Heures au format UTC + 1 heure [ Heure d’été ]




Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 36 messages ]  Aller à la page Précédente  1, [2], 3  Suivante
Auteur Message
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Dim 10 Avr 2011 20:26 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Chapitre 3:

Il était toujours sur Laminite, au milieu de la place de l'église. Il était à coté d'Arianne et face à un géant qui avait des intentions hostiles à son égard. À peine sa coéquipière avait-elle posé sa question que le géant s'élança. Il était bien plus rapide que sa corpulence ne laissait penser. Mais il ne rivalisait pas avec celle du jeune homme. Il voulut le frapper avec son poing mais Eugène esquiva en roulant sur le coté. Celui-ci courut vers le géant en dégainant son sabre, il sauta au niveau de son genou droit et tenta de trancher sa jambe au mollet. Mais il n'avait pas pris en compte sa jambe gauche qui lui asséna un coup en plein ventre d'une grande violence, et qui le propulsa jusqu'à l'église. Il se releva rapidement prêt à contre attaquer. Cela ne serait pas facile. Il cherchait des yeux pour voir où était Arianne. Elle était près du géant, elle avait son bâton et cliqua sur un bouton, faisant sortir du bout de celui-ci une lame. Elle regardait le géant pleine de confiance et lança son arme avec force, aussitôt après elle commença à courir. Le bâton qui avait été lancé tel un javelot produisait un rougeoiement à cause du frottement avec l'air. La première sonnerie des douze coups de minuit retentit juste à l'instant où le javelot transperça le géant de part en part. Et il vit alors à nouveau comme un rayon rouge fendre l'air peu de temps après, transperça le ventre du géant où du sang commençait à teinter sa peau là où il avait été frappé de plein fouet ; c'est alors que Black réalisa que le rayon qu'il avait aperçu quelques secondes auparavant fonçant à toute allure pour frapper le géant était en faite le bâton d'Arianne lancé avec une force impressionnante par une jeune femme de sa si petite corpulence. Arianne apparut courant à grande vitesse, sauta et attrapa le bâton en plein vol. S'ensuivirent de nouveaux transpercements ponctuant chaque coup de minuit. Après cette contemplation il se décida enfin à s'approcher et plus il approchait de cette montagnes et plus il voyait des trous rouge le parsemer. Ses lamentations étaient couvertes par le son pur des cloches. Le géant avait un regard de condamné à mort, presque de dément. Même si ils ne l'achevaient pas, sa famille prendrait sûrement un malin plaisir à le tuer. C'était d'ailleurs pour ça que le géant était intervenu. Il ne connaissait que trop bien cette espèce pour savoir quel serait son supplice. Et il ne pouvait rien faire contre, il n'avait qu'à attendre la mort, il était totalement dépassé par les événements. Ce spectacle était pathétique, la lueur de son regard en aurait sûrement arrêter plus d'un, mais le jeune dragon céleste ne s'attendrissait pas pour si peu. Les faibles tombaient bien plus vite que les forts et un sentiment de pitié était un premier pas vers la mort. Au douzième coup de minuit, alors qu'il était en dessous de cette gigantesque masse rougeâtre, il tourna sur lui-même et pointa son épée droit devant lui si bien qu'avec l'effet de rotation il lui lacera les pieds. L'esclave géant ne put en supporter davantage, et s'écroula par terre, abruti de douleur. Le combat était terminé. Il baignait dans son sang, le corps tailladé de toute part. Ce spectacle était horrible mais se cacher était admettre de faire partie de la très grande classe de non-retour que sont les "faibles". Bien sûr le jeune homme n'était pas fier d'être à l'origine de ce massacre. Mais il fallait assumer ses actes. Le courage était un combat perpétuel contre soi-même. Il s'approcha de sa coéquipière qui avait l'air vaguement déçu:
- Il n'était pas très fort ce géant. Il ne devait pas beaucoup s’entraîner.
Cette remarque le fit sourire. Oui, cette fille avait assez de cran pour qu'il partage son aventure.


Ils décidèrent d'un commun accord de repartir rapidement avant que la chute du géant n'ameutent du monde. Ils s'enfuirent donc dans la nuit, à pas silencieux mais rapides. Les nerfs d'Eugène étaient sur le point de craquer à chaque chat qu'ils rencontraient, à chaque roulement de pierre ou à chaque toussotement derrière les volets des maisons. Cette nuit était spéciale, l'excitation était palpable. L'adolescent fut soulagé d'arriver à la sortie de la ville et déjà quelques minutes plus loin ils recommencèrent à parler. Au bout de trois heure de marche rapide, c'est quelle est grande cette île, ils atteignirent enfin le bateau d'Arianne. Il était caché dans une baie sauvage recouverte par des arbres et des fougères. C'était une caravelle qui avait été légèrement modifiée pour le confort ; ses couleurs, vert et bleu, se mariaient très bien. Les voiles ne portaient aucun drapeau noir et ce bateau n'avait pas encore de proue. Ce bateau avait toutes les caractéristique d'une caravelle: petit, malléable, rapide et stable. Ce n'était donc pas encore le bateau définitif qu'ils prendraient quand la place leur fera défaut. Elle l'invita à entrer à l'intérieur et lui fit visiter chaque pièce jusqu'à sa cabine où elle le laissa ranger ses affaires pendant qu'elle partait démarrer le bateau. C'était une petite pièce mais il ne s'attendait pas vraiment à une chambre luxueuse. Elle redescendit un moment plus tard disant qu'ils étaient assez loin pour qu'elle puisse enlever les voiles.
- Pourquoi cela?
- T'as pas l'air de bien connaître la mer. Ici si on laisse un bateau sans surveillance pendant toute une nuit ses occupants ne se réveilleront plus jamais.
Elle lui souhaita ensuite bonne nuit et partit dans sa cabine, le laissant à cette terrible pensée. Il passait une mauvaise nuit, étant habitué à de meilleures suites.

Le lendemain de son premier jour de pirate, Arianne vint le réveiller, un journal à la main:
- Hého ! Réveille toi ! Maintenant que t'es là, j'aurais plus à faire toute les manœuvres seule.
Et elle l’entraîna jusqu'au pont. Il était ébloui par tant de lumières. Ils passèrent leur journée à manœuvrer le bateau car la mer changeait souvent : on pouvait passer du beau temps à la tempête ou de la neige au calme plat: sans vent et sans remous. Il lui demanda à un moment de la journée:
- Et ils parlent de nous dans ton journal?
- Non, pas encore les nouvelles sont encore trop fraîches, sûrement demain.
Le jeune homme était assez anxieux de savoir si on allait les poursuivre ou pas. Il passait donc une mauvaise journée quoiqu'il n'y eu aucun incident et aucune péripétie, à part bien sûr le temps qu'il faisait mais c'était normal sur la route de tout les périls. Manœuvrer le bateau leur prenait du temps du faite des intempéries et aussi de leur préparation du plan de l'arrivée sur l'île:
- Qu'est-ce qui nous manque et qui est urgent?
- Un bon cuisinier, rigola le garçon.
- Je t'ai déjà dit que j'étais pas faite pour ça. Je pense qu'il faudra réapprovisionner les vivres.
- Tu crois qu'on arrivera quand?
- Je pense demain au soir.
Le lendemain, Arianne le réveilla en lui disant:
- Vite lève-toi ! On parle de nous dans le journal !
À ces mots il se leva en vitesse et agrippa le journal. Leur aventure était dans la rubrique Faits Divers:

Drame à Laminite



Il y a deux jours, un accident rare s'est produit. Un dragon céleste, Eugène, s'est enfui avec une jeune femme qui change de tête suivant les témoins. Tout cela c'est passé dans la nuit et ils ont dû pour cela battre un esclave géant qui surveillait l'extérieur de l'hôtel. On l'a retrouvé le lendemain saignant sur la place de l'église où il a été récupéré par ses maîtres. Les parents du jeune homme ont déclaré qu'aucune poursuite n'étaient envisagées, le garçon ayant le droit de choisir son destin. Le gouvernement a déclaré hier que toute personne qui attaquerait cet homme serait aussitôt recherchée pour être mise à mort. L'histoire du dragon céleste pirate fait déjà beaucoup parler et est souvent comparé à la création de l'équipage de dragons célestes il y a 20 ans et qui sont toujours en course. Cette histoire ne se terminera sûrement pas ainsi. A suivre donc..... P.H

Après la lecture de ce bref article le jeune homme se sentait en colère, ces personnes n'avaient décidément rien compris. Quelle humiliation ! Comment pouvait-on les prendre au sérieux maintenant? Si il était parti en mer ce n'était pas pour être protégé et être la risée des autres pirates. Cette protection l'écrasait. Il croyait être enfin arrivé à prouver sa liberté mais ce n'était pas fini, il ne voyait qu'une solution pour qu'ils le laissent tranquille:
- On va attaquer une base marine.
Arianne le regarda bizarrement, elle devait se demander ce qui se passait dans sa tête.
- Mais t'es fou ! Si tu commences à prendre des décisions alors que tu es dans cet état tu cours droit à la mort. On est plus dans la noblesse maintenant. Chacun de tes actes peut te faire mourir. Si c'est pour ta liberté tu l'auras, mais réfléchis bien avant.
Elle avait raison, comme Jarren elle devait savoir contrôler ses actes. C'était décidément une qualité très importante. Black partit sur le pont pour réfléchir, face à la mer. Le soleil le chauffait et une légère brise le vivifiait. C'était un moment fort agréable. Il pensait toute la journée à cette situation, l'analysait mais sa solution revenait immanquablement.
Après cette journée de réflexion il n'était toujours pas décidé, malgré sa baisse de colère il voulait toujours cette liberté physique et mentale qu'un seul acte pouvait lui conférer. Le soir Arianne descendit et lui dit:
- Une nouvelle île est en vue. Ça te dis d'aller faire une descente ce soir?
- On va enfin pouvoir manger de la vraie nourriture.
- Roh t'es lourd...
Il voyait à son regard qu'elle n'était pas en colère et même le regardait malicieusement. Elle était vêtue d'une robe verte très jolie avec un haut de corps blanc. Elle avait aussi des chaussures blanches et avait enlevé son chapeau et coiffé ses cheveux pour qu'il soit assez long. Tout cela lui allait très bien et elle était très belle. C'est bizarre d'avoir une fille comme capitaine.


Ils montaient sur le pont et il vit cette nouvelle île. Elle était très grande et on voyait déjà une ville portuaire sur la côte. On voyait aussi au dessus une petite montagne où se trouvait un fort. Cela ressemblait beaucoup à une base marine et son sang chauffa. Il avait déjà l'occasion de se tester. Ils accostèrent un quart d'heure plus tard et descendirent du bateau. Une route se traçait devant eux, remplie de tas de magasins, restaurants, hôtels, etc... Ils décidèrent de rentrer dans un restaurant nommé " Au calamar doré ". C'était un bar bruyant où l'on voyait une serveuse slalomer entre les tables et se faisant appeler maintes et maintes fois. La clientèle était essentiellement constituée de pirate. Tous rigolaient avec leurs compagnons, buvant de l'alcool ou jouant au Poker. Une dispute pouvait éclater à tout moment. Ils s'installèrent à une table et commandèrent leur repas. Le jeune garçon sentit soudain un frisson dans son dos, il se retourna et vit qu'un homme qui était seul dans un coin le regardait. C'était un homme, un dur, un vrai: un tatoué. Il avait des cheveux noirs, et des yeux d'un noir sombre profond. Il était habillé comme un voyageur qui parcourt le monde seul. Il retournait discuter avec sa capitaine, même si cette fixation était désagréable et qu'elle ne lui plaisait pas du tout.
Ils furent servis. Black avait un homard et Arianne de la viande. Le garçon essayait de détourner la conversation vers sa plus grande préoccupation depuis la matinée:
- Vraiment je pense qu'il faut que l'on attaque un camp de la marine en plus j'en ai vu un au dessus de l'île.
- T'es pénible avec ça. Pourquoi c'est aussi important?
- Parce que là, on est pas des pirates on est, au mieux, des pirates à la solde du gouvernement mais je déteste ça. Si j'ai pris la mer c'est pas pour que l'on me protège. Et puis je ne veux pas particulièrement tuer un marin. Seulement détruire un de leur camp. Un truc suffisant pour qu'ils enlèvent cette protection en tout cas.
- Bon si tu veut on cherchera demain... Mais avant on se réapprovisionnera en nourriture...
- Et il faut recruter un cuisinier.
- Mais arrête avec ça. Je fais de mon mieux...
Et à cet instant, le gars au tatouage les aborda:
- Bonjour, j'ai entendu que vous vouliez battre la marine?
Comment avait il fait?
- Bah c'est surtout mon compagnon mais ouais pourquoi?
- Parce que j'attendais des gens comme vous pour les attaquer. Tous ceux à qui j'ai demandé avait trop peur. C'est vrai aussi que le colonel qui s'y trouve est particulièrement fort et puis il a tellement de subordonnés. Je crois que même moi je ne pourrais pas y arriver seul.
- T'es fort en combat?
- Bien sûr.
- Tu serais prêt à être pirate?
- Si vous m'aidez d'accord.
- Tu as déjà navigué avant?
- Oui.
- Tu sais faire quoi?
- Bah j'ai été médecin dans un bateau pirate avant.
- Et tu sait cuisinier? Demanda le jeune pirate.
- Ah ça non par contre.
- Bon bah on te recrutera pas. Vu qu'on est sur cette île pour un cuisinier...

_________________
Image


Dernière édition par Houblon Warrior le Lun 4 Juil 2011 19:36, édité 1 fois.

Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Dim 10 Avr 2011 20:58 
70 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 03 Oct 2010
Messages: 673
Localisation: Sur la Mer des Stratagème, occupé à boire du saké en dévalisant les villages de pauvres payans
Ah, ça commence à prendre forme. Même si certaines faute INADMISSIBLE (proue!!!!^^) gâche le plaisir de rire avec histoire. Mais c'est dommage que le combat contre le géant se solde si vite. Mais on va pas s'en plaindre.
Bon, il y a un truc qu'il faut que je te montre à tout prix:

Citation:
Drame à Laminite

Il y a deux jour, un accident rare s'est produit. Un dragon célèste Eugène, s'est enfui avec une jeune femme qui change de têtes suivant les témoins. Tout cela c'est passer dans la nuit et ils ont du pour cela battre un esclave géant qui surveiller l'extérieur. On la retrouver le lendemain saignant sur la place de l'église où il à été récupéré par ses maitres. Les parents du jeune homme ont déclarés que aucune poursuite ne seront envisager, le garçon ayant droit de choisir son destin. Le gouvernement a déclaré hier que toute personne qui attaqueraient cet homme seraient aussitôt recherché pour être mis à mort. L'histoire du dragons célèstes pirates fait déjà beaucoup parler et est souvent comparé à la création de l'équipage de dragons célèstes il y a 20 ans et qui sont toujours en course. Cette histoire ne se terminera surement pas ainsi. A suivre donc..... P.H

Un article de journal, ça se doit d'avoir un minimum de structure. Donc, si tu veux, je te propose une nouvelle version, que tu peux adopter ou non:
Citation:
Drame à Laminite

Il y a deux jours, un accident rare s'est produit sur l'île de Laminite. Un dragon céleste, Eugène, s'est enfui avec une jeune femme, dont la description change selon les temoins. Mais la version reste la même selon ces même témoins:
"Tard dans la nuit, les deux jeunes gens se sont battus contre l'esclave géant du Dragon Céleste, qui était sensé le surveiller. le lendemain matin, on la retrouvé sur la place de l'église, gisant dans son sang, le corps recouvert de perforations. il a été récupérer par ses Maîtres. Ceux-ci ont déclaré:
"Nous ne lancerons aucune poursuite envers notre fils. Il a le droit de choisir la voie qui lui plaît."
Le gouvernement à déclaré hier, suite à l'accident, que ceux qui oseront toucher à un seul cheveu de la tête du jeune Eugène sera mis à mort.
Cette histoire fait déjà beaucoup parler d'elle, et elle est directement attaché à l'histoire des pirates Dragons Céleste, il y a de cela vingt ans, dont les membres d'équipage sont toujours recherché. Ce jeune homme n'est qu'au début de sa trépignante histoire, et il n'est pas prêt d'arrêter là. Histoire à suivre...
P.H.


Après, tu peux toujours changer la description, mais garde toujours en tête le shémas suivant:
titre

description du lieu, de l'heure, de la date, des protagonistes
"premier témoignage"
description de l'état des proches des protagonistes
"deuxième témoignage+ autant de témoignage que tu veux"
mot de fin
auteur

Et là, tu nous pondera un zoli article digne d'un vrai journal!^^
sinon, le chapitre était sympas

_________________
In the darkness or light,
In cities or the countryside,
A Song resounds forcefully
The Song of the Phoenix Dragon.
Fear it, Love it, weep on,
Because the only people who fit
Are the souls of the damned pirates


Une future légende est en marche... Découvrez ses aventures ici!
-Walk The Phoenix Dragon-


My Name Is: HILRÉ LAMOU (Star Wars) - CONFUSED DRUADAN (Terre du Milieu) - CELEGORM CÚTHALION (Langue Elfique) - DRACO (SSBB) - Phénix Dragoon (Volonté du D)


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Sam 16 Avr 2011 10:15 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Chapitre 4: Le médecin vengeur
>
>
> Ils étaient toujours dans ce bar à discuter avec cet homme qui avait plusieurs tatouages sur les bras et un sur la partie droite de son visage. L'endroit se faisait de plus en plus vide et on pouvait voir maintenant la lune briller malgré quelques zones cachées par les nuages. Cela faisait un petit moment qu'ils se parlaient pour savoir où se ferait la rencontre, à quelle heure et autre formalité... Ils allaient partir quand la capitaine demanda:
> - Mais au fait pourquoi tu en veux à la marine?
> L'aventurier la regarda et retomba sur sa chaise:
> - Si cela vous fait plaisir. Je vais le faire pour sceller notre accord. Assoyez-vous, cela risque d'être long..
>
> Flash-back 10 ans auparavant...
>
> Tout a commencé lors de ma quinzième année, je vivais alors sur une petite île dans West Blue. Un bateau pirate avait accosté dans notre village, il étais là depuis déjà quelques semaines d'ailleurs. Ces pirates n'étaient pas venus piller le village où j'habitais, à la grande surprise de tous. Pourtant, personne ne les approchait car on ne connaissait que trop bien les fourberies qu'un pirate était capable de faire. Nous le savions par les perpétuels faits divers à leur sujet mais aussi par expérience d'une attaque de ces cataclysmes humains qui avait eu lieu il y a cinq ans environ. Je trouvais ces histoires un peu désuètes et tous ne devaient pas être comme ça. Et donc un jour je décidai, par excès de témérité pour certains, d'aller voir ce qu'il en était vraiment. Je suis donc allé vers leur bateau où je les vis en train de boire et rigoler alors que l'on n'était que l’après-midi: c'était une fête continuelle. Bientôt, une personne m'aperçut et partit à ma rencontre: il se présenta comme étant Hector, le capitaine. Il m'invita à venir faire la fête. J'acceptai car il n'avait pas l'air dangereux. On sympathisa bien vite et l'on se revit les journées et les semaines suivantes. Pour rassurer les habitants je leur fis promettre de défendre le village tant qu'ils seraient là. Ils avaient décider de rester là-bas pendant au moins encore un mois: pour se reposer principalement. Mais la semaine suivante un bateau pirate apparut. Le village ne savait que penser et je partis aller voir mes amis pirates. Je pris un raccourci pour leur bateau et je tombais sur une discussion des nouveaux pirates arrivant sur la plage non-loin du bateau. Il était question de piller le village et de tuer tout les civils sauf un pour faire monter leurs primes. Ils attaqueraient dans quelques heures. Je repartis discrètement vers le bateau de mes amis où je ne retrouvai que leur médecin. Il me dit que les autres était parti faire une petite expédition sur les îles des alentours. Et que lui était rester pour honorer notre parole. Il écouta mon histoire et voulu partir les attaquer malgré mes tentatives de l'en empêcher. Il serait mieux d'attendre ses compagnons. Je voulus le suivre mais il me toucha un certain point sensible de mes jambes, ce qui fit qu'elles furent paralyser et s'en alla s'en tenir compte de mes menaces d'y aller en me traînant et en rampant sur le sol. Je ne le fis pas, à quoi cela servirait de toute façon, il serait mort avant que je fasse la moitié du chemin. Je pleurais et étais en colère contre moi-même et cette stupide promesse que je leur avais fait faire, à cause des habitants de mon village qui avaient peur de ces pirates. Une heure plus tard l'équipage était de retour. Le capitaine me fit conter toute l'histoire et il partit en courant avec deux de ses hommes, me laissant au soin des autres. Il rentra le soir même, la tête malheureuse. Il demanda à ce qu'on me mette dans une cabine ce qu'on fit malgré mes protestations. Je pense qu'il leur a alors raconté ce qu'il avait vu ou ce qu'il avait fait... Le lendemain mes jambes allaient mieux et je pouvais enfin marcher. Un des pirates vint me dire que le capitaine m'attendait. Il me reçut dans sa grande cabine et me dit que mon village était sauvé. Je ne me faisais pas vraiment de souci pour cela et je lui demandais ce qu'il était arrivé. Il me dit qu'ils étaient arrivés trop tard et qu'il avait retrouver un impressionnant carnage. Il n'y avait qu'un seul homme debout, qui prit peur et qui les attaqua: ce n'était pas leur médecin. Le bras droit du capitaine se dépêcha de l'abattre et ils recherchèrent le corps de leur médecin dans cette bouillie humaine. Ils le retrouvèrent tailladés à certains endroits, percés de flèches à d'autres mais surtout transpercer par une lourde épée. On pouvait voir par terre des traces de gouttes d'eau, sûrement ses pleurs de n'avoir pas pu sauver le village. C'est ce que la postérité se rappellera de lui. Et au final, qu'il ait pleuré pour cette noble cause ou car il avait peur de la mort, qu'est-ce que cela changeait ? Je me vois encore pleurant après cette histoire, j'avais l'impression d'avoir assassiner un homme. Il me fit alors une proposition qui me surpris. Le capitaine me déclara qu'il allait repartir dans trois jours, j'avais ce délai pour choisir si je deviendrai le nouveau médecin de l'équipage, ou non. Ce fut l'un des choix les plus importants de ma vie: j'avais soif d'aventure mais j'allais abandonner mes amis, ma famille. Je sentais que j'avais une dette envers cette équipage et j'acceptai alors l'offre qui m'était faite. À partir de ce jour j'étudiai durement ce noble art qu'est la médecine. Je m'acharnai sur mes bouquins de jour comme de nuit. Je ne voulais m’arrêter que quand je serai assez bon pour me faire pardonner en partie. Et c'est ainsi que je passais de longs mois à étudier. Je finis enfin un jour par connaître chacun des livres du médecin par cœur. Et ce jour-là, je pus enfin regarder mes compagnons sans honte. Et pour prouver mon appartenance à l'équipage je me fis tatouer notre symbole sur le corps. S'ensuivirent ensuite des années qui les une après les autres, forgeant un peu plus mon caractère, m'intégrant un peu plus dans l'équipage et m'améliorant un peu plus au combat. Durant ces années-là, je faisais corps avec cet équipage, ce qui fit que notre chute me fut d'autant plus douloureuse. Car en effet notre équipage ne cessait de grandir et les primes ne cessaient d'augmenter. Au bout d'un moment nous étions en si grand nombre, qu'une mutinerie éclata, guidée par un homme appelé Herman. Elle fut menée de nuit et dans un silence absolu, si bien qu'elle prit tout l'équipage au dépourvu. Sauf moi qui sautai vite dans une barque. J'essayai bien de revenir pour essayer de sauver quelques personnes mais cette mutinerie avait déjà prit tout le vaisseau. Je partis donc le cœur serré, me sentant traître moi-même et me jurant de poursuivre l'homme qui avait commander tout ça.
> J'arrivai bien des jours plus tard affamé sur une île où je fus recueilli par une vieille dame qui, contre quelques travaux, me nourrit. Je repartis deux semaine plus tard, après l'avoir remercier de sa gentillesse. J’enquêtai alors pendant un an pour retrouver cette homme que je haïssais, sans le connaître. Je n'avais pas vu qui avait commander cette mutinerie. Mais un jour, je me retrouvais ici où j'appris que le colonel de la base de cette île était un ancien pirate qui avait trahi son équipage et qui avait remis toutes les têtes primées à la marine. Il avait ainsi monter les échelons jusqu'au rang de colonel. Cette histoire m'intéressait et je décidais d'aller faire un tour dans cette base où je reconnus Herman, un lieutenant du bateau possédant le fruit du rhinocéros. Mon sang bouillonnait, si bien que je partais l'attaquer directement. Je me battais comme un chien enragé en souvenir de mon équipage mais je fus capturé au bout d'un moment, du fait de mon infériorité numérique. Herman, venu me voir pour me libérer, me dit qu'il se souvenait bien de moi et m'avait trouver sympathique. Et que de toute façon cela ne serait pas avec une petite frappe comme moi qu'il aurait un meilleur grade. Je fus obligé de ravaler ma haine et repartis sous la condition que si il me retrouvait, il me tuerait. J'arrivais quand même à rester sur l'île sans qu'il ne me voie car il sortait rarement de sa base et je suis plutôt du genre discret. Je continuais donc à vivre de petits boulots faits par-ci par-là. Mais en vérité je nourrissais toujours secrètement cette haine profonde et j'attendais des gens comme vous pour passer à l'action. D'ailleurs maintenant je me sens prés à le battre car en plus j'ai mangé un fruit du démon depuis notre dernière rencontre...
>
> Black se retourna vers Arianne en souriant. Mais il s'aperçut bien vite qu'elle n'était plus là, il était pourtant persuader de l'avoir vu juste avant l'épisode de la mutinerie. Il fallait qu'il retourne au bateau. Le jeune homme allait partir en courant quand il se retourna et dit:
> - A demain ...
> - Cram Tevoc.
> - A demain Cram.
> Black sortit du bar et partit en trombe direction le port. Après être rentré dans leur embarcation, il chercha Arianne dans sa cabine, la cuisine, la salle de cartographie, la cannonerie,etc... et la retrouvait enfin en larmes devant sa propre chambre. C'était la première fois que le jeune homme la voyait comme ça. Elle d'habitude si souriante et forte. Elle se retourna et le regarda comme si elle cherchait à prendre appui sur lui, mais le pauvre garçon ne savait comment la consoler. Et elle lui dit alors d'une petite voix tremblante:
> - Black.... Tu me promets de ne jamais partir et de ne jamais me trahir?
> Il lui répondit que bien sûr il ne la quitterait jamais, qu'il lui resterait fidèle jusqu'à la fin. Le jeune homme était assez troublé par sa réaction. Une blessure s'était rouverte en elle, de ça il en était sûr... Il n'avait pas répondu ça juste pour la consoler mais car c'était ce qu'il voulait vraiment. Cette fille me produisait cet effet, il savait qu'il la suivrait quoi qu'elle lui dise ; en quelques jours il était déjà tombé sous son charme. Il essaya de la consoler pendant encore quelques minutes du mieux qu'il put et ses arguments durent faire mouches car elle repartit bientôt en souriant tristement. Black s'endormit difficilement le soir-même, une fille qui avait l'air si sûre d'elle et fort et qui pourtant lui avait montré ses sentiments, ses ressentis. Il voulait vraiment savoir quelle était cette blessure qui la hantait mais savait qu'il faudrait attendre le bon moment s'il ne voulait pas que sa confiance et son estime pour lui ne se réduise à néant.
>
> Le lendemain, Arianne le réveilla comme à son habitude comme s'il ne s'était rien passé la veille. Ils passèrent une heure à réapprovisionner les vivres et à chercher de nouvelles armes. À 10 heure ils retournèrent au bar de la veille au soir qui venait à peine de rouvrir. Cram les rejoignit peu après, la figure grave. Il était prêt à se libérer de cette vengeance qui l'empêchait de partir autre part vers de nouvelles aventures. Ils étaient donc prêts et partirent du village pour la base marine. Ils avaient marché pendant deux heures quand ils arrivèrent au portail de la base. Ce lieu était surplombé par une grande bâtisse qui devait faire bien huit étages, avec le symbole de la marine sur le mur avant. Il y avait devant une cour où se trouvaient des mannequins en paille, des baïonnettes par terre et des barrières un peu partout. Cette cour était aussi entourée par deux bâtiments, à gauche et à droite. Black trancha la porte et ils rentrèrent dans la cour. Il n'y avait aucun signe de vie comme si ses habitants avaient disparu pendant leur occupation. Mais très vite un cri se fit entendre:
> - DES INTRUS!!!!!
> Alors en un temps record des tas de soldats portant le blason de la marine sortirent des bâtiments. Ils devaient être une centaine:
> - Bon et bien on rentre dans la mêlée, sourit le jeune homme.
> Les soldats ne durent pas apprécier la moquerie car ils chargèrent avec leurs sabres. Se produit ensuite un combat chaotique où ils avançaient chacun de leur coté, s'éloignant de plus en plus les un des autres. Black avait prit le "chemin" de gauche. Il parait, coupait, perçait, tailladait, assommait, tapait, renversait et même quelque fois tuait. Il y avait de plus en plus de soldats devant lui mais ceux-ci n'étaient pas très forts. Les bâtiments vomissaient de plus en plus de soldats et tous se massaient contre eux, histoire de leur couper un bras. Après avoir mis hors de combat son énième soldat, il regarda où étaient Arianne et Cram, tout en parant et esquivant pour ne pas être à porter des lames des soldats qui l'attaquaient toujours sans lui laisser de répit. Arianne se trouvait sur le passage de droite et avait presque finit avec ses soldats. Quand à Cram il était déjà en train de rentrer dans le grand bâtiment. Le garçon aurait bien aimé voir comment Arianne et Cram s'étaient battus mais ce n'était pas le moment de leur demander. Un soldat lui coupa légèrement la joue, alors qu'il était perdu dans ses réflexions. Il le prit alors et l'envoya sur l'un de ses camarades qui l'empala au sens propre. Il ne devait rester qu'une dizaine de soldat. Black décida alors de s'amuser un peu et rangea son sabre. Il allait se battre à mains nues. Pour commencer il frappa le soldat qui avait tué son camarade, il lui mit deux coups de pieds dans le ventre et un coup de poing sur la tête, le soldat tomba à terre... Pendant son petit exercice, les neuf derniers soldats restants l'avaient encerclé. Il fonça sur le plus petit, l'envoyant valser d'un coup de pied et rentra dans le bâtiment, tout en en mettant deux autres à terre. On allait changer les décors cela serait plus drôle.
>
> Arianne:
>
> Arianne était rentré dans le bâtiment car il n'y avait pas vraiment d'autre chemin. Elle commença à visiter chaque pièce et tomba bientôt sur un homme se regardant dans la glace:
> - Tiens, je te connais pas toi ma mignonne. Tu viens t’enrôler? A moins que tu ne sois une de mes fans?
> "Quel sinistre individu" pensa-t-elle en dégainant son arme.
> - Oh ! On se croit forte à ce que je vois.
> Il se leva et enfila des sortes de gants dont le bout était pourvu de petites lames. Il s’avança et frappa là où se trouvait Arianne, mais elle sauta assez haut et retomba derrière son ennemi, elle se retourna en accompagnant son bâton mais l'homme était déjà reparti.
> - Tu n'es pas si nulle que ça, on dirait.
> Et Arianne sentit une lame dans son épaule, par réflexe elle fit pivoter son bâton vers l'arrière et essaya d'enfoncer son arme dans son adversaire. Cela marcha car elle ne ressentait plus aucune force dans la lame froide. Elle sauta au fond de la pièce en se retournant et tout en fixant bien son adversaire des yeux et enleva la lame qui y était enfoncée. Elle sentait son sang chaud coulé sur sa peau mais elle voyait que son adversaire saignait aussi. Ce combat promettait d'être intense et sans pitié.
> Elle fonça sur son adversaire qui fit de même et ils se déchirèrent à nouveau joyeusement la peau. Ils avaient chacun deux entailles. Il fallait arriver à donner un coup sans en recevoir un. Arianne décida alors de jouer sa carte maîtresse : l'homme l’interrompit dans ses réflexions.
> - Tu es décidément pleine de surprise, dit-il d'un regard carnassier.
> - Et ce n'est pas fini, dit Arianne en souriant.
>
> Black:
>
> Il courait à travers les couloirs, cherchant un bon endroit pour les affronter. Ils le poursuivaient sans relâche. Le garçon pourrait les battre facilement mais il ne voulait pas utiliser son sabre. Il rentra dans un couloir qui n'avait comme seule issue qu'une porte, rentra, il y avait un homme la tête recouverte par un chapeau qui le regarda et Black vit ses lunettes de soleil et qu'il fumait une cigarette tranquillement. Cet homme dégageait une aura bestiale. Enfin un ennemi qui avait l'air fort, il poussa un placard sur la porte pour que les soldats ne viennent pas le déranger en plein combat. Et là l'homme attaqua. Black roula sur le coté par réflexe et se releva juste à temps pour voir une deuxième attaque arriver, le garçon la para mais il y avait une telle force dans cette attaque qu'elle l'envoya sur le mur. Et aussitôt, alors qu'à peine il se remettait de ce coup, son assaillant sauta sur lui. Le jeune home lui donna un coup de sabre en plein vol ce qui le fit retomber sur moi, lui tailladant la jambe. Il était par terre et Black l'attaqua mais il para facilement son épée qu'il envoya plus loin. L'ancien dragon céleste lui donna un coup de pied pour le retenir un petit moment et alla chercher son sabre. Quand il le reprit, il sentait un danger imminent et se baissa en le frappant du pied par derrière, ce qui fit son effet car l'homme recula de quelques pas. Mais même alors, lorsque le garçon se retourna,il trouva le moyen de le frapper au ventre. En tombant, Black lui prit la jambe ce qui fit tomber son adversaire sur le dos. Ils haletaient sur le parquet en essayant tous deux de récupérer leurs forces. Ces quelques instants de répit était une eau bénite et ils se relevèrent, tous les deux prêts à repartir de plus belle. Le garçon l'attaqua mais l'autre se baissa et lui donna un coup de tête, ce qui l'envoya sur le placard qui bouchait la porte d'entrée. Il fit ensuite un coup horizontal mais Black roula sur le coté et il cassa le placard en deux. Il avait donné un coup trop fort et n'était pas arrivé à arrêter son arme à temps, le jeune homme lui donna alors un coup de pied dans le ventre qui l'envoya contre le mur de l'autre coté de la pièce. Il s'appuya contre le mur, il était crevé, le sabreur allait se relever mais ce ne fut pas ça qui l'épouvanta le plus. Car il vit alors alors les six soldats restants rentrer ensemble dans la pièce comme un seul homme. Mais le garçon n'avait plus la force de se battre contre autant de monde. Ah si seulement il les avait blesser tout à l'heure !
>
> Cram:
>
> Cram rentra dans le bâtiment principale et vit au bas d'un double escalier en face de lui Herman.
> - Te revoilà, dit Herman. Que t'avais-je dit la dernière fois? Et tu reviens malgré ma magnanimité?
> - Le crime que tu as commis ne saurait se justifier par une de tes qualités.
> Herman se transforma alors en une bête mi-homme mi-rhinocéros.
> - Tu ne mérites donc pas mieux qu'un de ces sales pirates.
> Et il fonça sur Cram mais celui-ci ne tenta même pas d'esquiver et lui donna juste au bon moment un coup de poing qui envoya le rhinocéros à l'autre bout de la pièce.
> - Comment as-tu fait? demanda Herman qui se relevait déjà.
> Et il fonça à nouveau sur Cram qui refit la même chose.
> - Et oui par rapport à la dernière fois j'ai changé. Comme toi, j'ai mangé un fruit du démon.
> Et comme pour le prouver il s'élança et donna un coup de pied au rhinocéros qui était affalé par terre et qui traversa alors plusieurs murs. Herman se releva et fonça sur l'homme tatoué avec une vitesse incroyable, le frappant de plein fouet.
> - Donc je n'ai plus besoin de te sous-estimé. Moi aussi j'ai progressé. L'entraînement m'a plus changé que mon fruit. Quel est le tien?
> Cram se releva et dit:
> - Tu le sauras quand je t'aurais tuer.
> - Je ne le saurai donc que dans une cinquantaine d'année.
> Ils se relancèrent alors et leurs attaques furent si fortes que tout s'effondra autour d'eux

_________________
Image


Dernière édition par Houblon Warrior le Jeu 28 Juil 2011 14:04, édité 1 fois.

Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Mar 26 Avr 2011 09:09 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Chapitre 5: En route vers Enersty island


Arianne:

Arianne était en face d'un homme blond assez costaud qui la toisait d'un regard partagé entre la colère et l'envie. Elle reprenait sa respiration, elle était de plus en plus fatiguée. Il fallait qu'elle en finisse le plus vite possible. Elle s'avanca de quelques pas et lanca son baton qui fendit l'air. Aussitôt après elle était parti pour courir à la reception un peu comme son combat contre le géant sauf que la distance était plus courte. Elle était parti très vite à cause de la rapidité du déplacement et heureusment car deux pas plus loin elle sentit un souffle d'air qui la parcoura comme une onde de faible intensité, elle se retourna et vit son adversaire en train de frapper violemment dans le vide. Elle aurait pu tenter de le frapper avant que le bras de son adversaire ne soit revenu pour parer mais elle jugea que cela été trop dangeureux et repartie chercher son arme qui été fixé sur le mur où se trouvait son adversaire quelque temps avant. Elle avait bien fait car déjà le marin était pret à riposter. Elle réflechissait rapidement à une attaque qui pourrait en finir avec son ennemi. Elle avait pour l'instant gardée son plus grand atout secret et aurait donc l'effet de surprise mais elle devait arriver à lire dans le jeu de son adversaire pour s'assurer la victoire. Si le coup était mal placé et non-gagnant cela compliquerait singulièrment la donne. L'homme ne lui laissa pas plus de temps pour sa reflexion et attaqua en lui lançant simultanement des couteaux. Elle roula sur le coté et lançat son baton. Elle courut alors sur le mur qui se trouvait en face d'elle, effectua un salto arrière, pris appuie sur le mur avant qu'elle ne retombe par terre et se propulsa vers la où elle se trouvait quand elle avait lancer son attaque. Et comme elle l'avait prédit son ennemi s'y trouvait au même moment en assayant de retenir son attaque qui était parti une nouvelle fois dans le vide. Et pendant le court instant où fut dans les airs elle opéra à une transformation. D'abord ses pieds se firent plus gros, ses mains commencèrent à s'aplatir et sa tête à s'allonger. Puis des ailes lui poussa, sa ouche se transforma en bec, et ses pieds en palmes. Elle était devenue une magnifique oie blanche. La transformation s'arreta juste avant l'impact du bec d'Arianne et du ventre du marin. Son bec était tranchant et celui traversa l'homme de part en part. Elle leva sa tête, la remua et envoyit valser le corps inerte de l'homme. Elle redressa alors la tête et regarda le corps inerte du blondinet. Elle était magnifique, ses plumes d'un blanc pur contrastait fortement avec le rouge sombre des gouttes de sang qui perlaient dans ses plumes. Arianne redevenut petit à petit Arianne et prit appuie par terre. Cette attaque l'avait surmenée et devait attendre un petit temps de récupération avant de se relever. Son esprit commençait à vagabonder sur le sort de ses nouveaux amis...

Eug... Black:

La situation était critique. Je comptais sur l'affaiblissement de mon adversaire pour avoir une chance de l'anéantir mais l'arrivée de ces soldats que j'avais puérilement laissé par jeu allait compliquer fortement la donne. Et je voyais déjà mon adversaire se relever et me regarder en souriant, amusé de mon air déconfit. Cette échange de regards fut écourter par les soldats qui commencérent à pointer leurs fusils sur moi. Je me laissai tomber au premier coup de feu et roulais sur moi même jusque derriere une chaise qui se trouvait un peu plus loin. Je me remettai à peine qu'une masse sombre apparut au dessus de moi et retomba en donnant un coup avec ses sabres. Je parais tant bien que mal et je l'envoyais valser plus loin en le poussant à l'aide de ma lame et de mon pied. J'y avais encore laissait un peu de mes dernières force. Je me relevais et trotinait sur le coté pour tenter de ne me pas faire toucher par les tirs qui apparaissait dès que je me pointait dans leur champ. Je zigzagais un peu partout dans la pièce jusqu'à arriver miraculeusement sur un des tireur qui tenta de s'enfuir malgrès le sectionnement que je venais de lui faire à la jambe. Il se traina derriere un siège en abandonnant son arme. Je sentis alors une rainure chaude se formait dans mon dos et tombais devant moi de douleur. J'été sur le point de craquer et tenter de lui prendre le pied en tirant dessus le plus fort possible. Je pense que cela marcha car je n'eus aucune resistance lorsque je me relevais. Je marchais vers un endroit à couvert. Je sentais que des balles me coupait parfois. Enfin arriver dérrière un meuble de bibliothèque, je tribuchais par terre. Je n'en pouvait plus, j'était revenu à la case départ à part qu'un de leur soldat était surement mis hors combat. Ca risquait d'être long... et je n'avais pas l'énergie de continuer. Je souffrais à l'épaule et au dos, je n'en pouvais plus. Je perdais de plus en plus le contrôle de moi-même à la même mesure que je perdais mon sang. Je sentais que quelque chose que je bloquais depuis de longues années se répandait en moi. Cette sensation était la haine que j'éprouvais pour les autres. Il ne servait plus à rien que je la retienne. J'étais en colère je perdait de plus en plus le controle de moi-même. Je ne voyait plus rien que du rouge. Une force d'un coup me fit relever, j'étais guider par la haine. La suite je ne l'ai que ressentit plus ou moins. Tout indicateur spatial et temporelle avait disparu. Je ne ressentait plus que souffrance morale et physique. Ce n'étais plus moi qui guider mon corps mais je savait que je pourrait l'arreter dès lors que je céderais à cette douleur. Je sentais que j'actionnais mes sabres, je ressentais de la chair et du sang mais peut-être que je frappais dans le vide. La douleur s'accentuer de plus en plus, j'avais dépasser depuis longtemp mes capacités physiques mais je sentais que si je m'arretais sans en avoir fini cette dernière personne en profiterais pour me tuer. Cette bataille contre moi-même me paru durer des années, au bout d'un moment le rouge que je voyais était de plus en plus trouble et je me sentait céder enfin à ce défi contre moi-même. Je ressentis alors le sol froid puis plus rien tout était partis: souffrance, pensée, sensation,... J'étais dans le vide, le néant...


Arianne:

Cela faisait de longues minutes, voire de longues heures, que Arianne était par terre à revasser pendant qu'elle récuperait petit à petit de ses forces. Et d'un coup elle se releva et partit en courant. Une idée venait de lui traverser l'esprit et si l'un de ses amis avait besoin d'aide. Elle descendit des escaliers, alla tout droit et sortit dans la cour. Il y avait deux choix qui s'offrait à elle: soit le batiment du centre où se trouvait au derniere nouvelle Cram, soit celui de gauche où devait se trouver Black. Elle choisit celui de gauche, elle ne connaissait pas réellement la force de Black et puis elle elle avait aussi une petite préference... Elle rentra don dans le batiment et se trouva dans un couloir parsemés de portes. Au bout d'une dizaine minutes de recherche pièce par pièce elle arriva dans un couloir où il n'y avait comme issue qu'une porte au bout de ce même couloir. Et quand elle ouvra et rentra dans la pièce se trouvant derrière la porte elle eu soudain peur pour la vie de son camarade... En effet, il y avait sur tout les objets de la salle des entaillades souvent profondes. Il y avait des vases brisés, des miroirs cassés, des livres renversés un peu partout et souvent découpés en deux. Ce n'était pas le pire dans cette salle: on y voyait aussi accompagner chaque objet d'une couleur rouge sombre qui provoquait à Arianne un sentiment de dégout. Et il y avait surtout par terre une dizaine de corps surement tous morts. Certain étaient coupés en deux, elle ne vit aucune personne qui n'avait au moins un membre de sectionné. Malgrès le repoussement que lui produisait cette scène, elle s'avanca pour essayer de retrouver son bras droit. Elle tourna devant une étagere et vit en face d'elle un épéiste avec des lunettes qui était fixer au mur par deux épée l'une sur le ventre et l'autre sur l'épaule. Ce spectacle l'effrayait mais elle se devait de continuer son exploration. Elle continua donc à chercher le corps de son cher ami et le trouva quelque étageres plus loin, lui aussi couvert de sang. Elle fut pris à cette vue d'une angoisse et se précipita sur son corps inanimé. Quelque larmes roulait déjà sur sa joue. Elle mit sa main sur son coeur et vit qu'il battait toujours. Soulagement. Elle décida de l'emmener voire le médecin. Elle le prit soigneusement sur son épaule et le porta à rythme lent pour ne pas lui donner de saccades jusqu'à la cour où elle prit la direction du batiment du milieu.

Cram:

Cela faisait déjà un moment, que Cram combattait Herman. Et depuis le début, ils se rendaient chaque coup avec la même intensité... Le combat se nouait de plus en plus et le match nul se profilait de plus en plus. Poutant l'allure du mach changait de minute en minute. Cram perdait plus de vitalité que son adversaire mais dès que le médecin était à bout de souffle, une lumière l'illuminait et il repartait frais comme un gardon mais en contrepartie ses coups étaient de moins en moins forts. Le colonel malgrès une meilleur endurance, était de plus en plus fatigué et perdait grandement en vitesse. L'un perdait donc plus en plus son attaque et l'autre sa défense. Ce combat ressemblait de plus en plus à un tournoi de joutes. Cram réfléchissait entre chaque assault à "Comment pourrait-il gagner?". Les plus simples ne marcheraient pas car pour les appliquer il devrait changer le rythme du combat et son adversaire se méfirait. Il ne lui restait plus qu'à se surpasser et d'essayer de trouver une nouvelle utilité à son fruit... A moins que... Il déclara alors à son adversaire:
- Tu n'as aucune chance et vu que tu va mourir, je vais te reveler mon fruit.
- Tu est bien arrogant mon cher.
- J'ai le fruit de l'impact c'est à dire que si je te donne un coup de pied ou de poing, elle décuple le coup avec un impact.
- Il suffit donc que tu ne me frappe pas, défiat-il.
- Oui, "il suffit", narguat-il.
Et l'assault reprit de plus belle. Herman fonca en forme taureau et juste avant l'impact avec Cram, (qui courrait vers lui lui aussi,) se mit en forme humaine et attrapa le medecin en lui tenant les bras de telle sorte qu'il ne puisse se débattre. Cram posa alors ses mains sur les mains du colonel et dit:
- Energia ultimatum.
Et alors une onde d'électrochoc traversa Herman, il tomba par terre mais bientôt Cram lui prit la tête et refit la même chose en un peu moins fort peut-être.
- J'ai le fruit de l'énergie c'est à dire que je peut donner des chocs d'énergie avec nimporte qu'elle des parcelles de mon corps. Il me permet aussi de me remettre tout mon energie au détriment de l'energie mise dans mes coups. Pas besoin de coup donc il suffit que tu me touche....
Cram lui remit deux coup de poing histoire d'être sûr qu'il soit bien envanouit, enfin c'est ce qu'il se disait mais en faite c'était surtout pour se défouler. Une goutte tomba par terre, puis deux et on l'entendit crié.
- Ca y'est Hector, toi et ton équipage sont vengés. Je ne trahirais plus jamais mes amis, il y a trop de lourdes conséquences après....


Arianne arriva alors avec moi sur son dos. Elle avait l'air inquiete rayonna de joie en voyant enfin Cram. Elle ne voyait rien autour d'elle, elle n'avait aucune préoccupation autre que son bras droit. Elle me montra au docteur, lui demandant si mes jours était en danger. Cram me regarda et dit qu'il ne pensait pas que cela soit particulierment grave mais qu'il faudrait verifier à un meilleure endroit car j'avais tellement de coupure et j'avais perdu tellement de sang qu'il ne pouvait rien dire avant de m'avoir ausculter soigneusment. Elle se rendit alors compte de l'environnement qui l'entouré et elle vit la tête du colonel et fut surpris par la force qu'il avait du donné pour marquer ainsi le marin.
- Comment t'as fait ca?
Il lui expliqua ce que faisait son fruitet elle dit:
- Il est bizarre ton fruit... Enfin bon j'éspere que tu n'es plus lié à aucune vengeance.
- Eh bien non... Je crois que c'est bon.
- Donc maintenant tu peut devenir le médecin de mon équipage souriat-elle.
Cram la regarda et se rendit compte de l'évidence de cette proposition.
- Mais t'es sur que ton pote acceptera?
- T'inquiete, il est pas si méchant je pense.
- Au fait, tu sais comment il s'est fait ça?
- Nan, je les retrouver comme ça, autour de plusieurs cadavres ensanglantés.
- Il a perdu?
- J'en sais rien mais je pense pas.

Ils échangerent ensuite quelque paroles anodines et il convinrent que il fallait mieux retourner au bateau pour analyser leur compagnon au plus vite. Le voyage dura quelques heures et fut bizarre, ils voulaient faire vite mais assez soigneusement pour ne pas me faire mal. Quand on arriva au village, Arianne m'ammena au bateau et Cram alla chercher toute ses affaires dans sa chambre à l'auberge. Ils se retrouverent sur le bateau: il y avait assez de vivre, le log Pose était rechargé et il ne manquait apparement rie. Ils déciderent donc de partir. Le médecin m'ausculta pendant que Arianne partit ammarer le bateau. Elle revint bientôt et Cram lui donna son verdict médicale:
- C'est bizarre, il est toujours vivant mais il a l'air d'être completement vidé de son énergie, je n'ai jamais vu un cas de dépassement de limites aussi grave sur ma premiere traversée. Je vais lui donner quelques vitamines et je pense que le mieux pour lui c'est de rester au repos. En somme, cela n'a pas l'air d'une grande gravité mais il devrait rester au moins cinq jours dans cette état de sommeil. Histoire qu'il recupere, par contre quand il se réveillera, il sera en pleine forme. Bon maintenant, il faut que je désinfecte toute ses coupures, ça va être long.
- Bon et ben je suis rassuré. Par contre je ne sais pas si il verra la prochaine île vu que d'aprés les cartes elle se trouve à trois jours de navigation.
Une heure plus tard, Cram remonta sur le pont pour diner. Après le repas (dénué de saveur d'ailleurs (Arianne: Oui, bah c'est bon)), La capitaine et le medecin décidèrent de discuter à l'air libre. C'était une nuit de ces nuits chaude qui donnent envie de rester dehors j'usqu'au petit matin, au lieu de rentrer dormir. Un petit vent agréable rencontrait leurs visages alors qu'ils continuèrent à parler pendant plus de la moitiè de la nuit. Voila ce qu'on a retenu de plus interressant (et dieu sait que cela ne l'était pas (d'interessant)):
- Tu sais, je suis maintenant dans ton équipage mais j'ai un rêve et si je ne peut pas le réaliser avec toi, je t'en voudrais et il est même possible que je parte...
- Quoi t'as un rêve? Je croyais que tu voulais juste te venger. C'est embetant les rêves ca fait faire des détours, rigola-t-elle. Alors c'est quoi ton rêve?
- Quand j'était petit, j'ai toujours voulu tout savoir sur un équipage pirate et un seul: celui de Gol D. Roger. Je connaissais par coeur presque tout son équipage: du bras droit au simple ravitailleur. Mais il y en a un qui a toujours retenu mon attention et malgrès qu'il soit resté moins d'un an dans cette équipage: je parle de Crocus l'un des plus grands médecins d'après la marine mais c'est LE plus grand médecin. Il était tellement avancé que même maintenant il a encore des siècles d'avance. Il a d'après la légende recensé chaqu'une des maladies qu'il a rencontré, chaqu'un des remedes qu'il a concocté, chacune des trouvailles scientifiques qu'il a faite dans un livre: le "Healthy Blue Book". Et c'est ce livre que je cherche. Je me rappelle avoir vu Crocus à l'entrée de Grand Line mais je n'est pas osai et je ne voulais pas lui demander des indications. Je ne veux même pas savoir si il existe ou non. Ce sont les espoirs qui font vivre les hommes et maintenant que je suis débarrassé du boulet de la vengeance, je vais vivre pleinement cette vie...
- Je vois, ne t'inquiète pas. Je ne vois pas comment je pourrais compromettre cette ambition.
- Et toi tu as un rêve?
- Bien sur, je voudrait faire partit des quatres empeureurs du nouveau monde....
- Ah ouai, et pourquoi pas seigneure des pirates?
- Car c'est ce que je veux depuis que je suis toute petite, souriat elle.
- Ca repond vachement à ma question ça...
S'ensuivit ensuite des tas de phrases completement inutile du genre: " Ah, qu'est-ce qu'on est bien ici." ou " Et donc où se trouve ma cabine?" qui eurent lieu pendant encore deux heures.

Le lendemain, lorsque Cram alla respirer l'air pur il vit Arianne avec son journal et lui demanda:
- Y'a des trucs sur nous?
- Non par contre de nouvelles affiche de prime ont été donné. J'espere que nous serons les prochains.
- Il y a qui?
- Il viennent tous des quatres mers avant grandline: il y a pour East Blue les mafioso pirates qui ont 25 000 000 berrys.... dans west blue un pirates qui s'appellent Samuel Frend qui est passé de 39 000 000 à 45 000 000. Et dans South blue un gars qui s'appelle Vax a eu une prime de 26 000 000 avec son équipages les crazy pirates... Ceux là j'en ai jamais entendu parler, c'est pas mal pour une premiere prime...
- Jalouse!
- Mais pas du tout, se vexat elle!
- Et c'est quoi la prochaine île?
- Ca sera Ernesty island.

La caravelle voguait donc vers Ernesty island. Une île dont personne n'avait pu avoir de nouvelles depuis deux ans et cela malgrès les aventuriers, marchands et marins envoyaient là-bas.




--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Inspirations, réferences et autre plagiat:

Voila une petite rubrique pour vous parler de mes inspirations, réferences, anecdotes ou autres....

Eugène: tiré du roman "Le père Goriot" de Honoré de Balzac que je venait de finir juste pour la création de ce personnage. Eugène de Rastignac est un étudiant ami du père Goriot qui se lance dans la vie mondaine (je vais pas vous raconter le livre). Un Rastignac est apparue dans le language de tout les jours et désigne quelqu'un d'ambitieux au terme optimale.

Jeanne (soeur d'Eugène): tiré de la serie de roman historique: "Les rois maudits" de Maurice Druon. Jeanne est l'une des trois belle fille de Phillipe le bel. Avec Blanche et la complicité de Margerite, elle va tromper son mari fils du roi. Elle sera condamnés à la prison à perpetuité mais son mari la mettra au couvent.

Arianne: mon prénom si j'aurais été une fille. Arianne est connu pour son fil qu'elle donna à Icare pour se guider dans le labyrinth du minotaure.

Cram Tevoc: A l'envers Marc Covet. Marc Covet est le journaliste ami de Nestor Burma dans l'oeuvre du même nom de Léo Malet.

Hector (capitaine du premier equipage de Cram): prenom de ma soeur si elle avait été un garçon. Hector est le frère de Iphigénie et Electre. Voire l'épisode de la guerre de troie et la fin. C'est une histoire longue et je la raconterais pas désolé.

Voila je crois que c'est tout ^^
Il y aura d'autre rubrique comme ca lorsque je trouverais quoi rajoutais.

P.S: désolé pour les fautes de noms propres mais j'ai fait tout ca de tête ^^
P.s 2: Je vous recommande les 3 oeuvres cité : le pere goriot est prenant surtout à la fin par contre les 50 premieres pages sont ennuyeuse (pour moi)
les rois maudits c'est sympa et interessant moi j'aime bien. C'est pour ceux qui aime bien l'histoire.
Nestor Burma: mes romans policiers preferés. De l'action, de l'humour, de l'amour xD. Certaine sont moyenne mais en
génerale j'adore completement. Nestor Burma est celui qui me ferait aimé Paris.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Ven 6 Mai 2011 13:52 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Chapitre 6: Un fruit inquiétant




Arianne et Cram faisaient chemin vers la prochaine île que leur indiquait leur Log Pose. Cette île s'appelait Ernesty Island et était répertorié dans un des livres d'Arianne comme étant une île sauvage et inhabitée. La traversée avait été calculé et devait durer 3 jours. Et ces calculs s'avérèrent juste, car dans l'aprés-midi de la troisième journée, Arianne se leva brutalement de son transat où elle lisait en détail le journal du jour et cria à son camarade:
- Viens voire, notre prochaine île est en vue.
Ses livres ne mentait visiblement pas car c'était une île avec beaucoup de végétation pleine d'immenses, plantes et de verdures, aucune habitation ne se profilait à l'horizon. C'était une île assez petite. Le bateau accosta sur une plage se trouvant au nord un quart d'heure plus tard. Les deux pirates déscendirent sur cette plage pour se dégourdirent les jambes. Déjà Arianne ne voulait qu'une chose:
- Il faut explorer cette île.
- Oui, mais comment on fait pour Black.
- C'est pas grave, t'as bien dit qu'il n'a pas besoin de soins particulier et cette île à l'air inhabitée....
- Détrompe-toi, regarde là-bas.
En effet, on voyait sur la gauche un petit chemin prouvant le passage répété d'au moins une personne.
- Je ne pense vraiment pas que Black soit en danger. Allez suis moi on va voir où va se chemin.
Et Arianne entraina son camarade contre sa volonté sur le chemin. L'appel de l'aventure était prioritaire. Cram cédant à tant d'engouement se détacha et la suivit en marchant. Il s'enfoncèrent dans la végétation coupé juste pour la taille d'un homme. Et malgrès cela il fallait bien souvent s'agenouillirent car les passages avait souvent l'étroitesse de la taille d'un enfant. Il y avait de divers plantes exotiques avec chacune sa couleur spécifique créant un mélange d'une certaine beauté (il fallait aimer l'exotisme en faite). Cram regardait chaque plante avec interet se demandait quelle qualités médicinale pouvait y receler. Mais il n'avait pas le temp de s'émerveiller longtemps car Arianne continuait sans faire attention à ce qui l'entouré. Au bout de quelques temps, le chemin arriva dans une pente qui se terminait que bien plus haut. Au fur et à mesur de la montée, la végétation laissait place à des rochers de différantes couleurs: rouge, gris, orange, noir.... Après cette montée le chemin redescendait dans une plaine qui cette fois n'était pas envahit par la végétation mais remplit de rocher et graviers. Il y avait au centre de cette plaine rocheuse, un manoire sombre où le chemin s'arretait. Cram ressentait un mauvais pressentiment dans cette maison, mais il ne pouvait prendre le temps de vraiment y réfléchir s'il ne voulait perdre son amie de vue qui était déjà dans la cour et qui frappait à la porte d'entrée de ce lieu lugubre.
Personne ne lui répondit et elle decida d'ouvrir la porte juste au moment où le medecin était arrivé à la rattraper. La porte s'ouvrit avec un grincement qui glaçat le sang de Cram. Il voyait un couloir éclairé juste par la lumière qui transparaissait par la porte. Arianne était déjà à l'intérieur et criait:
- Hé ho, il y a quelqu'un?
Le silence qui suivit lui en rapporta la réponse. Cram avait de plus en plus un sentiment de peur et de rejet. Il voulait rappelait son capitaine mais celle-ci était déjà dans dans une nouvelle pièce. S'ensuivit une visite de chaque pièce pour voire si il y avait des personnes habitants cette maison. Les pièces s'ensuivait sans trouvaille. Le lieu était richement décoré mais un sentiment de vieillissement persistait. Arianne visita ainsi tout le premier étage sans trouver d'êtres vivants que des toiles d'araignée et des souris courant dans la cuisine. Elle trouva l'escalier partant vers le premier étage et s'y élanca suivi de Cram toujours anxieux. Cram n'en pouvait plus et lui dit:
- Arianne je le sent pas. On peut pas retourner sur le bateau, s'il te plait. On attend que le Log Pose se recharge et on s'en va.
- Mais non, on s'amuse bien ici et puis il y a personne.
Arianne ouvrit la porte qui se trouvait devant elle et eut un saut de surprise. Elle avait en face d'elle dans la pièce un garçon d'une quatorzaine d'année qui la toisait avec un mélange de mépris et d'amusement. Cram était rassuré par la forme que la mence avait prise jusqu'à qu'il vit le regard du garçon. Arianne ne fit pas attention au danger potentiel que representait son visage et dit:
- Salut gamin, qu'est-ce que tu fait là?
Il avait un chapeau de noble, une chemise et une veste de grande facture et un pantalon de velours. Tout cela était d'un vert émeraude qui avait la même couleur que son regard amusé.
- Vous en avez mis du temps à venir, dit-il en omettant la question. Je vous attend depuis des heures. Puis-je avoir les noms des personnes à qui je vais....
- On est des pirates, dit Arianne. Et toi pourquoi t'es là? retentat elle.
Le gamin commencait à être agacé par Arianne mais il retrouva son air moqueur et dit:
- Vous n'avez pas l'air trés interessant. Des mois que j'attend de la compagnie et je tombe sur des pirates pathétiques.
Sa voix était celle d'un garçon mais était chargé de mépris et de moqueries. Il avait beau l'air innofensif, Cram décelait en lui un grand danger.
- Cela fait bien longtemps que je n'est pas eu de distraction. Jouons un peu. C'est un jeu universelle que je vous propose. Vous devez survivre. Si vous gagner vous recevrer le plus grand honneur de ma part.
Il attrapa une souris en train de courir qui se trouvait par terre et à son contact la souris eu un spasme et tomba raide morte.
- Il se trouve que j'ai mangé à l'âge de 8 ans l'un des fruits les plus dangeureux. Si bien, qu'après quelques erreurs malencontreuse, on m'exila de mon île natale. J'ai mangé le fruit de la mort au moindre contact vous mourrirez.
Il se délecta de la mine apeuré de Cram et celle réjouit et inconsciente de Arianne.
Cram prit Arianne par la main et l'entraina en dehors de la pièce puis courrus à traves les couloirs pour finir à l'exterieur de la maison.
- Mais qu'est-ce que tu fais? Il nous a proposé un défis. Bon c'est sur que ce qu'on peut gagner et pas terrible mais...
- Il faut partir Arianne. C'est trop dangeureux ici.
Arianne eut soudain un regard de surprise et Cram se retourna. Il y avait derrière lui des trous dans la terre qui se formait et bientôt une mains squeletique sortit de terre, puis un crâne. Des squelettes sortaient de sous-terre et se relevaient debout puis avancaient lentement vers les deux pirates. Cram allait recommencer à courir quand un bruit de fenetres brisé le fit s'arreter. Le gamin avait sauté par la fenêtre et s'était fait rattraper par un squelette qui le reposa à terre.
- Il ne sert à rien de fuire.
- Je ne comptais pas fuire, dit Arianne.
Déjà vingt autre squelette sortait de terre. Le gamin s'asseya sur un banc non loin de là et les regarda comme s'il s'agissait d'un spectacle. Cram voyait que la fuite ne servirait pas. Plus qu'une seule solution. Il courru vers le gamin. Malheureusment trois squelettes lui barrèrent la route en l'empechant de continuer. Il leurs donna des coups de poings avec le plus d'energie possible si bien que les trois s'écroulèrent avec leurs os éparpillés un peu partout. Il continua d'avancer mais il sentit une griffure dans son dos. Les trois squellettes s'était reconstitués et déjà des tas d'autres arrivaient pour l'encercler. Il commenca à attaquer ses squelettes mais bientôt les squelettes se trouvaient tout autour de lui et il se fit alors attaquer de toute part, tentant de parer le plus possible mais il y en avait trop et il sentait sa peau se déchirait dans son dos. Il avait fais l'erreur de partir sans Arianne.

Quand à celle-ci elle avait sortit son baton et faisait de grand moulinet en tranchant en deux tout les squelettes qui s'approchaient un peu trop dangeureusment d'elle et même si ceux-ci se reformait assez vite Arianne était si précis qu'elle n'avait encore reçut aucun coup. Elle commencait à s'inquiétait, Cram était parti attaquer le gamin car c'était surement lui qui controlait les squelettes et vu qu'ils était toujours aussi agressif cela voulait dire que Cram n'avait pas porter de veritable coups au gamin. Elle entendit alors comme pour confirmer sa pensée le rire du gamin. Elle devait retrouver son medecin. Elle se transforma en oie et s'envola au dessus des squelettes qui la lacérèrent au passage sur les cotés. Elle devait ranger son baton pendant ses transformations si elle ne voulait pas le perdre. Elle monta jusqu'à la hauteur du premier étage du manoire et vit que son ami se faisait submerger par le nombre de squelettes. Elle piqua vers l'endroit où il se trouvait et fit une entrée fracassante, en envoyant une dizaine de squelettes voler plus loin. Avec son arrivée, Cram reprit espoir et combattit de plus belle. Ils se retrouvèrent bientôt dos à dos en train de combattre tout les squelettes qui les encerclaient. Le gamin riait au larme:
- Rien n'est plus fort que le pouvoir de la mort!
Les attaques fusaient de tous cotés, les squelettes tombaient, se relevaient, retombaient. Ils combattaient bien mais l'issue paraissait inchangeable. Au bout de quelque minutes la folie de leur retrouvaille commenca peu à peu à disparaitre et Arianne et Cram reçurent quelques coups plus ou moins grave. Arianne reçut à un moment un coup un peu plus fort que les autres sur les épaules et s'agenouilla sous le coup de la douleur. Cram se retourna pour voire pourquoi il ne sentait plus sa coéquipière debout et se prit un coup dans le ventre.


- BLACK, BLACK A L'AIDE!!!!
Je me reveillais en sursaut. Je suait à grosse goutte. Arianne était en danger, je le ressentais. Je me levais enjambais le lit et enfilais en vitesse quelque habits. Je sortis de ma chambre et partis en trombe du bateau vers où mon instinct voudrais bien me mener. Je voyait bientôt un chemin et décidai de l'emprunter. Arianne était au bout de ce chemin, j'en étais sûr.

Du coté des deux pirates, le combat était redevenu "stable". Arianne s'était relever par instinct de survie. Elle se sentait bête, d'avoir appeler Black dans ses pensée lors de sa courte faiblesse quand elle avait reçut une blessure à l'épaule. Elle et Cram se trouvaient toujours dos à dos, toujours plus encerclé par les squelettes, toujours plus affaiblis par l'accumulation de blessures. Elle entendait derrière les bruits de la bataille, le gamin qui riait toujours au larmes. La situation n'avait aucune échappatoire mais elle se battrait héroïquement jusqu'à la fin. Cela faisait un moment qu'elle se battait, et à chaque fois qu'elle se sentait s'affaiblir une pensée la ranimait et elle repartait de plus belle. Cela avait était d'abord le fait qu'elle voulait continuer de vivre, puis l'ironie de cette mort car elle avait enfin trouvé des compagnons et pour finir le fait que si elle cédait cela voulait dire la mort de Black. Cram lui dès qu'il commencait à faiblir, s'illuminait pour redevenir frais et dispo. Arianne recommencait à faiblir et commencait à accepter cette mort quand elle vit des squelettes volaient de toutes part et entendit Black crier:
- J'ARRIVE ARIANNE! (et Cram aussi)
Cela lui remit du baume au coeur et elle essaya de ne pas céder en attendant l'arrivée de Black. Il arriva bientôt par une "brèche" qu'il venait de se créer et qui se referma juste après son passage. Et donc le combat continua comme au départ sauf que au lieu d'être deux ils étaient trois. Cram dit:
- Mais t'es completement con! Il faut défoncer le gamin sur le banc!
- Ah bon je croyait que vous vous battiez pour le sauver
- . . .
- Mais tu vois pas qu'il se fout de notre gueule....
- Ah ouai? Je pensai que vous lui aviez dit quelque chose de drole juste avant que j'arrive.
- . . .
- Bon bah pas grave, je viens d'avoir une idée.
Cram leur expliqua son idée. Heureusment que les squelettes ne comprennaient pas leur language.... Les deux autres acquiésèrent et l'opération démarra aussitôt. Leurs patiences étant actuellement assez limités.

Arianne et Cram sautèrent sur l'épée de Black qui les propulsa en l'air et finit son coup en tournant pour fendre en deux tout les squelettes autour. Le gamin s'était arreter de rire et les regarder avec de grands yeux surpris. Arianne se changeat en oie en plein vol et lorsque qu'ils atteignirent l'apogée de la projection, se mit droit avec son bec tourné en face du gamin et Cram frappa de toute ses forces dans ses palmes. L'énergie propulsa Arianne vers l'enfant qui commançait à sourire confiant. Il leva sa main avec la ferme attention de toucher Arianne pour faire comme il avait fait à la souris c'est à dire la tuer. Arianne ne pouvait dévier son lancement car malgrès qu'elle puisse voler, elle allait à une telle vitesse que si elle sortait ses ailes du long de sa taille, elles risqueraient d'être arrachées... Arianne arriva à portée du gamin qui mit la paume de sa main sur les plumes de ses hanches et se prit en même temps le bec d'Arianne qui le transperca au niveau du ventre. Les deux corps furent propulsés inertes un peu plus loin, à quelques mètres l'un de l'autre. Les squelettes continuaient de se battre. Le gamin était il assomer? Arianne était-elle encore en vie? Black commencait d'ailleurs à faiblir. Et si les squelettes vivaient inpendemment du gamin? Cram se posait toute ces questions quand d'un coup les squelettes tombèrent tous en même temps en petits tas d'oselet. Black fit un bond sur le coté et rattrapa Cram avant qu'il touche le sol. Il faillit chanceler face au poids de Cram. Et quand il retroyva ses appuis, Cram se dégagea et courrut vers le corps d'Arianne. Il la retourna car elle se trouvait sur le dos et mit sa main sur son coeur. Celui-ci battait. Le medecin souffla de soulagement sous les yeux de Black qui ne comprenait rien. Arianne reprit alors comme par magie ses esprits et rouvrit ses yeux:
- On a gagné, demanda elle.
- Oui, ne t'inquiete pas. Je suis heureux que tu n'est rien, dit Cram.
- J'ai cru que j'allait mourir, dit Arianne. Visiblement, c'est sa volonté qui tue les gens et non le contact.
- Oui surement, bon fuyons maintenant. Il peut peut-être tuer à distance mais dans un rayon d'activité limité.
- Oui tu as raison.
Cram vit un écureil et l'attrapa.
- Qu'est-ce que tu fait? dit Arianne.
- Je le fais toucher par le gamin, peut-être qu'il ne peut tuer que ceux qu'il a touché en dernier...
- Je comprend rien, dit Black qui n'avait pas parler depuis quelque minutes.
- Laisse tomber, tout est fini comme si c'était un cauchemar.
Le petit groupe de pirates repartit alors vers leur caravelle. Tout était fini et les pensée de tous allait vers la prochaine île. D'ailleurs, ils seraient parti le plus vite possible si le Log Pose n'était pas rechargé. Ils mesurèrent le danger et décidèrent de rester jusqu'au soir pour laisser au Log Pose le temps de se recharger ou sinon il partirait en tentant de se reperé par les cartes ce qui était folie mais moins encore que de revivre cette mésaventure.

Lorsque le Log Pose fut rechargé dans la soirée, ils commencèrent à faire les manoeuvres pour repartir mais une voix les appelas:
C'était le gamin qui disait:
- Prener moi dans votre équipage!


Les trois pirates arretèrent leur occupation, incrédule et s'aprochèrent du gamin. S'ensuivit alors une discution qui pour plus de compréhension sera donné sous forme de dialogue théatrale:
Arianne: Quoi! tu veux venir avec nous?
Black: Je suis contre. Il veut nous tuer et maintenant il vient. C'est un peu facile.
Cram: Et puis, pourquoi veux-tu venir?
Le gamin: Je voulais trouver un équipage suffisament fort pour prendre la mer et je pense que vous avez le niveau.
Black: En gros tu as risquer nos vie pour nous "tester".
Le gamin: Ouai.
Black: J'vais t'passer l'gout de....
Arianne: Moi sa me gêne pas que tu vienne. Plus on est de fous et plus on rit.
Cram: moi je suis contre. J'ai peur qu'il ne soit pas sincère.
Auteur: Moi je suis pour, le fait qu'il est le fruit de la mort pourrait créer des situations cocaces qui ferait monter l'audience...
Les trois pirates: MAIS QU'EST-CE QUE TU FOUT LA!!!
Auteur: Bah j'ai bien le droit de voter pour savoir qui constitura votre équipage quand même...
Le gamin: Moi je suis pour donc ca fait 3 contre 2.
Arianne: Ouais!
Black: Non mais tu peut pas voter toi.... Et en plus la voix de l'auteur ne compte pas il fait pas partis de l'équipage...
L'auteur *prenant son carnet*: Alors programmons la mort de Black...
Black: Bon ok tu comptes...
Cram: Et puis si t'as le fruit de la mort tu pourrais nous tuer sans faire exprès...
Auteur: D'ou les situations cocasses....
Black: Mais tait-toi!!!!
L'auteur: Et black se fit latter par....
Black: C'est toi que je vais latter....
Cram:... et si tu n'es pas sincère on ne passera pas la nuit.
Le gamin: Tu pense qu'à ta peau toi dis donc...
Cram: Bah ça serait mieux qu'on meurt pas après juste 6 chapitres. Ca fait un peu nullos...
Arianne: Mais allez il faut qu'il vienne. On se marera bien avec ses squelettes.
Le gamin: Ouai. Si vous voulez ils peuvent faire un barbecue...
Tout le monde: ...
Black: Bon, et à part ça... Tu sais faire quoi? Et sinon comment tu t'appelles déjà?
Auteur (en aparté): Ne croyez surtout pas que c'est un oubli narratif.
Le gamin: Je m'appelle Ultoria. Et je suis cuisinier.
Black: Ah, t'es cuisinier ca change tout alors!!! Allez, on le prend. On va enfin pouvoir manger correctement...
Arianne: Tu m'enerve toi!!! Moi je vote contre maintenant, j'aime pas ton prénom. Et puis l'autre là, il me gonfle...
Black: Bah justement j'arreterai si tu fais plus la cuisine.
Arianne; Mais t'as qu'à la faire!!!
(Dispute)
L'auteur: Bon arreter sinon je brule votre caravelle.
Black: La menace à deux berrys...
Le gamin *tentant de ramener la discution au sujet principale*: Bon on me prend...
Cram: Ah j'ai trouvé un argument en notre faveur: t'as pas eu de flashback.
Black: Il est naze ton argument...
Auteur: Si vous voulez, je vous le met maintenant...
Black: Nan, c'est bon.
Arianne: En plus moi j'ai pas encore eu de flash back....
Cram: Ouai, mais toi t'es capitaine.
Arianne: Eh ben?
Black: Moi je veut qu'on le prenne, on va enfin manger convenablement.
Auteur: Audience! Audience! Audience!
Black: Bouffe! Bouffe! Bouffe!
Le gamin: Moi! Moi! Moi!
Arianne et Cram: ...
Black: En plus c'est le narrateur et l'auteur qui veulent qu'il vienne. Donc on a des votes privilégié.
Cram: Je croyais que tu voulait que l'auteur ne compte pas....
Arianne: Et moi je suis capitaine quand même.

...

La caravelle fendait la mer, voiles aux vents. Arianne et Black discutaient sur le pont en regardant régulierement le Log Pose pour s'assurer qu'ils aillent bien dans la bonne direction. Une voix alors s'éleva:
- A table! La bouffe est prête!
Les deux compères descendirent dans la salle à manger où le repas tronait déjà sur la table. C'était du poisson finement découpé à l'herbe. La table avait été arrangé pour qu'elle puisse contenir quatre couverts malgrès sa petite taille. Cram était déjà assis sur sa chaise et les regardaient rentrer. Black dit:
- Enfin de la bouffe différente.
- Si tu continu je te balance par dessus bord, dit Arianne (j'imagine que c'était évident...).
- J'espere que ce sera bon.
- Ca peut pas être pire que toi...
- Bing
- Vous me direz ce que vous penserez de tout ça. C'est la première fois que je fais à manger.
- Ok Cram. Et sinon pourquoi tu as mit quatre couverts.
- Bah je croyais que l'auteur resterais manger.
- Ah bon? Je croyais que c'était pour faire croire au lecteur que l'on avait recruter Ultoria.
- Ah d'accord! dit Arianne. Bon et bien, à la santé de notre prochaine île.
- Et à ce repas qui n'a pas été fait par Arianne.

A la fin de ce repas, Black partit rapidemment sur le pont. Intoxication alimentaire d'après Cram.
Le petit groupes de pirates continuait donc à voguer joyeusement jusqu'à la prochaine île.



voila bonne lecture

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Ven 6 Mai 2011 16:33 
1 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 02 Mai 2011
Messages: 30
Localisation: sur le bateau pirate de zaxi le dangereux, dans un océan rempli de monstre!!
houla que dire : bah moi jadore ton histoire. jai lu les 6 chapitres dun coup.
il ya des fautes d'ortographe mais moi jsuis pire dc sa me dérange pas.
alors jaime bien les personnages, mais même si on la vu pas longtemp mon préféré est le gamin, Ultoria mais tu la pas pris dans l'équipage.. :Ussop gloups:
ah oui faire intévenir "l'auteur" est marrant mais si tu le fait trop souvant sa va faire trop
sinon continue moi je vai te suivre dans ta fic
continue je veux la suite!!!!!! :luffy langue:


edit : bah derien :Vogue Merry: ta vu moi aussi je repond avec boucoup de retard donc cest pas grave.
Donc cool pour l'auteur qui intervien mais pas trop souvet et pas grave (mais decu quand meme un peu) pour Ultoria. jespère qu lon revera un jour ou l'autre
et le septiem chapitre alor? :Zoro cri du sabre: il est ou? on le veut on le veut

_________________
Image

Hissez le drapeau noir!!!
A l'Abordage!!!!!


Dernière édition par zaxi le dangereux le Mer 25 Mai 2011 13:55, édité 2 fois.

Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Mer 11 Mai 2011 22:20 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Et bien merci (avec retard) vraiment CA fait longtemp que je n'est pas eu de commentaire a part par mp. L'auteur ninterviendra pas trop (de temp en temp quand même ^^) et ultoria je ne voulait pasque se soit lui le cuistot de l'équipage ^^ ce chapitre était une sorte dinterlude pour s'amuser un peu et avoir beaucoup de chose réunit en un chapitre.
Je rajouterait que je n'est toujourspas démarré le prochain chapitre ^^

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Mer 8 Juin 2011 17:52 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
je suis enfin arrivé à bout de mon ordinateur portable youpi!!!
après beaucoup de probleme d'ordi de voyages, etc... je vous livre le 7eme chapitres de ma fic en esperant que le 8eme ne mettent pas autant de temps =)

Chapitre 7:





Nos trois pirates étaient toujours sur leur caravelle qui les guider vers la prochaine île. Cela faisait 5 jours qu'ils étaient partis d'Ernesty Island et Black s'était remit de son intoxication alimentaire. Il fut décidé au vue de cette expérience, principalement par Black, que cela serait Arianne qui preparerait les repas jusqu'au recrutement d'un nouveau cuisinier. Cram aurait surement été vexé s'il n'était pas gené par cette accident. Ce repas eut pour autre conséquence que Black arreta de se moquer de la cuisine d'Arianne durant les premiers jours suivants mais fidéles à ses habitudes recommenca peu à peu à taquiner sa capitaine (au début allant de la simple allusion puis aux moqueries ouvertes). L'equipage continuait donc joyeusement dans ses rires et moqueries habituelle. Et c'est ainsi qu'ils arrivèrent sur la prochaine île sans accident notoire. L'air devenait plus frais, le vent baissait et le climat se faisait plus stable: ils s'approchaient d'une nouvelle île. Black n'attendait plus que l'appel d'Arianne pour en être certain et celui-ci arriva quelques heures plus tard. Il monta à l'air libre et regarda par dessus bord. Une masse noire, pour l'instant indéterminée mais dont tous le monde savaient ce que c'était, se profilait à l'horizon. Ils ne voyaient pour l'instant qu'un petit point d'une couleur qui tirait sur le rouge. Cette tache fut de plus en plus grosse au fur et à mesur de leur avancée vers ce point. Et les couleurs éclatèrent: on ne voyait maintenant pas que du rouge mais aussi du jaune, de l'orange, du vert dégradé en un nombre de couleur infini. Ces couleurs provenaient de la fort imposante qui avait l'air de surplombait l'île. C'était l'automne sur cette île. On voyait aussi sur la droite un morceau de gris ou quelque batiments commencaient à se détacher. Cette île était aussi entouré d'un bleu turquoise de la mer et toute ces couleurs emerveillait les deux garçons de l'équipage. Arianne quand à elle était trop absorbée par son envie d'aventure et s'était plutôt le gris sombre qui l'entourait. Quelque chose l'attirait vers cette ville et cela devait paraitre tellement evoident que même Cram et Black se regardèrent d'interrogation. Mais ils n'avaient pas le temps de s'interroger sur des choses aussi futiles car il fallait préparer les manoeuvres d'accostage. Quand le bateau fut "garer" au port et que Cram allait demander à sa capitaine le pourquoi de cette enthousiasme, il s'aperçut qu'elle était déjà partit.
- Mais qu'est ce qu'elle lui prend? Il faudrait trouver un moyen de la calmer...
Cram et Black sortirent du bateau et commencerent à chercher dans chaque magasin. Ils mirent au moins un quart d'heure pour la retrouver enfin dans un petit restaurant à quelque rue plus loin de la voie principale.
- T'aurais pu nous attendre quand même.
- Désolé, mais j'avais faim.
- ...
- Et puis pourquoi tu t'es pas arreter à des restos plus pret?
- J'sais pas, j'ai foncé tout droit jusqu'au premier restaurants en vue.
- ...
Ils s'asseyerent et commanderent eux-aussi leur déjeuner sous les murmures de la vendeuse (z'aurais pas pu arriver en même temps que l'autre gourde... Ca m'fait faire un voyage de plus ct'affaire).
- Vous avez vu toute les affiches qu'il y a sur le mur, dit Black.
Car effectivement il y avait un peu partout des affiches présentant des plats à allure succulentes. Il y avait inscrit dessus:
La prestigieuse compétition de Garlen Town's food (ou plus communement appelé Garlen's food) aura lieu le 16 de ce mois-ci. Tout les meilleurs cuisiniers de la première partie de la route de tous les périls y seront: 5 berrys la place.

- Ca pourrait être la bonne occasion pour trouver enfin un cuistot compétent.
* coup de poings d'Arianne*
- Ouai mais ça aura lieu dans une semaine...
- Je suis pas sûr d'arriver à attendre aussi longtemps, dit Arianne.
- Servante, appela Black!
( J'lui en fouterais moi des servantes... Et puis qu'est ce qu'il me veut encore ce rigolo. Bon Jocelyne calme toi... Le client est roi après tout...)
- Qu'est que ce sera pour monsieur?
- Je voudrais en savoir un peu plus sur la Garlen town's food...
- Et si possible avoir les adresses des cuisiniers inscrits, coupa Arianne.
- Et bien, commenca la "servante". La Garlen Town's food, où plus communement appelé Garlen's food, est une compétition réunissant les plus grands cuisinier de la première partie de Grand Line.
- Vous mentais, c'est marqué de la première partie de la route de tous les périls, dit Cram.
- Les participans pourront s'inscrire jusqu'à aprés-demain et à partir de cette date là devront faire le meilleur plat possible qu'ils presenteront le jour de la compétition. Il y a déjà de nombreux participants mais il y en a veritablement trois qui sorte du lots. Je vais vous noter leur adresse.
Et la serveuse repartit à la recherche de papier et de crayon.
- Mais pourquoi veux-tu l'adresse des participants? demanda Cram.
- Bah comme ça, pas besoin d'attendre on va voire qui est le meilleure des trois et on l'engage.
- ...
La serveuse revint un bout de papier à la main:
- Donc il y a: Jyffain de Down Magic qui se trouve actuellement dans un hotel assez luxueux au 9, rue de la mouette.
le meilleur cuistot d'ici: Bervie. Il possede un manoir un peu à l'écart du centre touristique au 805, rue des dreamers
et le clan Padre qui ont engager des cuistots réputés à leur villas sur la cote au 674 rue des moulinets ensanglantés.
- Merci beaucoup.
La serveuse repartit, et lorsque qu'ils finirent de manger, ils repartirent sans penser à payer.

L'aprés midi fut utilisé pour rechercher un cuistots assez bon pour qu'ils puissent le prendre. Ils allèrent donc à la premiere adresse, après avoir demander leur chemin à un vieux monsieur, qui se trouvait à trois rues de la place principale mais où il n'y avait bizarrement presque personne par rapport à la foule qui se trouvait dans les rues marchandes. C'était un hotel luxueux fait pour des gens possedant un minimum de richesse qui parassait à Black plutôt commun vu sa grande richesses passé. Les deux autres était par contre émmerveillés par l'allure de noblesse que dégageait cette hôtel. Ils rentrèrent dans l'hôtel et tout de suite un receptionniste s'avança vers eux:
- Que me vaut votre visite? Il me semble que vous ne faites pas parti de nos résidents actuelle. Vous venez pour louer une chambre? A moins que vous sayez des perturbateurs si c'est cela je peut appeler la sécurité vous savez et puis...
- Nous sommes venu voir une personne, coupa Cram.
- Hmmm, et qui est cette personne? Car si ...
- Cette personne est ... Jyffrain, recoupa Cram en regardant la feuille où se trouvait le nom des trois cuistots.
- D'accord, je vais voir si il veut vous recevoir car si c'est une blague et que... dit il en partant vers un escargophone.
Il nous fit signe d'approcher et nous dit:
- Il n'a pas l'air d'être dans sa chambre et pourtant il n'y a pas sa clé à la reception donc il n'est pas sorti. Peut-être qu'il dort... Tenez voici la clé de sa chambre: c'est la 805 au 5 ème étage. Et si vous ne retrouver pas votre gaillard (et même si vous le retrouver d'ailleurs) vous avez interet à me remettre la clé quand vous partirere et je vous ai à l'oeuil car vous m'avez l'air de sacré sacripants et...
Le groupe de pirates se trouvaient déjà dans les escaliers. Ils arrivèrent bientôt devant la porte de la chambre 807 et après une reflexion d'Arianne qui fit remarquer qu'ils n'étaient pas devant la bonne porte, ils frappèrent à la porte de la chambre 805. Personne ne nous répondit Arianne refrappa une seconde au bout d'une trentaine de secondes. Toujours pas de réponse. Cram prit la clé vérouilla la porte, tourna la poignée de la porte et vit que la chambre était fermé il remit la clé fit la même manipulation dans l'autre sens et cette fois la porte s'ouvrit:
- Tu sais même pas ouvrir une porte...
- Oui peut-être mais cela veut dire que la porte était ouvert au départ...
Et effectivement ils tombirent sur une piéce vide mais en désordre.
- Oh! Jyffrain a été enlevé!
- Quelle surprise...
Les trois pirates fouillérent la pièce en quête d'indice mais ne trouvèrent rien à part une petite entaille sur le pied d'une des chaises. Rian n'avait été visiblement volé. Ils ressortirent donc bredouille et interrogatif.
- HEY! Vous deviez me rendre la doublure des clés! J'en été sur que...
Cram lui tendit les clés esperant que le bonhomme stoppe sa tyrade.
- ... vous etiez ,merci, des gens sur qui on ne pouvez compter et qui...
Les pirates avaient déjà changer de rues.

- Bon et bien on tente la deuxième maison.
- Allons-y.
Ils retrouvèrent bien vite le vieux monsieur qui leur indiqua la direction du manoir de *regarde la feuille* Bervie. Et quand ils tombèrent sur la maison ils s'appercurent qu'ils auraient tout aussi bien put suivre la grosse trainée de fumée noire car le manoir de... Bernie était en flamme. Les trois compagnons arrivèrent bien vite à la conclusion que "l'enlevement" de Jyffrain devait avoir un rapport avec cet "accident". Le feu ne devait pas avoir été allumé depuis longtemps car aucun badeau ne se trouvait au milieu de la rue à regarder les flammes dancer à travers la maison comme hypnotiser par cette rage destructrice tels Néron s'inspirant des flammes de Rome pour... hmm je m'égare... Et donc Cram suggera de partir le plus vite possible de cet endroit afin qu'aucune personne ne les voyent ici et ne les prennent pour les coupables. Ils s'éloignèrent du manoir et rejoignirent la grande place où Black demanda:
- On va voir la troisième adresse ou on a notre compte de catastrophe.
- J'irais bien voir la prochaine maison pour voir quelle sera le prochain supplice fait à l'un des cuistots, dit Cram.
- Il faut vite aller à la troisième maison, répondit Arianne plus serieusment. Avant que la personne qui nous empeche de recruter un cuistot ne fasse pareil pour le troisième.
- Ca m'étonnerait que cette personne a pour ambition de faire en sorte que l'on ne recrute pas de cuisinier sur cette île...
Ils vîrent le vieux monsieur assis sur un banc près d'une fontaine qui leur indiqua le chemin pour la troisième maison. Ils repartirent donc vers la troisième destinations en se demandant si quelque chose arriverait encore qui les empecherait de recruter. Ils arrivèrent devant une villas proteger par de nombreux grands hommes caostauds habillés en noire. A leur grande surprise cette villa n'avait visiblement aucun problèmes notoire:
- Black tu me doit 20 Berrys.
- Et merde...


Les trois compères s'avencèrent jusqu'au portail où un escargophone leur hurla:
- C'est pour quoi? On veut pas de démarcheurs.
- Non c'est pas pour ça, repondit Cram en jetant un coup d'oeuil à sa feuille. On voudrait parler à... Mr Padre.
- Et c'est pour quoi? On veut pas de quemendeur non plus.
- On voudrait lui parler de la compétition de Garlen's food.
*******
Jack était actuellement affécté à l'une des taches les plus ennuyeuses: la surveillance du portail. Par chance, pour l'une des premieres fois de sa vie, des gens étaient apparus en face de son domaine. Mais malheureusement, il ne pouvait leur parler ou les faire entrer histoire d'avoir un peu de compagnie à cause des ordres très strictes de Mr Padre. Il les avait donc accueillit séchement alors qu'il aurait plutôt voulu qu'ils viennent pour le faire patienter jusqu'à la fin de son service. Une voix grave se fit alors entendre derrière lui....
- Jack laisse les rentrer, j'ai une idée...
- Oui, Mr Padre.
*******

Le portail s'ouvrit après un temps d'attente et les pirates entendirent l'escargophone leur crier:
- Ok, vous pouvez rentrer.
Ils rentrèrent donc dans la cour du domaine de Mr Padre. Ils virent de partout des tas d'hommes en habits noirs et avec des lunettes de soleil droit avec chacun une pose immobiles comme ci ce spectacle devait impressioner les invités et faire détaler les personnes ayant des attentions malhonnètes. Ils s'avancèrent vers l'entrée et un vieux monsieur (pas le même que celui de la place) les guida vers l'endroit où se trouvait le propriétaire des lieux. Dès nos premiers pas nous furent suivi par deux de ces grand hommes tout de noire vétus. Ils nous suivirent à la trace ne nous laissant aucune marge de liberté. Les couloirs étaient richment décorés avec d'anciens meubles, des tableaux représentants surement les anciens propriétaires du lieu. Ils marcherent ainsi pendant quelques minutes avant d'arriver devant une grande porte impossante d'une couleur grise brilliante. Le vieil homme mit son doigts sur une plaque et dit à haute voie:
- Ce sont les invités monsieur.
Une voix grave lui répondit:
- Faites les rentrer.
Nous rentrâmes tous les trois et virent en face un homme d'une quarantaine d'années, le sourire au coin des lèvres les regarder d'un oeuil rigolard. Il avait les cheuveux coiffés à la gomina. Un monocle et une cigarette dans la bouche. Il était habillé richement et avait plusieurs bagues au doigts. (Tous de suite les vieux clichés...)
- Bienvenue, chers amis veuillez vous asseoir, leur dit-il en leur montrant trois siège devant son bureau. Pourquoi êtes-vous venu?
- Et bien on est venue pour voire si le cuisinier que vous aller présenté est bon.
Black lui chuchota:
- Mais qu'est-ce que tu lui raconte.
- Oui notre cuisinier est excellent. Mais pourquoi me demandait vous ça?
- Eh bien... Nous sommes le comité de...
- En faite on est à la recherche d'un bon cuisinier pour notre équipage, dit Arianne. Et on est allé voire deux autres participants mais ils ont du être enlever ou tuer parce que....
- Enfin bref, on penser vraiment que cela serait pareil pour vous, coupa Cram.
- Non ne vous inquiéter pas. Je suis bien proteger. Par contre je ne pourrais pas vous presenter le cuisinier. Vous m'en voyait désolé.
- Ah bon, et pourquoi?
- Il a beaucoup de travail voyez vous mais je pourrais peut-être vous le presenter dans deux ou trois semaines.
- Ah non, on ne peut pas attendre autant, dit Arianne.
- Est-ce que quelqu'un a essayé de s'introduire ici? demanda Black.
- Non pas pour l'instant, lui répondit Padre.
- C'est bizarre quand même que vous soyez les seuls à ne pas avoir été attaqué...
- Il a du s'enfuir en voyant tout les gardes qui se trouvaient ici.
- On dirait que vous aviez prévu le coup?
- Non, pas du tout il ont toujours été là. On va dire que je suis dans un milieu assez... particulier.
- Je comprend, mais vous n'avez même pas eu une tentative d'effraction?
- Non, aucune.
- Pourtant ces personnes sont arrivés à enlever Jyffrain alors qu'il était dans un hôtel où il y avait du monde. Cela veut dire qu'ils sont quand même un minimum professionel et je ne comprends pas pourquoi il n'ont pas tenter de rentrer ici.
- Je ne suis pas dans leur tête vous savez.
- Et puis au final, c'est vous qui êtes le plus avantagés par ce remue-ménage.
- Vous m'accusait?
- N'est-je pas raison?
- Il suffit garde attrapez-les.
Les deux gardes foncèrent sur eux mais au vue de la tourn ure de la discussion chacun avait prévu ce face à face. Ils roulèrent sur le coté et Cram leur cria:
- On s'casse. C'est trop dangeureux ici.
Et les trois pirates sautèrent par la baie vitrée qui se trouvait derrière le fauteil de Mr Padre et ils retombèrent sur l'herbe de la cour non loin du jardin ier qui se demandait ce qu'il se passait. Des coups de feu retentirent. Ils se releverent et recommencerent à courir. Ils n'avaient "que" la cour à parcourir mais déjà tous les hommes de gardes sortaient dans la cour et les visaient avec leurs mitraillettes. Les gardes avaient que très peu de temps à sortir comme si ils s'attendaient à cette évasion mais déjà les pirates arrivaient au niveau du portail. Les trois compagnons tournerent au coin de la rue. Ils n'avaient que des coupures et des égratinures dut au verre ou à quelques balles. A leur surprise personne ne les poursuivit ensuite. Ils retournerent en courant vers le bateau en faisant bien attention que personne ne les vit ainsi, car ils saignaient quand même un peu.

*******
Padre avait donner pour ordre à tous ses gardes du corps de ne pas les poursuivre. Tout se passer selon ses plans: ces pirates n'étaient pas sur que c'était bien lui et il pourrait leur faire porter le rôle de bouc emissaire. Il avait eu de la chance, déjà que des pirates arrivent à point nommé et ensuite que le jeune homme ai porté la conversation vers un sujet aussi glissant que cette accusation juste au moment où il ne savait comment les manipuler pour faire en sorte qu'ils l'accusent et ainsi qu'ils s'enfuient. Tout allait bien, le plan fonctionnait à merveille. Il gagnerait cette compétition, il en était sûr.
*******

Cram sentait que cette histoire ne tournait pas rond. Padre les avait-il chassés car il était offensé ou bien car c'était lui le commanditaire des enlevements/meurtres. Ils devraient se renseigner un peu plus sur cette competition et pour ca deux solutions: le journal ou les livres. Le journal revenait à la chance, rien ne disait qu'il y aurait un article sur la competition et la recherches de livres prendrait du temps. Black se leva et dit:
- Le log Pose est rechargé?
- Euh... Oui mais pourquoi, lui repondit Arianne.
- Bah on s'en va. On a assez de vivres pour encore au moins une traversée d'une semaine et il n'y a pas l'air d'avoir de bon cuistots ici.
- Mais et pour les deux cuisiniers disparus?
- Bah, c'est pas important. On a aucun interet là-dedans.
C'était vrai qu'il n'avait aucune raison de sauver ces gens... Mais Arianne trancha:
- Non on part pas. Je suis sur qu'on peut encore trouver de bon cuistot.
- Pffff, c'est du temps perdu.
- Et puis maintenant on est impliqués dans l'histoire, continua Arianne.
- Comment ça? dirent Black et Cram en même temp.
- Vous n'avez pas lu le journal local du jour? Regardez.
Elle nous tendit le journal où était marqué en gros titre:

Trois jeunes personnes gachent la Garlen's food
S'ensuivait plusieurs paragraphe de pur tartinage avec pour seul information l'enlevement et l'incendie. Il y avait après trois photos representant chacun des pirates avec un interview de padre qui disait que la veille trois personnes étaient arriver à rentrer par effraction dans sa recidence et cela malgrés sa garde et avait tenté d'attaquer ses cuistots. Mais leur plan, si on peut appeler cela un plan, échoua à cause du trop grand nombre et de la vaillance des gardes du corps et ils s'enfuyerent en courant. La suite parlait de la peur qu'il avait eu et que malgrés cette accident qu'il continuerait la compétition. En fin d'article se trouvait un petit flash special disant que les preuves devener de plus en plus accablantes envers ces personnes car ils avaient trouvés une personne agés leur disant que nos trois suspect lui avait demandé de lui indiquait la route pour les 3 personnes agressés.

- Maintenant on est impliqués dans cette affaire, dit Cram.
- A quoi cela nous servirait de rester? On peut tout aussi bien partir, dit Black. Et même qu'avec un peu de chance on aura des primes grace à cette aventure.
- Nan, moi je veux rester point final, dit Arianne.
Il fut donc decider qu'ils resteraient sur l'île jusqu'au dénouement de cette affaire.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Jeu 16 Juin 2011 22:32 
15 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 02 Mai 2010
Messages: 391
Localisation: En train d'être acclamé par une foule en délire!
On a une jolie "enquète" si je puis dire car on connait déja le coupable.
Black a encore des manières noble mais je suis sur qu'un jour ce sera un véritable pirate :Luffy hilare:
Mais (oui il y a un mais) je trouve que le coup de l'enlèvement est trop rapide: ils rentrent et ils en déduisent qu'il est enlevé, je comprend que la chambre en désordre attire leur attention mais de là a savoir qu'il a été enlevé, je trouve ça, pas abusé, mais rapide. Il aurait du cherché davantage. Si tu veux j'ai le sentiment que tu as voulu faire une histoire a suspense, l'enquète criminel quoi, mais que tu t'es précipité. Je pense la même chose avec le feu, a mon gout c'est rapide, mais cette fois le lien entre l'incendie et l'enlèvement se fait facilement dans la mesure où ce sont les trois candidats a un concours et qu'il y en a un qui ne soit affecté par aucun problème. Après de savoir, quasiment dessuite, qui est le coupable m'a embéter, j'aurais vraiment aimer le truc a la Sherlock Holmes tu voit, le suspense interminable. Après je comprendrais que tu est fais ça pour que, peut etre, ça coincide mieux avec la suite de ton histoire.

En somme:
-de bonne idée (le suspense)
-précipitation (et là ça empèche le suspense de fonctionner si tu voit ce que je veux dire)

Voilà sinon j'ai bien aimé ton chapitre, en fait ce que je t'ai dit au dessus c'est le ressenti que j'ai eu pendant que je lisait et qui s'est affirmé au fil de la lecture.


Bon chapitre quand même, avec ton style (ex: nous...) que j'apprécie, on est avec ton équipage, a leurs côté et j'aime bien ça.



Voili voilou

_________________
Image

We Will Always Be With You, my Friend


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Jeu 16 Juin 2011 22:47 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Ba en fait j'étais partit en me disant que l'intrigue de départ devait se faire rapidement avant de laisser place a mon idée que j'ai depuis longtemp (et que vous verrais au prochain chapitre) donc j'ai peut être voulu allais trop vite a l'essentiel et aussi je me disait que l'intrigue etait trop simpliste pour que je m'y attarde. Donc ok c'est n bon conseil que tu le donne la et je tenterais donc de plus creuser mes intrigues ou je veut passer rapidement.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Mer 31 Aoû 2011 20:41 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Un rumeur se propageait à travers le forum... Comment ça? black's destin de retour? cette fan fic d'une médiocrité sans pareil de retour? Pourquoi nous infligez cela pourquoi.....
Et oui je suis de retour avec trois chapitres. Et oui trois chapitres que je distillerais une fois par semaine. Et si cela vous angoisse comme ci-dessus ne la lisait pas èé.

Pour commencer je vous conseillerais de relire au moins le 7eme chapitre (mais qu'ai-je fait pour mériter cela?) ou même la totalité des chapitres (oh non pitié pas ça! tout mais pas ça!)
Et pour les plus feignant un récapitulatif rapide:
Black est un ancien dragons céleste (cf. arc saobody), il rencontre un beau jour (quoi qu'il pleuvait un peu si je me rappelle bien..) Jarren un pirate qui lui montre ce qu'est la liberté et le fait dégoûté de son espèce. Plus tard, Black se fait inviter par une jolie jeune fille, Arianne, à rejoindre son équipage. Il s'enfuit alors de l'hôtel de ses parents (après une altercation avec un géant ce qui n'a pas beaucoup plu au lecteur c'est dire la nullité du début). Il devient donc le second d'Arianne pour son nouvel équipage pirate. Il arriveront sur une nouvel île où ils rencontreront Cram un médecin qui rêve de retrouver le livre qu'avait entretenu le médecin de gold d Roger. On y apprend aussi que Arianne veut quand à elle devenir l'une des 4 empereurs du nouveau monde. Il reparte vers une nouvelle île et après être passé sur une île bien mystérieuse (si vous voulez tous connaître de ce mystère insoutenable allait lire le chapitre 6 ^^) il arrive sur Ernesty Island. Une île ou se passe la garlen's food une compétition culinaire. Black voit l'occasion rêvé pour se trouver un cuisinier si bien qu'il prennent des renseignement sur les 3 meilleurs cuisiniers et part à leur recherche. L'équipage d'Arianne découvrent que les deux premiers candidat ont soit été enlevé soit on sûrement péri dans leur maison en flammes. L'équipage se rend, sans espoir, à la troisième maison: Mr Padre où l'auteur y montrera tous les clichés possible et imaginable sur la mafia italienne et cela sans aucune finesse. En effet L'équipage n'a aucun doute que c'est mr padre qui a fait le coup pour gagner la compétition. Mr padre envoie ses hommes de mains pour les attaquer et après une course poursuite aussi dénué d'intérêt qu'une rédaction d'un enfant de CM1 l'équipage arrive à leur bateau en ayant semé leurs poursuivants. Black veut s'en allait mais Arianne non et vu que c'est la capitaine et ben il reste toujours à la recherche d'un cuisinier. Ce chapitre pathétique se termine par la dépêche du journal local. En effet, Mr Padre les à dénoncé comme les criminels qui ont "supprimé" les deux autres concurrents. Chercher pas l'enjeu dramatique y'en a pas.

Chapitre 8: Johan




Les pirates venaient de décider qu'ils resteraient sur l'île où se passait la Garlen's food. Leur principale mission consistait à trouver un bon cuisinier et il fut convenu qu'ils ne se sépareraient pas pour le trouver car, vu que dorénavant ils étaient en territoire ennemi, il valait mieux rester groupé que de se séparer. Les trois amis allèrent sur le pont silencieusement et ils ne virent personne devant eux. Il était pourtant déjà 10h du matin. Ils descendirent du bateau furtivement et commencèrent à déambuler dans des rues tout aussi désertes que le port. Ils en eurent bientôt l'explication. Tous les habitants se trouver sur la grande place pour écouter les directives d'un chasseur prêt à démarrer une traque humaine. Les pirates les avaient découverts au coin d'une petite rue et ils se trouvaient derrière cette marrée hostile. Cram et Black repartaient déjà dans la petite rue d'où ils venaient quand ils entendirent Arianne crier:
- Hé les gars! Faites attention, il y a nos photos en grand là-bas et ils ont pas l'air content.
Suivit d'un bien évidemment:
- ILS SONT LA!!!

Aussitôt, les trois compagnons prirent leurs jambes à leur cou suivis par une foule de mieux en mieux organisé. Les trois amis avaient beau slalomer entre les rues le plus vite possible, ils n'arrivaient pas à lâcher leurs poursuivants. Ils connaissaient mieux le terrain qu'eux et souvent les pirates étaient passé d'extrême justesse entre deux groupes qui essayer de les encercler en envahissants le plus de rues possible. Ils commençaient à lâcher le rythme alors que la foule belliqueuse recruter toujours plus de partisan pour les attraper. Alors que les jambes commençaient à ne plus vouloir continuer, Cram vit une porte grande ouverte donnant sur une petite maison. Il y poussa ses camarades et les plaqua derrière la porte pour que les badauds enivrés de colère ne les trouve pas. Cette démarche réussit et ils entendirent des villageois passer en hurlants des slogans peu enjoliveurs. Cram attendit qu'il n'y est plus aucun bruit pour donner le signe à ses compagnons de continuer dans le couloir.
- On doit attendre à l'intérieur le temps que cela se calme, dit Cram en ne parlant pas de pluie.
Ils rentrèrent par une deuxième porte se trouvant au fond du couloir. Cela devait être la cuisine, on voyait une poêle chauffé sur une cuisinière, des légumes tranchés sur une table, un grand nombre d'épices de forme et de couleur différentes. Cette pièce devait faire aussi office de salle à manger car une table était dressé pour une personne et il y avait d'ailleurs, affalait sur sa chaise en train de regarder sa montre, un jeune homme d'une vingtaine d'années. Il était bruns, les cheveux courts, un petit nez, et des yeux marrons. Il nous fixait d'un regard interrogateur comme si il nous demandait le pourquoi de notre venu. Et il s'empressa de convertir ses pensées en parole:
- "Mais que faites vous là ?" demanda-il et il rajouta avant même que l'on puisse dire la moindre chose. "Mais je vous reconnais vous êtes les jeunes gens qui ont attaqués Padre".
Black posait la main sur le pommeau de son sabre, Arianne dégaina son bâton, Cram sortit les mains de sa poche mais le cuistot n'avait pas l'air hostile et leur dit en souriant:
- Ne vous inquiétez pas. Moi je m'en fout de qui vous êtes. Et plus Padre est loin d'être un ange.
Les pirates furent un peu surpris par le contraste entre lui et la foule qu'ils venaient d'affronter mais finirent par se regarder en souriant. Et le jeune homme enchaîna:
- J'imagine que vous êtes venu vous réfugier ici à cause de tous ces gens dehors. On est connu pour être assez... réactif et tous le monde croit le journal local comme si c'était un envoyé de dieu. Cela a d'ailleurs entraîner quelques erreurs judiciaire... Enfin bon, Je m'appelle Johan, vous voulez rester manger? Et puis ça serait bien que vous parleriez un peu...
Arianne s'empressa de répondre aux attentes du jeune homme et dit un peu gêné:
- Et bien ça nous arrangeriez beaucoup... Mais il faudrait qu'on trouve un bon cuistot aussi...
- Vous inquiétez pas. Restez un petit moment que vous me teniez un peu compagnie, sourit-il. Et vu que la Garlen's food approche, il ne doit pas en manquez des cuisiniers.
Les pirates acceptèrent l'invitation et le jeune homme s'attela à augmenter la ration de son dîner. Il les servit un quart d'heure plus tard, c'était du poisson alliait à de fine herbes et des légumes verts. C'était succulent. Si bien que Black s'écria:
- Plus besoin de chercher un cuistot. Celui là fera l'affaire.
Johan se leva brusquement l'air un peu énervé:
- Non je ne peut pas venir. Bon, et bien j'ai à faire est-ce que vous voudriez bien partir?
L'atmosphère devenait électrique et Arianne demanda:
- Mais pourquoi tu ne veut pas? Pas besoin de s'énerver.
- Je... je suis désolé... s'écroulât-il. Je ne devais pas vous faire à manger de toute façon. Je m'étais jurer de ne plus faire à manger pour personne... Vous ne pouvez pas comprendre... Ce sont des... blessures qui brûle encore en moi...
- On peut toujours essayer de te comprendre tu sais, dit Arianne.
Sa voix avait changer elle se faisait plus rassurante, chaleureuse et Johan fut transporté par cette voix douce presque maternel qui lui donnait une forte envie de se confesser mais.... mais... mais pourquoi "mais"? Il avait attendu tellement d'années pour trouver des gens comme ça dans la fleur de l'âge, la face riante et l'oeil pétillant. Il ne connaissait ces jeunes gens que depuis peu de temps et pourtant il avait une envie folle de les rejoindre, mais il ne pouvait pas... Car il devrait raconter son histoire pour être honnête. Mais quel serait leur réaction envers lui après?
- Je veut bien vous raconter mon histoire mais je ne pense pas que vous voudriez toujours de moi après ça...


20 ans auparavant...


Un bébé pleure sous les décombres d'une ville incendié. Des traces de batailles se trouvent de partout. Les corps s'amoncellent dans les rues de cette sombre bourgade juste éclairé par le rougeoiement des flemmes. Certain de ces corps portent des tatouages sur leurs épaules représentant une tête de mort encerclés par un triangle avec qu'une seule orbite en guise d'oeil. Et derrière le crépitement des flemmes ont perçoit des bottes qui se rapprochent. C'est un groupe composé d'hommes et d'une femme qui s'approchent des décombres où se trouvent le bambin qui pleure. Ils ont presque tous leurs vêtements déchirés, des coupures sur leur chair visible, des coulis de sang s'incrustait dans la peau. Et pourtant malgré une ressemblance avec des loques humaines, ces hommes avait une grande prestance (ou dignité ou charisme?). Ils portaient fièrement la couleur bleu et blanche que composait leurs habit de marin. Un homme d'une carrure plus impressionnante que les autres entendit les pleures du bébé et dit:
- Martine, Colin allait voir ce que c'est.
Une femme d'une trentaine d'années et un enfant de huit ans se détachèrent et trouvèrent l'enfant un peu plus loin. Il était mignon et touchant par sa fragilité. Colin avait une grande envie de défendre cette petite chose et cette envie devait sûrement être décupler par l'esprit de justice que la marine lui avait transmit. Il le prit dans les bras avant sa coéquipière et l'amena (après avoir été dissuader par sa coéquipière de le garder pour lui tout seul) à son supérieur qui dit:
- Ce gamin a eut de la chance que les pirates triangulaire ne le trouve pas. Ces pirates étaient des brutes, ils n'auraient pas hésiter à l'égorger. Nous même, nous avons eu un peu de mal à les battre... Bon Colin, cela sera à toi de t'occuper de ce môme. Je veut qu'il soit éduquer pour rentrer dans la marine.

Après cette épisode, Colin s'occupa du petit bébé qu'il baptisa Johan. Il lui arrangea un lit dans sa chambre et l'emmena à " l'école de la marine". Johan devint ainsi le colocataire de Colin et fut éduquer par la marine jusqu'à ses dix ans où il fut mit au poste de "cuisiner marin" grâce à la découverte un jour de ses grands goûts culinaires. A partir de 13, Johan démarra ses premières missions en tant que marins. Il était toujours accompagner de Colin (qui demandait d'être avec lui pour chaque mission) et un groupe de 5 personnes qui changeait suivant les missions. Ainsi il terrassa plusieurs pirates, sauva des villages, fut envoyer diplomatiquement dans des royaumes, etc... Johan, grâce à ses missions, fut forgé au fil des ans pour devenir un fier marin. Mais une mission détruisit cet environnement "paisible":
Johan avait alors 14 ans et Colin 21 ans. Ils avait été envoyés avec 10 autres marins dans une mission de reconnaissance sur l'île déserte de "Piger Island". C'était une île très vaste et la mission consistait à traverser ce vaste pays du nord au sud vers un vaisseau de ravitaillement qu'ils devaient rejoindre en moins d'un mois. On leur avait laissé un escargophone d'urgence au cas où la date limite fixé à un mois serait dépassé. L'île était normalement inhabité et la mission ne devait poser aucun problèmes. L'expédition partit le 23 bluère. L'ambiance était joyeuse et fétarde à l'idée de cette mission facile à remplir. Ils partirent à pied le matin-même avec assez d'eau et de nourriture pour tenir un mois dans un milieu aride. Les trois premiers jours se firent sans accident. Le sol était très chaud la journée et d'une grande froideur la nuit. Les journées étaient épuisante mais Johan s'en foutait tant que Colin était toujours là pour le soutenir. Colin était devenu une sorte de grand frère, il était de 7 ans plus âgé que lui et pourtant ils se sentaient très proche. Il avait bien sûr d'autre ami de son âge mais aucun ne rivalisait avec Colin qui avait toujours les mots pour le consoler, un rire qui lui réchauffait le coeur, il se sentait presque honteux d'avoir un tel ami. Les nuits se passaient sous des tonnes de couettes qui arrivait à peine à leur tenir chaud où chacun racontaient ses précédentes aventures. La marine était une grande famille où chacun pouvait trouver réconfort chez son coéquipier.
***
De la suite je me rappellerais toujours...
Malheureusement le quatrième jour fut plus rude. Tout commençât en début d'après midi alors que nous étions au creux d'une dune où ils furent attaqués par des indigènes qui leur lancèrent des javelots, leur obligeant à sortir leur pistolet pour qu'ils partent en retraite. Un homme avait été gravement touchés aux jambes et ne pouvait plus bouger. Nous fûmes obliger de l'achever. On continua notre route en regardant bien de partout que personne ne s'approcher. On voyait parfois quelques ombres se profilaient au loin sûrement pour nous faire peur et bien montrer qu'ils étaient toujours là. On s'aperçut au soir que trois de nos dix gourdes avait été percés. Un tour de garde fut instauré pendant la nuit pour être sûr qu'aucun indigènes ne se pointait. Ces tours de gardes étaient particulièrement pénible du fait de la basse température de la nuit. Colin prit la moitié de mon tour de garde. Le lendemain, nous nous réveillâmes heureux qu'aucune attaque ne se déclenchât pendant la nuit. En fin d'après midi de ce cinquième jour, nous vîmes six indigènes s'approchaient de nous. Chacun avait mit la main sur son pistolet mais ces personnes n'étaient pas hostile et s'approchaient pour nous offrir des dates qui se trouvait sur le plateau qu'ils tenaient dans leurs bras. Trois des marins s'avancèrent pour prendre des dattes pendant que Johan, Colin et les autres marins restant restèrent éloigner ne faisant as confiance à cette soudaine hospitalité. Les indigènes repartirent un peu vexer par le peu de succès de leur entreprise et il fut démontrer que la crainte était justifier car quelques heures plus tard les marins durent s'arrêter car les trois gourmands souffrait d'un mal de ventre. Le camp fut fixer là et les tour de garde se virent rallongés du fait de l'impuissance des trois naïfs. Le lendemain les trois marins furent retrouver inertes dans leur couches. Les dattes avaient été empoisonnées. Le groupe fut encore attaqués le lendemain, la vigilance avait été affaiblit à cause de la fatigue. Les indigènes furent une nouvelles fois repoussés mais les pertes avait été plus grave. Et pas humaines mais l'équipement: un marins avait été blesser légèrement à l'épaule: il pouvait continuer mais beaucoup de sac avaient été transpercé comme si elle étaient devenu la nouvelle cible des indigènes et 5 gourdes avait été percées, ils n'en restaient plus que 4 gourdes pour 6 hommes. On n'osât pas donner au nouveau infirme un tour de garde et il fut restreint à 5 personne qui gardèrent le camp pendant 2h. Colin commençait à être fatigués car depuis le début il faisait chaque nuit un tour de garde et demi et je pris enfin mes responsabilités en assurant l'intégralité de mon tour de garde. Le moral avait bien descendu en peu de jour: presque la moitié des hommes étaient mort et l'eau commençait à manquer. Nous fûmes encore attaquer par des indigènes mais cette fois la vigilance avait régner et nous les repoussâmes bien vite. L'infirme n'avait put se défendre correctement et était de nouveau blesser, plus gravement cette fois ci, au flanc droit. Le pauvre perdait beaucoup de sang et il fermât ses paupière pour ne plus les rouvrir. La nuit nous furent attaquer pendant mon tour de garde et l'un de nos coéquipier mourut. On été plus que quatre et il n'y avait plus qu'une gourde de remplit. Nous avions besoin d'eau pour remplir nos trois autre gourde encore valide, le lavement des blessures de l'ex infirme nous avait coûter beaucoup d'eau, et pourquoi?... La seul espérance était que l'on avait déjà parcourue plus de la moitié de l'île. La journée suivante: la treizièmes, nous vîmes un oasis au loin. On croyait au mirage mais cet oasis existait bel et bien. Il restait un peu d'eau dans un creux de terre. Nos deux coéquipier se penchèrent pour boire et remplirent les trois gourdes restantes. Johan et Colin avaient trop peur depuis l'épisode des dattes mais les deux autres avait beaucoup trop soif pour continuer comme ça. Aucun mal ne leur apparut jusqu'au lendemain où alors qu'ils étaient devant ils tombèrent d'un coup sur le sable brûlant du désert. Leur coeur ne battait plus. Je continuait donc seul avec Colin. Nous fûmes attaqués les jours suivants mais aucun dommage ne nous été fait comme si le pouvoir de l'amour été plus fort que tout. Nous avions même trouvés un endroit où rafraîchir nos gourdes et où visiblement l'eau n'était pas empoisonnés. Nous continuâmes ainsi pendant 5 jours. Il n'y avait plus trace des indigènes. Colin m'avait fait remarquer qu'il devait être occupés à préparer les 8 hommes que nous avions laisser derrière nous pour les manger. Je croyais qu'il rigolais mais il me dit qu'il semblait avoir entendu de leur part qu'il disait: "De la viande fraîches passent sur nos territoire. Enfin!" Ceci me glacent le sang mais aucun signe de leur présence ne s'était manifester depuis 2 jours. Un nouveau problèmes arriva bientôt: la nourriture manquait. Bientôt il ne restera plus aucune nourriture et les forces leurs manquaient petit à petit. 2 jours après la fin des vivres Colin me dit:
- Je n'ai plus aucune force. L'eau n'est plus un problèmes mais sans nourriture jamais nous ne pourrions continuer j'ai bien peur qu'il faut que nous prenions une grande décision.
J'avais peur de comprendre.
- L'un d'entre nous doit manger l'autre pour arriver jusqu'au bateau.
Ces mots m'assommèrent sur place. Colin prit son pistolet et me dit:
- J'espèrent que tu pourras t'en sortir.
Et avant que je puisse faire le moindre geste il tira. Tout s'effondrait sur moi. Il devait couvait cette idée depuis longtemps pour avoir été si brutale. Je pleurais, je criais de rage, je m'arrachais la peau avec mes ongles, je voulait me tuait pour rejoindre mon ami mais il voulait que je m'en sorte et je voulait respecter ses derniers paroles. C'était la seule chose qui m'empêchait de prendre mon pistolet et de tirer mais j'envisageai l'idée de mourir recroquevillé sur moi même. J'était dans une brume rougeâtre.
*****
Le lendemain, ma rage s'était calmer remplacer par un système de survie. Je n'avais plus le contrôle de moi-même et la seul chose que je me rappelle c'est de mon réveil sur le bateau de ravitaillement car je crois que... je suis sûr que...
*****
A mon réveil, j'ai du faire mon rapport sur le déroulements de la mission... J'ai dit que Colin était mort en me sauvant d'une attaque des indigènes et pourtant....
Ce rapport fut mon dernier acte de marin car juste après je m(enfuyait de la marine et je partait sur une barque en échouant ici. J'ai fait des petits boulots et je me suis acheter cette maison.
Et depuis je ne cuisine que pour moi. J'ai trop honte et je ne mérite pas de cuisiner pour autrui car j'ai sûrement...


L'atmosphère de la pièce était devenu étrange. Chacun était mêlé de peur et de tristesse et n'osait rien dire comme si Johan pouvait les manger. Sauf Black qui dit:
- Bah en fin de compte.... Moi un cuistot cannibale j'en veut pas...
Arianne lui foutue un coup de poing qui l'envoya valser à travers trois mur. Elle était furieuse et lui cria:
- MAIS PUTIN, T'ES COMPLETEMENT CON. IL Y EST POUR RIEN. TU CROIS PAS QU'IL CULPABILISE DÉJÀ ASSEZ. ALORS QU'IL N'Y EST POUR RIEN.
Jamais Black n'avait vu Arianne aussi en colère et il avait honte de sa remarque, de lui-même, de son manque de compréhension sûrement du à ses origines.... Il doutait de lui.
Arianne se retourna vers Johan et lui dit:
- T'y es pour rien Johan. Tu as même fait preuve d'une grande amitié en respectant ses dernières paroles. Tu ne peut t'en vouloir pour ça. Tu n'y es pour rien.
Johan pensait qu'ils s'enfuiraient à cause de la peur qu'il croyait procurer mais non. Ils l'acceptaient comme il était. Il ne pourrait avoir de meilleur ami que mais pourtant... Il ne se sentait pas assez vertueux pour les rejoindre.
- Johan, je veut que tu vienne avec nous, dit Arianne. Tu ne peut refuser.
- J'aimerai tellement, dis le cuistot. Mais je ne peut pas. Je ne vaut pas assez pour vous rejoindre...
- Mais si.... Ecoute, j'ai un défi à te donner. Tu va te présenter à la Garlen's food et la gagner. Et là tu montreras à tous le monde que tu vaudras assez pour nous rejoindre.
Johan ne savait pas... Il s'était jurer de ne plus cuisiner pour d'autre personne que lui... Mais il pouvait bien pour ses amis...
- J'accepte.
***

Dans sa villa, Mr Padre était heureux. Il allait étendre ses activités plus ou moins douteuse à la restauration. Il lui suffisait de gagner cette compétition débile pour montrer à tous le monde que sa société produisait de la haute-gastronomie et souvent gagner la compétition signifiant augmenter les chiffres d'affaires. Il avait fait taire les septiques qui commençant à l'accuser en renvoyant la faute à trois jeunes gens qui étaient venus la veille. Il avait toute les cartes en main. Il devait maintenant bien les utiliser. Padre entendit des bruits de course dans le couloir et vit l'un de ses hommes entrer un journal à la main. L'homme lui dit:
- Patron, il y a un nouveau participant à la compétition! Et le journal dit qu'il est très bon.
- Hé bien tu en fait un raffut pour pas grand chose. Il suffit de le... convaincre, rit-il.
- Vous voulez que j'envoie des hommes chez lui?
- Oui, envoie trois gars cela devrait suffire.
***

Les trois pirates étaient heureux, ils allaient avoir une nouvelle recrue! Johan leur avait arrangé deux chambres pour qu'il n'est pas à retourner sur leur bateau. Il faisait tous les courses car Arianne et les autres étaient des hors-la-loi, à manger car Black ne voulait plus que Arianne touche la cuisine, etc... Mais Arianne et Black ne pouvaient s'empêcher de sortir car ils détestaient d'être confiner dans un espace clos et seul Cram tenait compagnie à Johan. Un après-midi, alors que Arianne, Black et Cram étaient partis chercher de l'équipement sur leur bateau, la porte frappa. Johan croyant que c'était ses nouveaux amis arriva en disant:
- Vous êtes plus obliger de frapper vous savez. Faites comme chez vous.
Et quand il ouvrit la porte il eut un petit cris de peur. Trois hommes costauds vêtue de noir se trouver devant lui . Il n'eut le temps de se remettre de ses surprises qu'il prit un coup de poing en pleine figure qui le propulsa dans le trou où Black avait été retrouvé après le coup d'Arianne. L'un des trois hommes dit froidement:
- Nous sommes là pour vous convaincre de ne pas participer à la Garlen's food. Signer ce contrat disant que vous n'y participerais pas ou nous serons contraint de vous enlever ou de vous tuer.
Johan ne pouvait accepter cela. Il avait promis à ses amis de gagner. Il se releva et courut vers l'un des trois hommes à qui il envoya un tel coup de pieds qu'il fut propulser à l'extérieur.
- Jamais je ne me retirerais.
Les deux hommes restant sortirent une mitraillette et tirèrent. Johan sauta en l'air, arriva sur les épaules de l'un des hommes et lui donna un coup de poing sur la tête qui le fit partir lui aussi. Il plongea sur le coté précéder par des ricochet de balles. Il se mit derrière une table qui était renverser et sortit un pistolet d'une des poches de derrière de son pantalon. Il se releva par dessus la table et tira. La balle transperça le dernier survivant en plein front avant même qu'il put appuyer son doigt sur la gâchette. Johan sortit dehors et vit l'homme qu'il avait battu d'un coup de poing s'enfuirent en courant:
- Et merde, mon poing n'est plus aussi efficace qu'avant...
Il repartit à l'intérieur en laissant celui battue par un coup de pied en pleine rue: il ne servait plus à rien de les empêcher de parler.
***

Padre était dans son bureau et attendait le rapport de ses trois hommes: il avait toujours peur qu'on les prennent en flagrant délit. Cela faisait 1 heures qu'ils étaient partis. Une voix retentit à l'escargophone:
- Monsieur, les gardes sont de retour.
- Ah bon. Enfin faites les rentrer et plus vite que ça.
- Euh... Attendez il me semble qu'il est tout seul... Bon, je vous l'envoie.
Padre ouvrit les yeux de surprise. C'était la première fois que cela arrivait. L'homme rentra la tête en sang et titubant un peu. Il voulut s'asseoir mais Padre lui dit:
- Non tu vas tacher mes beaux siège venu de South Blue.
L'homme en noir lui raconta ainsi la résistance que lui avait donner cette homme et toute l'histoire debout. Padre le renvoya et dit en colère à son intendant :
- Je ne me laisserait pas insulter ainsi! Demander à tous les gardes de se préparer à attaquer ce petit rebelle. Je lui déclare la guerre à ce misérable cloporte!
***

Arianne et les autres étaient de retour et Johan leur avait compter l'attaque qu'il venait de subir. Cram avait reconnue dans ces agissements le plan de Mr Padre et il dit:
- Cela m'étonnerait qu'il en reste là. Il faut se préparer à une nouvelle attaque.
- Ok je vous aiderait, dit Johan.
- Non toi tu doit déjà t'occuper de gagner ce concours. Nous on te protégera.
- Au moins maintenant on est sur que c'est Padre le coupable.
Les deux équipes se préparaient, la bataille pouvait commencer.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Mer 7 Sep 2011 15:08 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
bon a ce que je vois mon retour marketing a marcher du tonnerre \o/ 0 mp 0 commentaire hourra x)
Mais en fin de compte je m'en fout un peu je continue (et toc!)
Bon pour commencer je doit vous avouez que j'ai mentit (et oui je sait c'est horrible) ca rla dernière fois je vous avez dit que j'avais 3 chapitres de près mais en faite je n'en avait que 2,5 (tintintin). bon maintanant je les finit ^^ . Vous m'excusez? Bon sinon je suis en train d'écrire le chapitre 11 qui devrait être mon plus long (parce que je veut que ça se termine à un moment précis). Aujourd'hui le chapitre 9: premier chapitre de baston :) et je crois mon plus long aussi (enfin il me semble ^^) j'ai meme fait un pitit schéma ^^.
Sinon ça serait sympa (si j'ai des lecteurs) de commenter ;) histoire de savoir si mon flash back était bien... si cet arc vous plait... si Johan est un bon perso etc... :)
Bon je ne vais pas faire attendre plus longtemps le seul lecteur qui lit ces lignes. et comme dit Arianne: C'est parti !

Chapitre 9: Début des hostilités



Les pirates se trouvaient dehors. Aucun mot ne sortait de leurs bouches. La concentration se lisait sur leurs front plissés. Cela faisait une journée que Johan s'était fait attaqué. Peut-être qu'il ne se passerait rien mais Arianne et son équipage resterait au aguets jusqu'à la Garlen's food. Johan de son coté avait déjà décidé de ce qu'il ferait pour la compétition et avait commander les meilleurs ingrédient qu'il pouvait en si peu de temps. Et il n'y avait que les légumes frais qu'il avait à disposition. Pour s'avancer un peu et aussi tromper son impatience, il commença à faire quelque dosage avec les ingrédient dont il disposait. Ce calme se brisa bientôt quand un bruit de botte marchant au pas se fit entendre. Le bruit était de plus en plus sourd. Les trois pirates crurent percer même un bruit de tambour. L'atmosphère se tendait et les trois compagnon avaient déjà leurs main sur leurs arme, près à dégainer. Ce fut Arianne qui dégaina son bâton la première, elle appuya sur un bouton qui fit sortir la lame et lança son bâton alors que l'on ne voyait aucun soldat encore dans la rue. Et ce n'était pourtant pas un coup dans le vide car le bâton transperça trois hommes noirs alors qu'il venaient tout juste de se détacher du mur qui les cachaient. Arianne était déjà là-bas, elle récupéra son arme et commença à faire de grand moulinet pour tenir les autres à l'écart. Black s'était déjà élancer à la suite de sa capitaine et Cram était resté au même endroit pour prévenir une attaque par l'autre coté de la rue. Ils avaient planifiés le début de la bataille, initialement c'était Arianne qui devait garder le coté toute seule mais elle n'avait pas tenu et elle était partie de l'avant. C'est plan parurent judicieux lorsque Cram entendit des bruits de pas similaires à ce de quelque minutes auparavant de l'autre coté de la rue. Cram couru vers les bruits de pas et arrivés là bas sauta par dessus quelque hommes en noirs pour redescendre en faisant une onde de choc avec ses pieds qui fit tomber quelque rang ennemis. Black et Arianne s'étaient bien vite retrouver et combattaient ensemble. Leur coordination étaient parfaite pour un couple qui ne se connaissait que depuis peu. Arianne et black se baissaient, roulaient à terre, défendaient l'autre comme si ils faisaient ça depuis des années. Mais toutes cette marée humaine eut bientôt fait de les entourer et de les submerger. Les deux amis reculaient. Arianne fit alors un signe de tête à son ami et elle sauta en l'air en se transformant en oie. Et avant de retomber au sol elle se fit propulser par le plat de la lame de black vers l'autre bout de la rue, black finit son mouvement en tournant sur lui même pour lacérer tous les hommes à la portée de son sabre. Avec la vitesse, son bec se faisait encore plus tranchant et elle transperça de part en part une cinquantaine d'hommes avant de ralentir puis de s'arrêter dans l'un des hommes des derniers rang. Arianne retira sa tête du ventre de l'homme et se releva debout en se retransformant en femme, prêt au combat. Les trois pirates s'étaient séparés!

plan de la bataille:

! !
! Position de Cram ! Légende:
! !
! ! ! ou - : mur ou délimitation de maison
! !
! ! Maison de Cram: indication des positions des quatre personnages principaux
! !
! !
! !
----------------! !
! !
Maison ! !
! !
de ! !
! !
Cram ! !
! !
----------------! !
! !
! !
! !
! !
! !
! !
! !
! !
! !
! !
! !
! !------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
!
! Position Position
!
! de de
!
! Black Arianne
!
!
!-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------


Cram était donc seul pour contenir la même contenance d'homme qu'Arianne et Black, malgré cela Cram n'avait pour l'instant pas subit de coup majeur, en effet depuis l'altercation avec Ultoria ils s'étaient entraînés pour recevoir un nombre d'ennemis important car sa presque impuissance face à l'armée de squelette lui avait laissés un goût amer. Ainsi il avait apprit à utiliser ses pouvoirs de façon à pouvoir projeter plus de gens avec des dégâts de mêlée. Il avait inventé aussi de nouvelle technique comme sauté au milieu d'ennemis et produire une onde de choc qui renverser nombre d'ennemis autour de lui, ou alors il frappait un ennemie à pleine puissance et l'envoyait à la vitesse d'un boulet de canon sur les rangs suivants. Mais avec cela il ne pouvait retenir tous ce beau monde et en laisser filtrer quelques dizaine. Bientôt une équipe d'une vingtaine d'homme était arrivé à passer et rentrer dans la maison de Johan qui était leur but premier finalement. Ils enfoncèrent la porte et rentrèrent dans l'appartement prêt à surprendre le cuisinier. Mais il ne fut nullement surpris car on vit bientôt des corps propulser à travers la porte, les murs et même le toit. Les pirates étaient en forme et ils faisaient des ravages. Enfin techniquement parce que Johan n'est pas encore vraiment de l'équipage donc il n'est pas encore vraiment pirates. Mais l'intérêt en est assez limité donc considérons-le comme pirate. Ou alors on pourrait dire l'équipe d'Arianne mais encore une fois on ne va pas s'arrêter tous les cinq secondes pour un cas particulier... Bon reprenons...
***
Padre se trouvait toujours dans son bureau comme si il ne le quittait que pour aller dormir, et encore on ne l'a pas encore vu dormir donc on ne peut encore affirmé qu'il ne dort pas dans son bureau. D'ailleurs on ne sait pas grand chose de lui, est-ce qu'il est marié? A t-il des enfants? Qui sont ses parents? Quelle est son histoire? ... Je vois que sa vie n'a pas l'air de vous intéresser outre mesure donc revenons à l'histoire... Enfin il faut quand même parfois s'intéresser à ce genre de chose! Ca permet de comprendre la réaction de la personne et puis.... Passons car je vois a votre mine que mes parenthèse commencent a vous énervés surtout que c'est la deuxième de suite...

Padre était donc dans son bureau sans qu'il n'y est aucun enfant, femme ou mère autour de lui. Il était possédé par l'expédition qu'il avait commandé il y a deux jour et qui était partis lors de la matinée. Que se passait-il donc là-bas? Est-ce que tous ça valait le coup de prendre autant de risque? Il ne voulait pas utiliser ses dernières cartes. La sonnerie de son escargophone coupa court à ses pensées. Une voix difficilement audible à cause des bruits de combats autour de lui se fit difficilement entendre:
- Mr Padre...
***
- Hé! Il y a un mec qui a un escargophone portable. Je le veut.
C'était la voix de Arianne qui criait pour elle-même ses intentions. De toute façons ses ennemis été actuellement trop faible et peu nombreux pour l'en empêcher. Elle sauta vers l'homme.
***
- Mr Padre on a ... crrrrr
Padre commençait à s'énerver. Déjà que les bruits du combat l'avait rendu anxieux: les assaillants ne devaient tenir longtemps! Mais maintenant qu'on l'avait appeler il voulait absolument des nouvelles du combat et chaque seconde le mettait de plus en plus en colère victime de son impatience. Une nouvelle voix se fit entendre. Celle-ci provenait d'une jeune femme.
- Allo ! Y'a quelqu'un? Bon je suis désolé mais vous direz à votre amis que je lui est prit son escargophone. C'est l'un des dernier sortit en plus... Enfin bon, à plus...
Coupure de la communication.
Padre était ahuri de cette discutions surréaliste à un moment pareil. Mais il reprit bien vite ses esprits et en déduits que ses hommes s'étaient ou allait se faire battre. Il ne lui rester plus beaucoup de solution.
- Aller me chercher nos deux chefs de garde !
***
Cram se trouvait toujours au bout de la rue où se trouvait la maison de Johan. Cela faisait un moment qu'il combattait contre ses ennemis et en avait laissé passer que très peu et il avait des corps inerte être éjecté de la maison du cuisinier et par conséquent ne s'inquiétait pas du sort de son nouvel ami ni de ses aptitudes au combat. Il commençait même à se demandait, c'est dire à telle point il était concerné par son combat, si ses amis n'avait pas finis avant lui et il regardait fréquemment derrière son dos pour voir s'ils n'étaient pas en train de l'observer. Sa décontraction ne se faisait pas sans quelques égratignures et coupures de dommage mineure. Il n'était pas aussi frais qu'au début non plus. Il avait même dut utiliser deux fois son pouvoir pour se "régénérer". Mais sa décontraction ne dura pas longtemps car, après avoir encore bien diminuer les rangs ennemies, une détonation retentit et Cram s'agenouilla sous la douleur. Il venait de recevoir une balle dans l'épaule. Mais ce n'était pas la douleur qui le ferait flanchait longtemps et il se releva a tant avant que les ennemies les plus proches le frappe. Il envoya les derniers ennemis qui l'entourait dans les murs et portes les plus proches en les propulsant. Il regarda au loin et ne vit personne. Bientôt une nouvelle détonation retentit mais cette fois ci Cram était près, il esquiva la balle et se plaqua contre un mur. Il se régénéra, pour les deux trois gros efforts qu'il venait de faire, et tenta de voir où se trouvait son agresseur. Il ne le vit d'abord pas car il était caché par un mur ou un toit ou il ne savait quoi d'autre. Une autre détonation retentit mais Cram s'enleva à tant pour ne pas recevoir la balle dans la tête. Il se coucha non loin des cadavres de ses adversaires (certain été "seulement" évanouis). Et d'un coup se releva et commença courir en zigzaguant dans la rue pour que le tireur ne le touche pas. Deux détonation avaient retenti lors de sa course mais elles avaient été toutes les deux manqués. Après avoir passer une vingtaine de maison il sauta en face du grange fête en bois. Il frappa le mur de bois avec ses deux poings. La grange s'écroula aussitôt. La poussière ne permettait à Cram de voir correctement. Cela le rassurait car le tireur ne pourrait le voir dans cet purée de pois. Cet affirmation fut aussitôt démentit car il reçut une balle dans le genoux droit. Cram s'enfuit derrière une maison en régénérant sa jambe.
- Bravo, tu m'as trouver. Je ne pensait pas que tu courrait aussi vite.
- Je ne pensait pas non plus que tu survivrait à la chute que tu as faite du toits. Et si j'ai courus aussi vite c'est car j'ai mangé le fruit du démon de la puissance et à chaque fin de "foulée" je lançais une onde de puissance plus ou moins fortes par mes pieds pour aller plus vite. C'est comme ça que j'ai esquivé tes tirs. J'ai régulé ma vitesse.
- Il me semblait aussi que ta vitesse était instable. Si tu aurait couru normalement même avec la plus grande vitesse du monde je t'aurais touché. Mais sache que si tu avais couru 100m plus loin je t'aurais touché. Quand à moi j'ai survécut grâce à l'armure que mon maître ma choisi... Tu ne me touchera pas facilement.
En effet cet homme était recouvert de métal des bottes au casques. Aucune trace de peau ressortait. Cet homme avait d'ailleurs une forme imposante. Il était grand, costaud et sa corpulence était d'autant plus massive que l'armure était épaisse. Cet homme avait jeté par terre l'arme qu'il avait utilisé et il pointé ses poings de métal vers Cram d'un air de défi. Le pirate aurait jurait qu'il souriait derrière son casque. Cet masse d'acier et de métal n'avait rien d'humain et pourtant cet façade de métal devait receler un être de chair et de sang.
- A nous deux!
***

Pendant ce temps, Black en finissait avec ses ennemis. Il n'en restait qu'une dizaine et il était déjà sorti de son combat. Il pensait à ce que devenait Arianne, il avait envie de la rejoindre et ces derniers être faible qui lui empêchait de partir l'énervé un peu. Il en mis à terre cinq avec un coup latéral et s'apprêta à en faire de même avec les derniers survivants. Autant en finir le plus vite possible. Il leva son arme et lui fit décrire un cercle autour de lui et en finit avec les derniers hommes en noirs qui avaient dans un dernier élan d'espoir tenter de l'encercler. Mais, alors qu'il finissait son mouvement en regardait les corps de ses ennemis inanimé tomber, Black sentit une excitation le prendre soudain. Il sentait qu'un nouvel ennemi encore plus puissant se trouvait là. Il se retourna dans tous les sens comme un animal qui cherche sa proie. Son instinct était devenu bestiale. L'aura de son ennemi était si puissante que Black ne se contrôlait plus vraiment. Il se sentait comme un loup obsédé par le sang de sa prochaine victime. Il se dégoûtait presque lui même mais n'arrivait à contrôler ses mouvements. Il aperçut au loin un fil blanc au milieu du paysage et qui grossissait de plus en plus. Son instinct l'attirait vers ce fil. Sa conscience sentait le danger de cet chose qui approchait à une vitesse folle. Mais son instinct animale le guidait vers ce fil. Il sentait de plus en plus le danger. Le fil s'approchait. Il voyait un nuage de poussière ce faire autour de ce fil. D'un coup le danger fut totale. Black avait l'impression qu'il allait mourir, il voulait éviter cet ligne mais n'arrivait pas à se contrôlait. L'impact était imminent mais sentit son instinct bestiale s'atténua il en profita et arriva à récupérer contrôle de son corps et il sauta de coté. Tous c'était passé si rapidement. Une dizaine de secondes au maximum. Mais quel pouvait être cet ennemi qui arrivé par sa simple présence à dérégler son contrôle de lui-même. Black pensa à son ami Jarren le pirate qu'il l'avait fait quitter sa famille et qui possédait un contrôle de soi qui l'avait impressionnait à l'époque. Black s'en voulait d'être si peu maître de lui. Mais bientôt il ne s'inquiéta plus de ces futilité car une peur commençait à rentrer en lui sans qu'il ne put la contenir. Il ne voulait pas avoir peur de cet ennemi dont il n'avait même pas encore vu les bottes mais la peur n'est pas chose facile à contrôlait. Black s'enfuit derrière un mur et s'appuya sur le mur essoufflé comme s'il venait de faire un effort surhumain. Il commençait à se sentir mieux. Il combattrai si ce n'était pas lui ça serait Arianne et il fallait bien le faire pour Johan.
Black retourna dans la rue de nouveau plein de courage et près à se battre face à cet ennemi invisible... Mais si après tout il n'y avait pas d'ennemi si le fil et le dérèglement de lui-même était le fruit de son imagination. Si cela se trouvait Arianne était sur l'un des toits en train de rire de lui. Black regarda sur les toits voisins et s'aperçut que tout était réel. Sur un toit au loin, il vit une grande silhouette élancé. L'homme - et oui Black l'avait déjà caser dans la case homme ! Quel étroitesse d'esprit - sauta de son perchoir et tomba au milieu de la rue. La hauteur d'où il avait sauté ne lui avait même pas fait fléchir les jambes. Le soleil lui empêchait de voir distinctement ses traits. - oh quel dommage je ne vais pas pouvoir vous faire sa description - Une sorte de bâton sortit d'un coup de cet ombre. L'homme - ou la femme - avait du faire un mouvement de son "bâton" dans le vide car le bâton se refondit bientôt dans la silhouette et un fil, cet fois vertical, apparut. Cet fois Black n'était pas hypnotisait par ce fil et il se coucha par terre. Lorsque le fil arriva à son niveau il fut emporter par l'attaque et roula dans la poussière jusqu'à rentrer dans un mur, qu'il détruisit à moitié. Ce n'était pas un fil, très lacéré, mais un déplacement d'air générer par son arme. Black se releva et vit que la maison qu'il avait percuter était coupé en deux. Heureusement qu'il ne s'était pas prit l'attaque de plein fouet. Cet homme était beaucoup plus fort que celui de la base marine. Black sentait déjà la haine remplirent son corps comme si c'était devenue son nouvelle instinct de survie, comme si le mépris d'autrui était sa seul défense. Son ennemi avait disparu mais la tension qui se lisait sur le visage de Black se desserra point. Il n'avait pas le temps de souffler que son instinct, mais le bon cet fois, lui fit sauter de coté alors même qu'il ne voyait toujours pas encore son ennemis. Et il fit bien car à peine s'était-il effacer de la trajectoire qu'il sentit un très fort courant d'air passer à coté de lui qui l'envoya propulser encore un peu plus loin dans la poussière. La poussière de la rue lui se mêlait à sa transpiration et lui collaient à la peau. Cet substance l'aurait déranger en autre moment, lui qui faisait particulièrement attention à son hygiène du fait de son haut lignage, mais ce n'était pas ça qu'il l'avait fait vite relevé. Son ennemi pouvait le percevoir a travers les murs, il en était sûr. Ne pas le voir ne le rassurait pas. Il sentit un frottement derrière lui et,sentant le danger, tenta une nouvelle fois de sauter de coté cette fois un peu trop tard car il sentit la coupure de ce vent tranchant passait au ras de son bras. Il fut de nouveau projeté mais de façon beaucoup plus violente.
Il reprit contrôle de lui même à l'intérieur d'une maison alors qu'il était accoudé à un escalier. Il n'avait pas le niveau pour cet adversaire, ou en tout cas pas pour l'instant. Deux solutions s'offraient à lui: se surpasser mais d'une façon si intense qu'il puisse réduire l'écart qu'y les séparaient à néant ou alors essayer de gagner du temps en attendant l'un de ses compagnons. Mais c'était son combat, c'était à lui d'apporter sa pierre à l'édifice. Black ne pouvait rester longtemps au même endroit s'il ne voulait pas voir apparaître le courant d'air dont il avait déjà tester le tranchant. Black se retourna et monta l'escalier qui se trouvait derrière lui. Il tomba dans une sorte de grenier où il ne trouvait nul trace humaine (les habitants de la maisons se trouvaient peut-être en bas trop apeurés par le bruit qu'il avait produit en percutant leur mur pour bouger). Il s'approcha d'une des trois fenêtres de la pièce l'ouvrit et vit qu'elle donnait sur le toit: il sortit. Il fit le tour pour essayer de voir ou se trouvait son adversaire mais il ne vit que tuile et pavé. Il avait mal un peu partout à cause du mur qu'il venait de rencontrer. Il se demandait même comment il avait pu y survivre, il était sûr qu'avant sa rencontre avec Arianne il y aurait succomber où au moins se serait évanoui. Il devait avoir énormément progresser et en peut de temps, même pas deux semaine. Black commençait à se perdre dans ses pensées et il perdait en haine se qu'il perdait en concentration. Il vit un de ses courants d'air fondre sur lui. Il n'avait pas le temps d'esquiver. Il leva son épée et tenta de parer l'attaque sans véritable espoir. Le courant d'air toucha son épée et à sa grande surprise la para, la coupant en deux le haut qui montait à la verticale et lui coupait quelque cheveux et le bas qui détruisit la maison qui se trouvait son ses pieds. Mais Black n'avait pas à s'inquiéter de tomber dans les décombres. Il avait été projeté avec encore plus de force que la première fois. Mais ce n'était pas ça qui lui importait le plus. Si il avait été prit autant de court par le courant d'air ce n'était pas parce qu'il était plongés dans se pensées: il aurait sentit l'attaque un peu avant mais c'est car il avait été content de voir celui qui allait devenir son relayeur. Il ne voulait pas qu'une autre personne continu ce combat que lui même. Cela l'embêter beaucoup.
Il retomba beaucoup plus loin sur la place avec la fontaine, place déjà rencontré car c'était là où se trouvait le vieil homme qui les avaient renseigner sur l'habitat des meilleurs cuisinier de la garlen's food. Il gisait par terre. Il n'était pourtant pas inconscient mais plutôt sonné et dans le vague. Il fallut attendre une bonne dizaine de minutes avant qu'il puisse se relever. Ses vêtements étaient en lambeaux, sa peaux était entaillé de toute part, ses percutation avec un mur lui avait laissé de grand bleue et il lui collait à la peau un mélange de sang, de sueur et de poussière désagréable, encore plus désagréable qu'avant. Mais surtout il ne lui restait dans les mains que la garde de son épée. En contrepartie comme point positif il ne sentait plus aucune menace. Il voulait pourtant continuer le combat. Il regarda autour de lui et vit une boutique d'arme. Il couru là-bas sans faire attention à l'attroupement qui commençait à se faire autour de lui. Il rentra dans le magasin et une clochette retentit. Il entendit une voix d'homme au loin crier:
- J'arrive une minute.
Black s'avança près des épées, il prit celle qui avait la lame la mieux équilibré, qui avait l'air d'être la plus tranchante et qui possédait une ligne qui l'intriguait. C'était évidemment la plus chère. Il vit le vendeur s'avancer de sa porte. Quand il le vit, le vendeur cria. Black regarda derrière lui et vit une foule se présentait derrière la vitre mais ce n'était pas ce qui importait au vendeur:
- Ou avait vous reçut de pareil blessure? demanda-t-il.
Mais Black n'eut pas le temps de lui répondre qu'il voulait l'épée qu'il avait dans les mains qu'il entendit derrière lui.
- MAIS JE LE RECONNAIS. C'EST L'UN DES JEUNOTS QUI ONT AGRESSÉS LES CUISINIERS.
Black vit alors qu'il devait s'enfuir à la tête que faisait le vendeur. Il fonça par la porte d'entrée, poussa du plus fort qu'il pouvait et par une force qui l'étonna lui même arriva à pousser la foule qui se trouvaient derrière. Il fonça tête baisser dans la foule. Il donna des coup de poing à ceux qui lui barrer la route oubliant d'utiliser l'épée qui se trouvait dans ses mains et qu'il avait malencontreusement voler. C'était sans doute mieux car il aurait regretter plus tard d'avoir tuer des civils pour rien. Il arriva au bouts de grands efforts à s'extirper de cette foule oppressante et mit le reste de force à s'enfuir vers l'endroit où il avait était propulser. Il s'aperçut en courant qu'il avait laisser Arianne seul face à l'épéiste et peut être face à un troisième ou même quatrième ennemie. Ces pensées lui redonnèrent des forces et il continua de courir de plus belles, poursuivit par des villageois à bout de souffle qui s'étonner de l'endurance de cet homme qu'ils avaient découvert à moitié mort.
***
Arianne était cernait par les cinq derniers assaillants. Ils se firent un signe de tête et l'attaquèrent en même temps. Arianne s'accroupit, se transforma en oie et transperça celui qui se trouvait elle. Elle arrêta sa course en l'air d'un coup d'ail et redescendit en flèche vers le garde du corps le plus proche. Celui esquivait avec un saut en arrière, sortit son flingue et tira. Arianne s'était déjà remise en humaine et elle plongea vers les pieds du garde alors que celui-ci tirait. Elle s'appuya par terre et le renversa à terre puis dégaina son bâton, fit sortir la lame et lui troua le ventre. Elle se retourna vers les trois autres hommes et s'élança sur eux sans récupérer son bâton. Elle sauta par dessus eux se transforma et s'envola un peu plus haut. A une bonne altitude elle fonça vers l'un des murs ricocha et se planta sur l'un des gardes. A peine les gardes se rendait compte du traitement qu'avait subit leur camarade que Arianne était déjà en l'air. Les deux derniers hommes s'enfuirent. Arianne ne les poursuivit pas.
Tous de suite au sol, après avoir récupérée son bâton, Arianne pensa à ses compagnons et couru vers la où était Black la dernière fois où elle l'avait vu. Elle ne couru pas longtemps, bientôt elle aperçut Black mais n'eut pas le temps d'appeler car un filet d'air le propulsa à travers dans un mur dans un grand tourbillon de poussière. Elle allait courir vers Black quand elle sentit une présence derrière elle. Elle se retourna et vit un homme d'une trentaine d'année au milieu de la rue. Son oeil droit était fermé à cause d'une longue cicatrice qui lui allait du front au milieu de la joue. Il avait un air lugubre. Il portait un pantalon et un ample manteau noir. Il dévisageait avec insistance Arianne:
- Petite tu ferais mieux de rentrer chez toi avant de te blesser, dit-il.
Et il continua sa route sans prêter attention à Arianne. Son bâton était pourtant facilement repérable. La capitaine vit alors Black sortir de la fenêtre de la maison où il avait été propulsé et qui tenait miraculeusement sans un mur. L'homme aussi le vit et frappa avec son épée si fortement qu'une onde d'air se propagea vers Black pour le propulser à un endroit invisible pour ses yeux. Arianne n'avait pas le temps de s'inquiéter du sort de son ami. L'épéiste se retourna et la regarda de nouveau fixement. C'était à elle de jouer.




Voilà :). Le prochain chapitre sera court et le 11 très long car je voulait qu'ils finissent tous les deux à un moment précis.
J'ai finis entierment la disposition du prochaine arc et je suis en train de commencer à penser à celui d'aprés. Celui-là marquera surement le passage à des arcs plus long et, je l'espere, plus complexes. J'ai aussi quelque moment future qui arriveront de ci de là.
De plus, avant d'écrire un chapitre j'ai déjà programmer chaque évennement qu'ils se passera mais souvent je change certaine choses. Par exemples il devait n'y avoir 3 ennemi mais je n'en est mit que 2 car Rococo est très fort. Ce sera le boss de l'arc ;). J'ai décidé ça quand Black allait sur le toit pour se faire éjecter par Rococo c'est dire si c'est arrivé au dernier moment ! Vous verrez que ce combat arianne vs rococo sera assez long et recelera quelque surprises. Vous voyez aussi que Cram a eu un gros level up et a une plus grosse palette au niveau de ses coups.
Sinon le fait que Black soit ejecter n'était pas prévu non plus et le fait qu'il aillent piquer une nouvelle épée etc... pas plus ^^

Bon j'éspere que vous allez commenter ou me mp ca me ferait plaisir allez à la semaine prochaine ou je posterais le prochain chapitre
see you :)

edit: Bon je dois partir là mais dès que je le peu j'édit le schéma parce que là --

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Sam 8 Oct 2011 20:12 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Chapitre 10: Duos

- Comment t'appelle-tu. dit Arianne.
Elle se trouvait face à un homme qui devait faire vers les un mètre 85. L'allure décontracté comme si tous étais finis. Soit il ne la considéré pas comme une ennemie, option peu plausible vu que Mr Padre les avait vu tous les trois, soit il ne la considéré pas comme un danger potentielle. D'ailleurs il l'avait d'abord ignoré. Cet homme commençait à l'énervé.
- A quoi cela pourra-t-il bien te servir? Enfin bon, je m'appelle Rococo et mon employeur m'a donné ordre de vous éliminer tous les trois. Je viens d'en finir avec un, mon valet est en train de se débarrasser du deuxième, reste plus que toi, dit-il le sourire au coin des lèvres. Dois-je me débarrasser de toi aussi ou retires-tu la candidature de votre cuisinier.
Il connaissait toute l'histoire, rien ne servait de se cacher elle sortit son bâton et couru derrière un mur.
- Dommage pour toi. Une si belle femme...
Rococo n'avait rien dit lors du combat contre Black. Il avait prit en pitié Arianne et avait l'air désolé de devoir se débarrasser d'elle. Il sauta sur l'un des toits et envoya l'un des courants d'air tranchants vers le mur où s'était cacher Arianne. Il savait bien qu'elle n'y était plus, il voulait juste la faire abandonner. Grâce à une technique qu'il avait mis dix ans à apprendre, il pouvait détecter la chaleur des corps et par conséquents "voir" à travers les murs. Il n'en était pas particulièrement fière, tellement de gens la connaissait et "voir" à travers les murs pouvait s'apprendre sous différente formes il avait même entendu parler de gens pouvait lire dans les pensées des gens et ainsi pouvait détecter leur emplacement. Rococo refit deux courants un devant et un derrière la masse de chaleur qui correspondant à Arianne. Les deux fils verticale découpèrent la maison qui s'écroula sur la où se trouvait la fille quelque temps avant. Et oui car Rococo venait de perdre la trace d'Arianne. Cela le surprit beaucoup car jamais aucune personne n'était arrivé à faire cela. Son instinct le fit alors roulé de coté: un bâton lancé à grande vitesse venait de l'atteindre sur l'épaule droite. Il sentit la lame froide lui effleurer la peau et lui laisser une longue éraflure sur son épaule. Rococo se retourna et vit Arianne sur l'un des toits derrière elle. Comment était-elle arrivée jusque là en si peut de temps? Peut importer il ne donnerai plus de cadeau tant qu'elle n'abandonnerait pas. Il sauta à terre et envoya plusieurs déplacements d'air où se trouvait Arianne. Il vit alors le toits s'effondrait et un oiseau s'envoler en haut. Non pas un oiseau, une oie. Il la percevait grâce à sa chaleur corporelle. Par contre il ne repérait plus la fille. Il vit alors l'oiseau fonçait sur lui. Il comprit que c'était Arianne envoya une onde d'air vers elle tout en sautant à coté. Le courant d'air lui déchira l'aile gauche et elle tomba contre le mur d'une maison dans la poussière. Rococo s'avança vers elle. Elle était redevenu la fille qu'il avait vu au départ. Elle avait du manger un de ces fruits du démon. Elle était allongés en sueur tenant son bras gauche qui portait une cicatrice sur le haut du bras. Il pensait l'avoir plus blessé que ça mais elle ne pourrait gagné avec un bras en si mauvais état. Il lui dit:
- Renonce maintenant. Ton combat était valeureux mais inutile.
- Jamais, lui cria-t-elle.
Il ne pouvait plus rien pour cette fille. Il en était désolé mais il n'allait quand même lui prouver combien son attitude était puérile. Il leva son sabre. Il avait décider de lui porter son attaque au cou pour que ses souffrances soit brèves. Il allait le découper quand il eu d'un coup une sensation de sang chaud suivit d'une grande souffrance à l'épaule. Il venait de se prendre une balle à l'épaule. Il regarda derrière lui et vit cinq maisons au loin un homme qui se trouvait contre un mur. Il se retourna vers la fille et vit qu'elle avait déjà surmontait sa douleur et s'était enfui derrière un mur.
- Pffff seulement l'épaule, je visais mieux avant, dit l'homme au loin.


***
Quelques maison plus loin, un autre combat faisait rage. Et d'une ampleur dévastatrice encore pire que l'autre. Car cet fois-ci ce n'était la technique qui primait mais la force brute. Ce combat opposé Cram médecin de l'équipage d'Arianne au disciple de Rococo, un homme d'une stature imposante et recouvert entièrement d'une armure fait d'acier et de fer si bien qu'on ne voyait pas un bout de chair dépasser. Autour de ces deux hommes se trouvaient un champ de ruine de maison détruite par l'impact des attaques, par les projections qu'ils s'envoyaient ou par eux-même. Il ne restait que quelque maisons dans les alentours proches à être debout. Elles se trouvaient tous dans la direction d'Arianne et il y avait dans celle-là, la maison de Johan en particulier. A chaque fois que l'homme-armure envoyait des projectiles dans sa direction, Cram faisait en sorte qu'elles se détruisent avant qu'elles n'atteignent leurs but. Et cela le laissait souvent à découvert et son adversaire en avait vite prit avantage si bien qu'il avait envoyé Cram rejoindre la maison alors que celui-ci tentait une énième fois de repousser des poutres de bois qui était sur le point de percuter la frêle maison. Il avait été envoyé, comme par ironie, sur la façade qu'il tentait vainement de défendre.
Cram se trouvait dans la salle à manger de son ami Johan. Il ne voulait pas qu'on touche à cet maison sinon tout les ingrédients et ustensile qu'ils disposaient déjà allait être détruit. Il en perdrait un temps fou. Au début, il avait essayé de s'interposer entre un objet perdu dans la bataille et la maison. Son adversaire s'en était aperçu et avait compris qu'il tentait de sauver cette maison. Ensuite, il n'avait arrêté de pilonnait cet maison d'objet aussi diverse que de tables, de poutres, de murs ou même de toits et toujours avec un malin plaisir. Cram avait bien essayé, vainement, de emmené son adversaire vers un autre de champ de bataille, parfois grossièrement parfois subtilement, mais à chaque fois son ennemi revenait en face de la maison et la mitraillait d'objet. Le problème n'était pas tellement la fatigue, même si il s'était "régénérer" trois fois mais que l'issue du combat semblait bloqué et il ne pouvait compté sur une fatigue de son adversaire ou d'une aide extérieur. Son adversaire était robuste et plus il se régénérait moins ses attaques étaient efficaces de plus sa fierté lui empêchait de se reposer sur une aide extérieur et à juste titre.
Cram sentit que quelque chose arrivait vers lui a grande vitesse et il le détruisit sans même le voire en mille morceaux grâce à un de ces coups d'énergie. Cram sortit de la maison, en arrêtant deux, trois objet qui s'aventurait dans sa direction à la vitesse d'un boulet, et regarda dans la direction de l'homme d'acier. Il se trouvait au milieu des débris de maison et cherchait tout objet qu'il pouvait lui lançait et il ne l'avait pas encore vu, trop occupé dans ses recherches. Cram mit de l'énergie dans ses jambes et se fit propulser vers l'homme-armure à la même vitesse que les objets que lui lançait ce dernier. Celui-ci releva la tête et vit Cram qui était en train de lui foncer dessus à toute vitesse mais il l'avait vu trop tard et il ne put esquiver le coup de poing qu'il lui envoya. Le disciple de Rococo fut propulser un peu plus loin mais se releva vite. Il n'avait rien reçut grâce à son armure. Cram sentait qu'il le fixait. L'armure mouvante se pencha ramassa un objet et lui lança à une grande vitesse. Et la cadence continua. A chaque fois Cram détruisait ces débris d'un coup de poing d'énergie. Parfois quand la cadence faiblissait Cram en profitait pour lui en lançait à son tour. Mais son armure résistait trop bien et il n'avait pas non plus sa force. Les deux hommes continuèrent ainsi persuadé que l'autre céderait bien à un moment à un autre. La situation était de nouveau bouché et Cram s'en rendit bien vite compte. Il s'avait aussi qu'à ce jeu là ce serait lui qui céderait. Mais il ne pouvait atteindre son ennemi au corps à corps tellement ses tirs était nourris et précis. Il tenta d'aller sur le coté mais il réguler très vite son tir et tout reprenait de plus belle. Cram commençait à s'impatienter. Il n'avait jamais été de nature patiente. Si bien qu'il mit de l'énergie sur ses pieds et fonçât vers son ennemi avec le plus de puissance possible. Il était à couvert des tirs de l'homme armure. Il traversa des portes, des tables, et des objets diverses et variés. Et à chacune de ses impacts il sentait sa vitesse faiblir et accessoirement avait très mal. C'est presque au ralenti qu'il arriva au pied de l'homme d'acier et s'écroula par terre.
- AHAHAHAH te voilà bien impuissant maintenant, dit le roi de fer.
Et il mit un pied sur les omoplates de Cram puis posa tous son poids dessus. Cram cracha du sang. Cette force lui compressait le corps. Il sentait que sa peau allait se déchirer. C'était de la véritable torture. Cram fit un véritable effort pour lever sa main et la poser sur la botte d'acier de l'armure humaine et un encore plus énorme, et qui relevait de l'exploit surhumain, pour faire une impact sur la botte. Cet impact fit reculer son ennemi deux pas plus loin. Cram était libre ! Il ne sentait plus rien à part les séquelles de cette compression et qui en aurait fait agoniser plus d'un. En faite il voyait que il en avait les séquelles mais n'en ressentait pas la douleur. La souffrance ne l'habitait plus comme si il en avait perdu le sens. C'était à la fois un avantage car avec cette souffrance il n'aurait sûrement pas fait un pas mais cela voulait dire qu'il pouvait dépasser ses propres limites sans s'en rendre compte. Il se releva essoufflés mais l'âme d'un guerrier. L'armure parlante fut prit d'un rire de voir tant d'effort d'une personne qui était, pour lui, déjà condamné. Cram entendait à peine le rire tellement ses oreilles bourdonner ( sûrement l'une des nombreuses conséquences de a compression). Cram le regarda froidement. Il fit deux pas vers lui en titubant. La bête d'acier se gaussa de nouveau de lui sans rien tenter face à une loque humaine. Cram se demandait pourquoi il titubait et se rappela qu'il ne sentait plus rien et que son corps en recevait quand même les conséquences. Il savait qu'il pouvait retrouver un état frais mais si il faisait ça c'était retrouver la douleur et il n'aurait pas d'autre occasion pareil. En plus il aurait sûrement compris que Cram était de nouveau dans le match. Il mit ses mains sur le bas de l'armure, sans que le géant de fer n'y mit quelconque résistance tellement il riait de son impuissance, et le propulsa dans le ciel. Cram le savait cela ne suffirait pas. Si il ne rajoutait pas d'autre attaque l'armure ne céderait pas. La régénération lui prendrait trop de temps et il décida de procéder à la suite des opérations. Il remit de l'énergie dans ses pieds et se propulsa dans le ciel. A peine il quitta le sol qu'il tomba dans une micro-sieste. Les efforts qu'il voulait donner était trop fort mais il ne pouvait arrêter maintenant. Cram s'en voulait de ne pas s'être régénérer avant. Et s'il mourrait d'avoir trop dépasser ses limites? Il sentait qu'il pouvait craqué d'un moment à l'autre. Quand il reprit ses esprits, il se trouvait toujours dans le ciel mais ne voyait pas le corps de l'autre homme. Il regarda autour de lui et l'aperçut un peu plus bas que lui. Il avait sauté trop haut. Il se mit la tête en bas et fit une toute petite propulsion vers son corps. Il se remit en position verticale et s'arrêta sur le corps de métal de son ennemi. Sa vue se voilà une demi-seconde. Le choc avec le corps de son ennemi et la petite propulsion lui avait causer cela et son esprit commençait à s'embrouillait Il posa ses mains sur le corps de métal et le propulsa jusqu'en bas à une vitesse folle. Un nuage de poussière se fit près de son impact et Cram vit bientôt que le trou, qui avait comme épicentre le corps de l'homme de métal, faisait la taille de la longueur de la rue. Ce n'était toujours pas suffisant pour lui. Il voulait être sur de l'avoir et s'envoya lui aussi en bas à la même vitesse que l'homme de métal auparavant. Mais juste avant de percuter le sol et son armure il mit ses dernières forces dans une projection énormes et qui le propulsa encore dans le ciel et le fit réatterrir à coté du trou. Le coup avait du être d'une force titanesque car il allié ses dernières force avec sa vitesse qui était prodigieuse à ce moment là. Cram se releva d'instinct comme un ricochet de l'impact qu'il venait de faire avec le sol. Il n'arrivait plus à contrôler aucun de ses membres Il ne pouvait bouger plus que ses yeux. Si le disciple de Rococo n'était pas mis hors de combat s'en était finit de lui. Et avant de retomber en avant il jeta un oeil en direction de l'armure de son ennemi. Il avait à la fois peur et était curieux de vois si il était arrivé à vaincre son ennemi. Elle se trouvait toujours là sans même la moindre égratignure. Cram ne put en supporter plus. Ses yeux se refermèrent et il sombra dans le sommeil.


***
Refaisons un saut dans le temps et arrivons au combat de Arianne là où nous l'avions laisser:
Arianne avait mal au bras gauche. Elle se trouvait toujours derrière la maison où elle s'était caché après le moment de répit que lui avait offert quelqu'un en tirant sur Rococo. Elle se demandait qui s'était. Cela pouvait être Black ou Cram mais il ne s'était encore jamais servis d'une arme devant elle. Donc cela devait être probablement une aide extérieur. Arianne ne put pousser plus loin sa réflexion car elle entendit qu'une "attaque-courant d'air" arrivait. Elle courut sur vers l'arrière du autre maison en espérant que le coup soit verticale. Il était horizontale. Mais Arianne avait assez couru pour ne pas le prendre de pleine face et le coup ne lui déchira que l'arrière de sa tenu. Elle sentait tout de même qu'une petite coupure se trouvait dans son dos. Elle n'était ni longue ni profonde, elle ne se reéffondra pas. Elle s'eggouffra dans un espace entre deux maisons et arriva dans la rue où avait eu lieu le principale du combat. Elle dès cette arrivée, Arianne dut plonger en avant car une attaque fondait vers elle. Elle se relva près de débris de bois où elle aperçut son baton encore rouge du sang de l'épaule de Rococo. Elle le ramassa et le mit derrière elle. Une autre détonation retentit mais cette fois plus proche. Il vit aussi en face d'elle à travers un autre espacement de maisons une ombre courir et redisparaitre aussi vite qu'elle avait apparu. D'autre qu'elle ne l'aurait pas vu tellement le détail avait était insignifiant et court mais Arianne avait tous ses sens au maximum de leur capacité. Elle entendit une nouvelle attaque fondre sur elle. Ne reflechit pas et couru vers l'espacement où elle avait aperçut la silhouette. Elle songea juste avant de tourner au coin que ce n'était pas parce que cet personne était l'ennemi de Rococo qu'il sympathiserai avec elle. Cet hypothèse s'avera fausse quand elle tomba nez à nez devant Johan.
- Mais qu'est ce que tu fout là toi? dit, et j'imagine que vous l'avez deviné, Arianne.
- Je n'arrivai à rien faire depuis que j'ai entendu vos bruits de combats. J'étais anxieux pour vous alors je suis venu.
- Mais si on fait ça c'est pour te proteger alors pourquoi venir? s'énerva-t-elle.
Johan la poussa contre le mur et plongea de coté. Elle avait oublié qu'elle était en terrain ennemie.
- AHAHAHAH, voilà enfin notre tireur. Tu ma fait mal tu sais? dit... oh et puis vous savez bien.
Johan n'avait pas attendu la fin de sa phrase pour tirer avec l'un de ces pistolets qui se trouvait dans sa manche. Rococo s'était déjà enlever de là où il était mais en esquivant la balle il tomba de son perchoir. Johan se trouvait déjà là où tombait Rococo et lui assèna un coup de pied retourner dans la tête. Il le souleva après par le col, sonné, et l'envoya contre un mur. Arianne était rester en arrière comme si elle était spectatrice. Johan fonça vers Rococo, assis contre le mur, et esseya de lui donné un coup à la tête. Et oui esseya car Rococo prit sa jambe au vol la souleva et l'envoya en l'air. Johan retomba dans la rue principale. Rococo se retourna vers Arianne. Il avait sa joue gauche érrafler et du sang coulait un peu de sa bouche. Il cracha par terre et la reregarda.
- Il m'a fait mal tu sait? Ne t'attend plus à aucun cadeau de ma part. Tu regretteras bientôt de ne pas t'être soumise.
Et sur ces paroles fonçat vers elle et lui donna un coup de coude dans le ventre. Arianne retomba le souffle coupé.
- Je vais d'abord m'occuper de ton copain.
Et il sauta sur le toit et retomba dans la rue. Alors qu'il y avait une petite rue qui reliait les deux endroits juste à coté... Johan venait de se relever près à repartir sauver Arianne quand Rococo lui donna un coup de poigns dans le dos. Ah voila pourquoi il n'a pas utiliser la ruelle: car sinon Johan l'aurait vu et que comme ça il a pu l'attaquer par derrière... à moins qu'il ne faut chercher aucune logique là-dedans? Rococo donna un coup de pieds dans le corps de Johan qui fut envoyer trois mètres plus loin. Rococo continuait de le frapper, lui donner des coups de poign dans le ventre, lui marcher dessus et l'envoyer valdinguer quelques mètres plus loin en ne cessant de répéter des insultes, des "ça t'apprendra à me tirer dessus" ou des paroles dans le genre. Rococo faisait durer le plaisir. Johan était de plus en plus sonné et n'avait l'occasion de se relever. Après plusieurs minutes de ce jeu là et alors que même Rococo commençait à s'ennuyer de se battre contre un corps inerte, Johan eut une sorte de second souffle. Rococo venait juste de l'envoyer une dizaine de mètre plus loin et aussitôt Johan s'était relever et le regarder méchamment. Rococo foncat sur lui mais lorsque il fut à sa portée Johan lui assèna un coup de genoux de le ventre qui le fit tombé par terre. Johan allait continuer quand d'un coup sans prevenir il retomba par terre épuisé. C'était ses dernières forces qu'il venait de mettre en vigueur. Et plus de la moitié avait été consacré à ce qu'il se revienne à ses esprits et qu'il se releve. Rococo se releva se positionna devant le corps de Johan et rigola.
- Mon pauvre, tu ne tient même plus debout. Tu fait pitié à voir. J'ai quand même manquer de vigilance je ne pensait pas que tu te relevais et je ne me suis pas donné à fond.
Rococo sortit son sabres de son fourreaux. Le leva et fut envoya cinq mètres plus loin par un coup de pieds dans le dos. C'était Arianne, il pensait qu'elle serait sonné plus longtemps. Arianne prit Johan et le transporta dans une maison. Johan était eveillés mais avait ses membres douloureux.
- Ah, j'ai du mal à bouger. Je ne comprend pas pourquoi je suis tombait tout à l'heure. Il était par terre et d'un coup j'ai eu très mal, si mal que j'en suis tomber. Ca ne se serait jamais produit avant... Enfin bon je peut encore bouger normalement même si c'est douloureux. Je suis sûr qu'à deux on peut encore y arriver et...
- VA T'EN.
Arianne le regardait le regard dur. Cet séverité était de façade. Quelque goutte roulait sur ses joues. Quand elle avait vu le corps de Johan allongés par terre et Rococo rigolait devant elle avait eu affreusement peur. Et là il bougeait comme si rien n'était. Johan bafouilla quelque mots surpris
- S'il te plait va t'en. C'est mon combat ce n'est pas le tien. Va plutôt attendre le retour de Cram ou de Black. Tu...
Arianne n'avait en faite aucune envie de se retrouver face à Rococo mais elle ne pourrait se battre réellement tout en s'inquiétant de Johan. Celui-ci comprit et aquiesa de la tête. Arianne se releva et sortit de la maison. Rococo était debout face à elle, le regard haineux. Arianne sortit son bâton et le lançat sur lui. Rococo ne prit même pas la peine de l'esquivait et le prit au vol. Il avait pourtant été lançait à la même vitesse que contre le géant par exemple. Rococo le regarda et le cassa en deux. Les deux débris du bâton tombèrent par terre. Il était en colère cette fois et pour de bon. Arianne frémissait presque de peur. Tout avait changer vers lui. Il n'était pas dans son état habituel elle le sentait. Arianne se transforma en oie et s'envola très haut vers les nuages. Il venait de casser le bâton qu'on lui avait offert lorsque elle était partit à l'aventure mais elle restait concentré dans son combat. Elle allait fonçait vers lui pour tenter de l'embrocher quand elle vit Rococo lui envoyer un de ces courants d'air. Celui-ci était plus gros, plus puissant et surtout plus rapide. Même trop rapide. Arianne s'aperçut qu'elle ne pourrait l'esquiver. Le coup fondait sur elle à toute vitesse et recouvrait une grande partie du ciel. Elle n'était plus le chasseur mais la proie. Le coup arriva vite là où était Arianne et continua comme s'il n'avait rien percuter. On ne voyait plus aucune trace d'Arianne nulle part au alentour de l'attaque. Rococo en voyant ça se calma un peu. Il venait d'atomiser le dernier ennemie qui osait se pointer encore vers lui. Par sureté il esseya de détécté la chaleur de la fille. Il ne la trouva pas dans le ciel. Il ne détecta pas celle de Johan non plus. Il ne lui restai plus qu'à le chercher. Il ne devait pas être bien loin. Sa mission était terminer et il en était déçut. Il s'assit par terre. Il ne voulait se décider à aller chercher Johan. Il attendrai ici son disciple qui était partis tuer le dernier des trois compagnons et irait après en finir avec Johan. Peut être avait-il put s'enfuir ou avait un peu récuperer pour que la mission reprenne un peu d'interet. Rococo ferma les yeux dans un état de méditation. Quelque minutes était passé quand il sentit quelque chose arrivait vers lui. Il n'eut pas le temps de se relever qu'il était propulser plus loin dans les décombres d'une maison qui s'était écrouler sur lui. Il dut aussitôt rouler sur le coté car une sorte de fléche était passé la où se trouvait sa tête auparavant. Il n'eut pas le temps de souffler qu'il sentit que quelque chose lui transperçait le bras. Il ne fit pas attention à la douleur qui s'ensuivit et partit plus loin. Il vit dans la rue deux silhouettes se dessinait.
- Si j'avait su qu'il récupererait aussi vite...
- Je te l'avais bien dis qu'il était coriace.
C'était Cram et Arianne

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Mer 19 Oct 2011 15:38 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Il y aura un chapitre par semaine jusqu'à la fin des vacances de la toussaint :)
Plus que deux chapitres et c'est la fin de l'arc sinon ^^
(d'ailleurs ce chapitre je l'est scindée en deux tellement il était long, il faisait deux fois le chapitre le plus long que j'avais écrit auparavant x) )

allez c'est parti:

Chapitre 11: L'arrivée du héros

Cram rouvrit les yeux. Il tenta de se relever est faillit retomber par terre. Il se sentait faible et n'arrivait pas à se souvenir où il était. Il se régénéra, plus par réflexe que par conscience, et ,grâce à ce réflexe, eut de nouveau l'esprit clair. Un déluge de souvenir arriva alors: Johan, la Garlen's food, Mr padre, l'armure vivante, sa bataille... Il se rappelait surtout qu'il était tombé épuisé sur le sol en voyant l'armure de son adversaire intacte. Il se demandait d'ailleurs pourquoi on ne l'avait pas achevé ou même emmenés quelque part. Il regarda autour de lui: ce n'était que murs détruits, maisons écroulés ou objet éparpillés. Son regard s'arrêta vite sur ce qu'il cherchait: il y avait un trou énorme à coté de lui faisant au moins une vingtaine de mètres de rayon. Il s'approcha du trou et aperçut au milieu l'armure du disciple de Rococo, toujours là. Il courut vers le corps et faillit tomber à cause de la pente qu'il dévala. Quand il fut à deux trois mètre de celle-ci il la regarda plus précisément. L'armure était toujours intacte: aucune ébréchure, aucun enfoncement. C'est comme s'il ne l'avait touché. Il s'agenouilla et la toucha. Il faillit retirer ses mains de surprise par la froideur du métal. Il fit glisser ses mains sur cette surface gelée et échappa un petit cri de douleur. Il retira aussitôt ses mains et les mit dans ses poches. Il ne faisait pas froid dehors, il faisait même plutôt chaud. L'armure devait avoir un système pour refroidir l'intérieur de l'armure car il est vrai que sans ça il devrait faire très très chaud dessous. Cram se demanda si le disciple de Rococo se trouvait toujours à l'intérieur et vit que le heaume de l'armure pouvait être dévissé. Il mit ses mains des deux cotés et fit tourner le heaume. Il était obligé de s'arrêter fréquemment car ses mains commençaient à prendre une teinte bleutés inquiétante. Au bout de deux trois tours complet il vit une goutte de sang passer à travers la fente et s'écraser sur le sol. Cram reprit de plus belle et enleva bientôt le heaume à sa plus grande horreur. La tête, ou plutôt se qui en restait, était ensanglantés et à moitié aplatis. On ne reconnaissait même plus la trace d'un visage humain devant cette tête aplatis. Ses cheveux était rouge de sang. Sa tête aussi d'ailleurs. Son sang ruisselait sur son visage et coulaient petit à petit sur le sol. Cram fit quelque pas en arrière estomaqués par cette horreur. Il ne put regarder se spectacle plus longtemps et s'enfuit et haut en laissant le heaume par terre. Il avait envie de vomir. Il venait de tuer un homme et d'une brutalité sans nom. L'armure avait beau être indestructible, ses coups avait était si fort que son ennemi s'était percutait contre l'armure d'une telle violence que sa tête avec était écrasés sur la face de métal. Il chercha un mur pour se soutenir, il n'en trouva pas et s'assit par terre. Il ne pensait pas avoir une telle force et pouvoir faire ce genre de chose. Cram n'en revenait pas et ce n'est qu'après un bon moment qu'il pu se sentir la force de se relever. Tout de suite il pensa à ses amis. Il se demandait si il avait rencontrer des gens aussi fort que celui qu'il venait de combattre. Il fallait qu'il les retrouvent même si c'était possible qu'ils soient déjà chez Johan à l'attendre.
Il allait partir à la recherche de ses amis quand il vit quelque chose tomber devant lui tout de suite suivis par un gros nuage de poussière. Cram eu d'abord peur que se fut un nouvel ennemi mais décida de s'approcher tout de même. C'était le corps de Arianne qui se trouvait là. Elle avait l'air à bout de souffle et avait plusieurs coupures sur le corps, sa chute n'ayant pas du arranger les choses. Cram mit sa paume sur son corps et la régénéra. Son pouvoir était très rentable en ce moment. Aussitôt ses forces retrouvait, Arianne se releva et le regarda:
-Contente de te revoir Cram, souria-t-elle.
***

Retour un peu en arrière: Arianne volait sous sa forme d'oie dans le ciel et Rococo venait de lui envoyait un courant d'air tranchant encore plus rapide et gros que la dernière fois. Arianne savait que sa forme d'oie ne pourrait esquiver l'attaque. Elle commençait à céder à la panique quand elle eu une lueur d'intelligence. Elle se remit en forme humaine et se laissa tomber et juste avant de percuter le sol, se retransforma en oie, ouvrit ses ailes et plana pour amortir sa chute avant de s'envoler de nouveau. Elle ne devait pas repartir à l'attaque car plus le temps avait passer plus Rococo l'avait dominer. Il fallait qu'elle se repose un petit moment. Elle était à bout de souffle. Arianne décida de partir un peu plus loin car elle avait remarquer que Rococo arrivait à la détecter même à travers les murs. Elle s'envola le plus haut possible pour qu'il ne la détecte pas et s'enfuit en volant. Il fallait qu'elle retrouve des forces mais si elle partait trop longtemps Rococo allait attaquer Johan. Et là elle vit Cram au sol. C'était la solution à son problème ! Elle piqua vers lui mais il lui fallait être très précise quand elle volait, au maximum de ses capacités même. Et sa fatigue ne lui permettait pas si bien qu'elle ne calcula pas bien les distances entre elle et le sol et qu'elle s'écrasa lourdement sur les pavés.
***

Arianne était heureuse de retrouver Cram. Elle avait trouver un allié qui l'aiderait dans son combat. Arianne expliqua à Cram rapidement le topo de l'histoire et celui-ci accepta de l'aider. Arianne voulait tout de même voir si Johan était bien en sécurité chez lui et qu'il ne s'était pas fait surprendre par Rococo. Et à l'occasion voir ce qu'était devenu Black si l'occasion se présentais. Il ne fallait pas trop attendre avant de retourner attaquer Rococo. Il ne les attendrais pas éternellement, si il les "attendait". Johan se trouvait bien dans sa maison et sauta de joie en voyant Arianne et se rassit vite dessus quand Arianne lui expliqua qu'elle était juste venu s'assurer que rien ne lui était arriver. Il n'y avait aucune trace de Black et les deux compagnons décidèrent de repartir dans la bataille. Ils coururent vers l'endroit où se trouvait Rococo la dernière fois que Arianne l'avait vu. Et à peine deux rue plus loin, alors qu'aucun danger ne s'était encore présenté, Arianne prit Cram et le plaqua contre le mur en lui faisant signe de se taire. Cram tourna la tête et vit un homme assit contre un mur les yeux visiblement fermés. Arianne lui chuchota:
- Tu crois qu'il dort?
- Je ne sais pas. Il est un peu trop loin pour le savoir.
- Tu crois qu'on pourrait passer dans la ruelle comme si on était des passants et vérifier ça?
- Eh bien, de une je ne connais pas beaucoup de promeneurs qui se balade à travers des rues à moitié dévasté...
- Moi je ne connais aucun promeneurs.
- ... De deux si il est réveillé on est foutu.
- Ah oui c'est problématique... Et si on fonçait sur lui comme des bourrins en espérant que l'effet de surprise le terrassera.
- Tu compte sur un arrêt du coeur?
***

Sur ces mots Arianne et Cram avait attaqué l'homme endormis mais le "plan" n'avait pas vraiment eu l'effet escompté. Il n'avait pas réellement blesser Rococo et l'effet de surprise était passé. Rococo quand à lui était très énervé. Il s'était fait berné par Arianne qu'il croyait morte et il détestait se faire avoir mais le pire c'était l'arrivée de Cram. Dès qu'il en battait un il fallait toujours qu'il y en ait un nouveau qui arrive, c'était quand même le quatrième. Mais le pire c'était qu'il se souvenait que son disciple voulait attaqué Cram. Et son apparition voulait dire qu'il s'était fait battre. Il avait toujours dis à son élève qu'il était trop sûr de lui grâce à son armure mais quand même... Il avait une armure qui ne se brisait que pour quelque pouvoir du fruits du démon particulièrement féroce, aucune arme n'en était jamais venu à bout.
Ces jeunes gens commençait à l'énerver. La ténacité c'est drôle mais à un certain degrés. Les blagues les plus drôles son les plus courtes. Si un jour on lui avait dis qu'il aurait autant de mal à battre un équipage qui se trouvait dans les cinq premières îles de Grandline... Il fallait que cet fois il sorte le grand jeu. Il ne sous-estimerais plus ses adversaires. Surtout que le copain d'Arianne avait l'air d'avoir lui aussi un fruit du démon vu comment il l'avait propulsé. Enfin heureusement car si cet homme était arrivé à détruire l'armure de son disciple sans avoir de fruit du démon, même lui n'aurait pu le battre. Quel plaie que sont les détenteurs de fruit du démon !

Rococo sortit son épée et envoya son attaque qui tranchait l'air. Cram fut un peut surpris de voir cet attaque fondre sur lui, certes Arianne lui en avait parler mais il ne s'attendait pas à quelque chose d'aussi impressionnant. C'est comme si il pouvait voir le vent fondre sur lui. Les maisons autour, ou plutôt ce qui en restait, ce scindé en deux. De la poussière montait à cause du vent et était poussé par l'attaque, c'était comme si barre de poussière fondait sur lui. De plus cet attaque faisait un brouhaha déstabilisant. Cram était comme hypnotisé par ce qui fondait sur lui. Si il aurait pu il se serrait même approcher mais il ne pouvait pas, il se sentait paralyser. Il avait l'impression d'être la souris que le serpent à prit comme proie. Il cru même voir le noir de l'enfer dans les méandres de la poussières tourbillonnante qui s'approchait dangereusement vers lui. Il sentit alors le contact de quelqu'un derrière lui. C'était Arianne qui s'était jeté sur lui et qui tentait de le faire tomber par terre. D'abord son corps raidit lui opposa résistance mais l'élan d'Arianne en vainc à bout et il tombèrent tout les deux dans la poussière évitant ainsi le gros de l'attaque. Car il furent tout de même propulser violemment au loin. Cram avait l'impression de se trouver dans des sortes de vagues surpuissances qui le ballottés dans les airs. Il ne pouvait donner aucun mouvement de résistance et il cru même à un moment que son corps allait se déchirer en deux car il sentit deux tractions l'emporter. Quelques secondes plus tard, il s'affala par terre et continua à rouler quelque mètres plus loin. Il était sonné mais en vie. Il se releva la bouche pleine de sable et tangua quelques instants avant de reprendre ses esprits. Il regarda autour de lui et vit Arianne non loin de lui il allait la rejoindre quand il entendit le bruit dévastateur du courant d'air qui venait de fondre sur lui. Il se retourna et vit, en effet, une barre de poussière fondre sur lui. Cet fois ci il ne se sentait pas hypnotisé par l'attaque et se prépara. Il entendit Arianne lui crier de partir, elle devait être trop loin pour faire comme la première fois et croyait qu'il était paralysé comme la première fois. Mais non, Cram était plutôt déterminé. Il voyait l'attaque se rapprochait de lui. Il concentra en lui le plus d'énergie qu'il put et quelque instant avant l'impact la libéra avec ses mains. Les deux impact se rencontrèrent, s'entrechoquèrent, luttèrent, pour finir par disparaître. Cram était debout, incrédule d'avoir réussi a faire ce dont il était sûr quelques instants plus tôt. Arianne accourut vers lui heureuse:
- Mais comment t'as fait ça?
- Euh....
Il n'eut pas le temps de finir de témoigner son ignorance car une nouveau courant d'air accourait. Arianne se mit derrière Cram le regard confiant. Celui-ci reconcentra le plus d'énergie qu'il put et refit pareil. Ce fut une légère brise qui sortit de ses mains. Cram s'affala par terre pour ne pas se prendre l'attaque de plein fouet et vis que Arianne avait fait de même. Ils furent ballottés par le vent de nouveau et s'écrasèrent encore un peu plus loin. Cram se releva assez vite et se régénéra, pour voir si il pouvait toujours le faire. Son corps luisa et il sentit la petite douleur qu'il avait éprouver quand le courant d'air lui avait presque arraché le bras s'atténuer. Il avait au moins toujours se pouvoir. Il savait que plus il se régénérer et plus ses attaques était faibles mais pourtant il ne s'était pas tellement "régénérer" ce jour-là. Mais c'était là première fois qu'il enchaînais autant d'attaque qui lui prenait énormément d'énergie. Il avait donc des limites dans ses attaques aussi. Il entendit le rire de Rococo au loin. Il avait du être bien ridicule avec ça brise... Il sentit alors que quelqu'un la frappait à la tête derrière lui. C'était Arianne:
- Non mais t'es fou ! J'ai eu la peur de ma vie !
- T'avais qu'à pas avoir confiance et t'enfuir.
- Pff... Bon pourquoi ça a pas marché?
- Bah... J'ai plus d'énergie...
- Ah bon, ça peut t'arriver ça? T'aurais pu prévenir...
- Désolé j'avais oublié de lire le mode d'emplois... Par contre je peut visiblement toujours me régénérer.
- Ah bah oui là c'est sûr ça va super bien servir contre Rococo... Tu veux pas aller le régénérer là? Je le trouve un peu faiblard.
- Non mais je disais ça pour que quand Black reviendra...
- T'as vu le temps qu'il met... Il ne reviendra pas il doit être K.O.
- Ou bien mort...
Regard noir.
- Bon retourne chez Johan... Il a besoin d'un ventilateur tu te sens de le faire?
- Très drôle... dit-il en s'éloignant.
Arianne était frustré, elle venait juste de voir une parade à l'attaque de son adversaire la plus dévastatrice et paf on pouvait plus l'utiliser... Sa transformation en oie ne lui servirait à rien. Elle n'avait plus qu'une solution: la vitesse. Arianne se présenta face à Rococo le visage déterminé.
- Alors où est passez ton copain? Il s'est enfui? rigola-t-il.

Arianne ignora la pique et aussitôt courut vers le mur qui se trouvait sur le coté de Rococo. Arrivée là elle fit un demi salto avant tout en se transformant en oie et lorsque elle fut à la verticale elle appuya ses pieds palmés sur le mur de pierre et se propulsa vers son ennemi. De but en blanc elle visa la tête, elle allait jouer un jeu rapide donc un jeu physique et elle ne pourrait tenir très longtemps à fond. En temps normal, Rococo aurait eu largement le temps d'esquiver pleinement l'attaque mais il avait été surpris alors qu'il engageai un dialogue et il ne put éviter cette attaque que par réflexe. Il sentit le bec chaud d'Arianne lui entaillait la peau sur son épaule droite. Cela avait été aussi rapide qu'une coupure fait par un couteau, même plus rapide encore. Pourtant, Rococo ne ressentit pas vraiment de douleur, il ressentait juste le sang chaud qui commençait à tacher ses vêtements qui étaient déjà lacérés à plusieurs endroit. Encore une fois la douleur se trouvait dans son amour propre. Il fallait qu'il en finisse avant qu'une énième personne n'interfère dans cet confrontation. Rococo se retourna donc déterminée face à l'adversaire qu'il devait absolument anéantir le plus tôt possible. Arianne pour stopper sa vitesse c'était retransformée en humaine, avait posé ses pieds sur le sol qui se voyait emporter par sa vitesse et qui l'obligeait à courir, ensuite elle descellera de plus en plus sa vitesse jusqu'à l'arrêt complet. Elle avait quand même franchit une vingtaine de mètres avant de pouvoir se stabiliser et cela faisait vingt mètres où elle avait été vulnérable. Quand elle se retourna, elle s'attendait presque à voir Rococo lui donner un coup mais celui-ci était en train de se retourner en même temps qu'elle, sans sa lenteur elle aurait pris un bon coup. Elle mettait trop de temps pour s'arrêter complètement, elle le savait. Avec son bâton elle n'aurait pas eu à se transformer et aurait été sûrement plus efficace sur la fin mais Rococo avait casser son bâton et elle ne savait pas où il était et un demi bâton n'aurait pas la même vitesse qu'un bâton fabriqué spécialement pour ce qu'elle voulait en faire.
Ces pensées se formaient dans la tête d'Arianne pendant que son corps lui ne réfléchissait pas. Tous de suite après s'être retournée, Arianne fonça vers Rococo et alors que celui-ci attendait sa réception, la capitaine sauta du plus haut qu'elle pouvait fit un salto arrière à son apogée et se laissa retomber vers Rococo en forme animale. Celui-ci la regarda d'abord béatement mais revint vite à la réalité et fit un saut en arrière. Le saut fut fait à la dernière limite et Arianne coupa le manteau et la veste en deux avant de se figer dans le sol, le bec au trois quarts dans la terre. En voyant son ennemi à sa merci, Rococo sortit rapidement son épée et donna un coup horizontal là où Arianne se trouva peut de temps auparavant. Car celle-ci en voyant son ennemi sortir un sabre de son fourreau, s'était aussitôt remit en forme humaine. Ainsi son bec/nez fut totalement libéré de la terre qui l'entourait et elle effectua pendant cet transformation un salto arrière qui lui permit de ne pas se faire couper en deux. Elle fit alors quelque saut en arrière pour mettre de la distance entre elle et Rococo. Le voyant ne pas bouger elle se permit un éternuement, elle détestait avoir de la terre dans son bec. S'ensuivit alors un nouveau moment de fixation où chacun se jaugeait du regard tout en récupérant les quelques forces dont ils auront besoin juste après. Rococo en profita pour arracher son manteau et sa veste qui étaient maintenant deux loques cisaillés de toutes part coupés en deux parties. Rococo se trouva donc torse nu, cela aurai pu être un sérieux désavantage en hiver mais là même si la journée arrivait à son terme il persistant une température agréable. Arianne réfléchissait à la tactique à prendre contre ce monstre. Il avait des réflexes terribles.
Elle changea de tactique, elle attaquerai Rococo frontalement et miserai tous sur sa vitesse. Elle courut vers Rococo, arrivé à quelque mètre de lui s'appuya sur son pied gauche et se poussa vers la droite ce qui lui permit de se trouver juste à coté de Rococo alors que celui-ci était en train de donner un coup d'épée dans le vent. pour le pas suivant elle suivit le même procédé mais cette fois avec les pas inversé si bien qu'elle se trouva dos à dos avec son adversaire. Le fait de se propulser pour tourner lui avait donner beaucoup plus de vitesse et elle se trouvait derrière Rococo alors que celui ci venait à peine de finir son coup d'épée qu'il avait donné en croyant qu'Arianne lui foncerait dessus directement. Arianne lui donna un coup de poing en se retournant mais il n'eut pas l'effet escompté. Le corps à corps était l'un de ses plus gros défauts. Mais il faut dire que Arianne attendait beaucoup de ce coup car il eut quand même de l'impact. La vitesse qu'elle avait accumulé en faisant un nouveau virage en direction de Rococo avait décuplé la puissance de sa frappe et Rococo tomba en avant deux mètres pus loin. Si elle travaillait ce coup, qu'est ce que cela allait être lorsque aurait des bon coups de poings. Arianne fit quelque pas vers le corps étendu de Rococo. Elle jubilait d'avoir enfin fait mordre la poussière à son adversaire et elle en oubliait presque sa petite déception, mais elle avait entreprit tellement de manoeuvre qui s'était avéré finalement inefficace que cette réussite chassé tous ses échecs:
- Alors ça fait quoi de se prendre un "virage de la gazelle", dit elle en inventant elle même sa technique.
Mais Arianne venait de faire deux erreurs: elle aurait du continuer sur sa lancer et elle n'aurait pas du s'approcher autant de Rococo Celui-ci prit les pieds d'Arianne qui se trouvaient à portée de ses mains et la fin tomber en arrière violemment. Elle en éprouva une grande souffrance au dos et commença à se recroquevillée de douleur.
- Je comprend pourquoi tu appelle cette attaque le "virage de la gazelle" car comme elle tu as une force minuscule, dit-il ne riant.
Il regardait Arianne étendu à terre le sourire aux lèvres puis la souleva pour l'envoyer contre une vitre. Arianne se mit en boule pour recevoir le moins de coupure possible. Elle se releva rapidement et s'appuya à coté de la fenêtre pour frapper Rococo par surprise quand celui-ci rentrerait. Elle n'eut droit qu'à l'un de ses courants d'air, qu'elle esquiva à temps grâce au son de bourrasque que produisait cette technique. Le courant d'air était moins grand que ceux qu'elle avait reçut depuis un moment car Rococo se trouvait très proche d'elle et cette attaque s'élargissait au fur et à mesure du vent qu'elle entraînait mais plus sa surface était grande et plus sa concentration s'affaiblissait et cela jusqu'à ce que l'attaque était trop élargie pour qu'elle recouvre la partie entière de l'attaque ce qui faisait qu'elle "s'effaçait" d'impuissance. Et en effet, Rococo se trouvait à peine à 5 mètres de Arianne et c'était donc pour cette raison que le "trait" était fin mais très puissant. Arianne se releva et enjamba le mur qui venait de se faire coupé e deux horizontalement et cela si violemment qu'il n'y avait nulle trace du reste du mur. Elle regarda autour d'elle et elle vit Rococo le regard amusé de son obstination. Sa décontraction énerva Arianne qui lui fonçât dessus:
- Tu ne vois donc pas que tu es impuissante face à moi?
Arianne refit ses "virages de la gazelle" mais cette fois au lieu de s'arrêter derrière son dos pour le frapper elle fit un troisième virage qui la fit foncer en plein dans Rococo. Il avait trop repris confiance et ce fus son erreur car il ne se teint même pas en garde et n'esquiva pas le coup. Rococo n'était jamais meilleur que quand il était énervé. Si il avait été aussi vif que d'habitude, Arianne n'aurait pas pu lui foncer dessus sans effet de surprise. Mais cela n'eut pas que l'effet d'envoyer Rococo s'écraser quelques mètres plus loin. En effet, Rococo sentit quelque chose s'enfoncer profondément dans son dos et il eu un cri de douleur. Il fut ensuite propulser par la vitesse d'Arianne et retomba dix mètres plus loin sur le dos ce qui lui valu un nouveau cri de douleur et même quelques larmes de souffrance. Il avait affreusement mal, il n'avait jamais ressentit pire douleur que ce coup là. Il se mit sur le ventre et chercha ce qui pouvait être planté dans son dos. Il sentit une surface lisse qui se était à la perpendiculaire de son dos. Il prit l'objet entre ses de mains et tira. Il dut tirer violemment et longuement pour que l'objet sortit enfin. Il cria encore de douleur. Cette fois il saignait vraiment. Son sang coulait sur les gravillons de la rue sans s'arrêter. Rococo ramena ses mains devant lui et lâcha l'objet rougeâtre qu'il fit tomber sur les pavés. Ses mains étaient aussi ensanglantés et avait deux grosses rainures profondes. Arianne le regardait se tordre de douleur le regard déterminée:
- Tu n'aurais pas du sous-estimais "la charge coupante de la gazelle".
Les blessures que Rococo s'était infligés pour enlever l'objet de son dos ne lui faisait presque pas mal tellement la douleur de son dos était forte. Et tout cela à cause de la vitesse d'Arianne et du petit objet qui lui renvoyait la lumière rougeâtre du soleil en train de se coucher. Du petit morceau de verre qui était souillés à jamais de son sang. Mais petit à petit un autre mal le prit. Il n'avait jamais eu aussi mal et cela car il s'était encore fait avoir. Pourquoi cette femme lui résistait à ce point? Il avait envie de l'écraser, de sentir son impuissance, de la voir l'implorer de ne pas a faire souffrir. Il n'avait plus qu'une envie la tuer. Il avait tuer un nombre tellement énorme d'ennemis et au final, après avoir dominé tant d'hommes, celle qui lui donnait le plus de mal était une femme!
Arianne se tenait toujours devant lui impassible. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il se relève après la douleur qu'elle venait de lui infliger. Ariane s'avança et voulu lui donnait le coup de grâce. Elle sortit un deuxième bout de verre e voulait cette fois le mettre hors d'état de nuire. Elle viserait les jambes pur que Rococo ne présente plus de problème. Elle leva bien haut le morceau de verre qui, pareille à son consoeur rougeâtre, étincelé d'une lumière rouge qui pouvait paraître belle dans un autre contexte mais qui là faisait plus penser aux rougeoiement de l'enfer, quand Rococo tourna sa tête vers elle et la regarda de telle façon qu'elle ne put finir son geste. Son regard était tellement haineux qu'elle était comme paralysée. Si elle le reattaquait, il la tuerai. Il se leva, prit le morceau de verre et le jeta au loin sans que Arianne ne fit un seul geste paralyser par la peur. Il lui donna un coup de pied d'une grande violence qui lui fit traverser trois maisons. Il était vraiment en colère.
Arianne était enfin libérer de l'emprise de ce regard haineux. Elle se releva plutôt facilement compte tenu du coup qu'elle venait de recevoir mais à peine fut elle relevée que Rococo lui donna un coup de pied dans le dos qui l'envoya quelques mètres plus loin. Arianne toussa à cause de la poussière qui commençait à se répandre. Mais elle préférait cela que ce qui arrivait. Arianne était étendu sur le dos et avait la tête du coté de Rococo si bien qu'elle le voyait arrivait en marchant lentement comme pour faire durer son plaisir. Il n'y avait plus rien d'humain dans les yeux de Rococo, il ressemblait à une bête assoiffé de sang la seul "humanité" qui lui restait été le sourire sadique qui était figé sur son visage. Il avançait d'un pas lourd qui résonnait à travers le reste des murs encore debout. Arianne tenta de se relever, elle n'y arriva pas. Et juste quand il était arrivé au dessus d'elle et qu'il allait lui donner un coup de pied dans le visage, une voix d'un coup s'éleva au loin. Cette voix était rassurante et déterminée:
- Comment oses-tu faire ça à ma capitaine?
C'était la voix de Black. Arianne en écoutant cette voix faillit pleurer de bonheur. Cette voix la rendait beaucoup plus sereine. Elle retenti de bouger sa main qui fit le moment demandé. Arianne cette fois était pleine de confiance envers son second et sa paralysie qui était due à la peur (elle en était sûr) s'était vu désintégrer par ce sauveur presque chevaleresque. Arianne profita de l'attention que son second suscitait envers Rococo pour s'enfuir derrière un mur un peu plus loin. Rococo sentait ses mains trembler. Sa haine était extrême. L'apparition de Black l'avait encore plus énervé ce qui relevait de la performance. Si les anciens combattant revenait cela allait être infini et ce groupe de pirate minable allait arriver à faire écrouler le colosse représentait par lui-même. Il fallait qu'il frappe vite et fort afin qu'il n'est plus à s'occuper que du cuistot. Black quand a lui était content d'être arrivée juste à tant pour sauver Arianne. Ce sauvetage amoindrissait sa précédente défaite et son passage de relais obligé. Il fallait maintenant qu'il en finisse maintenant qu'il avait une nouvelle épée et cela sans que personne n'interfère dans ce combat. Il n'accepterai que Arianne, à la rigueur, à ses cotés. Il était prêt pour le combat final et se sentait cette fois confiant sur son issue. Arianne elle était contente de l'arrivée de Black et s'être extirpée de la toile d'araignée de Rococo. Elle sentait par contre que toute ses attaques successive avaient laissé quelques séquelles et elle sentait que son coeur palpitait à vitesse folle et ne ralentissait que très très doucement, signe qu'elle serait bientôt morte de fatigue. Elle avait cette fois son plus fort allié avec elle et il fallait qu'elle en profite. Elle se préparait donc à la bataille finale.
Tous trois sentaient que la fin de ce combat était proche. Chacun se préparaient mentalement au moment où l'un deux briserait ce moment de tension. Le dénouement finale était en marche.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: [Fanfic] black's destin
MessagePosté: Mer 26 Oct 2011 16:00 
25 000 000 Berrys
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mar 2011
Messages: 430
Nouveau chapitre comme prévue. Chapitre assez long (mon plus long actuellement). Le passage du combat est assez technique mais je me la représentait bien sous mes yeux et je pense que en mangas a l'aurait bien fait x)
Donc un combat un peu compliqué mais le premier paragraphe et la fin du combat sont très bien foutue et le dernier paragraphe est rapide mais bien tenue. Rien à dire à part que la semaine prochaine ça sera le dernier chapitre de l'arc et que j'apporterai un peu de profondeur à l'univers :)
bonne lecture:

Chapitre 12: Fins tragiques

Cram était rongé par l'angoisse. Cela faisait un moment qu'il avait quitté Arianne et Rococo et qu'il avait rejoint la maison de Johan. Il avait quitté Arianne démunit face à son adversaire et avait pesté contre lui pendant tout le trajet de son inutilité. Il avait vraiment très peur pour elle. Rococo était quelqu'un de très puissant, il l'avait remarqué dans le très court instant qui les avait confronté. Pour parer juste l'une de ses attaques, il avait du vider entièrement sa ressource d'énergie qui lui servait à attaquer et même si il l'avait déjà bien utilisé avant elle avait quand même du se recharger un peu pendant qu'il avait été évanouis. Et toute son énergie n'avait juste servie qu'à annulé son attaque, son onde à lui n'avait même pas pris le dessus. Vraiment il était très anxieux vis à vis du sort d'Arianne et avait presque envie d'y retourner même si il savait qu'il la gênerait plus qu'autre chose. Arrivé à l'intérieur de chez Johan, il avait vu celui-ci assis sur une chaise frappant de son pied nerveusement. Un son provenant sûrement d'un vieux dial parvenait à lui. C'était une chanson de bar, la seule que Johan avait du connaître vu son passé de marine. Au bruit de la porte ouverte, Johan se leva tout de suite et il eut un petit rictus de déception quand il vit qu'il n'y avait que Cram. Cram s'avança dans le salon, prit une chaise et s'assit en face de Johan. Cram aurait sûrement aimé la chanson si il n'était pas lui aussi rongé par l'inquiétude. Les deux amis se regardaient fixement en ne disant rien. Chacun sentait que l'autre était au moins aussi inquiet que l'autre. Si Arianne mourrait ce n'était pas seulement la perte d'une amie qu'ils allaient concéder mais leurs propres morts aussi. Le silence continua. Une personne extérieure aurait prit ce silence pour quelque chose de gênant et aurait pensé que ces deux personnages n'étaient pas en bon terme mais ce n'était pas le cas, c'était même plutôt le contraire, ils s'interrogeait juste du regard et avait en quelque sorte une conversation silencieuse qui était beaucoup plus enrichissante et beaucoup plus intime qu'une discussion verbale. Cela faisait à peine cinq minutes que Cram était de retour que la routine avait l'air d'être déjà de retour comme si ils étaient là à se fixer depuis des heures. Cette routine fut vite coupé par l'ouverture une nouvelle fois de la porte. Johan regarda Cram surprit en se demandant si celui-ci ne lui jouait pas un blague en lui faisant croire que Arianne n'avait toujours pas gagné. Cram lui réfléchissait à grande vitesse, vu comment il avait laissé Arianne il était impossible qu'elle est gagnée aussi rapidement, il penchait plus pour l'hypothèse que lui partit, Arianne n'avait pas tenue et s'était fait battre rapidement par Rococo et c'était celui-ci qui rentrait. Il en était à se demander ce qu'il fallait faire quand il s'aperçut que c'était Black ! Celui là il l'avait complètement oublié. Il était assis contre la porte en sueur. Johan se retourna et eut le visage réjouit puis attristé. Il demanda:
- Où est Arianne? Elle s'est fait tuée? dit-il la voix attristée comme s'il venait de la deviner dans les yeux de Black.
Cram ne comprit d'abord pas pourquoi il avait dit ça puis il se rappela qu'il ne connaissait pas la situation lorsqu'il avait quitté Arianne. Leur conversation silencieuse n'avait pas été si fructueuse que ça finalement.
- Black n'était pas là quand j'ai quitté Arianne, dit Cram. Par contre je me demande pourquoi es-tu si fatigué? Il ne me semble pas avoir vu d'autre personne qui soit forte.
Cram dut attendre quelques secondes que le souffle revint à Black pour que celui-ci s'explique enfin:
- Non ce n'est pas ça... c'est juste qu'il y a des tas de villageois qui m'ont poursuivit... à travers toute la ville... Je suis vidé.
- Mais comment tu t'es retrouvé au centre ville? s'exclama Cram.
- Trop long à t'expliquer. Où est Arianne?
- Elle est en train de combattre un mec qui peut déplacer l'air avec son épée, intervint Johan.
- Ah... encore lui, vite il faut que j'y retourne.
- Attend, appela Cram. Tu es fatigué, je vais te régénérer.
Black s'arrêta et le remercia. Cram s'avança vers celui-ci en se demandant si son pouvoir tiendrait le coup. Il posa la paume de sa main sur le buste de Black et tenta de canaliser son pouvoir pour le concentrer dans ses mains. Au départ il ne le sentit pas, ce qui l'étonna car c'était là première fois que cela lui arrivait, puis il sentit une faible source d'énergie, si faible qu'elle était à peine perceptible, il se concentra dessus et tenta de mieux la ressentir, de mieux la concentrer.
- Bon qu'est ce tu fais? J'ai pas le temps là
Cram perdit d'un coup le battement de la source qu'il avait ressentit de mieux en mieux.
- Mais tais toi. J'y arriverais pas sinon.
- C'est assez urgent là.
- Chut, dit-il sèchement.
Cram se reconcentra et reperçu la source d'énergie un petit peu plus intensément que la première fois. Il la ressentit beaucoup plus rapidement et tenta de la faire grossir pour qu'il la ressente plus amplement. Il avait l'impression de revenir à l'époque où il commençait à maîtriser son pouvoir. Une minute passa ainsi. Cram sentait les petits mouvements énervés de Black mais décida d'en faire abstraction. La source d'énergie fut bientôt suffisamment grande pour qu'il "régénère" Black. Celui-ci commença à luire et il lâcha un "C'est pas trop tôt" qui énerva encore plus Cram. Il concentra son énergie sur le bout de ses doigts avant de la faire passer la peau. D'habitude cette étape était simple et rapide mais cette fois-ci elle lui parut longue et fastidieuse. Il n'avait plus vraiment conscience du temps et il rentrait un peu "en transe", cela ne lui était jamais arrivé avant. Au moment où toute l'énergie qu'il avait canalisait était passé dans le corps de Black, Cram ne sentit plus rien. Il n'avait plus aucun de ses cinq sens et rentra dans une sorte de "sommeil".
Au moment où Black sentit que toute sa fatigue et sa douleur d'avoir était propulsé au loin puis poursuivie par une foule belliqueuse était en train de s'estomper, il sentit que le corps de son ami s'écroulait par terre. Il baissa la tête et regarda son corps surpris et apeuré. Johan se rua tout de suite vers lui et le retourna sur le dos. Il mis sa main sur son coeur et eut un soupir de soulagement. Il le va la tête et dit à Black:
- C'est bon, son coeur bat encore. Il a du se surmener. Ne t'inquiète pas je m'occupe de lui, maintenant va sauver Arianne et fait vite !
Black sortit ainsi de la maison et couru la où il avait vu Rococo la dernière fois.
*****
Rococo fulminait. Il allait enfin finir le gros de la mission, l'anéantissement du cuistot n'étant qu'une formalité, que encore une fois une nouvelle personne rentrait dans le combat. Et le pire c'était que cette personne, il l'avait déjà battu. Si ils commençaient à revenir alors qu'ils avaient été mis hors-jeu, cela pouvait être infini. La gamine avait une veine pas croyable. Il ne comptait plus les fois où ont été venu la sauver. Il était d'autant plus en colère que son dernier "sauvetage" avait été fait à cause de sa fixation sur le nouveau venu. Le pire c'est qu'il était toujours en train de fixer l'autre dans les yeux. Il fallait vraiment qu'il en finisse avec eux et cet fois aucune fuite possible histoire qu'ils ne reviennent plus. Il savait, ou plutôt sentait, que Arianne se trouvait derrière un mur à sa droite. Ce silence, dédié à la défiance de regards, ne lui allait pas du tout. Plus il attendait et plus les autres auraient le temps de s'en remettre et de revenir le combattre. Individuellement, il les auraient écrasé très rapidement, à part peu-être la gamine qui faisait quand même preuve de pas mal de combativité, mais ensemble ils étaient carrément intenable. Rococo passa à l'attaque. Il sortit vivement son sabre du fourreau, la pointa vers la où se trouvait Arianne afin que Black sache bien ce qu'il allait faire, cet attitude n'aurait pas forcément un impact sur le combat mais sait on jamais, et leva son épée pour l'abattre avec le plus de vitesse possible. Sa nervosité devait décupler sa vitesse car jamais Rococo n'avait envoyé un de ses "courants d'air" avec autant de puissance. Black en voyant Rococo pointer son épée vers la maison qui abritait Arianne comprit qu'il allait la frapper de son attaque venteuse, il s'élança alors vers la maison sans réfléchir pour intercepter le coup avant qu'il n'atteigne son objectif. La bourrasque allait beaucoup plus vite que ses souvenirs, si bien que Black dut s'appuyer sur son pied gauche et se propulser en avant pour atteindre la maison avant la bourrasque. Tout en restant en l'air, Black sortit son arme, la prit fermement de la main droite et se prépara au choc. Il arriva devant la maison juste à temps et se prit l'attaque de plein fouet.. Black en avait vu l'occasion rêvé pour tester son nouveau sabre qui était, il le sentait, beaucoup plus puissante. Mais l'attaque de Rococo avait aussi amplifié sa force depuis leur premier affrontement et Black fut projeter par la force de l'attaque et traversa la maison de bois pour s'écraser à coté de son amie. Son arrivée ne fut pourtant pas suivit de la bourrasque même affaiblit. Black était arrivé à la dévier sur la gauche et il entendit des murs tomber dans un grand fracas là où il l'avait dirigé. Black venait de parer presque parfaitement l'attaque de Rococo et cette fois sans être propulsé à l'autre bout de la ville. De plus, il avait paré l'attaque en plein vol et il n'avait donc eu aucun appuie sur lequel compter. Il venait de trouver une parade à l'attaque la plus menaçante de son adversaire.
Soulagé de ce problème, Black fit enfin attention à ce qui l'entourait. Il vit à coté d'elle Arianne qui était assise appuyée contre le mur en bois. Elle lui souriait un peu de la même façon qu'un enfant malade. Elle respirait avec bruit et rapidement ce qui montrait qu'elle était exténuée. Elle qui d'habitude parlait souvent de façon enjouée, n'ouvrit même pas la bouche pour saluer son arrivée. Elle avait aussi l'air de souffrir à l'épaule gauche. Black se leva furieux, bien décider à venger sa capitaine de cette maltraitance. Il se rassit presque aussi vite. Il avait entendu le bruit caractéristique de l'attaque venteuse de Rococo. Il pensa qu'elle était horizontale et donc se plaqua à terre pour ne pas la prendre dans les cotes. Elle était verticale et plus précisément situé juste entre Arianne et lui. Rococo cherchait à les séparer. Black fut projeté une dizaine de mètres plus loin sur la gauche et s'écrasa sur les durs pavés encore chaud du soleil qui avait tapé dessus pendant toute la journée. Black se releva presque aussi tôt, il venait juste d'arrivée et n'avait pour l'instant comme dommages que quelques éraflures et cognement. Arianne s'en sortit moins bien. Elle avait été projetée beaucoup plus loin car l'attaque se trouvait beaucoup plus proche d'elle que de Black. Arianne traversa donc une maison faite de bois avant de tomber sur l'une des rues parallèle à là où se trouvait Rococo. En traversant la maison elle avait emportée ce qui retenait le deuxième étage de cette bâtisse si bien qu'un mur de bois tomba sur Arianne qui était immobilisée sur le sol, ce qui finit de la rendre complètement sonnée.

Black regarda autour de lui pour voir où était sa capitaine mais il ne la trouva pas, ce qu'il vit par contre fut la silhouette de Rococo se détachant d'un des derniers bâtiments encore intacte. Le soleil était en train de se coucher derrière lui ce qui fit que Black ne vit de lui qu'une silhouette noire. Bientôt un objet de la forme d'un bâton se détacha de la silhouette avant de revenir à son point de départ. Juste après, Black entendit le fouettement du vent, le bruit d'une tornade: c'était le bruit que faisait l'attaque de Rococo. Black plongea en avant comme s'il essayait de passer une vague dans la mer. La bourrasque était plutôt haute par rapport au sol et Black n'eut aucun problème à finir sa roulade avant. Mais il n'eut pas le temps d'aller plus loin, déjà Rococo lui renvoyait deux "courants d'air", une en diagonale et une à la verticale. Black sortit son sabre du fourreau. Il voulait de nouveau tester son sabre mais cette fois sur le sol. Il le mit droit devant lui et juste avant l'attaque le mit sur la gauche pour donner un coup vif sur la droite au moment de l'impact, un peu à la façon d'un tennisman. Le coup avait était rapide et violent, tellement que le "courant d'air" dévia de sa trajectoire pour se finir dans des décombres de maisons à la droite de Black. Black termina son mouvement sur l'épaule et tout de suite après l'abattis de haut en bas. La deuxième bourrasque avait continué sa trajectoire et il atteint Black juste quand celui-ci avait donné son coup de sabre. Black avait mit le plus de force possible et la deuxième attaque venteuse dévia dans la direction de Rococo. Mais celui-ci, pour se débarrasser de son attaque, renvoya une bourrasque suffisamment dosé pour que les deux attaques se neutralisent complètement et tout cela sans avoir l'air paniqué. Sans avoir l'ai, car Rococo ne pensait pas que cet personne qui était avant aussi faible puisse ainsi dévier ses attaques venteuses. Black avait l'air de changer de sabre mais ce n'est pas un sabre qui peut changer à ce point un homme. Il avait forcément progressé pendant le laps de temps entre sa propulsion et son retour mais ce temps avait été court. Cette progression restait un mystère pour Rococo, un homme capable de progresser aussi vite ne devait pas rester en vie. Il fallait absolument qu'il s'en débarrasse.
L'impact des deux bourrasques entre elles avait levé le sable et la poussière qui se trouvaient entre chaque dalle de cette rue pavés, si bien qu'un nuage opaque se forma et Rococo ne put voir que plus tard l'avancée que Black avait fait. Black sauta à travers le nuage de poussières et atterrit seulement à six mètres de Rococo. Celui surprit fit un saut en arrière tout en dégainant son épée. Tout de suite après il envoya un coup vif en diagonale vers Black qui se relevait à peine. Mais Black avait de bons réflexes et il fut en position de parade avant même que le coup le touche. L'attaque n'était pas très grande car elle n'avait pas eu la distance pour être suffisamment large mais cette attaque était très puissante et la force très concentré. Lorsque elle rencontra le sabre de Black, il y eut un telle choc que Black n'arriva pas à garder son sabre entre ses mains. Le sabre fonçât sur la tête de son "maître" qui s'écroula à la renverse de la force du coup et continua à traverser l'air pour atterrir une vingtaine de mètres en arrière. Rococo s'avança vers lui et lui donna un coup de pieds qui le fit voler un peu plus loin. Il était surpris que Black n'est pas été envoyé au moins aussi loin que son épée. Vraiment il s'était beaucoup amélioré.
Black se releva le plus rapidement possible et chercha son épée du regard. Il le trouva une vingtaine de mètres à sa gauche. La lame était planté dans le sol si bien qu'il l'avait prit d'abord pour un morceau de vitre. Black allait s'élancer vers son arme pour la récupérer quand il pensa que si Rococo envoyait une attaque venteuse horizontale vers l'épée, elle se briserait en deux. Et si son épée se cassait, il n'aurait plus aucune chance de le vaincre. Black regarda derrière lui et vit un demi-mur qui était encore debout, il alla tout de suite s'y réfugier. Il fallait qu'il établisse un plan pour qu'il puisse allait la récupérer sans que Rococo s'en rende compte. Il allait s'élancer vers un mur qui l'aurait rapprocher de cinq mètres de sa cible quand il entendit l'une des attaques de Rococo fondre sur lui. Il couru jusqu'à l'extrémité du mur et effectua une roulade en direction de l'autre mur. Il entendit à peut à la moitié de sa manoeuvre, la bourrasque rencontrait le mur qu'il venait de quitter et le briser en deux. Tout cela dans un brouhaha qui l'assourdit pendant quelques secondes. Encore une fois l'attaque de Rococo ne l'avait pas gêné. Il se retrouva donc contre un mur un peut plus haut cette fois-ci mais terriblement restreint qui ne faisait pas plus de deux pas de largeur. Il comportait une fenêtre situé à la hauteur de sa tête. Black regarda dehors et il vit que Rococo était en train de se déplacer sur la gauche. Il était en train de lui parler mais ce n'était pas ça qui intéressa Black: il y avait une tache ovale sur l'un des murs situé à moins de dix mètres sur la gauche de Rococo. Cette tâche était le reflet du soleil qui se faisait grâce à la partie extérieur de la lame de son sabre. Si Rococo était ébloui pas la tache, il comprendrai tout et justement il ce dirigeai vers cette tache. C'est ainsi que Black décida d'accélérer son entreprise et il partit de suite vers un autre mur situé dix mètres plus loin. Mais cette petite course le laissait à découvert. Il se trouvait à deux mètres du mur lorsque il sentit une force le pousser dans son dos, brisant une nouvelle fois son timing. Black alla s'écraser contre un mur de brique situé juste après son sabre. Il hurla de la souffrance qu'avait produit sa rencontre avec le mur de pierre. C'était l'une des seules maisons en pierre qu'il avait vu dans cette ville et il fallait qu'il se la prenne en plein dos. Black commençait à se tordre de douleur quand il se rappela que Rococo avançait toujours vers la tache jaunâtre que reflétait son arme. Il surmonta alors sa douleur et repartit en courant vers son sabre a peu près au même moment où Rococo se faisait éblouir par là-dite tache. Rococo réfléchit alors à toute vitesse: il voyait que Black courait vers quelque chose de métallique qui était en train de l'éblouir. Il en déduit donc qu'il fallait qu'il la détruise et il lança une bourrasque horizontale au ras du sol dans sa direction. Peut-être que si Black avait été moins hâtif, Rococo aurait plutôt conclu que c'était un bout de verre ou quelque chose du même genre. Black était en train de courir quand il vit que Rococo avait envoyé son attaque sur son arme. Il n'avait pas le temps de récupérer son sabre et de s'enfuir. Il serait obliger de la prendre au vol et de parer. Black voulut d'abord rouler vers l'arme, la prendre et parer mais il se rendit compte qu'il ne pourrait pas la prendre que en faisant un mouvement verticale, Black changea dons ses plans. Il calcula sa roulade pour qu'elle arrive pile à l'endroit où se trouvait son épée et plongea. La bourrasque se rapprochait dangereusement et à toute vitesse. Black finit sa roulade et prit appuie sur ses pieds. Plus que dix mètres avant l'impact. Black mit sa main droite sur le pommeau de la lame. L'attaque se trouvait maintenant à moins de huit mètres. Black tendit ses muscles des genoux et appuya fort sur ses pieds pour effectuer un saut. Ses pieds quittèrent la trajectoire de la bourrasque juste a temps avant qu'il ne se fassent couper les pieds. Tout c'était joué à une demi-secondes prêt en faite. La force de l'attaque lui conféra une poussé vers le haut qui le fit sauter jusqu'à une dizaine de mètres. Rococo voyant Black faire un bond pareil en vit l'occasion rêvé pour le découper en deux. En effet, Black ne pouvait pas se mouvoir dans le ciel. Il lui envoya alors une attaque verticale sur lui. En voyant cela Black fut d'abord apeuré. Tout ce qu'il venait de faire lui avait coûté énormément d'énergie et il ne voyait pas comment il pourrait à surmonter une nouvelle projection comme celle d'avant. Mais c'est lorsque la bourrasque avait fait la moitié du chemin que Black eut une illuminations. Il allait jouer quitte ou double.

Rococo tourna le dos. C'en était finis de son adversaire. Il ne pourrait pas survivre à cette attaque. Rococo réfléchissait déjà à l'endroit où pouvait se trouver la jolie brunette qu'il avait combattu pendant si longtemps. Il fallait qu'il l'achève et vite. Après il irait s'occuper des deux autres qui, si il était aussi bête qu'il le pensait, serait sûrement toujours dans la maison qu'on lui avait fait localisé sur un plan. Et même si ils s'étaient cachés, il les retrouverait facilement et cela même si c'était très pénible pour lui. Il allait commencer à marcher quand un bruit lui paru bizarre. Il se retourna vers sa direction et ouvrit grand les yeux de surprise. Black était en train de lui foncer dessus à toute vitesse par voie aérienne !
En faite Black lorsque l'attaque arrivait sur lui avait mit son sabre de façon qu'il frappe du plat de sa lame. Il avait alors donner un coup de droite à gauche et avait accompagné l'attaque détournait en faisant un demi tour. Ainsi la bourrasque avait continuer son chemin, dévié sur le droite, mais derrière son dos ce qui l'avait propulsé dans la direction de Rococo. Il avait alors pointé sa lame droit sur la tête de Rococo qui était alors retourné. Mais celui-ci avait remarqué son arrivée et s'était retourné face à lui. Son épée se planta alors dans l'épaule droite de Rococo et son corps fonçât dans celui de Rococo à la même vitesse qu'un boulet. Toute la vitesse de Black fut transmise à Rococo et celui partit à la même vitesse pour s'écraser beaucoup plus loin après avoir traverser cinq maison et deux portails. Black avait sa main droite de brûler et hurlait de douleur. En effet il avait sa main droite sur le pommeau de son sabre pendant la charge et le sabre était partis avec Rococo planté dans son épaule droite. Le frottement entre le pommeau du sabre et sa main qui tentait de le retenir lui avait complètement brûlé la paume de sa mains sur toute sa largeur.
Lorsque Black fut remis de sa douleur il se leva la main encore souffrante pour aller achever Rococo. Il suivit les maisons détruites et retrouva au bout du parcours Rococo debout le regard haineux, ses artères était visible sur son front et il avait ses vêtements en lambeaux. Il tenait le sabre de Black dans sa main droite et le tenait presque à le briser. En voyant Black, il lui lança son sabre comme un javelot en direction de sa tête. Le sabre fila à toute vitesse et passa juste à coté de son coup laissant une grosse rainure rougeâtre sur le coté gauche de son coup. Lorsque le pommeau atteint le cou de Black, il eut la respiration coupée et fut éjecter au même endroit que son épée. Black n'eut même pas le temps de récupérer sa respiration que Rococo lui envoyait déjà cinq attaques venteuse. Black se leva vivement, et prit en même temps son sabre au vol. Il hurla de douleur. Il l'avait de sa main brûlée ce qui avait accentué la douleur qui avait été jusque là qu'à peine supportable. Il rattrapa son sabre maladroitement de la main gauche et sauta sur le coté afin de ne pas se faire découper en deux par l'attaque de Rococo. Il fut tout de même propulser quelques mètres plus loin mais il se releva rapidement. De nouvelle attaque fondaient sur lui à cadence élevée. Black prit son sabre de la main gauche et tenta de les esquiver. Mais il n'était pas ambidextre et chaque attaque maladroitement esquivé lui faisait perdre énormément d'énergie. Il entendit alors un rire de dément qui lui glaçât le sang et paradoxalement lui redonna la force de résister. Mais la cadence était trop élevé et surtout continu. Black n'arriverai pas à se sortir de l'endroit où il était et ne pourrait inverser la tendance. Plus il pensait à ça et plus ses esquives se faisait imparfaite et les attaques de Rococo lui entaillèrent des morceaux de peaux. En faite il s'aperçut qu'il n'était en train de lutter que pour laisser ses amis vivre encore quelques temps. Il remarqua alors que s'il avait remis Johan sans se battre ils n'auraient sûrement pas énervé à ce point leurs ennemis et ils auraient sûrement pu repartir sain et sauf. Cette pensée faite il se sentit tout de suite dégoûté de l'avoir formulé. Non vraiment il ne méritait pas de continuer à être pirate. Non vraiment il ne méritait pas de continuer à être avec Arianne. Non vraiment il ne méritait pas de continuer à vivre. Il jeta alors son sabre par terre et tomba en avant de fatigue et de résiliation. Ils n'entendaient plus les attaques de Rococo. Sûrement avait-il les tympans explosaient de tous ce brouhaha. Sûrement Rococo le voyant tomber, voulait venir l'achevait ou le torturer pour tous ce qu'il lui avait fait torturer. Peut-être l'avait-il prit en pitié?
***
Arianne ouvrit les yeux. Le ciel était noir sur une moitié mais dans l'autre un petite lumière rosée persistait. C'était le crépuscule. Bientôt la nuit serait envahit par l'obscurité de la nuit. Obscurité qui réveillait les voleurs. Obscurité qui réveillait les gens malhonnêtes. Et ce moment arriverait bientôt, très bientôt. Le jour ne pourrait régner plus longtemps. Il avait décliné de plus en plus pendant la fin de la journée. Maintenant la nuit avait pris le dessus sur le jour. Et ce serait la victoire de la nuit jusqu'à l'aube où les rapports de force se renverseront. Mais la journée ne signifiait pas forcement le bien autant que la nuit ne signifiait pas forcement le mal. Cette journée avait était bien plus mauvaise que n'importe quel nuit. Cet nuit serait-elle bien plus belle que n'importe qu'elle jour. Arianne se leva déboussolée. Que faisait-elle là? Pourquoi tout se qu'elle voyait autour d'elle était en ruine? L'avait-on abandonné? Y avait-il eu un cataclysme? Des gens vivaient-ils sous les gravas? Arianne parcourut du regard cette scène s'attendant presque à voir une main dépasser de ce foutra de bois et de ciment. Mais non. Pendant cette vision circulaire ses yeux furent attirés par une lumière rose. Lumière faible certes mais lumière bénéfique. Arianne était attirée par ce petit objet brillant. Etais-ce un diamant? Elle avait toujours rêvée de se voire offrir une pierre précieuse et de pouvoir parader avec. Elle s'approcha à pas lent, à pas leste. Ce n'était pas un diamant. C'était une petite lame qui reflétait le soleil cachaient par quelques nuages et qui prenait une teinte entre le rose doux et le rouge vif. A cette lame était suspendu un morceau de bâton. Le bout de bâton ne faisait pas plus de la taille d'une main avant de laisser une trace de cassure. Quelqu'un devait l'avoir briser en mille morceau avant de le jeter dans les gravats. Arianne ramassa le petit objet avec grand soin et le monta vers ses yeux. Ce fut comme une révélation. Elle vit alors tous les événements de ses derniers jours défilaient devant ses yeux. Il y avait un départ. Une trahison. Des pleurs. Une arrivée. Un homme. Plusieurs îles. Plusieurs combats. Cram. Johan. Rococo. Black. Un rassemblement. Toutes les informations qu'elles avaient obtenues revenaient dans sa mémoire. Elle paru comme apaisée durant un moment. On ne l'avait pas abandonnée. Mais elle se rappela que Black était en train de combattre Rococo actuellement. Enfin si il n'était pas trop tard...
Arianne couru alors, cherchant Black, se fiant à ses souvenirs. Tout ce qu'il y avait autour d'elle n'était que destruction. Elle ne pouvait pas les manquer. Arianne passa dans une petite ruelle qui par chance tenait encore à moitié debout. Elle entendit alors du bruit. Comme quand le vent fouette les carreaux d'une maison. Elle continua vers dans la ruelle et tomba dans un grande ruelle. Elle dirigea son regard vers l'endroit d'où provenait le bruit. Elle faillit échapper un cri de surprise. Heureusement, elle arriva à se contrôlait à temps. Il y avait en face d'elle un homme de dos. Et pas n'importe qu'elle homme. Un homme dangereux. Un homme qui représentait une menace. Ses souvenirs lui dirent que c'était Rococo, l'homme tant redouté. Il était en train de moulinet avec son sabre dans le vide. Et dès qu'il finissait un mouvement une poussée d'air se faisait, d'abord toute fine puis grossissant à mesure qu'elle parcourait de distance. Arianne ne voyait pas qui Rococo attaquait ainsi mais elle pensait le savoir. Elle fit un pas de coté et vit un homme dont elle ne put voir les traits car il se trouvait à une vingtaine de mètres de distance mais dont elle reconnaissait instantanément la silhouette. C'était Black. Arianne entendit alors un rire sadique, un rire de dément. Un rire comme devait avoir eut Néron lorsque il peigna Rome en flemme. Cet homme aimait la destruction. Cet homme prenait plaisir à tuer. Plusieurs images vinrent alors à l'esprit d'Arianne. Elle la première fois qu'elle avait vu Black. Eux deux lors de la fuite de chez ses parents. Elle lorsqu'elle lui avait fait promettre de ne pas la quitter. Lui arrivant pour la sauver lui et Cram des griffes de Ultoria. Elle en colère face à la maladresse de Black envers Johan. Et là vint une autre image sûrement monté de toute pièce. Black était submergeait par les coups de Rococo et mourrait en voyant qu'elle était là. Elle courrait vers lui pleurant toute son âme. Rococo rigolait comme un fou, perdait toute humanité rien que dans son rire. Black la regardait et tentait de lui dire quelque chose. Mais les mots ne sortirent pas de sa bouche. Il ne sortit de sa bouche que un expirement. Arianne se revit alors, pleurante en train de demander à Black de ne jamais la quitter.
Arianne revint alors à la réalité. Rien n'avait changé. Elle voyait toujours Rococo faire des moulinets dans le vide, elle entendait toujours se rire glaçant qui lui tourbillonnait autour d'elle. Arianne se sentit alors comme dans un rêve. Non pas un rêve plutôt un cauchemar. Elle s'avança, se rapprocha de Rococo trop occupé à se réjouir de sa destruction. Elle se rendit alors compte qu'elle tenait toujours son bâton dans les mains. Elle n'était plus qu'à quatre mètres de Rococo. Expirement de Black. Trois mètres. Elle était seule. SEULE. Deux mètres. Arrivée de Black dans l'équipage. Elle se trouvait maintenant juste derrière Rococo, elle leva son arme au plus haut qu'elle pouvait. Black, Ne m'abandonne pas. Arianne abattit son arme le plus fortement qu'elle pouvait. La lame s'enfonça dans le cou de Rococo et ressortit de l'autre coté. La tête d'un Rococo surpris, sauta de son corps et roula quelques mètres plus loin.
Le corps s'affaissa par terre presque aussitôt. Arianne tomba elle aussi sur les genoux. Son coeur palpitait. Des larmes coulèrent de ses yeux mais elle ne savait pas pourquoi. Elle n'avait aucune sensation. Ni soulagement, ni dégout. Elle était là juste là. Elle fit basculait son corps pour qu'elle se couche par terre. Le sol était glacé. Elle ne voyait rien, plus rien. La nuit était déjà tombé qu'elle savait que cet nuit là ne serait pas meilleurs que n'importe qu'elle autre jour. Elle ferma les yeux et continua à pleurer silencieusement. Ses larmes se mèlèrent au sang noirâtre de Rococo. Jusqu'à sa mort il aurait fait pleurer des filles. Arianne ne sut pas combien de temps passa avant qu'elle s'endorme, qu'elle parte loin de ce lieu cruel, loin de cette scène tragique, loin de cet épisode obscure.

Ainsi la nuit commença. Sur un homme évanoui d'avoir essayer de sauver une demoiselle, d'une demoiselle endormi de ne pas avoir été sauvé et d'un homme qui ne se réveillerait plus jamais d'avoir tenté de tuer une demoiselle.
***

Le soleil était haut. Il n'y avait aucun nuage en vue. Il faisait très chaud pour la saison. La populace se massait autour de la place. Un grand événement devait se passer. En ce moment il se passait beaucoup de chose d'ailleurs... D'abord, des jeunes personnes avaient enlevés deux cuisiniers puis avait agressé une troisième. Peu de temps après on trouva deux corps au milieu d'un endroit dévasté. La mort de ces eux personnes avaient été tellement sauvage et inhumaine que la rumeur n'arrivait pas à l'amplifier. C'était ce genre d'histoire tragique qui était racontés par chuchotement de peur que le tueur les entendent. C'était ce genre d'histoire que les bonnes femmes reprenaient à leurs comptes pour en tirer une morale. Quelle morale? C'était le genre d'histoire qui se passaient au quatre coin du globe mais que le gouvernement tentait d'étouffer de peur d'effrayer son gentil troupeau.
Tous ces événements en avait un peu terni la fête que représentait la Garlen's food car il était évident que cette fête était le point centrale de l'affaire. Pourtant, cela faisait deux semaines que ces événements étaient arrivés et la rumeur s'éteignait petit à petit. Le tueur devait être partis de toute façon. Les gens essayaient d'arranger l'histoire pour qu'elle face partit du folklore. En bref, Le train train quotidien recommençait et la fête revenait de plus belle. The show must be going on.
La police n'avait rien trouvé et personne ne serait jamais qui l'aurait fait. A part peut-être Mr. Padre mais il n'avait donné aucun signe de vie depuis ce tragique accident. Les acteurs de ce drame se trouvait pourtant toujours sur l'île. Il se trouvait dans une petite maison qui se trouvait en plein milieu du théâtre de ces deux derniers meurtres. On avait beau fouillé dans cette maison, personne n'avait trouvé quelconque indice et son propriétaire Johan ne reçut aucun soupçons ou accusation. C'était pourtant pour lui qu'avait eu lieu ces événements. La maison depuis ces investigations avait plutôt sommeillé à part dans la cuisine où Johan s'attelait presque jour et nuit pour trouver une recette assez bonne pour la présenter au jury. Car oui il faisait partis des participants à la Garlen's food. Les autres occupants de la maison (et qui avait été caché en temps voulu) avait tous dormis pendant au moins trois jours. C'était Cram qui s'était réveillé le premier. Il aida le plus possible Johan et lui apporta un peu de compagnie. Puis était arrivé Black, le corps endoloris mais heureux de se réveiller au bout de cinq jours. Puis était arrivé après plus d'une semaine de sommeil, Arianne qui était la principale source d'agitation qui sévissait pour la première fois dans cette demeure depuis le drame. Pourtant Arianne n'était pas d'humeur. Elle avait les yeux gonflée et collants d'avoir tant pleurer. Elle n'était pas vraiment joyeuse et ceux même avec les tentatives de Johan et de Black pour lui remonter le moral. Elle était silencieuse et avait l'air de penser à longueur de journée. Mais au fur et à mesure que les jour avançait elle sembla de moins en moins soucieuse pour finir par retrouver sa joie naturelle le jour des résultats pour la Garlen's Food.
La compétition avait eu lieu la veille et une équipée fut mise en place pour la sortie en ville. Arianne et les deux pirates avaient enfilés un vielle imper trop long pour chacun des trois et qui avait du appartenir à une personne de deux mètres.
- C'est la seule chose que j'ai pu récupérer de Colin, renseigna Johan.
Ils portaient aussi des pantalons baggy d'un marron délavé qui ne leur allait vraiment pas. Ils portaient aussi des lunettes noire qui les rendaient vraiment troublant.
- Hé les gars vous trouvez pas que j'ai un air troublant avec ces lunettes?
A coté d'eux trois se trouvait Johan tout excité par l'importance du moment. Il était vêtu légèrement d'un short bleu et d'une chemise blanche avec le symbole de la marine sur le plastron:
- Cadeau de là-bas, renseigna Johan.
Ses habits d'été contrastaient fortement avec les habits d'hiver que étaient obligés de porter ses nouveaux amis. Johan sautillait presque sur place et avait une affreuse envie de courir. Il ne tenait effectivement pas en place et ne cesser de crier à ses compagnons:
- Allez dépêchez-vous !
- Tu crois que c'est simple de ce balader avec ces manteaux qui traînent presque par terre.
- Et puis il fait chaud, dit Black.
- Et puis, ils sont pas très à la mode tes habits, rajouta Arianne.
Les résultats ne seraient affichés que deux heures plus tard, ainsi les trois amies décidèrent d'aller d'abord boire un verre dans un bar sous les oppositions de Johan qui voulait être en avance sur les lieux. Ils commandèrent quatre chopes de whisky et se désaltérèrent en parlant de choses de ci de là.
Les deux heures passèrent ainsi très vites pour les trois pirates mais horriblement lentement pour Johan. Il regarda bientôt sa montre et sortit d'un coup en courant. Black chercha une horloge à l'intérieur du bar et effectivement en trouva une recouverte de poussière au fond de la salle. Elle indiquait que les résultats seraient affichés un quart d'heure plus tard. Les trois pirates continuèrent donc de parler pendant une dizaine de minutes avant qu'ils se lèvent tous. Arianne lança au barman cinq pièces sales et ils sortirent tous les trois de ce lieu sordide. Black lâcha:
- Je suis sûr qu'il a fait ça pour ne pas payer.
Ils continuèrent donc dans la rue et tombèrent sur la place où ils avaient précédemment trouvés un vieux qui les avait renseigné. Les trois amis eurent un hoquet de surprise. Il avait connu cette place avec du monde mais jamais à ce point. Toute la place était recouverte d'une marée humaine qui trépignait d'impatience de connaître le résultat et surtout d'aller à la fête qui se trouvait juste après. Il aperçurent Johan tout derrière et l'interpellèrent.
- Voilà pourquoi je voulait arriver avant.
- Mais comment on va savoir qui a gagné?
- Eh bien vous voyez le bâtiment en face? C'est la mairie. Lorsque l'église sonnera les dix-huit heures ils lâcheront un étendard qui recouvrira sa surface entière avec dessus la photo du vainqueur.
Johan trépignait d'impatience et frappait le sol nerveusement du pied.
- Mais t'inquiètes pas. Je suis sûr que tu l'as gagné ce concoure, dit Black.
Cela ne rassura visiblement pas Johan qui continua de marteler le sol de son pied. Alors le carillon de l'église sonna. Johan avait l'air d'avoir but une vingtaine de café tellement il était énervé. Pourtant les trois pirates étaient convaincu qu'il avait gagné et venir voir les résultats leur paraissait presque inutile. Et puis cette compétition avait été une excuse pour recruté Johan de toute façon.
Mais la vérité était bien plus cruelle. Sous les holà de la foule en délire ce fut le cuisinier de Mr Padre qui remporta la compétition.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages postés depuis:  Trier par  
Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 36 messages ]  Aller à la page Précédente  1, [2], 3  Suivante

Heures au format UTC + 1 heure [ Heure d’été ]


Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 28 invités


Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
Vous ne pouvez pas éditer vos messages
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages

Rechercher:
Aller à:  
Powered by phpBB © 2000, 2002, 2005, 2007 phpBB Group
Traduction par: phpBB-fr.com