l’affrontement à présent inévitable. Malgré leur petit nombre, une vingtaine seulement, tous attendait avec impatience le moment clef de leur destin.

L’attente paraissait interminable. Les seuls sons qu’ils entendaient étaient le bruit des pas de ces bêtes ainsi que leurs rugissements. Mais, au bout d’un moment, la porte du camp trembla et les tours informèrent alors que les bêtes commençaient à tenter de détruire la porte. Grâce à une force physique impressionnante, ils arrivèrent en quelques minutes à trouer la porte et commencèrent à y faufiler leurs têtes. C’est alors que les hunters décidèrent de commencer à tirer des rafales de flèches dans les trous afin de toucher ces animaux.
La bataille du labyrinthe des sentinelles de pierres commença.


EDIT: Ne t'inquiète pas Phénix (si tu permet^^) mon personnage a bien des objectifs, mais tu les verras plus tard, peut-être dans le prochain chapitre ou encore après, va savoir ;)
Et oui mon amélioration est du a ces trois personnes, du moins pour cette fic: Kaïko, Shanji et Phénix

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Dernière édition par Gintoots le Sam 18 Juin 2011 16:26, édité 3 fois.

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Sam 18 Juin 2011 14:23 
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Localisation: Au royaume des boulets
Désolé, je devais commenter Lundi mais j'avais oublié :Chapeau de paille goute:
Bref je ne peux pour l'instant pas dire si j'aime ou pas vu que tu n'en ai qu'au prologue pour moi.
C'est un autre style que tu nous présente. Un style qui fait plus roman et développé que pour la fan fic des Crazy Pirates.
Tu fais moins de fautes et ceci est un plus^^
Bonne continuation!

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Sam 18 Juin 2011 16:03 
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Localisation: Sur la Mer des Stratagème, occupé à boire du saké en dévalisant les villages de pauvres payans
c'est un p'tit peu grâce à moi (et à Shanji21 et Kaïko, je suppose) qu'il fait moins de faute, mais c'est vrai qu'il s'est beaucoup amélioré depuis le début des Crazy Pirate.
Mais je suis tout de même curieux de savoir le but de l'histoire, car même moi j'en sais rien. J'espère que t'a quand même un truc de concret, Samar! (C'est mieux que de dire Venfl, ça le fait plus^^)

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Sam 18 Juin 2011 17:52 
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Localisation: Wandering in labyrinths of coral caves...
Bon, ça fait un petit bout de temps que je n'avais plus lu de fics, alors j'ai décidé d'en lire une qui vient de débuter. Il y avait donc la tienne, Semar (pour la faire à la Phénix), et le nom m'attirait déjà : "Le Monde des Hunters". Un titre qui sonne bien, clair, concis, bref je décide donc de m'engager dans la lecture.
Autant te dire tout de suite que je n'ait pas lu la fiction des Crazy Pirates, donc je ne peux te dire si tu t'es amélioré. Mais d'après ce que disent mes voisins du dessus il n'y a pas de doute, je leur fais confiance. Et cela se comprend, ce n'est pas dès la première fic que l'on écrit quelque chose d'intéressant, de qualité et de créer un style. Donc je trouve intéressant que tu en fasses une deuxième, dans la mesure où cela te permet de repartir sur de bonnes bases! ;)

Après la lecture de tes deux premiers chapitres voilà ce que je peux en dire :

- Tu écris une fic avec de l'action, les choses bougent.
- L'univers a l'air riche en faune et flore (avec les jasses déjà)
- Un nouveau style puisque l'on parle de chasseurs et non de pirates (du moins pour l'instant)
- Du suspens -> on ne connaît rien du personnage principal, même pas son identité
- Des fautes par-ci, par-là. Y en a peu mais quand y en a elles sont grosses (des fautes que tu peux donc éviter) :s
- J'ai l'impression que tu veux trop en faire, je m'explique : les actions s'enchaînent, ok. Mais un peu trop rapidement. Surtout que tu fais de longues phrases pour décrire des actions rapides, à moins que tu veuilles faire des hyperboles. X)
Donc calme un peu le jeu, prend le temps de poser ce que tu écris, décris plus le décor, ce qui permettra d'en savoir plus sur l'univers et de s'immerger dans l'histoire mais aussi pour que le lecteur puisse souffler un peu. Et aère ton texte aussi, ce sera plus agréable pour nos yeux.

Je te souhaite une bonne continuation, améliore-toi, et prend du plaisir à faire ce que tu fais. Je crois que c'est ça le plus important! ;)
Voili, voilou!

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Sam 18 Juin 2011 18:24 
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Je viens de lire tes deux premiers chapitres... C' est pas mal du tout ! :Luffy hilare:
Par contre, je n' ai pas bien compris un détail : c' est dans le mon de OP avec FDD et tout ça ou pas ?...

Enfin bon, ça s' annonce très bien, avec un héros mystérieux, et des bestioles bizarres ! :Zoro nargueur:
Vite, la suite ! :Ussop gloups:

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Mar 28 Juin 2011 18:53 
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Localisation: En train d'être acclamé par une foule en délire!
Alors Melcrock, il s’agit d’un tout autre monde !! Révélation !!!!
Je voulais faire quelque chose de nouveau par rapport à mon ancienne fic, par rapport au monde, c’est un moyen de vraiment n’avoir « aucune limite » en quelque sorte. Cela me laisse imaginer tout ce monde nouveau, mais j’ai gardé un aspect de One Piece : les îles. C’est-à-dire que j’adore l’univers marin donc je me suis dit : ça je garde !!
Citation:
J'ai l'impression que tu veux trop en faire, je m'explique : les actions s'enchaînent, ok. Mais un peu trop rapidement. Surtout que tu fais de longues phrases pour décrire des actions rapides, à moins que tu veuilles faire des hyperboles. X)
Donc calme un peu le jeu, prend le temps de poser ce que tu écris, décris plus le décor, ce qui permettra d'en savoir plus sur l'univers et de s'immerger dans l'histoire mais aussi pour que le lecteur puisse souffler un peu. Et aère ton texte aussi, ce sera plus agréable pour nos yeux.
Oui je pense aussi ! Disons que j’ai cette volonté d’en mettre plein la vue, que je fais peut être mal par rapport à ce que tu dis, en gros je fais des longues phrases pour rien. T'inquiète pas c'est noté et j’essaierai d’améliorer ce point-là du mieux que je peux. Mais, pour le décor, je ne le décrit pas volontairement pour une raison : il fait nuit au moment de la fic, donc je suis parti du principe que le personnage ne voyait tout simplement pas ce qui l’entourait, après je le redis, c’est vrai qu’il faut que je fasse un effort de description, du moins quand il fera jour. :Luffy hilare: :Luffy hilare: :Luffy hilare:
Sinon juste pour info: je ne sait pas dutout quand sortira le prochain chapitre que soit de cette fic ou de l'autre (les crazy) car comme je révise encore mon bac francais et qu'après c'est les vacances, et que j'aimerais me reposer, je pense que ce sera a la rentrée, mais peut etre que je serais pris d'un élan littéraire qui sait^^

Ben non, faut pas pleurer, mes très chers :Ussop gloups: :Ussop gloups: :Luffy hilare: :Luffy hilare:

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Mer 29 Juin 2011 12:52 
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Alors, j'ai relu le premier chapitre et j'ai "découvert" le second ^^ je trouve que ça commence vraiment très bien ^^
Tu commencent déjà à mettre en place ton univers avec ses créatures, ses décors, et c'est très agréable ^^
Par contre, pour le passage où tu décrits "la silhouette", quelque chose m'a un peu gênée (un tout petit peu, presque rien ^^") ... c'est peut être parce que tu répète souvent le même mot "silhouette"... (tu vois, même quand j'écris ce post, en répétant deux fois le mot, ça fait gênant !!) Pour arranger ça, pense à varier avec des synonymes ^^ ça rendra le texte plus agréable !
Et bonne continuation !! ♫♫♫ Kaïko


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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 17 Juil 2011 21:05 
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Chapitre 3:


Le campement était en ébullition. Les Jasses continuaient à attaquer la porte malgré les rafales de flèches des Hunters. Ces derniers voyaient mal comment ils pourraient s’en sortir une fois que ces bêtes briseront la porte pour envahir le camp. Dès que les jasses situés autour des trous de la porte étaient éliminé, les hunters tentaient de la recouvrir de planches de bois, pour combler les trous. Mais en vain. Ces bêtes pouvaient déjà entrer leurs têtes dans les trous et chaque planches les approchant étaient détruites grâce à leurs puissantes mâchoires. La peur commençait à envahir les Hunters qui avaient l’air épuisé. Leurs actions étaient plus confuses malgré la profusion d’ordres du capitaine de la base. Alors que la porte allait bientôt céder, ce dernier avança vers la porte et souri. Puis, la porte tomba face à la puissance des jasses. Ces derniers chargèrent alors les Hunters. Mais ils s’arrêtèrent brusquement et étaient comme paralysés. Le capitaine se tenait devant eux, fièrement.

-Alors chères bêtes, vous ne voulaient pas me laisser passer ? demanda-t-il aux jasses tout en leurs adressant un regard perçant.

L’atmosphère était devenue très lourde. Sur ces mots, les jasses obéirent et laissèrent passer le capitaine Hunter. Les autres Hunter ne comprenaient pas les agissements de leur capitaine quand soudain, ce dernier, qui était à quelques mètres en dehors de la base, dit :
-Désolé mais mes recherches ici n’ont menés a rien, je n’ai absolument rien trouvé. J’ai cherché pendant deux ans mais aucune trace.
-Mais que dite vous ? Vous êtes un Hunter Biologiste comme nous, vous avez-vous-même crée cette équipe de Hunter pour les recherches, répondit un des Hunter.
-C’est vrai mais, à présent, vous ne me servez plus à rien ! Ajouta le capitaine. Donc pour faire simple, votre mort m’est totalement égale !
-Vous…non, ce n’est pas possible !
-Je vous aurais bien gardé avec moi, mais vous êtes très faibles comme Hunter, trop faible !
En réponse à ces mots, un des Hunter pris en main sa lance de bois et couru vers la sortie en criant. Mais immédiatement il fut arrêté par les jasses qui bloquaient la sortie.
-Comment est-ce possible ? Les jasses…apprivoisés ? se demanda un autre Hunter.
-Les jasses reconnaissent les plus forts qu’eux, dit l’ex capitaine.

En disant cela, le capitaine retira d’une traite tous ses vêtements et il laissa apparaitre un homme avec de longs cheveux sombres et muni d’une tenue simple : un pantalon de soi noir, accompagné de bottes longues, ainsi qu’une ceinture qu’il portait en bandoulière autour du cou muni de deux couteaux l’un à côté de l’autre et de beaucoup de petites fioles dont on ignorait l’utilité. Il tourna subitement le dos au campement et commença à s’éloigner de la base sous le regard ahuri des Hunters. Mais, ces derniers n’eurent pas le temps de se poser de questions. Les jasses reprirent leur assaut et chargèrent les Hunters dans leur base. Un de ces animaux se lança sur un des hommes mais ce dernier esquiva en effectuant une roulade sur le côté tandis qu’un autre venait de se faire arracher le bras à cause d’un de ces monstre. Il cria de douleur et, alors que le jasse voulait l’achever, il fut secouru par un de ces camarades qui enfonça deux lances dans le cou du monstre. Tandis que la bête hurlait, ils purent s’enfuir aider par deux autres Hunters. La bataille faisait rage. Devant la porte, tous les Hunters archers s’étaient positionné. Ils tirèrent alors une rafale de flèche touchant de plein fouet certain jasses. Parmi ceux-là, peu d’entre eux tombèrent. D’ailleurs ils s’élancèrent sur le groupe d’archers qui eut le temps de tirer une rafale à nouveau, leur permettant de s’enfuir après avoir blessé ces monstres. Au même moment à l’arrière du campement, deux jasses affrontaient deux hunters. Les deux hommes résistaient tant bien que mal aux attaques. Puis ils tentèrent à leur tour d’attaquer. Attaque verticale. Esquive. Attaque horizontale. Estoc. Esquive. Malheureusement ces bêtes esquivaient elles aussi certaines attaques des Hunters. Puis l’une d’entre elle esquiva un dernier coup avant de croquer, de ses dents acérées, la tête d’un des deux hunters. Beaucoup de sang jailli. Le jasse déposa l’homme au sol, dans une mare de sang.

De son côté, le jeune garçon venait de terminer l’ascension de la montagne. Après le dernière effort, il s’allongea sur le dos et respira a grande bouffée. Il semblait exténué par ses efforts, mais il savait qu’il devait se relever et rejoindre au plus vite le camp des Hunters. Il entama alors sa course pour rejoindre le camp. Au bout de quelques minutes, il remarqua qu’il atteignit l’entrée du labyrinthe. Cette dernière était marquée par deux statues de pierre représentant deux gardes, munis de grands boucliers et de longues lances ainsi qu’une épaisse armure. Il n’hésita pas une seconde et s’engouffra dans le labyrinthe. Il ne connaissait pas la route menant au campement mais il entendit des hurlements d’horreur. Il décida de suivre ces cris. Il courut à toute vitesse. A gauche. A droite. De nouveau à droite. Cul de sac ! Retour. A gauche. Il arriva à un croisement. Il prit à gauche et tomba à nouveau sur un cul de sac. Il revint sur ses pas et pris à droite. Il passa un pont suspendu très peu fiable. « Je dois me dépêcher, il se pourrait que j’arrive trop tard ! » se disait le garçon. Il continua de tourner, de sauter des espaces vides, de revenir sur ses pas et de traverser des ponts. Au bout d’un long moment, il aperçut la fin du labyrinthe. Il trouva la force de courir encore plus rapidement pour atteindre la sortie. Une fois sorti, il vit environ une dizaine de jasses en train de le dévisager. Le jeune homme fut soudain prit de panique. Il était paralysé alors qu’une de ces bêtes couru vers lui. Tandis que ce dernier ouvrait pleinement sa puissante mâchoire, le garçon eut au dernier moment le réflexe de tirer son épée et de l’insérer au plus profond de la gorge de la bête. Au bout de quelque seconde du sang fit son apparition sur le bras du jeune homme. Il semblait souffrir. Il s’appuya sur la mâchoire du monstre pour en extirper son bras et son épée. Puis il tomba aux pieds d’une des statues de sentinelle et observa son bras. Il y avait beaucoup de sang et également trois plaies assez profondes. « Les dents…j’ai dû m’empaler sur ses dents.. » pensa le garçon tout en serrant les dents, « Je ne pourrai sans doute pas me servir de mon bras avant un bon moment je crois ». Il regarda les jasses en train d’examiner la carcasse de leur homologue. Les jasses tournèrent violement leurs têtes vers le jeune homme et lui lancèrent un regard glacial, lui montrant sa propre mort. « Je ne vais quand même pas mourir...non, je suis trop jeune merde ! » pensa-t-il les larmes aux yeux. Ils approchèrent lentement comme pour lui insuffler encore plus de peur.

-Oï ! Les animaux ! dit une voix dans l’ombre.
Les bêtes se retournèrent et observèrent l’ombre approchant.
-Vous ne devriez pas vous en prendre à lui, ça risque de m’énerver ! Dit alors l’ombre dont on discernait seulement une voix bien masculine.
-Mais tu es…commença le jeune homme blessé.
Les jasses s’élancèrent alors sur le blessé pour le dévorer. Mais soudain l’atmosphère devenue très lourde et les bêtes s’effondrèrent les unes après les autres.


EDIT: Melcrock c'est justement ça que je veux dévelloper. Dans Hunter X Hunter les seuls classes de Hunter que l'on connait sont les Gourmets, ceux de la liste noire et c'est tout. J'ai voulu prendre cette idée de classe et essayé de la diversifié un maximum.
Pour répondre a ta question Pick, en fait ce n'est pas le haki mais tu t'en doute je ne peux t'en dire plus^^.

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Dernière édition par Gintoots le Ven 22 Juil 2011 11:26, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Lun 18 Juil 2011 08:11 
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Chapitre captivant avec notamment la trahison du capitaine des Hunters. Je trouve ça d'ailleurs intéressant que tu fasses plusieurs classes de chasseurs. Je suppose que chaque de ces classes doivent avoir des aptitudes au combat. C'est quelque chose qui à mon avis, tu devrais développer. Notre jeune garçon (car c'est bien le personnage principal - si j'ai bien compris) alors qu'il y a une effusion de sang au village, doit lui aussi faire face aux Jasses. Mais qui est la personne à la fin? L'ex-capitaine, qui par respect par le potentiel du jeune homme, ne le tue pas? Ou un personnage bien différent de celui-ci.
D'ailleurs, l'aptitude à contrôler les monstres et les faire s'effondrer, c'est une référence au Haki?
Je ne m'attends pas à ce que tu répondes à ces questions, elles sont simplement rhétoriques. J'aime bien à vrai dire, énumérer les questions que je me pose à chaque fin de chapitre d'une fiction. Ceci dit, si tu pouvais éclairer ma lanterne pour la dernière, je n'en serais pas moins content. ^^

Bon, je vais faire un copier/coller de ce chap. afin de corriger les fautes, car il y en a malheureusement :

Citation:
Chapitre 3 :


Le campement était en ébullition. Les Jasses continuaient à attaquer la porte malgré les rafales de flèches des Hunters. Ces derniers voyaient mal comment ils pourraient s’en sortir une fois que ces bêtes briseront la porte pour envahir le camp. Dès que les Jasses (nom propre) situés autour des trous de la porte étaient éliminés (s, puisqu'au pluriel), les Hunters(nom propre donc maj.) tentaient de la recouvrir de planches de bois, pour combler les trous. Mais en vain. Ces bêtes pouvaient déjà entrer leurs têtes dans les ouvertures (répétition, change de mot) et chaque planche ( pas de s : singulier!) les approchant étaient détruites grâce à leurs puissantes mâchoires. La peur commençait à envahir les Hunters qui avaient l’air épuisé. Leurs actions étaient plus confuses malgré la profusion d’ordres du capitaine de la base. Alors que la porte allait bientôt céder, ce dernier avança vers la porte et souri. Puis, la porte tomba face à la puissance des Jasses (maj puisque nom propre). Ces derniers chargèrent alors les Hunters. Mais ils s’arrêtèrent brusquement et étaient comme paralysés. Le capitaine se tenait devant eux, fièrement.

-Alors chères bêtes, vous ne voulez (présent s'accordant avec le sujet "vous") pas me laisser passer ? demanda-t-il aux Jasses (maj. puisque nom propre) tout en leurs adressant un regard perçant.

L’atmosphère était devenue très lourde. Sur ces mots, les Jasses (toujours la même chose) obéirent et laissèrent passer le capitaine Hunter. Les autres Hunters (avec un s puisque pluriel) ne comprenaient pas les agissements de leur capitaine quand soudain, ce dernier, qui était à quelques mètres en dehors de la base, dit :
-Désolé mais mes recherches ici n’ont mené à (pas d's, mais accent grave sur le à) rien, je n’ai absolument rien trouvé. J’ai cherché pendant deux ans mais aucune trace.
-Mais que dites (avec un s à dite) vous ? Vous êtes un Hunter Biologiste comme nous, vous avez-vous-même créé (avec un é puisqu'au passé) cette équipe de Hunters (il y a plusieurs Hunters dans l'équipe donc s) pour les recherches, répondit un des Hunters (même chose : Hunter s'accorde avec des).
-C’est vrai mais, à présent, vous ne me servez plus à rien ! Ajouta le capitaine. Donc pour faire simple, votre mort m’est totalement égale !
-Vous…non, ce n’est pas possible !
-Je vous aurais bien gardé avec moi, mais vous êtes très faibles comme Hunters (s puisque tu as mis un s à faibles), trop faibles (même chose ici) !
En réponse à ces mots, un des Hunters pris en main sa lance de bois et couru vers la sortie en criant. Mais immédiatement il fut arrêté par les Jasses qui bloquaient la sortie.
-Comment est-ce possible ? Les Jasses…apprivoisés ? se demanda un autre Hunter.
-Les Jasses reconnaissent ceux qui leur sont supérieurs (ce que tu as écrit n'était pas français), dit l’ex capitaine.

En disant cela, le capitaine retira d’une traite tous ses vêtements et il laissa apparaitre un homme avec de longs cheveux sombres et muni d’une tenue simple : un pantalon de soie (la soie avec un e : c'est la matière) noir, accompagné de bottes longues, ainsi qu’une ceinture qu’il portait en bandoulière autour du cou muni de deux couteaux l’un à côté de l’autre et de beaucoup de petites fioles dont on ignorait l’utilité. Il tourna subitement le dos au campement et commença à s’éloigner de la base sous le regard ahuri des Hunters. Mais, ces derniers n’eurent pas le temps de se poser de questions. Les Jasses (encore pareil) reprirent leur assaut et chargèrent les Hunters dans leur base. Un de ces animaux se lança sur un des hommes mais ce dernier esquiva en effectuant une roulade sur le côté tandis qu’un autre venait de se faire arracher le bras à cause d’un de ces monstres (s puisque pluriel). Il cria de douleur et, alors que le Jasse voulait l’achever, il fut secouru par un de ses camarades (possessif) qui enfonça deux lances dans le cou du monstre. Tandis que la bête hurlait, ils purent s’enfuir aidés (participe passé, pas infinitif donc és) par deux autres Hunters. La bataille faisait rage. Devant la porte, tous les Hunters archers s’étaient positionnés (s car on accorde avec être). Ils tirèrent alors une rafale de flèches (s car il y en plusieurs) touchant de plein fouet certains Jasses (pluriel et nom propre). Parmi ceux-là, peu d’entre eux tombèrent. D’ailleurs ils s’élancèrent sur le groupe d’archers qui eut le temps de tirer une rafale à nouveau, leur permettant de s’enfuir après avoir blessé ces monstres. Au même moment à l’arrière du campement, deux Jasses affrontaient deux Hunters (noms propres). Les deux hommes résistaient tant bien que mal aux attaques. Puis ils tentèrent à leur tour d’attaquer. Attaque verticale. Esquive. Attaque horizontale. Estoc. Esquive. Malheureusement ces bêtes esquivaient elles aussi certaines attaques des Hunters. Puis l’une d’entre elle esquiva un dernier coup avant de croquer, de ses dents acérées, la tête d’un des deux Hunters. Beaucoup de sang jailli. Le Jasse (maj puisque ce sont des nom propres) déposa l’homme au sol, dans une mare de sang.

De son côté, le jeune garçon venait de terminer l’ascension de la montagne. Après le dernier (ce n'est pas du féminin) effort, il s’allongea sur le dos et respira à grande bouffée. Il semblait exténué par ses multiples acrobaties (évitent les répétitions), mais il savait qu’il devait se relever et rejoindre au plus vite le camp des Hunters. Il entama alors sa course pour rejoindre le camp. Au bout de quelques minutes, il remarqua qu’il atteignit l’entrée du labyrinthe. Cette dernière était marquée par deux statues de pierre représentant deux gardes, munis de grands boucliers et de longues lances ainsi qu’une épaisse armure. Il n’hésita pas une seconde et s’engouffra dans le labyrinthe. Il ne connaissait pas la route menant au campement mais il entendit des hurlements d’horreur. Il décida de suivre ces cris. Il courut à toute vitesse. A gauche. A droite. De nouveau à droite. Cul de sac ! Retour. A gauche. Il arriva à un croisement. Il prit à gauche et tomba à nouveau sur un cul de sac. Il revint sur ses pas et pris à droite. Il passa un pont suspendu d'une fiabilité plus qu'incertaine (ce que tu as écrit ne se disait pas). « Je dois me dépêcher, il se pourrait que j’arrive trop tard ! » se disait le garçon. Il continua de tourner, de sauter des espaces vides, de revenir sur ses pas et de traverser des ponts. Au bout d’un long moment, il aperçut la fin du labyrinthe. Il trouva la force de courir encore plus rapidement pour atteindre la sortie. Une fois sorti, il vit environ une dizaine de Jasses en train de le dévisager. Le jeune homme fut soudain prit de panique. Il était paralysé alors qu’une de ces bêtes couru vers lui. Tandis que ce dernier ouvrait pleinement sa puissante mâchoire, le garçon eut au dernier moment le réflexe de tirer son épée et de l’insérer au plus profond de la gorge de la bête. Au bout de quelques secondes (il y en a plusieurs) du sang fit son apparition sur le bras du jeune homme. Il semblait souffrir. Il s’appuya sur la mâchoire du monstre pour en extirper son bras et son épée. Puis il tomba aux pieds d’une des statues de sentinelle et observa son bras. Il y avait beaucoup de sang et également trois plaies assez profondes. « Les dents…j’ai dû m’empaler sur ses dents.. » pensa le garçon tout en serrant les siennes (évitent les répétitions), « Je ne pourrai sans doute pas me servir de mon bras avant un bon moment je crois ». Il regarda les Jasses en train d’examiner la carcasse de leur homologue. Les bêtes (répétition) tournèrent violemment (deux "m") leurs têtes vers le jeune homme et lui lancèrent un regard glacial, lui montrant sa propre mort. « Je ne vais quand même pas mourir...non, je suis trop jeune merde ! » pensa-t-il les larmes aux yeux. Ils approchèrent lentement comme pour lui insuffler encore plus de peur.

-Oï ! Les animaux ! dit une voix dans l’ombre.
Les bêtes se retournèrent et observèrent l’ombre approchant.
-Vous ne devriez pas vous en prendre à lui, ça risque de m’énerver ! Dit alors l’ombre dont on discernait seulement une voix bien masculine.
-Mais tu es…commença le jeune homme blessé.
Les Jasses s’élancèrent alors sur le blessé pour le dévorer. Mais soudain l’atmosphère devenue très lourde et les bêtes s’effondrèrent les unes après les autres.


Tes principales erreurs, sont des oublis de majuscules aux nom propres 'j parle évidemment des Jasses), et de nombreux "s" que l'on ne voit pas.
Autrement mis à part quelques répétitions, tout est bien.

Voili voilou!

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Lun 18 Juil 2011 12:58 
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Un chapitre très bien, avec de la trahison, et une fin de ouf !! :Luffy hilare:
Par contre, pour cette histoire de "Hunters Biologistes", ça commence vraiment à ressembler à Hunter X Hunter, où il y a justement plusieurs types de Hunters, tels que les Hunters Gourmets... :Sandji sur le cul:

M' enfin bon, à part ça, pas de problème, donc... Vivement la suite !! :Ussop gloups:

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Sam 12 Nov 2011 18:57 
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Alors ben voilà la reprise. Et oui j’ai du mal à avoir du temps pour moi en ce moment mais je fais ce que je peux pour écrire. Soyez indulgent…En fait non ! N’hésitez à me dire ce qui va pas et tout ce que vous pensez. Ça m’aidera à me remettre dans le bain.
Sinon…Enjoy ! ^^


Chapitre 4 :



Le jeune garçon regarda alors l’homme se tenant désormais face à lui. Il devait avoir à quelque chose près, la même taille que lui. Mais malgré l’opacité de la nuit, il reconnut son sauveur :

-Noyel ! C’est bien toi ? dit le jeune homme blessé avec une voix indécise.
-Ouais ! C’est bien moi l’ami ! répondit-il de manière très décontracté. Tu as fait peur au vieux tu sais ? Rajouta-il sans se retourner.
-Ce vieux crouton met trop de temps à réfléchir et à agir ! donna-t-il en guise d’argument tout en tournant la tête sur le côté.
-Tu te mets toujours dans des situations folles…Jiro ! Souffla-t-il en se tenant d’une main la tête.
-La ferme ! T’as rien à me dire ! Répondit brutalement Jiro.
- On n’a pas le temps de se disputer maintenant alors…On y va!

Jiro senti soudainement que son ami ne rigolait pas. Il allait s’occuper sérieusement des Jasses. Noyel avait pourtant une piètre allure avec son pantalon aux genoux rapiécés, ses chaussures dépareillés qui baillaient lamentablement et sa tunique de laine à manches longues noué autour de sa taille à l’aide d’une corde. Seul son long manteau semblait relativement neuf. Mais le jeune homme blessé savait pertinemment de quoi était capable son ami. A l’idée de ce qui pouvait arriver, il ravala sa salive et se leva tant bien que mal pour suivre son ami. Ils faillaient qu’ils se hâtent au campement pour aider les éventuelles survivants. Malgré la douleur infligeait par son bras, Jiro courait du plus vite possible. Il s’inquiétait vraiment pour les Hunters. Mais seulement après deux minutes de course, un petit groupe de Jasses, composé de quatre d’entre eux, sautèrent des épaisses parois de pierres pour bloquer la route aux deux compagnons.

-Je n’est pas le temps de faire mumuse moi ! cria Noyel.

Il s’élança à toute allure vers le groupe de Jasses. Il frappa le premier qui se présenta à lui avec un uppercut dans la mâchoire. La bête fut alors propulser dans les airs mais pour peu de temps. En effet, Noyel rattrapa la queue de l’animal avec de tournoyer avec. Il heurta ainsi les trois autres bêtes qui s’écrasèrent contre les parois rocheuses couvrant les côtés. Mais ce n’était pas assez pour se défaire de ces grosses bestioles. Rapidement remis sur pieds, elles chargèrent une nouvelle fois leur opposant. Mais le jeune homme les attendait impatiemment. Il avait à présent adopté une nouvelle position. Il faisait face au Jasses tout en serrant fermement son poing droit et en étant bien sur ses appuis. Alors que ces monstres assoiffés de sang arrivèrent presque à sa hauteur, il plaça sa main gauche devant lui comme pour viser avec. Puis après quelques secondes, il se décida : il frappa droit devant lui avec son poing droit. Ce qui eut pour effet de soulever une assourdissante et puissante onde de choc qui envoya valser loin d’eux ces affreuses bêtes. Jiro regarda alors son ami d’un air ahuri. Quel était la sensation qu’il venait de sentir ? Il regarda ses mains et vit qu’il tremblait. Mais quel était cette puissance ? Alors qu’il se posait une multitude de question, son ami le sorti de sa torpeur pour qu’ils puissent continuer leur route.
Une fois le campement en vue, Jiro était stupéfait devant le spectacle qui s’offrait à lui. Le camp n’était presque plus qu’un tas de ruine. Une fois arrivé devant ce qui était la grande porte, Noyel et Jiro purent voir que le peu de Hunters qui restaient, allaient bientôt se faire tuer par les Jasses, en surnombre.

-Reste avec moi Jiro ! Ordonna alors Noyel tout en s’élançant vers le centre des ruines.
-Ne me donne pas d’ordres ! répondit alors Jiro qui suivait de près son camarade.

Les deux s’engouffrèrent dans ce trou de l’enfer pour l’homme et chargèrent le premier groupe de Jasses en vue. Noyel frappa de la même manière le groupe de Jasses que précédemment, laissant toujours aussi surpris Jiro. Les bêtes s’envolèrent et laissèrent ainsi les deux amis en compagnie d’un des Hunter survivant.

-Tu es apte à te battre ? demanda Noyel a l’attention du Hunter.
-Euh… Oui ! Après tout je me suis défendu jusqu’à maintenant, répondit-il.
-Bien ! Reste avec nous dans ce cas !

Le nouveau groupe se dirigea vers un autre groupement de Jasses, encerclant une petite équipe de Hunters. Noyel frappa les premiers alors que l’autre Hunter asséna de grands coups de ses deux gros marteaux.
Ils libérèrent rapidement tous les Hunters encore valide puis affrontèrent tous ensemble l’assaut des Jasses. Alors qu’un des Hunter soignait Jiro, les autres Hunter, accompagné de Noyel, faisaient reculer de plus en plus les bêtes.
Puis au bout de quelques dizaines de minutes, les Jasses prirent enfin la fuite. Ils partirent tout en se cognant les uns contre les autres, apeurés par la nouvelle force des Hunters. Certains d’entre eux se faisait piétiné voir tuer parce qu’ils bloquaient la route aux autres. Ainsi, la victoire revint au clan des Hunters et ces derniers s’enlacèrent, pleurèrent et dansèrent pour fêter cette victoire.
Au même moment les premiers rayons du soleil apparurent illuminant le visage de ces hommes souillé par une rude soirée de combat. Jiro put observer avec bonheur les yeux rieurs de ses camarades. C’est alors que Noyel s’approcha de lui, le visage imbibé de joie. Grâce au lever du jour, Jiro put apercevoir le visage quelque peu enfantin de son ami. Il avait une barbe mal rasé de quelques jours et de profonds yeux bleus, aussi bleus que l’océan. Il avait également des cheveux plutôt court et blond doré. Ce dernier s’assis à côté de Jiro et commença a parler :

-Tu te fous dans des merdes incroyables toi quand même ! Dit-il avec un large sourire.
-La ferme ! répondit sèchement Jiro.
-Tu ne trouve pas ça étrange ? Que les Jasses aient attaqué comme ça ? demanda alors Noyel.
-J’avoue que c’est bizarre, ces bêtes ne nous jamais attaqué de la sorte.
-Leur regard n’était pas normal, renchérit alors Noyel. C’est comme s’il avait peur, dit-il sous le regard interrogatif de son ami.




Voili Voilou! ^^

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Dim 13 Nov 2011 15:47 
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Arg ca finis comme ça :O ^^ mais mais.... bon ok ^^

Alors c'est très sympa tu écrit toujours bien malgrès quelques maladresse ("La bête fut alors propulser dans les airs mais pour peu de temps. En effet, Noyel rattrapa la queue de l’animal avec de tournoyer avec."). Le combat meriterais d'être plus dévellopée. J'aime bien jiro x) il a pas l'air de bonne humeur ^^. Bon c'est peut etre un peu petit mais t'as beaucoup de boulot et si c'est la seule facon de continuer je suis preneur ^^. Je prefere nos amis pirates mais cet fan fic est très sympa. Tout est très clair et même sans avoir relu les 3 chapitres precedant jai compris toute l'action etc...

En bref, c'est bien. Ca gagnerai à être plus long et peut etre de mettre en place une relecture avant postage. Sinon j'ai hate d'avoir des nouvelles des crazy pirates ^^

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 Sujet du message: Re: [Fic] Le monde des Hunters
MessagePosté: Sam 10 Déc 2011 15:10 
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Inscription: 02 Mai 2010
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Localisation: En train d'être acclamé par une foule en délire!
Voilà le nouveau chapitre. Alors j’espère qu’il sera lu, on dirait qu’il y a une pénurie de lecteur en ce moment sur le forum. C’est dommage !
Sinon Enjoy^^


Chapitre 5 :


Il y eut un long moment de doute et d’angoisse entre les deux amis. L’un comme l’autre ne savaient pas ce qui pouvait effrayer les Jasses. Ces bêtes puissantes et agiles ne connaissent aucun maître, aussi fort soit-il. Enfin…Normalement ! Ils avaient bien eu peur de quelques choses, cela semblait certain. Noyel décrit alors le regard des bêtes. Selon lui, il ne traduisait qu’une chose : « Désolé mais on est obligé ! ». Après tout, ceci était tout à fait logique. Pourquoi ces bêtes n’auraient pas sauté sur Jiro quand elles en avaient l’occasion ? Pourquoi avançaient-elles lentement vers lui ? Peut-être pour lui laisser une échappatoire ? Toutes sortes de questions trottaient à présent dans la tête du jeune homme. Depuis son plus jeune âge, on lui avait toujours raconté que les Jasses ne pouvaient être apprivoisé, par aucun moyen en la possession de l’homme. Existerait-il des hommes pouvant être au-dessus de tous autres ? Au-dessus même des lois de la nature ? Comment ?....Trop de question lui occupait l’esprit. Il eut l’impression d’être chauffer à l’intérieur d’un grand four, se débattant contre les flammes rougeoyantes de l’incertitude. C’est alors que Noyel tira par le bras son ami et le releva. « On doit s’occuper de tes blessures, rentrons au village ».

Jiro l’avait oublié. Il était blessé. Et pas qu’un peu ! La douleur, elle-même, ne put le retirer de ses interrogations. Mais en revoyant sa blessure, il ne put s’empêcher de ressentir la souffrance qu’il éprouva au moment où il se fit attraper le bras par ce Jasse. Les deux amis se remirent en route, accompagné des quelques Hunters survivants. Ils abandonnèrent le campement, ou du moins ce qu’il en restait, et s’aventurèrent dans le labyrinthe. Jiro put enfin voir ce qu’il avait traversé précipitamment dans la nuit. Et il ne senti pas vraiment fier : Des ponts suspendus, fait de petits rondins de bois relié entre eux par des cordes d’un certain âge, tenant par l’action du saint esprit. Il ne put s’empêcher de se sentir bête. « Je suis quand même, assez inconscient » pensa-t-il en regardant avec de grands yeux le pont se tenant face à lui. Ils passèrent le pont et continuèrent alors leurs routes.
Le jeune garçon remarqua les motifs inscrit sur les murs délimitant le labyrinthe. Des soldats en armures et armé de lances et d’épées s’affrontaient. Il suivi alors du regard les dessins et se rendit compte que ces inscription représentaient le déroulement d’une bataille qui a dû se passer il y a longtemps. Il y voyait violence, sang, amertume, souffrance, joie du vainqueur. Il y voyait la bataille qui venait d’avoir lieu. Mais comment une inscription vieille de plusieurs centaine d’années pouvait retranscrire exactement ce qui venait de se passer ? Il tenta de retrouver ses esprits et détourna le regard de ce mur. Puis, attiré par sa curiosité, il le regarda à nouveau et découvrit avec stupeur qu’il aperçut un soldat avec sa tête. Il s’approcha et analysa bien le dessin. Oui c’était sa tête ! Une peur panique le consuma rapidement et il courut alors pour rattraper ses compagnons qui avaient quelques pas d’avances sur lui. Noyel le regarda d’un air impassible. Ce dernier venait de comprendre pourquoi Jiro courait. « On dirait qu’il est temps » lâcha-t-il péniblement.

Ils sortirent enfin du labyrinthe. Ils regardèrent tous le grand ciel bleu qui s’offrait à présent à eux comme un conquérant. Il les surplombait en grand maître. Le vent se leva et caressa la peau des Hunters. Ils retrouvèrent la joie d’apprécie ces petits moments de bonheur. En seulement une heure, ils descendirent de la montagne par le chemin principal en terre et retrouvèrent un paysage accueillant. Le vent brassait les herbes bien vertes calmement, donnant alors l’impression de les faire danser. La rivière se situant non loin de là, berçait tout ce qui l’environnait, de par le son mélodieux du frottement de son écume sur les rebords de la terre. Son bleu turquoise avait de quoi envouté plus que la beauté brut de la plus belle des femmes. Les montagnes, en arrières plan, tentaient d’atteindre la hauteur du ciel. Ce paysage magnifique laissa sans voix le groupe de Hunters. Jiro en eut presque les larmes. Il était heureux. Il avait bien cru qu’il allait y rester dans ce labyrinthe. Ils reprirent ensuite la route.
En chemin, ils croisèrent alors différentes espèces végétales et animales, toutes réveillant l’intérêt de Jiro : Les baihiros, sortes de baies rouges non empoisonnés (parfaites pour revitalisé un aventurier perdu), des champisauces, très utilisé en cuisine, des Cornus, un mélange entre le buffle et le rhinocéros (animal ressemblant plus au rhinocéros, plus fins mais plus puissant notamment grâce à ses trois cornes, deux sur la tête comme le buffle et une sur le nez comme le rhinocéros), des serpi-voleurs, serpent ayant une fâcheuse habitude a voler les voyageurs, et bien d’autres créature tout aussi farfelu. Jiro restait à côté des Hunters qui, tout en avançant, étudier ces bêtes et ce qui les entouraient. Il était émerveillé.

Après un bon moment de marche, ils arrivèrent à la grande porte de bois marquant l’entrée du village. Alors que Noyel se présenta devant la porte, la porte s’ouvrit. « Le vieux doit être en colère s’il ouvre aussi vite » pensa alors Noyel avec des gouttes de sueurs perlant sur son front. La porte laissait apparaitre un petit bonhomme, vêtu d’une simple toile. « On va se faire tuer ! ». Il leur fit signe d’entrée. Jiro entra le premier et n’hésita pas à faire face au vieux monsieur.

-On est rentré le vieux, commença alors Jiro.
-Je vois ça, je vois ça, lui répondit-il la tête vers le bas.
-Obligé que j’agisse parce que ce satané village est trop lent ! Tu te fais vraiment trop vieux !
-Qu’est ce qui t’es passé par la tête, hein ? demanda-t-il d’une voix incertaine.
-J’ai juste voulu aider des amis, où est le problème ?

Le chef du village se releva de sa chaise en bois et s’approcha du jeune garçon. Dans un mouvement étonnement rapide, le vieux personnage asséna un coup au niveau du coup au jeune garçon. Personne ne put voir le coup sauf Noyel qui rattrapa alors son ami tombant, inconscient. Le hunter tourna la tête vers son chef et vit que celui-ci laissait couler des larmes de joies sur ses joues ridées par le temps.

-Ce chenapan, dit-il, il a failli me faire faire une crise cardiaque.
Noyel eut un petit éclat de rire et leva la tête vers le ciel puis regarda le chef :
-Il est prêt ! Ajouta-il sans détail.
-Je vois. On dirait que notre petit chenapan va devoir choisir sa propre voie maintenant.
-Oui, on dirait bien…




Voili voilou! ^^

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