Nouveau chapitre comme prévue. Chapitre assez long (mon plus long actuellement). Le passage du combat est assez technique mais je me la représentait bien sous mes yeux et je pense que en mangas a l'aurait bien fait x) Donc un combat un peu compliqué mais le premier paragraphe et la fin du combat sont très bien foutue et le dernier paragraphe est rapide mais bien tenue. Rien à dire à part que la semaine prochaine ça sera le dernier chapitre de l'arc et que j'apporterai un peu de profondeur à l'univers :) bonne lecture:
Chapitre 12: Fins tragiques
Cram était rongé par l'angoisse. Cela faisait un moment qu'il avait quitté Arianne et Rococo et qu'il avait rejoint la maison de Johan. Il avait quitté Arianne démunit face à son adversaire et avait pesté contre lui pendant tout le trajet de son inutilité. Il avait vraiment très peur pour elle. Rococo était quelqu'un de très puissant, il l'avait remarqué dans le très court instant qui les avait confronté. Pour parer juste l'une de ses attaques, il avait du vider entièrement sa ressource d'énergie qui lui servait à attaquer et même si il l'avait déjà bien utilisé avant elle avait quand même du se recharger un peu pendant qu'il avait été évanouis. Et toute son énergie n'avait juste servie qu'à annulé son attaque, son onde à lui n'avait même pas pris le dessus. Vraiment il était très anxieux vis à vis du sort d'Arianne et avait presque envie d'y retourner même si il savait qu'il la gênerait plus qu'autre chose. Arrivé à l'intérieur de chez Johan, il avait vu celui-ci assis sur une chaise frappant de son pied nerveusement. Un son provenant sûrement d'un vieux dial parvenait à lui. C'était une chanson de bar, la seule que Johan avait du connaître vu son passé de marine. Au bruit de la porte ouverte, Johan se leva tout de suite et il eut un petit rictus de déception quand il vit qu'il n'y avait que Cram. Cram s'avança dans le salon, prit une chaise et s'assit en face de Johan. Cram aurait sûrement aimé la chanson si il n'était pas lui aussi rongé par l'inquiétude. Les deux amis se regardaient fixement en ne disant rien. Chacun sentait que l'autre était au moins aussi inquiet que l'autre. Si Arianne mourrait ce n'était pas seulement la perte d'une amie qu'ils allaient concéder mais leurs propres morts aussi. Le silence continua. Une personne extérieure aurait prit ce silence pour quelque chose de gênant et aurait pensé que ces deux personnages n'étaient pas en bon terme mais ce n'était pas le cas, c'était même plutôt le contraire, ils s'interrogeait juste du regard et avait en quelque sorte une conversation silencieuse qui était beaucoup plus enrichissante et beaucoup plus intime qu'une discussion verbale. Cela faisait à peine cinq minutes que Cram était de retour que la routine avait l'air d'être déjà de retour comme si ils étaient là à se fixer depuis des heures. Cette routine fut vite coupé par l'ouverture une nouvelle fois de la porte. Johan regarda Cram surprit en se demandant si celui-ci ne lui jouait pas un blague en lui faisant croire que Arianne n'avait toujours pas gagné. Cram lui réfléchissait à grande vitesse, vu comment il avait laissé Arianne il était impossible qu'elle est gagnée aussi rapidement, il penchait plus pour l'hypothèse que lui partit, Arianne n'avait pas tenue et s'était fait battre rapidement par Rococo et c'était celui-ci qui rentrait. Il en était à se demander ce qu'il fallait faire quand il s'aperçut que c'était Black ! Celui là il l'avait complètement oublié. Il était assis contre la porte en sueur. Johan se retourna et eut le visage réjouit puis attristé. Il demanda: - Où est Arianne? Elle s'est fait tuée? dit-il la voix attristée comme s'il venait de la deviner dans les yeux de Black. Cram ne comprit d'abord pas pourquoi il avait dit ça puis il se rappela qu'il ne connaissait pas la situation lorsqu'il avait quitté Arianne. Leur conversation silencieuse n'avait pas été si fructueuse que ça finalement. - Black n'était pas là quand j'ai quitté Arianne, dit Cram. Par contre je me demande pourquoi es-tu si fatigué? Il ne me semble pas avoir vu d'autre personne qui soit forte. Cram dut attendre quelques secondes que le souffle revint à Black pour que celui-ci s'explique enfin: - Non ce n'est pas ça... c'est juste qu'il y a des tas de villageois qui m'ont poursuivit... à travers toute la ville... Je suis vidé. - Mais comment tu t'es retrouvé au centre ville? s'exclama Cram. - Trop long à t'expliquer. Où est Arianne? - Elle est en train de combattre un mec qui peut déplacer l'air avec son épée, intervint Johan. - Ah... encore lui, vite il faut que j'y retourne. - Attend, appela Cram. Tu es fatigué, je vais te régénérer. Black s'arrêta et le remercia. Cram s'avança vers celui-ci en se demandant si son pouvoir tiendrait le coup. Il posa la paume de sa main sur le buste de Black et tenta de canaliser son pouvoir pour le concentrer dans ses mains. Au départ il ne le sentit pas, ce qui l'étonna car c'était là première fois que cela lui arrivait, puis il sentit une faible source d'énergie, si faible qu'elle était à peine perceptible, il se concentra dessus et tenta de mieux la ressentir, de mieux la concentrer. - Bon qu'est ce tu fais? J'ai pas le temps là Cram perdit d'un coup le battement de la source qu'il avait ressentit de mieux en mieux. - Mais tais toi. J'y arriverais pas sinon. - C'est assez urgent là. - Chut, dit-il sèchement. Cram se reconcentra et reperçu la source d'énergie un petit peu plus intensément que la première fois. Il la ressentit beaucoup plus rapidement et tenta de la faire grossir pour qu'il la ressente plus amplement. Il avait l'impression de revenir à l'époque où il commençait à maîtriser son pouvoir. Une minute passa ainsi. Cram sentait les petits mouvements énervés de Black mais décida d'en faire abstraction. La source d'énergie fut bientôt suffisamment grande pour qu'il "régénère" Black. Celui-ci commença à luire et il lâcha un "C'est pas trop tôt" qui énerva encore plus Cram. Il concentra son énergie sur le bout de ses doigts avant de la faire passer la peau. D'habitude cette étape était simple et rapide mais cette fois-ci elle lui parut longue et fastidieuse. Il n'avait plus vraiment conscience du temps et il rentrait un peu "en transe", cela ne lui était jamais arrivé avant. Au moment où toute l'énergie qu'il avait canalisait était passé dans le corps de Black, Cram ne sentit plus rien. Il n'avait plus aucun de ses cinq sens et rentra dans une sorte de "sommeil". Au moment où Black sentit que toute sa fatigue et sa douleur d'avoir était propulsé au loin puis poursuivie par une foule belliqueuse était en train de s'estomper, il sentit que le corps de son ami s'écroulait par terre. Il baissa la tête et regarda son corps surpris et apeuré. Johan se rua tout de suite vers lui et le retourna sur le dos. Il mis sa main sur son coeur et eut un soupir de soulagement. Il le va la tête et dit à Black: - C'est bon, son coeur bat encore. Il a du se surmener. Ne t'inquiète pas je m'occupe de lui, maintenant va sauver Arianne et fait vite ! Black sortit ainsi de la maison et couru la où il avait vu Rococo la dernière fois. ***** Rococo fulminait. Il allait enfin finir le gros de la mission, l'anéantissement du cuistot n'étant qu'une formalité, que encore une fois une nouvelle personne rentrait dans le combat. Et le pire c'était que cette personne, il l'avait déjà battu. Si ils commençaient à revenir alors qu'ils avaient été mis hors-jeu, cela pouvait être infini. La gamine avait une veine pas croyable. Il ne comptait plus les fois où ont été venu la sauver. Il était d'autant plus en colère que son dernier "sauvetage" avait été fait à cause de sa fixation sur le nouveau venu. Le pire c'est qu'il était toujours en train de fixer l'autre dans les yeux. Il fallait vraiment qu'il en finisse avec eux et cet fois aucune fuite possible histoire qu'ils ne reviennent plus. Il savait, ou plutôt sentait, que Arianne se trouvait derrière un mur à sa droite. Ce silence, dédié à la défiance de regards, ne lui allait pas du tout. Plus il attendait et plus les autres auraient le temps de s'en remettre et de revenir le combattre. Individuellement, il les auraient écrasé très rapidement, à part peu-être la gamine qui faisait quand même preuve de pas mal de combativité, mais ensemble ils étaient carrément intenable. Rococo passa à l'attaque. Il sortit vivement son sabre du fourreau, la pointa vers la où se trouvait Arianne afin que Black sache bien ce qu'il allait faire, cet attitude n'aurait pas forcément un impact sur le combat mais sait on jamais, et leva son épée pour l'abattre avec le plus de vitesse possible. Sa nervosité devait décupler sa vitesse car jamais Rococo n'avait envoyé un de ses "courants d'air" avec autant de puissance. Black en voyant Rococo pointer son épée vers la maison qui abritait Arianne comprit qu'il allait la frapper de son attaque venteuse, il s'élança alors vers la maison sans réfléchir pour intercepter le coup avant qu'il n'atteigne son objectif. La bourrasque allait beaucoup plus vite que ses souvenirs, si bien que Black dut s'appuyer sur son pied gauche et se propulser en avant pour atteindre la maison avant la bourrasque. Tout en restant en l'air, Black sortit son arme, la prit fermement de la main droite et se prépara au choc. Il arriva devant la maison juste à temps et se prit l'attaque de plein fouet.. Black en avait vu l'occasion rêvé pour tester son nouveau sabre qui était, il le sentait, beaucoup plus puissante. Mais l'attaque de Rococo avait aussi amplifié sa force depuis leur premier affrontement et Black fut projeter par la force de l'attaque et traversa la maison de bois pour s'écraser à coté de son amie. Son arrivée ne fut pourtant pas suivit de la bourrasque même affaiblit. Black était arrivé à la dévier sur la gauche et il entendit des murs tomber dans un grand fracas là où il l'avait dirigé. Black venait de parer presque parfaitement l'attaque de Rococo et cette fois sans être propulsé à l'autre bout de la ville. De plus, il avait paré l'attaque en plein vol et il n'avait donc eu aucun appuie sur lequel compter. Il venait de trouver une parade à l'attaque la plus menaçante de son adversaire. Soulagé de ce problème, Black fit enfin attention à ce qui l'entourait. Il vit à coté d'elle Arianne qui était assise appuyée contre le mur en bois. Elle lui souriait un peu de la même façon qu'un enfant malade. Elle respirait avec bruit et rapidement ce qui montrait qu'elle était exténuée. Elle qui d'habitude parlait souvent de façon enjouée, n'ouvrit même pas la bouche pour saluer son arrivée. Elle avait aussi l'air de souffrir à l'épaule gauche. Black se leva furieux, bien décider à venger sa capitaine de cette maltraitance. Il se rassit presque aussi vite. Il avait entendu le bruit caractéristique de l'attaque venteuse de Rococo. Il pensa qu'elle était horizontale et donc se plaqua à terre pour ne pas la prendre dans les cotes. Elle était verticale et plus précisément situé juste entre Arianne et lui. Rococo cherchait à les séparer. Black fut projeté une dizaine de mètres plus loin sur la gauche et s'écrasa sur les durs pavés encore chaud du soleil qui avait tapé dessus pendant toute la journée. Black se releva presque aussi tôt, il venait juste d'arrivée et n'avait pour l'instant comme dommages que quelques éraflures et cognement. Arianne s'en sortit moins bien. Elle avait été projetée beaucoup plus loin car l'attaque se trouvait beaucoup plus proche d'elle que de Black. Arianne traversa donc une maison faite de bois avant de tomber sur l'une des rues parallèle à là où se trouvait Rococo. En traversant la maison elle avait emportée ce qui retenait le deuxième étage de cette bâtisse si bien qu'un mur de bois tomba sur Arianne qui était immobilisée sur le sol, ce qui finit de la rendre complètement sonnée.
Black regarda autour de lui pour voir où était sa capitaine mais il ne la trouva pas, ce qu'il vit par contre fut la silhouette de Rococo se détachant d'un des derniers bâtiments encore intacte. Le soleil était en train de se coucher derrière lui ce qui fit que Black ne vit de lui qu'une silhouette noire. Bientôt un objet de la forme d'un bâton se détacha de la silhouette avant de revenir à son point de départ. Juste après, Black entendit le fouettement du vent, le bruit d'une tornade: c'était le bruit que faisait l'attaque de Rococo. Black plongea en avant comme s'il essayait de passer une vague dans la mer. La bourrasque était plutôt haute par rapport au sol et Black n'eut aucun problème à finir sa roulade avant. Mais il n'eut pas le temps d'aller plus loin, déjà Rococo lui renvoyait deux "courants d'air", une en diagonale et une à la verticale. Black sortit son sabre du fourreau. Il voulait de nouveau tester son sabre mais cette fois sur le sol. Il le mit droit devant lui et juste avant l'attaque le mit sur la gauche pour donner un coup vif sur la droite au moment de l'impact, un peu à la façon d'un tennisman. Le coup avait était rapide et violent, tellement que le "courant d'air" dévia de sa trajectoire pour se finir dans des décombres de maisons à la droite de Black. Black termina son mouvement sur l'épaule et tout de suite après l'abattis de haut en bas. La deuxième bourrasque avait continué sa trajectoire et il atteint Black juste quand celui-ci avait donné son coup de sabre. Black avait mit le plus de force possible et la deuxième attaque venteuse dévia dans la direction de Rococo. Mais celui-ci, pour se débarrasser de son attaque, renvoya une bourrasque suffisamment dosé pour que les deux attaques se neutralisent complètement et tout cela sans avoir l'air paniqué. Sans avoir l'ai, car Rococo ne pensait pas que cet personne qui était avant aussi faible puisse ainsi dévier ses attaques venteuses. Black avait l'air de changer de sabre mais ce n'est pas un sabre qui peut changer à ce point un homme. Il avait forcément progressé pendant le laps de temps entre sa propulsion et son retour mais ce temps avait été court. Cette progression restait un mystère pour Rococo, un homme capable de progresser aussi vite ne devait pas rester en vie. Il fallait absolument qu'il s'en débarrasse. L'impact des deux bourrasques entre elles avait levé le sable et la poussière qui se trouvaient entre chaque dalle de cette rue pavés, si bien qu'un nuage opaque se forma et Rococo ne put voir que plus tard l'avancée que Black avait fait. Black sauta à travers le nuage de poussières et atterrit seulement à six mètres de Rococo. Celui surprit fit un saut en arrière tout en dégainant son épée. Tout de suite après il envoya un coup vif en diagonale vers Black qui se relevait à peine. Mais Black avait de bons réflexes et il fut en position de parade avant même que le coup le touche. L'attaque n'était pas très grande car elle n'avait pas eu la distance pour être suffisamment large mais cette attaque était très puissante et la force très concentré. Lorsque elle rencontra le sabre de Black, il y eut un telle choc que Black n'arriva pas à garder son sabre entre ses mains. Le sabre fonçât sur la tête de son "maître" qui s'écroula à la renverse de la force du coup et continua à traverser l'air pour atterrir une vingtaine de mètres en arrière. Rococo s'avança vers lui et lui donna un coup de pieds qui le fit voler un peu plus loin. Il était surpris que Black n'est pas été envoyé au moins aussi loin que son épée. Vraiment il s'était beaucoup amélioré. Black se releva le plus rapidement possible et chercha son épée du regard. Il le trouva une vingtaine de mètres à sa gauche. La lame était planté dans le sol si bien qu'il l'avait prit d'abord pour un morceau de vitre. Black allait s'élancer vers son arme pour la récupérer quand il pensa que si Rococo envoyait une attaque venteuse horizontale vers l'épée, elle se briserait en deux. Et si son épée se cassait, il n'aurait plus aucune chance de le vaincre. Black regarda derrière lui et vit un demi-mur qui était encore debout, il alla tout de suite s'y réfugier. Il fallait qu'il établisse un plan pour qu'il puisse allait la récupérer sans que Rococo s'en rende compte. Il allait s'élancer vers un mur qui l'aurait rapprocher de cinq mètres de sa cible quand il entendit l'une des attaques de Rococo fondre sur lui. Il couru jusqu'à l'extrémité du mur et effectua une roulade en direction de l'autre mur. Il entendit à peut à la moitié de sa manoeuvre, la bourrasque rencontrait le mur qu'il venait de quitter et le briser en deux. Tout cela dans un brouhaha qui l'assourdit pendant quelques secondes. Encore une fois l'attaque de Rococo ne l'avait pas gêné. Il se retrouva donc contre un mur un peut plus haut cette fois-ci mais terriblement restreint qui ne faisait pas plus de deux pas de largeur. Il comportait une fenêtre situé à la hauteur de sa tête. Black regarda dehors et il vit que Rococo était en train de se déplacer sur la gauche. Il était en train de lui parler mais ce n'était pas ça qui intéressa Black: il y avait une tache ovale sur l'un des murs situé à moins de dix mètres sur la gauche de Rococo. Cette tâche était le reflet du soleil qui se faisait grâce à la partie extérieur de la lame de son sabre. Si Rococo était ébloui pas la tache, il comprendrai tout et justement il ce dirigeai vers cette tache. C'est ainsi que Black décida d'accélérer son entreprise et il partit de suite vers un autre mur situé dix mètres plus loin. Mais cette petite course le laissait à découvert. Il se trouvait à deux mètres du mur lorsque il sentit une force le pousser dans son dos, brisant une nouvelle fois son timing. Black alla s'écraser contre un mur de brique situé juste après son sabre. Il hurla de la souffrance qu'avait produit sa rencontre avec le mur de pierre. C'était l'une des seules maisons en pierre qu'il avait vu dans cette ville et il fallait qu'il se la prenne en plein dos. Black commençait à se tordre de douleur quand il se rappela que Rococo avançait toujours vers la tache jaunâtre que reflétait son arme. Il surmonta alors sa douleur et repartit en courant vers son sabre a peu près au même moment où Rococo se faisait éblouir par là-dite tache. Rococo réfléchit alors à toute vitesse: il voyait que Black courait vers quelque chose de métallique qui était en train de l'éblouir. Il en déduit donc qu'il fallait qu'il la détruise et il lança une bourrasque horizontale au ras du sol dans sa direction. Peut-être que si Black avait été moins hâtif, Rococo aurait plutôt conclu que c'était un bout de verre ou quelque chose du même genre. Black était en train de courir quand il vit que Rococo avait envoyé son attaque sur son arme. Il n'avait pas le temps de récupérer son sabre et de s'enfuir. Il serait obliger de la prendre au vol et de parer. Black voulut d'abord rouler vers l'arme, la prendre et parer mais il se rendit compte qu'il ne pourrait pas la prendre que en faisant un mouvement verticale, Black changea dons ses plans. Il calcula sa roulade pour qu'elle arrive pile à l'endroit où se trouvait son épée et plongea. La bourrasque se rapprochait dangereusement et à toute vitesse. Black finit sa roulade et prit appuie sur ses pieds. Plus que dix mètres avant l'impact. Black mit sa main droite sur le pommeau de la lame. L'attaque se trouvait maintenant à moins de huit mètres. Black tendit ses muscles des genoux et appuya fort sur ses pieds pour effectuer un saut. Ses pieds quittèrent la trajectoire de la bourrasque juste a temps avant qu'il ne se fassent couper les pieds. Tout c'était joué à une demi-secondes prêt en faite. La force de l'attaque lui conféra une poussé vers le haut qui le fit sauter jusqu'à une dizaine de mètres. Rococo voyant Black faire un bond pareil en vit l'occasion rêvé pour le découper en deux. En effet, Black ne pouvait pas se mouvoir dans le ciel. Il lui envoya alors une attaque verticale sur lui. En voyant cela Black fut d'abord apeuré. Tout ce qu'il venait de faire lui avait coûté énormément d'énergie et il ne voyait pas comment il pourrait à surmonter une nouvelle projection comme celle d'avant. Mais c'est lorsque la bourrasque avait fait la moitié du chemin que Black eut une illuminations. Il allait jouer quitte ou double.
Rococo tourna le dos. C'en était finis de son adversaire. Il ne pourrait pas survivre à cette attaque. Rococo réfléchissait déjà à l'endroit où pouvait se trouver la jolie brunette qu'il avait combattu pendant si longtemps. Il fallait qu'il l'achève et vite. Après il irait s'occuper des deux autres qui, si il était aussi bête qu'il le pensait, serait sûrement toujours dans la maison qu'on lui avait fait localisé sur un plan. Et même si ils s'étaient cachés, il les retrouverait facilement et cela même si c'était très pénible pour lui. Il allait commencer à marcher quand un bruit lui paru bizarre. Il se retourna vers sa direction et ouvrit grand les yeux de surprise. Black était en train de lui foncer dessus à toute vitesse par voie aérienne ! En faite Black lorsque l'attaque arrivait sur lui avait mit son sabre de façon qu'il frappe du plat de sa lame. Il avait alors donner un coup de droite à gauche et avait accompagné l'attaque détournait en faisant un demi tour. Ainsi la bourrasque avait continuer son chemin, dévié sur le droite, mais derrière son dos ce qui l'avait propulsé dans la direction de Rococo. Il avait alors pointé sa lame droit sur la tête de Rococo qui était alors retourné. Mais celui-ci avait remarqué son arrivée et s'était retourné face à lui. Son épée se planta alors dans l'épaule droite de Rococo et son corps fonçât dans celui de Rococo à la même vitesse qu'un boulet. Toute la vitesse de Black fut transmise à Rococo et celui partit à la même vitesse pour s'écraser beaucoup plus loin après avoir traverser cinq maison et deux portails. Black avait sa main droite de brûler et hurlait de douleur. En effet il avait sa main droite sur le pommeau de son sabre pendant la charge et le sabre était partis avec Rococo planté dans son épaule droite. Le frottement entre le pommeau du sabre et sa main qui tentait de le retenir lui avait complètement brûlé la paume de sa mains sur toute sa largeur. Lorsque Black fut remis de sa douleur il se leva la main encore souffrante pour aller achever Rococo. Il suivit les maisons détruites et retrouva au bout du parcours Rococo debout le regard haineux, ses artères était visible sur son front et il avait ses vêtements en lambeaux. Il tenait le sabre de Black dans sa main droite et le tenait presque à le briser. En voyant Black, il lui lança son sabre comme un javelot en direction de sa tête. Le sabre fila à toute vitesse et passa juste à coté de son coup laissant une grosse rainure rougeâtre sur le coté gauche de son coup. Lorsque le pommeau atteint le cou de Black, il eut la respiration coupée et fut éjecter au même endroit que son épée. Black n'eut même pas le temps de récupérer sa respiration que Rococo lui envoyait déjà cinq attaques venteuse. Black se leva vivement, et prit en même temps son sabre au vol. Il hurla de douleur. Il l'avait de sa main brûlée ce qui avait accentué la douleur qui avait été jusque là qu'à peine supportable. Il rattrapa son sabre maladroitement de la main gauche et sauta sur le coté afin de ne pas se faire découper en deux par l'attaque de Rococo. Il fut tout de même propulser quelques mètres plus loin mais il se releva rapidement. De nouvelle attaque fondaient sur lui à cadence élevée. Black prit son sabre de la main gauche et tenta de les esquiver. Mais il n'était pas ambidextre et chaque attaque maladroitement esquivé lui faisait perdre énormément d'énergie. Il entendit alors un rire de dément qui lui glaçât le sang et paradoxalement lui redonna la force de résister. Mais la cadence était trop élevé et surtout continu. Black n'arriverai pas à se sortir de l'endroit où il était et ne pourrait inverser la tendance. Plus il pensait à ça et plus ses esquives se faisait imparfaite et les attaques de Rococo lui entaillèrent des morceaux de peaux. En faite il s'aperçut qu'il n'était en train de lutter que pour laisser ses amis vivre encore quelques temps. Il remarqua alors que s'il avait remis Johan sans se battre ils n'auraient sûrement pas énervé à ce point leurs ennemis et ils auraient sûrement pu repartir sain et sauf. Cette pensée faite il se sentit tout de suite dégoûté de l'avoir formulé. Non vraiment il ne méritait pas de continuer à être pirate. Non vraiment il ne méritait pas de continuer à être avec Arianne. Non vraiment il ne méritait pas de continuer à vivre. Il jeta alors son sabre par terre et tomba en avant de fatigue et de résiliation. Ils n'entendaient plus les attaques de Rococo. Sûrement avait-il les tympans explosaient de tous ce brouhaha. Sûrement Rococo le voyant tomber, voulait venir l'achevait ou le torturer pour tous ce qu'il lui avait fait torturer. Peut-être l'avait-il prit en pitié? *** Arianne ouvrit les yeux. Le ciel était noir sur une moitié mais dans l'autre un petite lumière rosée persistait. C'était le crépuscule. Bientôt la nuit serait envahit par l'obscurité de la nuit. Obscurité qui réveillait les voleurs. Obscurité qui réveillait les gens malhonnêtes. Et ce moment arriverait bientôt, très bientôt. Le jour ne pourrait régner plus longtemps. Il avait décliné de plus en plus pendant la fin de la journée. Maintenant la nuit avait pris le dessus sur le jour. Et ce serait la victoire de la nuit jusqu'à l'aube où les rapports de force se renverseront. Mais la journée ne signifiait pas forcement le bien autant que la nuit ne signifiait pas forcement le mal. Cette journée avait était bien plus mauvaise que n'importe quel nuit. Cet nuit serait-elle bien plus belle que n'importe qu'elle jour. Arianne se leva déboussolée. Que faisait-elle là? Pourquoi tout se qu'elle voyait autour d'elle était en ruine? L'avait-on abandonné? Y avait-il eu un cataclysme? Des gens vivaient-ils sous les gravas? Arianne parcourut du regard cette scène s'attendant presque à voir une main dépasser de ce foutra de bois et de ciment. Mais non. Pendant cette vision circulaire ses yeux furent attirés par une lumière rose. Lumière faible certes mais lumière bénéfique. Arianne était attirée par ce petit objet brillant. Etais-ce un diamant? Elle avait toujours rêvée de se voire offrir une pierre précieuse et de pouvoir parader avec. Elle s'approcha à pas lent, à pas leste. Ce n'était pas un diamant. C'était une petite lame qui reflétait le soleil cachaient par quelques nuages et qui prenait une teinte entre le rose doux et le rouge vif. A cette lame était suspendu un morceau de bâton. Le bout de bâton ne faisait pas plus de la taille d'une main avant de laisser une trace de cassure. Quelqu'un devait l'avoir briser en mille morceau avant de le jeter dans les gravats. Arianne ramassa le petit objet avec grand soin et le monta vers ses yeux. Ce fut comme une révélation. Elle vit alors tous les événements de ses derniers jours défilaient devant ses yeux. Il y avait un départ. Une trahison. Des pleurs. Une arrivée. Un homme. Plusieurs îles. Plusieurs combats. Cram. Johan. Rococo. Black. Un rassemblement. Toutes les informations qu'elles avaient obtenues revenaient dans sa mémoire. Elle paru comme apaisée durant un moment. On ne l'avait pas abandonnée. Mais elle se rappela que Black était en train de combattre Rococo actuellement. Enfin si il n'était pas trop tard... Arianne couru alors, cherchant Black, se fiant à ses souvenirs. Tout ce qu'il y avait autour d'elle n'était que destruction. Elle ne pouvait pas les manquer. Arianne passa dans une petite ruelle qui par chance tenait encore à moitié debout. Elle entendit alors du bruit. Comme quand le vent fouette les carreaux d'une maison. Elle continua vers dans la ruelle et tomba dans un grande ruelle. Elle dirigea son regard vers l'endroit d'où provenait le bruit. Elle faillit échapper un cri de surprise. Heureusement, elle arriva à se contrôlait à temps. Il y avait en face d'elle un homme de dos. Et pas n'importe qu'elle homme. Un homme dangereux. Un homme qui représentait une menace. Ses souvenirs lui dirent que c'était Rococo, l'homme tant redouté. Il était en train de moulinet avec son sabre dans le vide. Et dès qu'il finissait un mouvement une poussée d'air se faisait, d'abord toute fine puis grossissant à mesure qu'elle parcourait de distance. Arianne ne voyait pas qui Rococo attaquait ainsi mais elle pensait le savoir. Elle fit un pas de coté et vit un homme dont elle ne put voir les traits car il se trouvait à une vingtaine de mètres de distance mais dont elle reconnaissait instantanément la silhouette. C'était Black. Arianne entendit alors un rire sadique, un rire de dément. Un rire comme devait avoir eut Néron lorsque il peigna Rome en flemme. Cet homme aimait la destruction. Cet homme prenait plaisir à tuer. Plusieurs images vinrent alors à l'esprit d'Arianne. Elle la première fois qu'elle avait vu Black. Eux deux lors de la fuite de chez ses parents. Elle lorsqu'elle lui avait fait promettre de ne pas la quitter. Lui arrivant pour la sauver lui et Cram des griffes de Ultoria. Elle en colère face à la maladresse de Black envers Johan. Et là vint une autre image sûrement monté de toute pièce. Black était submergeait par les coups de Rococo et mourrait en voyant qu'elle était là. Elle courrait vers lui pleurant toute son âme. Rococo rigolait comme un fou, perdait toute humanité rien que dans son rire. Black la regardait et tentait de lui dire quelque chose. Mais les mots ne sortirent pas de sa bouche. Il ne sortit de sa bouche que un expirement. Arianne se revit alors, pleurante en train de demander à Black de ne jamais la quitter. Arianne revint alors à la réalité. Rien n'avait changé. Elle voyait toujours Rococo faire des moulinets dans le vide, elle entendait toujours se rire glaçant qui lui tourbillonnait autour d'elle. Arianne se sentit alors comme dans un rêve. Non pas un rêve plutôt un cauchemar. Elle s'avança, se rapprocha de Rococo trop occupé à se réjouir de sa destruction. Elle se rendit alors compte qu'elle tenait toujours son bâton dans les mains. Elle n'était plus qu'à quatre mètres de Rococo. Expirement de Black. Trois mètres. Elle était seule. SEULE. Deux mètres. Arrivée de Black dans l'équipage. Elle se trouvait maintenant juste derrière Rococo, elle leva son arme au plus haut qu'elle pouvait. Black, Ne m'abandonne pas. Arianne abattit son arme le plus fortement qu'elle pouvait. La lame s'enfonça dans le cou de Rococo et ressortit de l'autre coté. La tête d'un Rococo surpris, sauta de son corps et roula quelques mètres plus loin. Le corps s'affaissa par terre presque aussitôt. Arianne tomba elle aussi sur les genoux. Son coeur palpitait. Des larmes coulèrent de ses yeux mais elle ne savait pas pourquoi. Elle n'avait aucune sensation. Ni soulagement, ni dégout. Elle était là juste là. Elle fit basculait son corps pour qu'elle se couche par terre. Le sol était glacé. Elle ne voyait rien, plus rien. La nuit était déjà tombé qu'elle savait que cet nuit là ne serait pas meilleurs que n'importe qu'elle autre jour. Elle ferma les yeux et continua à pleurer silencieusement. Ses larmes se mèlèrent au sang noirâtre de Rococo. Jusqu'à sa mort il aurait fait pleurer des filles. Arianne ne sut pas combien de temps passa avant qu'elle s'endorme, qu'elle parte loin de ce lieu cruel, loin de cette scène tragique, loin de cet épisode obscure.
Ainsi la nuit commença. Sur un homme évanoui d'avoir essayer de sauver une demoiselle, d'une demoiselle endormi de ne pas avoir été sauvé et d'un homme qui ne se réveillerait plus jamais d'avoir tenté de tuer une demoiselle. ***
Le soleil était haut. Il n'y avait aucun nuage en vue. Il faisait très chaud pour la saison. La populace se massait autour de la place. Un grand événement devait se passer. En ce moment il se passait beaucoup de chose d'ailleurs... D'abord, des jeunes personnes avaient enlevés deux cuisiniers puis avait agressé une troisième. Peu de temps après on trouva deux corps au milieu d'un endroit dévasté. La mort de ces eux personnes avaient été tellement sauvage et inhumaine que la rumeur n'arrivait pas à l'amplifier. C'était ce genre d'histoire tragique qui était racontés par chuchotement de peur que le tueur les entendent. C'était ce genre d'histoire que les bonnes femmes reprenaient à leurs comptes pour en tirer une morale. Quelle morale? C'était le genre d'histoire qui se passaient au quatre coin du globe mais que le gouvernement tentait d'étouffer de peur d'effrayer son gentil troupeau. Tous ces événements en avait un peu terni la fête que représentait la Garlen's food car il était évident que cette fête était le point centrale de l'affaire. Pourtant, cela faisait deux semaines que ces événements étaient arrivés et la rumeur s'éteignait petit à petit. Le tueur devait être partis de toute façon. Les gens essayaient d'arranger l'histoire pour qu'elle face partit du folklore. En bref, Le train train quotidien recommençait et la fête revenait de plus belle. The show must be going on. La police n'avait rien trouvé et personne ne serait jamais qui l'aurait fait. A part peut-être Mr. Padre mais il n'avait donné aucun signe de vie depuis ce tragique accident. Les acteurs de ce drame se trouvait pourtant toujours sur l'île. Il se trouvait dans une petite maison qui se trouvait en plein milieu du théâtre de ces deux derniers meurtres. On avait beau fouillé dans cette maison, personne n'avait trouvé quelconque indice et son propriétaire Johan ne reçut aucun soupçons ou accusation. C'était pourtant pour lui qu'avait eu lieu ces événements. La maison depuis ces investigations avait plutôt sommeillé à part dans la cuisine où Johan s'attelait presque jour et nuit pour trouver une recette assez bonne pour la présenter au jury. Car oui il faisait partis des participants à la Garlen's food. Les autres occupants de la maison (et qui avait été caché en temps voulu) avait tous dormis pendant au moins trois jours. C'était Cram qui s'était réveillé le premier. Il aida le plus possible Johan et lui apporta un peu de compagnie. Puis était arrivé Black, le corps endoloris mais heureux de se réveiller au bout de cinq jours. Puis était arrivé après plus d'une semaine de sommeil, Arianne qui était la principale source d'agitation qui sévissait pour la première fois dans cette demeure depuis le drame. Pourtant Arianne n'était pas d'humeur. Elle avait les yeux gonflée et collants d'avoir tant pleurer. Elle n'était pas vraiment joyeuse et ceux même avec les tentatives de Johan et de Black pour lui remonter le moral. Elle était silencieuse et avait l'air de penser à longueur de journée. Mais au fur et à mesure que les jour avançait elle sembla de moins en moins soucieuse pour finir par retrouver sa joie naturelle le jour des résultats pour la Garlen's Food. La compétition avait eu lieu la veille et une équipée fut mise en place pour la sortie en ville. Arianne et les deux pirates avaient enfilés un vielle imper trop long pour chacun des trois et qui avait du appartenir à une personne de deux mètres. - C'est la seule chose que j'ai pu récupérer de Colin, renseigna Johan. Ils portaient aussi des pantalons baggy d'un marron délavé qui ne leur allait vraiment pas. Ils portaient aussi des lunettes noire qui les rendaient vraiment troublant. - Hé les gars vous trouvez pas que j'ai un air troublant avec ces lunettes? A coté d'eux trois se trouvait Johan tout excité par l'importance du moment. Il était vêtu légèrement d'un short bleu et d'une chemise blanche avec le symbole de la marine sur le plastron: - Cadeau de là-bas, renseigna Johan. Ses habits d'été contrastaient fortement avec les habits d'hiver que étaient obligés de porter ses nouveaux amis. Johan sautillait presque sur place et avait une affreuse envie de courir. Il ne tenait effectivement pas en place et ne cesser de crier à ses compagnons: - Allez dépêchez-vous ! - Tu crois que c'est simple de ce balader avec ces manteaux qui traînent presque par terre. - Et puis il fait chaud, dit Black. - Et puis, ils sont pas très à la mode tes habits, rajouta Arianne. Les résultats ne seraient affichés que deux heures plus tard, ainsi les trois amies décidèrent d'aller d'abord boire un verre dans un bar sous les oppositions de Johan qui voulait être en avance sur les lieux. Ils commandèrent quatre chopes de whisky et se désaltérèrent en parlant de choses de ci de là. Les deux heures passèrent ainsi très vites pour les trois pirates mais horriblement lentement pour Johan. Il regarda bientôt sa montre et sortit d'un coup en courant. Black chercha une horloge à l'intérieur du bar et effectivement en trouva une recouverte de poussière au fond de la salle. Elle indiquait que les résultats seraient affichés un quart d'heure plus tard. Les trois pirates continuèrent donc de parler pendant une dizaine de minutes avant qu'ils se lèvent tous. Arianne lança au barman cinq pièces sales et ils sortirent tous les trois de ce lieu sordide. Black lâcha: - Je suis sûr qu'il a fait ça pour ne pas payer. Ils continuèrent donc dans la rue et tombèrent sur la place où ils avaient précédemment trouvés un vieux qui les avait renseigné. Les trois amis eurent un hoquet de surprise. Il avait connu cette place avec du monde mais jamais à ce point. Toute la place était recouverte d'une marée humaine qui trépignait d'impatience de connaître le résultat et surtout d'aller à la fête qui se trouvait juste après. Il aperçurent Johan tout derrière et l'interpellèrent. - Voilà pourquoi je voulait arriver avant. - Mais comment on va savoir qui a gagné? - Eh bien vous voyez le bâtiment en face? C'est la mairie. Lorsque l'église sonnera les dix-huit heures ils lâcheront un étendard qui recouvrira sa surface entière avec dessus la photo du vainqueur. Johan trépignait d'impatience et frappait le sol nerveusement du pied. - Mais t'inquiètes pas. Je suis sûr que tu l'as gagné ce concoure, dit Black. Cela ne rassura visiblement pas Johan qui continua de marteler le sol de son pied. Alors le carillon de l'église sonna. Johan avait l'air d'avoir but une vingtaine de café tellement il était énervé. Pourtant les trois pirates étaient convaincu qu'il avait gagné et venir voir les résultats leur paraissait presque inutile. Et puis cette compétition avait été une excuse pour recruté Johan de toute façon. Mais la vérité était bien plus cruelle. Sous les holà de la foule en délire ce fut le cuisinier de Mr Padre qui remporta la compétition.
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