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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Jeu 29 Sep 2011 08:29 
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Je viens de finir le 3ème chapitre sur 5, donc je vais poster le second chapitre ! Avec toujours un combat, toujours un pirate, toujours une Trompeuse, toujours un truc de fou ! Enfin moi j'adore !
Let's fight !
Bonne lecture !

Chapitre 21 : La rêveuse Pénélope et la caverne aux moutons.

Atris s'était retrouvé face à la porte de droite, en pierre. Elle était aussi brut qu'au premier jour, taillée d'un même bloc. Des charnières en fer, désormais rouillées, y avaient été plantées de force, ainsi que la poignée, dans le même état. Dans un état que vous ne pouvez même pas imaginé. A peine que l'écrivain ait posé sa main sur la poignée pour l'ouvrir, celle-ci se désagrégea totalement, et tomba en poussière sur le sol.
De la même manière, à peine la pierre de la porte légèrement poussé que les charnières se décomposèrent. La porte tomba lourdement sur le sol dans un vacarme pas possible, soulevant toute la poussière présente sur le sol de la pièce qui se révéla aux yeux du pirate.

Cette pièce était la définition la plus exacte que l'on pouvait trouver pour le mot vide. En effet, elle était vide.
Rien, rien, il n'y avait rien du tout. Nothing. C'était assez morbide. Mais il y avait de l'espace, pas de problème de ce côté.
Le sol était en pierre en un sol morceau, tandis que les murs et le plafond, toujours en pierre, étaient confondus en formant une coupole. Tout en haut de ce dôme se trouvait un cercle qui ouvrait la salle sur le ciel, et ainsi l'éclairait.
Ah non, j'oubliais. Il y avait bien quelque chose à voir dans cette pièce, même si peu intéressant. Et oui, de l'autre côté de la première porte, maintenant à terre, qu'Atris venait d'emprunter il y avait …. Une seconde porte ! Enfin non, plutôt un gros grillage de fer, lui aussi bien sûr rouillé. Mais espérons pour notre ami que cette entrée résistera, les bruits qui arrivent de par derrière n'étant pas très entrainant et amicale. Voir même tétanisant.
- BEEEEHHHH !
Voici le bruit horrible qui parvint aux oreilles de l'écrivain, de quoi vous glacer le sang à jamais.
- Un mouton ? Dit-il en haussant un sourcil.

Mais ces cris se stoppèrent, laissant place à des battements lourds mais réguliers de tambours. Puis vient en accompagnement des trompettes. La musique était la même qu'à celle des arènes, celle qui annonce l'entrée des taureaux.
Puis la barrière se leva, et les bêtes arrivèrent magistralement devant Atris.
Au premier rang, de petits moutons tout calme, le dos recouvert d'une soyeuse laine aussi blanche que de la neige en hiver. Aussi il n'y en a pas souvent en été.
Puis en suivant entrèrent de gros moutons à la laine noire comme la nuit, mais eux n paraissaient pas aussi calmes. Ils cavalaient partout dans la pièce, heurtant les autres petits et frêles moutons qui tombaient à la renverse. Mais une voix douce sortit de l’enclot et les arrêta :
- Chiche, Kébab, calmez-vous s'il vous plait. Sinon l'heure de la tonte arrivera plus tôt que prévu !! Attention.
Le sol se mit à trembler par violentes secousses. Elles étaient causées par un autre mouton, lui gris, très gros et très vieux, qui sortait à son tour de l'enclot, monté par une une femme.

Elle était assise sur un grand fauteuil en bois, posé sur la laine, et maintenu par je ne sais quoi. Elle avait une peau très claire, des cheveux noirs à la base et dégradé sur le blanc vers les pointes, des yeux gris pâles, et pourtant, des lèvres étonnamment rouge et pétillante.
- Oh, bonjour jeune homme, moi c'est Pénélope. Alors j'ai la chance de tomber sur l'archer. J'espère que tu sauras m'atteindre. Sinon ce sera pas très drôle.
- T'inquiète, moi et raté ma cible, ça fait deux.
Il sorti comme toujours son carnet en cuir noir d'une poche intérieur de son blouson, et fit apparaître son arc simple, de bois blanc parsemé de traits noirs, ainsi qu'un carquois de flèches, c'est mieux pour tirer.
Il en arma une, et la tira en direction de son ennemie. Elle partit rapidement, et alors que l'écrivain croyait déjà en avoir fini quand elle arriva à proximité de sa gorge, la flèche s'y cogna et tomba sur les genoux de Pénélope.
- Tu disais ? Vous les hommes, vous vous croyait déjà le roi du pétrole alors que vous n'avez pas trouvé de gisements. Mais si tu veux me battre et ressortir vivant, tu devras résoudre ce mystère.
- Un mystère ça n'existe pas. Sauf dans les livres, là tout est possible, et je m'y connais. Dans la vrai vie véritable, si quelque chose se passe, c'est qu'il y a une logique. Je sais réfléchir, rien n'est plus facile pour moi, tu ne résistera pas aussi longtemps que tu le penses.
Un ronflement résonna dans la pièce. Pénélope s'était endormie dans la laine....
- Hein, tu disais ? Toute cette laine si douce m'envoie rapidement au pays des songes... lui dit-elle, somnolente.
- Non, je ne résisterai pas à la provocation, se convint-il, joignant ses mains paume contre paume comme un moine pour se calmer et regagner la paix intérieur.
- Tu peux arrêter de parler, tu me réveilles sans arrêt.
La paix intérieur n'aura pas durer bien longtemps, vu qu'Atris avait déjà saisi trois flèches et les envoya vers elle. Mais rien ne se passa, elles se heurtèrent comme avant sur le corps de la femme. Pris d'énervement, il en renvoya trois autres, et encore trois, et encore. Le geste de prendre des flèches, de les poser sur l'arc, de tirer puis de lâcher la corde devint perpétuel, automatique.

C'est ainsi que, son corps s'occupant de ses gestes et limitant Pénélope, il put penser plus tranquillement, son énervement s'évacuant tout seul. Ce qu'il voyait l'intriguait beaucoup : dès que les flèches touchaient Pénélope, quelque chose d'étrange et de sûrement pas naturel ce passait très rapidement sur la tête de la femme. Ses yeux, ils bougeaient. C'était très dur de distinguer quelque chose de très net, mais l’œil droit se décalait vers le centre, et le gauche disparaissait je ne sais où...
Sa découverte calma l'écrivain, et il dit avec beaucoup de tact ce que toutes femmes aimeraient entendre...
- T'es un cyclope non ?
La femme, normalement très pâle, devint toute rouge de colère, mais pourtant..
- NON, T'AS TOUT FAUX ?
- Une cyclopette alors ?
- AH TU M'ENERVES A M'APPELLER COMME CA, C'EST PAS COMME CI J'AI PAS MANGE LE FRUIT MYTHOLOGIQUE DU CYCLOPE MOI !!
- Pourtant t'en as tout l'air...
- CHICHE KEBAB MOUTONS OCCUPEZ VOUS DE LUI !!!
A ses ordres, les petites moutons encerclèrent Atris, et les grosses bêtes noires, Chiche et Kébab se postèrent devant et derrière lui. Ils raclèrent le sol de leurs pattes, et se ruèrent sur lui.

L'écrivain se jeta sur le côté les bras sur la tête pour se protéger, mais sans grande utilité. Des armes sur-puissantes furent propulsés du sol et submergèrent Atris, Chiche et Kébab.
- Mais qu'est-ce que foutent des bulles ici ?!!
- Pourquoi Antigone a activé les DécolorStopeuses ? Se demanda la femme.
Le flot de bulles dura quelques temps avant de s'arrêter. Aussi, ce fut très impressionnant qu'une fois arrivée au plafond, les bulles de savons n'éclatèrent pas mais s'unirent en une grosse bulle aussi large que la pièce, et tamisant la lumière.
Il y eut une seconde chose. Quand Chiche et Kébab ressortirent, ils étaient devenu tout blanc, et aussi inoffensif que des agneaux, vu la rapidité qu'ils mirent pour retourner dans l'enclos, puis suivit de tous les petits autres ainsi que du gros vieux qui laissa magistralement choir Pénélope sur le sol.

Atris se releva et, d'un revers de la main, chassa les bulles accrochées à lui. Il possédait un air de supériorité face à cette femme, désormais étalée à terre. Les rayons du soleil se dispersèrent dans la bulle, créant une aura des milles et unes couleurs de l'arc-en-ciel autour de l'écrivain, laissant Pénélope bouche bée.
Il s'approcha peu à peu d'elle, armant tranquillement une flèche à son arc, et se plaça au-dessus de sa tête. La pointe de la flèche n'était qu'à quelques centimètres de la tête de la femme.
- Si tu es un cyclope, je pari que ton point faible est ton œil, de toute façon on ne voit que ça. Au pire si j'ai tort, tu ne pourras rien voir. Maintenant transforme toi.
Il lui donna un gros coup de talon dans le ventre, et comme il l'avait prévu, tira sa flèche dans l’œil unique. Mais la jeune femme ne voulait pas arrêter sa transformation à sa forme hybride : elle sacrifia son œil, mais grandit « à vue d’œil » (c'est le mot), et flanqua par la même occasion un coup de poing magistral dans le ventre d'Atris, qui le fit décoller. Par chance ou par prévision, il se situait juste en dessous de l'ouverture au plafond, et sortit donc à l'air libre un instant. L'instant de revoir toutes les femmes de l’arène, qui le fixèrent avec grand étonnement, de les saluer gentiment de la main comme si de rien n'était, de retomber par le trou et d'atterrir sur la tête de la géante à l’œil unique, maintenant avec une flèche logée en son centre.

Et pourtant, Pénélope se mouvait avec aisance, et ne ressemblait aucunement à une personne venant de perdre la vue. Mais elle restait un peu bizarre : croyant en avoir finit avec Atris elle partit s'asseoir contre un mur, non, plutôt face au mur ! Et en y allant elle marchait à reculons
- Mais pourquoi elle s'adosse pas au mur, elle est bête, pensa-t-il. Et elle marche bizarrement en arrière, comme si... Non ! C'est pas possible !
Discrètement, pour ne pas se faire repérer, il s'approcha doucement, tout calmement de l'arrière du crâne. Il se pencha et dégagea les cheveux. Ses pensées étaient juste. Derrière la tête de la cyclope se trouvait un œil, pour l'instant caché par deux paupières. Pour l'instant, car stupidement je devrais dire, notre écrivain tapota dessus pour vérifier. Pénélope se réveilla sur le coup, et rabattit sa main sur son crâne pour l'écraser. Mais il fit une roulade, puis s'écrasa sur le sol.
- Alors mon coup de poing ne t'as pas mit hors d'état de nuire ?
- Je dois peut être avoir deux - trois côtés cassés, enfin bon, j'ai pas les deux yeux percés moi !
Il arma son arc rapidement d'une flèche et tira sur l'oeil pour en finir, une fois pour toutes.

Malheureusement, la pointe n'atteignit jamais la pupille. A quelques petits centimètres de son but, elle se décomposa subitement et retomba en petite poussière, tout comme l'arc d'Atris.
- Déjà dix minutes ?! S'écria-t-il. En effet, pour rappel, les créations d'un écrivain réaliste créent une instabilité moléculaire dans le monde et doivent se désagréger au bout d'un certains laps de temps.
- C'est raté ! Enfin, je dois dire que la chance est avec toi sur le coup.
- La chance ?! Tu parles ! J'allais gagner.
- Tiens, j'ai l'impression qu'on a omis de vous prévenir que tout les cinq représentons Péridot (et même l'archipel de Préciosita en son intégralité) au Gouvernement Mondial. Vous avez signé la fin de votre vie en nous attaquant.
Un silence de plomb s'installa alors dans la salle. Atris déglutit, et dit d'une voix tremblante, mais sûr.
- Non, car nous sommes des pirates. Si tu veux savoir, j'ai toujours détesté les pirates, pour moi, c'était des gens infâmes et cruels. Pourtant il y a peu, j'ai fait le pari de m'allier avec l'un d'eux. White contredisait toutes ce que je croyais sur eux : il n'est pas infâme, il est heureux. Il n'est pas cruel, il est gentil et généreux. C'est pour ces raisons que j'ai décidé de le suivre, et je suis vraiment fier d'être sous les ordres d'un capitaine comme lui. Nous avons un équipage certes réduit, mais formidable ! White, Reddo, Marine, moi, et j'espère de tout cœur Ciel ou Ow, ou même les deux ! Et c'est ça qui me donne envie d'être un pirate, avec eux, malgré mon passé. Mes amis, c'est ma plus grande force, encore plus que mes livres.
Un flash de lumière apparut comme en soutient à l'écrivain, éblouissant Pénélope, qui repris sa forme normale sur le coup.

Plume à la main, il s’élança vers Pénélope, et planta sa plume en plein dans sa pupille. Elle s'écroula sur le coup, sans avoir eut le temps de réagir.
- Bon maintenant faudrait que je reprenne ma plume, j'en ait pas de rechange !


Et voilà ! Si vous avez des questions n'hésitez pas ! A bientôt pour le chapitre 22 !

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il a transformé l'or en grenadine."


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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Mar 11 Oct 2011 09:58 
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Voila, je viens de finir les 21 chapitres de ta Fanfic.
Franchement je te tire mon chapeau, parce-que il faut avoir du courage pour sortir autant de chapitre, et pas mal d'immagination.
L'histoire est pas mal, malgrè quelques fautes de syntaxe/ortographe/grammaire, mais cela reste agréable à lire.
Par contre je trouve que ton histoire est assez proche de OP, dans le comportement des personnages, et quelques situations qui se ressemblent vraiment beaucoup. Je sais que c'est vraiment tentant de prendre des exemples, mais je pense que tu aurai pu parfois être un tout peu plus original (ce que tu peux faire, quand on voit tout ce que tu as écrit).

Certes c'est une critique, mais je ne cherche pas à être méchant, plutôt à essayer de te donner un conseil pour tes écrits futurs. Je continuerai à suivre ta Fanfic que je trouve dans l'ensemble bien réussi.

Continue comme ça.


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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Mar 11 Oct 2011 20:09 
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Voilà j'ai rattrapé mon retard de deux chapitres. Donc début des hostilités. J'ai nettement préféré le deuxième combat même si il finît.... Bizarrement. Le premier je l'est qu'à moitié compris (ça doit être moi). Effectivement dans le premier j'ai vu des fautes que même moi je n'aurais pas faite (c'est dire ^^) comme a un moment tu as mis "d'eux" au lieu de "deux". Sinon tu utilise pas mal lexpression "ni une ni deux" fait attention au répétition. Des petit problème de maladresse mais j'en fait aussi ^^
donc au final des combats sympa même si ce n'est pas parfait :)
Continue comme ça :)

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Lun 24 Oct 2011 21:55 
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Salut les aminches, me voici pour le 3ème combat. Je suis en plein écriture du 4ème qui sera le plus long chapitre que j'ai jamais écrit. Enfin vous verrez quand je le posterai. Mais avant, j'ai eu deux petits commentaires !

Majinflow : et bien quel courage, il faut le faire pour lire mes chapitres ( et encore à côté de certains je fais petit joueur !). je sais que les fautes d'orthographes existent, sur l'ordinateur je fais beaucoup trop de fautes par rapport à l'écrit. Tu es un des premier après tout ce temps qui me dit que je suis trop proche de la trame de Oda. J'avoue que dans ma tête je rapproche certains arcs avec d'autres du manga, ou que certains personnages font penser à ceux d'Oda (je ne parle même pas de Ow...), mais je pense que je me détache pas mal, attends la suite ça va empirer vers un lachage quasi-complet du parcours modèle de Luffy. Et puis tu n'es pas méchant, j'en ai vu d'autres !

HW : C'est vrai que mes combats sont très tordu, j'ai du mal à retranscrire avec exactitude des actions d'un combat, si on pouvait retranscrire en image tout ce que j'ai dans la tête, j'aurais un manga. Je vois presque case par case ce que ça aurait pu donner en manga. Pour le d'eux/deux, faute de frappe, je tape assez vite et j'oublie/inverse très souvent des lettres.

En route pour le 22ème chapitre ! Et un 3ème combat, assez drôle je pense !

Chapitre 22 : Perséphone la petite diablesse de l'enfer !

Reddo lui avait opté pour les escaliers permettant d'accéder à l'étage. Il fit ainsi face à une porte en bois, presque en charbon devrais-je dire tellement elle était noire et sale. D'une petite main, il la poussa (et se demanda comment elle faisait pour ne pas tomber en poussière). Un grand couloir apparut alors face à lui. Un couloir sombre en pierres noires, calcinées par le feu ça et là.
Il s'enfonça avec méfiance dans l'obscurité. Il marcha un mètre, deux mètres, trois mètres, et continua jusqu'au moment où il se fit mystérieusement asperger.
- Hein ?! Qu'est-ce qui se passe ?! On m'attaque ?! Ah, c'est tout humide !!
L'eau, arrivant d'on ne sait où, permit au cuisinier de se rincer de la boue encore présente sur lui, mais le trempa jusqu'aux os.
Un rire aigu au bout du couloir le fit continuer à avancer. Et plus il avançait, plus il séchait. Mais pourquoi séchait-il ? Car il approchait d'une salle circulaire, emplit de vapeur, les murs balayés par des flammes incandescentes (vous me direz, normal pour des flammes....).
Reddo arriva donc dans cette salle, et y trouva en son centre une jeune dame, habillée d'un haut en cuir moulant très raccourci, et d'un short tout aussi moulant, tout aussi noir, et tout aussi raccourci. En plus de ça, elle possédait un long fouet noir en cuir (mais pas moulant) qu'elle s'amusait à faire claquer.
- Coucou mon lapin comment tu t'appelles ? Moi c'est Perséphone, ça te dirait une petite partie de jambes en l'air très chaude ? Dit-elle d'une voix de séductrice affirmé.
- Non ça va aller, il fait assez chaud ici, et puis j'ai déjà le sang qui bouillonne de te mettre une raclée.
- Tu n'es pas vraiment galant, ça ne refuse pas pourtant une demande d'une jeune fille. Allez ! dit-elle en s'approchant de lui, puis en promenant ses doigts sur son T-shirt maintenant sec. Avoue que tu aimerais bien ! La bosse entre tes jambes est assez révélatrice tu sais !
Il l'a repoussa de lui, tout rouge de honte.
- Ne regardes pas là, perverse.
- Allez mon chou, dit le. En plus en me poussant tu m'as toucher les seins. Ah si tu te voyais, tu essuierais ton saignement de nez.
Elle lui fit un clin d’œil très révélateur. La tête entre les bras, il se réfugia dans le couloir.
- Non mais, qu'est-ce qu'elle a ?! On est ennemi ! Je ne dois pas craquer, je ne dois pas craquer, je ne dois pas craqu... Si je craque !

Il retourna dans la salle, s'approcha d'elle, et, délicatement, l'aida à se relever.
- Alors mon chou, tu changes d'avis, demanda-t-elle avec un éternel clin d’œil.
Sans répondre, il l'a mit à la verticale, sa main sur sa fesse, et approcha doucement sa tête de la sienne. Croyant son plan séduction marcher, elle sourit d'un sourire machiavélique. Elle souleva sa main au-dessus de la tête du cuisinier, prêt à agripper puis à le terrasser.
Leurs lèvres s'approchaient l'une de l'autre, la main de Perséphone s'approchaient de la nuque de Reddo, et enfin, le front de Reddo s'approcha violemment du front de Perséphone. Elle recula, même tomba, sous le choc.
- Ah ah ! Coup de boule ! Tu t'attendais pas à ça hein ! Tu croyais que ta mission séduction m'avait eus ! Maintenant tu sais c'est qui le patron ici, c'est moi ! Je ne me laisserais pas avoir !

Le regard noir, Perséphone se releva, et fit claquer son fouet violemment, de rage.
- J'ai bien voulu être un peu gentille, mais ça va pas le faire si tu me frappes.
- Gentille ? Tu crois que je l'ai pas vu ton sourire sadique ?
Elle refit claquer son fouet sur le dallage de pierre. La vapeur se densifia fortement, et elle s'enfonça dedans.

Reddo parvenait encore à la distinguer, mais elle ne semblait plus seule. Deux têtes arrivèrent, mais elles ne ressemblaient pas à des têtes humaines, plutôt à celle des chiens ou des loups.
- Des Mush ?! C'est sûr qu'ils ne sont pas clairs, faut le faire aussi pour protéger l'autre abruti-pervers-gueulard-de-Ow !
Les deux têtes de canidés hurlèrent comme des loups (donc ce sont des loups, logique), la tête pointée vers le plafond.
- Bienvenue en enfer, annonça-t-elle.
Puis ils disparurent complétement dans la vapeur.

Même s'il ne pouvait pas savoir comment, où et quand elle allait l'attaquer, notre cuisinier préféré ne paraissait pas le moins du monde déboussolé. Calmement, il sortit son fier allié Gurumé de son fourreau, et approcha la lame de sa bouche.
- Salut partenaire, on doit éliminer une demoiselle qui a le sang assez chaud d'après ce que j'ai vu. Je t'en fais cadeau, mais aide moi à enlever cette vapeur pour que je la vois.
Il tendit Gurumé face à lui à la verticale, puis dit :
- Reconstitution plaquettaire : l'éventail sanguin.
La lame se fendit en deux puis s'écarta, reliée par un fin tissu rougeâtre et translucide.
Reddo abaissa violemment son éventail de fortune créant un vent écartant toute la vapeur sur le mur d'en face. Ne voyant pas Perséphone sur le chemin dégagé, il fit un tour sur lui-même : la salle était maintenant dégagé de toute buée. Et aucune trace de la Trompeuse.
Il y avait seulement trois paires d'yeux luisant dans le couloir sombre, côte à côte.

Sous la paire du milieu, une gueule de loup s'ouvrit et se mit à parler.
- Sais-tu pourquoi nous nous surnommons les Trompeuses mon joli, dit la voix mélangeant féminité et un je en sais quoi d'animal.
Ne le sachant évidemment pas, Reddo fit non de la tête.
- Nous sommes nées toutes les cinq il y a 35 ans : en effet, nous sommes ce qu'on appelle des quintuplés. Tu dois savoir que cela est très rare, et c'est ce qu'a eu nos parents, des gens de la haute société de Grand Line. Ayant déjà un enfant, et n'ayant pas besoin de cinq filles, ils firent de nous leurs serviteurs. Mais pour nos 18 ans, tout changea. La mer eu dû avoir pitié de nous, car les flots nous portèrent cinq petites bouteilles en verre contenant chacun une liqueur différente. Sans hésitez, nous les avons bus d'une seule traite. Du jus de fruit du démon, et pas n'importe quels fruits, des fruits extrêmement rares, des fruits mythologiques ! La nuit suivante, un par un, nous avons éliminés tout ceux qui avaient rendu nos 18 années d'existences invivables. Cette nuit là, nous avons jouées un rôle d'esclave parfait, et lorsqu'un d'eux partait seul, il fut retrouvé mort dans les cinq minutes suivantes. Ils furent éliminé un à un, les derniers plus que jamais terrorisé par cette mort qui frappait tout le monde sans exception et qui venait de nul part. Aussi, qui aurait pu soupçonner des jeunes femmes esclavagés et sans moyen pour tuer. Nous les avons tromper, nous les avons tuer, nous les avons fait payer. Et même si maintenant nous sommes maudit par les eaux, nous sommes des femmes de pouvoirs, plus des esclaves, nous contrôlons la plus grande partie de l'archipel d'une main de fer, à notre façon. Notre vengeance continue et continuera aussi longtemps que nous existerons toutes les cinq.

Elle fit quelques pas dans la lumière pour montrer ses trois visages de canidés à Reddo.
- Et moi mon fruit, c'est celui du gardien des enfers : Cerbère !
Toute trace humaine avait désormais disparu de ce corps, excepté la voix. L'animal, dressé sur quatre pattes noirs de poils, tout comme le corps entier, possédait trois visages. Celle de gauche était un canidé de base : un chien, à la tête brune claire, avec des grandes oreilles en pointes, un petit museau noir et un sombre regard méprisant. Voici Persh. La tête de droite était orange comme le feu balayant les murs de la salle : un renard au regard vif et intelligent. Voici One. Ces deux là encadrés celle du centre : une louve grise, ayant des petits airs d'Antigone. C'était Eph. Le fruit avait partagé l'âme de la jeune femme en trois : sa haine, sa fourberie et sa féminité.
Une discussion commença alors entre les trois canidés :
- Tuons le rapidement, nettement et sans bavure pour qu'il soit enfin éradiqué de la surface de la planète, dis le chien Pers.
- Voyons, amusons-nous un peu en découvrant ce qu'il nous cache dans son joli pantalon ! Proposa la louve Eph.
- Torturons le soigneusement, éliminant membre après membre de son corps, terrorisons le un peu, s'excita le renard One en se léchant les babines...
- Les cheveux de feu, sans doute protéger par un démon ! Ils en ont des grosses ceux là, s'amusa Eph !
- Du sang bien frais coulant sur ma mâchoire aiguisée....
- Une morsure au niveau du cœur et s'en est fini !

Reddo écoutait la conversation avec dégout et appréhension. Qu'allait-ils choisir ? De toute façon il était prêt à se défendre, Gurumé bien en main !

Les trois têtes continuèrent leur discussion, exposant argument sur argument prouvant que leur décision était la meilleure à prendre, quand tout à coup, le corps tricéphale se paralysa nette.
Une seconde, deux secondes, trois secondes... Et la louve se remit à parler :
- Chouette c'est moi qui ait gagné aujourd'hui !
- Gagné ? Demanda le cuisinier encore une fois étonné par la bizarrerie du personnage.
- Si tu veux savoir, à chaque fois que les avis de Pers, One et moi divergent, nous nous ré-rassemblons en Perséphone et c'est notre tout qui tranche ! Et aujourd'hui c'est moi qui choisit comment s'occuper de toi. Ça va être chaud et sensuel ici !
Reddo ne comprenait plus rien à ce qu'il lui arrivait !
- Attends ! Tu comprends que je suis un homme, et toi là sous une forme indéfinie mais visiblement pas humaine. Et que je suis méchant pour toi, et toi méchante pour toi ! Et puis ça va pas la tête quand même, j'ai pas pris la mer pour rencontrer des prostituées !
La forme animale du fruit passa alors en forme semi- animale : un corps de femme avec trois têtes de canidés, toujours les mêmes.
- Et comme ça ça te convient ? Lança-t-elle accompagné d'un clin d’œil.
- T'as écouté ce que j'ai dit au moins !

Sans réponse, elle se jeta sur lui. Les têtes de chien et de renard mordirent chacune une jambe, et celle de la louve se posa entre les jambes du sabreur.
- T'aimes ça hein !
Reddo poussa deux cris : un de douleur, l'autre d'horreur. Il essaya de se dégager mais les mâchoires lui mordant les jambes se resserrèrent encore plus.
- Voyons ne bouge pas, apprécie à la place ! Dit-elle en passant sa langue sur ses lèvres de plaisir.
Presque automatiquement, Reddo serra de sa main droite Gurumé et trancha une oreille du renard.
Leur corps ne faisant qu'un, trois cris sortirent des trois gueules de canidés. Les mâchoires libérèrent les jambes et Perséphone s'éloigna en vitesse à l'autre bout de la pièce !

Il se releva péniblement, les jambes ensanglantés.
Face à lui, les trois canidés grognaient de fureur, et cette fois-ci, c'est le chien qui prit la parole :
- Le choix a changé : maintenant c'est à moi de t’occuper de toi. Je dirais presque que tu as de la chance, tu ne te sentiras même pas mourir. Une mort nette, précise et sans douleur. Pourquoi gâcher notre temps pour quelqu'un de ton espèce.
Reddo s'élança vers les canidés de toute la force que ses jambes blessés lui permettaient. Son adversaire fut surpris qu'il puisse ainsi bouger alors que le sang ne cessait pas de couler, et la course n'arrangeait pas les choses.
Profitant de ce rapide effet de surprise, il trancha d'un coup sec la tête de chien. Mais alors qu'il s'attendait à deux cris de douleur simultanés, il entendit deux petits ricanements.
Avec prudence il se recula sur ses jambes tremblantes désormais, du sang asséché par la chaleur de la salle recouvrait en grande partie son pantalon.

Mais il ne put pas comprendre de suite le pourquoi du ricanement. Un gros bruit sourd de fer rouillé se fit entendre : le sol commença à se séparer en deux et rentra dans les murs.
A travers la fissure qui s'élargissait, il aperçu son Ow – Non pas lui.... ! -aux prises avec un adversaire tout aussi bizarre que le sien.
Le sol finit de rentrer dans le mur, et Reddo, comme Perséphone, fut obligé de tomber en chute libre.

C'est tout pour aujourd'hui.
Mon taux de commentaires est en chute libre là, donc n'hésitez pas (sauf flood banni bien sûr !). Et puis posez des questions, n'hésitez pas ! Je ferrais bientôt je pense, avant le 23ème chapitre, une petite explication de certaines choses que j'ai mis ça et là, sans grande importance, mais qui sont tout de même là !

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Dim 6 Nov 2011 19:00 
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J'ai pas lu ta FanFic mais j'aime déjà bien White parce qu'il est né le même jour que moi ! :Zoro nargueur:

Faudra que je la lise en tout cas parce que le prologue est très intéressant ! ;)

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Mer 9 Nov 2011 19:10 
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L'avant dernier combat approche, plus que 5 lignes à attendre !
Déjà Kem, si tu veux savoir, le 21 janvier est le jour d'anniversaire de 3 de mes amis, et puis j'aime bien le chiffre 21, je ne vous l'avez jamais dit ? Tu devrais lire ma fic, elle ne fait qu'un peu plus de 20 chapitres !
Le chapitre qui vient, je l'aime beaucoup car c'est le combat de mon très cher Ow et de sa petite boule de poil ! Je vous conseille de mettre de la musique avec, après laquelle, à vous de voir ! Et si certains disaient que je manque d'originalité, ce chapitre les fera taire j'espère !
Sans plus attendre, bonne lecture !

Chapitre 23 : Ariane, les fantômes et le labyrinthe - Thriller

Ow, avec Flam assis sur son chapeau, avait choisi la porte droit devant, et faisait désormais face à une grande porte en bois sombre. Très sombre avec une poignée d'acajou blanche, que notre musicien ne se fit pas prier de pousser pour ouvrir la porte.
Elle menait sur un jardin. Un grand jardin qui s'étendait. Mais il n'était pas très exotique : que des buissons hauts de plusieurs mètres traçaient des avenues, impasses et autres salles naturelles.

Il avança dans l'allée principale, très sombre. En effet, un longue structure de pierre recouvrait l'allée, et se terminait par une grande en cercle, maintenu par les buissons et quelques pilotis. En résumé, Ow n'y voyait pas grand chose, mais avança tout de même, faire marche arrière lui était impensable.
Il marcha, marcha, et entendit un grincement terrible de fer rouillé. D'un coup, un bout du buisson s'écrasa sur Ow et Flam. Le musicien se décala et mit un chassé de la jambe dans le buisson, avec Flam qui l'imita avec ses oreilles. Cependant ce buisson ainsi décalé bloqua le chemin. Mais créa un autre couloir, menant sur une salle sphérique, pile en dessous de la grande structure.
Comme seul objet, une tombe de vieille pierre recouverte de mousse ou de lierre ça et là. Un grand rectangle de pierre sur-élevé du sol, avec gravé dessus trois noms : Dédale, Thésée et Icare.

Le sol de de feuilles séchés bougea un peu : des clous rouillés et aiguisés en jaillirent. Ow se jeta sur la tombe, seul endroit sûr.
- Faut pas se gêner dis donc !
Le musicien debout sur la pierre, et Flam debout sur sa tête, balaya rapidement l'endroit pour voir d'où venait la voix. Rien. Il n'y avaient que les clous qui retombaient au sol.
- Regarde moi quand je te parle !
- Voyons Icare, cet humain est vivant, il ne peut pas nous entendre.
Les deux personnes sortirent alors mystérieusement de la pierre.
- Mais vous êtes qui vous ?!
- Tu vois bien qu'il peut nous entendre !
- Nous sommes les habitants de cette tombe. Nous sommes morts ici, et nous sommes devenus des fantômes.
Les deux spectres étaient tout deux translucides et possédaient de grandes ailes blanches. Le premier qui râlait se nommait Icare. Il était assez jeune pour un mort. Les cheveux clairs, un visage renfermé et grognon, assez grand. Il devait avoir la vingtaine. L'autre était son père Dédale. Plus vieux, dépassant les 50 ans, il avait l’œil qui brillait d'intelligence et le dos un peu vouté.
- Tiens ça faisait longtemps que j'en avais pas vu...
- Alors tu peux normalement voir les fantômes ? Une capacité rare ! Dit Dédale
- Un truc de mes ancêtres il paraît... Vous savez pourquoi vous êtes devenus des fantômes à votre mort ?
- Pourquoi ça sert à quelque chose d'autre que de s'emmerder chaque jour, râla Icare
- Il paraît qu'on devient fantôme car notre destin va au delà de notre mort et que l'on est nécessaire au bon déroulement du futur. J'aimerais bien savoir quelle sera votre utilité... Et sinon vous êtes là depuis combien de temps ?
- Ça fait plus de cinq ans qu'on a débarqué ici, enfermé dans ces tas de feuilles, et le lendemain de notre arrivée on est mort.
Nous avons chuté d'une île céleste appelée Olympe il y a cinq ans et sommes tombés dans ce labyrinthe. Tu peux d'ailleurs voir nos ailes. Nous aurions bien essayer de voler pour nous échapper, mais évanouie après notre chute, nous nous sommes fait tués dans notre sommeil. Au réveil nous étions des fantômes liés à cette tombe.
Un autre fantôme, sans aile cette fois, débarqua alors. Musclé, grand, beau, il avait toutes les caractéristiques d'un homme fort. Mais il paraissait très énervé en voyant Ow.
- Dédale ! Qu'est-ce qu'il fait là ? Pourquoi y-a-t'il un humain ici ?
- Je ne sais pas Thésée, il vient d'arriver.
- C'est grave pour lui, très grave... Elle arrive... Le monstre arrive... Le Minotaure vient de rentrer dans son labyrinthe.
Icare souffla et fit basculer le dessus de la tombe en appuyant sur un relief. On ne sait comment pour un fantôme, mais il le fit. La magie de la technologie.
Ow et Flam tombèrent alors dans la tombe. Dédale y rentra également.
- Maintenant pas de bruit, c'est dangereux. On ne sait même pas si ça va suffire.
- Quelqu'un peut m'expliquer ?
- La personne qui arrive est Ariane. Tout comme ses sœurs elle peut se transformer, elle possède le fruit du Minotaure, et manie de plus très bien la hache. L'autre fantôme que tu viens de voir s'appelle Thésée. Comme toi il est arrivé dans le labyrinthe, et en voulant s'amuser avec lui, elle l'a tué. Si elle te trouve toi aussi tu va habiter cette tombe.
Par secousse régulière, le sol se mit à trembler.
- Tu ressens ces vibrations ? C'est son pas lourd qui se diffuse dans le sol.
- Mais attends je peux pas rester là moi ! Je suis venu pour la battre, pas pour l'éviter. Qu'est-ce que vont penser les autres ?
La tête d'Icare rentra alors.
- Tu vas arrêter de râler, on se décarcasse pour toi et tu veux quand même aller te faire tuer. Après si tu veux rester toute ta vie ici à t'ennuyer à mort, on te libère. Sinon ferme là elle approche.
En effet, les pas s'intensifiaient.
Sur la tombe, Icare et Thésée virent arriver dans la salle la Minotaure. Une peau sombre, de grandes cornes blanches et pointus, une énorme hache au manche de pierre serti de pierres précieuses.
- Pourquoi moi j'ai pas de copain avec qui jouer ! Cria-t-elle en pleurs
- Ah oui petite précision : elle est très pleurnicheuse.

Dans la tombe, Ow posa, bras tendus, les mains sur les rebords de la cavité. Il bascula alors son corps entier et dégagea de ses pieds la couvercle en pierre. De la tête d'Ow, Flam sauta hors du trou.
Le musicien mit lui plus de temps à se hisser. Juste le temps de retrouver son ami cocker dans les bras de la Trompeuse.
- Oh, un copain, dit-elle les yeux pleins de larmes qu'elle essuyait sur les grandes oreilles de Flam. Tout doux, et tout mignon, ça faisait longtemps que je n'avais pas eu un si petit copain. Si joli si soyeux....
Elle avait repris forme humaine et avait lâchée sa hache devenue sans doute trop lourde pour ce petit bout de femme. Assez petite, de peau mat, les cheveux noir en carré, short court et débardeur. Une petite fille dans le corps d'une magnifique femme.
- Mais c'est qu'elle est jolie la jeune fille dis donc ! S'exclama Ow
- Un deuxième copain ! Snif... Je suis jolie qu'il me dit, c'est un copain !!
Et elle se moucha dans les poils roux de Flam.
Celui-ci ayant marre de se faire emmorver plaqua violemment ses deux oreilles sur les joues de la femme, tourna au-dessus de sa tête, puis passa sous ses jambes pour rejoindre Ow.
- Mon copain m'a frappé... moi Ariane...T'es plus mon copain ! Elle repartit dans une crise de pleurs.
Son corps grandit alors, grandit, grandit beaucoup. Ses cornes poussèrent, des taches blanches de vaches apparurent, son nez se transforma. Elle prit sa hache et la posa sur son épaule : le Minotaure était de retour. Le seul moment où elle ne pleurait pas.

Dans la tombe, Icare et Thésée avaient rejoins Dédale qui s’apitoyait.
- Des fous ces jeunes, complétement fous... dit le père.
- On reste là nous, ils avaient qu'à pas remonter les imbéciles, grogna le fils
- Je vais voir ce qui se passe, je crois qu'elle s'est transformée, annonça Thésée.
En fait, ils montèrent tout les trois.

Voyant son adversaire s'énerver, Ow prit sa flûte et lança son sac à Flam qui en sortit une petite guitare adapté au chien. Il s'adossa au reste de pierre tombale, une oreille prête à jouer les notes, l'autre à jouer les cordes.

Le minotaure couru vers lui hache en avant. Thésée sortit de la tombe. Ariane leva sa hache. Le père et le fils sortirent de la tombe. Ariane abattit sa hache sur Ow. Ow se décala, sauta sur la hache qui s’abaissait et qui s'enfonça dans le sol.
- Morceau 8 première version – Thriller. Désolé pour toi ma jolie !
Il poussa sur ses jambes, fit un salto arrière et retomba devant la hache, les fantômes alignés derrière lui.

De ses oreilles agiles, Flam jouait les cordes une à une.
D'un souffle tranquille, Ow fit entendre les premières notes de sa flûte de pan, des notes très lourdes et pesantes, un brin terrifiant.
Il s'était alors retourné, dos au monstre. Il sentit cependant l'immense bovidé humanoïde forcer sur la lourde hache pour la défaire du sol.

It's close to midnight and something evil's lurking in the dark
Under the moonlight you see a sight that almost stops your heart
You try to scream but terror takes the sound befor you make it
You start to freeze as horror looks you right between the eyes,


Ariane lâcha sa hache et passe de sa forme de minotaure à celle d'une grosse vache musclé au possible. Elle grattait de ses sabots les feuilles, et chargea vers Ow, toujours de dos.
Celui ci la sentant approcher, sauta à pied joint et attrapa dans un parfait timing à pleines mains les deux imposantes cornes. Il s'appuya de ses bras pour atterrir violemment à pied joint sur le dos de la bête qui s'écrasa.

You're paralyzed
'Cause this is thriller, thriller night
And no one's gonna save you from the beast about to strike


Le blondinet aux allures de cow-boy enchaina par quelques pas de danse, glissant sur la peau lisse de l'animal. Cela amusait bien les fantômes qui s'étaient pris au jeu et avaient commencé à danser, même si avec moins de classe. Flam mettait également de plus en plus de cœur à jouer en voyant son ami s'amuser ainsi.

You know it's thriller, thriller night
You'r fighting for your life inside a killer, thriller tonight


Le bovidé éternua alors, faisant voler les feuilles, puis s'ébroua de la tête. Les grosses pattes se transformèrent en bras et jambes, et une grosse main agrippa Ow, stoppant son délire. Le Minotaure était de retour et se releva.
La musique s'était alors arrêté. Flam accrocha précipitamment la guitare sur son dos, et courut de plus en plus vite, se transformant peu à peu en cheval.
A grande vitesse, il sauta de ses jambes musclés, repris sa forme canine en l'air pour aller plus vite, et percuta de plein fouet le bras de la main contenant Ow. Il frappa de ses sabots de la forme mi-canine, mi équine : un petit cheval roux aux grandes oreilles, qui lui permirent de retomber en planant.
Ariane gémit d'un cri peu féminin.
Le coup de Flam avait également entraîner sous le choc la libération de Ow, qui retomba en faisant une roulage magistrale.
Il repris sa flûte en main, Flam se reposa dans un coin et pris la guitare. La musique recommença.

You hear the door slam and realize there's nowhere left to run
You feel the cold hand and wonder if you'll ever see the sun
You close your eyes and hope that this is just imagination


La femme avait repris forme humaine, et courait vers le musicien. Lui emballé par sa musique, avait fermé les yeux comme lui disaient les paroles.
Ariane sauta alors vers lui, et une fois au-dessus, se transforma en sa forme semi-humaine pour l'écraser de tout son poids.
Cette voix ci, Flam de bougeait guère : on entendait encore sa voix.

But all the while you hear the creature creepin'up behind
You're out of time


Il reparut alors bras tendu face à la terre, ses jambes éjectant la bestiole.
Décidément, Ow aimait bien se tenir sur les mains, un vrai gymnaste.

'Cause this is thriller, thriller night
There ain't no second chance against the thing with forty eyes
You know it's thriller, thriller night
You're fighting to survive inside a killer, thriller tonight


Ow s'était remit sur ses pieds, et marcha tranquillement vers Flam.
- C'est fini ? Demanda Thésée.
- D'où nous venons, il existe de nombreuses personnes très puissantes. Et cet homme l'est aussi.
- Il a eu de la chance c'est tout.
- N'oublions pas qu'elle est une des Trompeuses... Elle porte bien leur nom !
Le corps de l'animal retomba lourdement sur le sol faisant voler les feuilles dans le dos de Ow.
Le musicien se baissa pour caresser la petite boule de poil rousse guitariste.
- Tu t'améliores de plus en plus dis donc !
Flam recula alors brusquement, montrant les crocs, les poils hérissés.
Ow, sachant la totale confiance, presque fraternel, qui régnait entre eux deux, se retourna, et vit le minotaure abattre sa hache géante.

Il y eut un sursaut terrible chez les fantômes en entendant le choc de la hache sur le sol à l'endroit où se trouvait Ow.
- Oh misère, pauvre de lui, déplora Dédale
- Il aurait mieux fait de nous croire quand on parlait qu'il allait se faire rétamer, l'imbécile !
- Viendra-t-il nous rejoindre en fantôme ?
- Oh là, m'enterrer pas trop vite !
A côté de la hache se tenait fièrement Ow, Flam dans ses bras.

Les fantômes soupirèrent.
Ariane retira sa hache du sol et l'abattit sur le musicien
Les fantômes crièrent
Ow fit une roulade sur le côté.
Les fantômes soupirèrent.
Ariane repris sa hache et fit un coup latéral.
Les fantômes crièrent.
Un gros fracas se fit retentir
Ow sauta au-dessus de la hache.
Un homme cria.
Les fantômes soupirèrent.
Un crâne de chien leur tomba dessus.
Reddo tomba sur Ow.
Perséphone sous sa forme humaine tomba sur le minotaure.
Reddo cria de terreur en s'étant étalé sur Ow par sa chute.
Un autre gros fracas remplaça le cri.
Le sol s'ouvrit
Ow, Flam, Reddo, Ariane, Perséphone et le crâne de canidé tombèrent dans une salle au dessous.
Les fantômes et leur incroyable capacité de lévitation restèrent seul dans le labyrinthe.
- Hmmm... Quelqu'un peut il m'expliquer ce qu'il vient de se passer ?

Voilà voilà ! Si vous avez des questions, plus ou moins importantes, des question quoi, n'hésitez pas !

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il a transformé l'or en grenadine."


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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Dim 20 Nov 2011 22:55 
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Voilà je vais enfin finir cette série de combat avec celui de notre cher capitaine, combat assez court vous me direz, mais j'aime bien les attaques que j'ai mis.
Bonne lecture !

Chapitre 24 : La foudre s'abat dans les catacombes.

White, toujours littéralement noir de colère, ne s'était pas préoccupé des choix de ses compagnons et était directement descendu sous le château.
En bas de l'escalier il trouva lui aussi une porte. Une porte en vieille pierre avec du lierre ça et là, avec une serrure mais pas de poignée.
Ne cherchant pas à comment savoir pour l'ouvrir normalement, il sortit son parapluie et donna un coup de reject dial dans la porte qui vola en morceaux. White repris sa course.
Un long couloir s'ouvrait devant lui, assez sombre, seulement éclairé par quelques bougies allumées dans des petits espaces creusés pour les recevoir. Les murs étaient tapissés de gravures plus ou moins compréhensible et net à cause de certaines fissures ou mousses. Mais le capitaine ne s'en préoccupait pas.

La seule chose qui occupait ses pensées était de sauver Marine. Depuis qu'il connaissait la jeune femme, il s'était attaché à elle et lui permettait de ne pas tomber dans la mélancolie de son île céleste, de ses parents et amis. Était-ce parce qu'ils renfermaient tout deux une histoire triste ? Dans tout les cas, il aimait être à ces côtés depuis qu'elle s'est posé sur son piètre navire.
Il ne pensait même pas à comment la libérer de sa corps de pierre : avant il fallait la reprendre des mains de Méduse.

Il arriva alors au bout du tunnel qui débouchait sur une salle circulaire en pierre grise. Les murs étaient à des endroits percés où se trouvait des statues. Des statues de femmes ou d'hommes au regard terrifié et paniqué. L'un d'elle était évidemment celle de Marine, toujours assise, le poing toujours en l'air près à frapper. White s'apaisa d'un seul coup, ses cheveux et ses yeux reprenant peu à peu leur teinte blanche.
Il s'approcha à petit pas d'elle, bras tendu, près à la toucher. Mais alors qu'il allait rentrer dans le petite renfoncement du mur, des piliers de pierre tombèrent et bouchèrent l'accès à Marine.

- Non non, on ne touche pas, elle fait partie de ma collection désormais.
A cette parole, White se retourna, ses cheveux reprenant une couleur noire.
Il vit alors de plus près cette femme aux cheveux reptiliens : Méduse.
Longue robe noir, lunettes aux verres teintés, chevelure mouvante : un petit élevage de serpent verts et affamés vivait sur sa tête.
Le jeune homme se jeta sur elle poing en avant. Elle, enleva tranquillement ses lunettes pour que son regard croise celui de White et ainsi le pétrifier.
Elle le fixa autant qu'elle le put, mais se prit le coup du capitaine en pleine tête.
- C'est pas demain la veille que tu transformeras un nuage en pierre !

La main plaquée sur la joue à cause du coup, Méduse était affolée :
- Comment ! Comment un stupide mâle, un mâle, peut contre-carrer mon fruit du démon et ma pétrification ?
- Les hommes aussi ont le droit de manger un fruit du démon. Le mien me dope bien sous la colère : m'énerver comme tu l'as fait on t'en prenant à mes compagnons reviens à combattre un orage. La foudre est impossible à éviter.
La capitaine des trompeuses s'énervait de ne pas avoir l'emprise qu'elle espérait sur son adversaire. Peut être qu'en fin de compte elle en avait peur ? Non c'était impensable pour une féministe comme elle. Elle pouvait battre cet homme malgré tout les beaux discours qu'il pouvait faire.
Elle prit sa forme animale.

Elle devint un long serpent aux écailles vertes, au regard vide, aux gros crochets probablement venimeux, et à la langue pointue sifflante.
Gueule ouverte, elle se jeta sur le jeune homme.
Il ricana : elle passa à travers lui à cause de son logia. Cependant il rigola moins par la suite.

A peine l'avoir traversé, Méduse s'était retournée, repris forme humaine, et agrippa White au cou, le menaçant avec ses cheveux serpentins. Elle avait anticipé les effets du logia.
- Alors on est moins fier désormais. Il serait peut être temps d'avouer votre faiblesse vous les hommes. Vous êtes des êtres horribles, abjects, vous empoissonnez les femmes de vos idées, de votre manière de pensée et de concevoir le monde. Je me souviens très bien d'une femme, une femme dont la conduite a été dirigée par les hommes, morte pour sauver deux petits mâles, et c'est bien fait. Vous les hommes et toutes celles qui vous écoute ne méritent que ça. Notre mère nous a détruit l'existence en écoutant notre père : elle était faible. Cette femme est morte pour sauver deux petits hommes : elle était faible. Et à la fin cette faiblesse rend faible toutes les femmes et nous dénigre. Regarde !
Elle tendit sous le nez de White sa main gauche gantée. De son autre main, elle retira le gant, laissant apparaître un moignon.
- Regarde ! C'est cette femme qui s'est sacrifié pour les hommes qui m'a affaibli aussi en m’ôtant ma main. Sa mort n'est que la conséquence de sa faiblesse et c'est tant mieux.

White était dégouté par cette femme. Tout au long de son discours féministe et fou, il tendit le bras comme il put pour saisir son parapluie.
Il arriva enfin à saisir le manche.
Et les personnes comme ça, tout comme les hommes je les hais.
- Section n°5 : Flash-dial.

La flash lumineux aveugla Méduse le temps pour qu'il se dégage de son emprise et s'écarte d'elle.
A quelques mètres d'écart, ils étaient face à face.
Des ouvertures apparurent alors dans le bas des murs laissant entrer de l'eau dans la pièce. Fruit du démon contre fruit du démon, il fallait désormais battre l'autre avant de se faire engloutir.
White dit alors :
- Tu m'agaces vraiment toi. Tu critiques les autres femmes comme étant faible, et tu t'en prends à notre amie, une femme forte. C'est que tu as peur. Toi tu es faible. Moi je vais te battre.
Il sortit alors de sa poche un dial qu'il enfonça dans sa poitrine.
Ses cheveux toujours sombres hérissèrent, crépitèrent. De petites lumières brèves apparaissaient à ça et là. Il s'était implanté un fulguro-dial, le dial électrique : voici un nuage orageux.
Ils avaient de l'eau aux pieds.

Méduse, elle, sortit de sous sa robe un long bâton d'ébène, près à se défendre.
White, lui, dégaina son parapluie et donna un coup sec en direction de son ennemie.
Le flux électrique qui parcourait son corps passa de sa main au manche du parapluie, le traversa et ressortit en un éclair à sa pointe.
Elle réussit à l'arrêter avec son bâton et ses réflexes : elle avait bien compris qu'à la première décharge, c'était fini.
Tel un magicien et sa baguette, White en envoya plusieurs autres, mais aucun n'atteignit sa cible qui a force se jeta directement sur lui.
Ils avaient de l'eau aux genoux

Avec son arme de bois, Méduse tenta de désarmer le capitaine de son parapluie. Elle frappa le bras, la main, mais difficile de faire mal à un logia. Elle donna alors des coups secs sur le parapluie pour le casser.
- Section n°6 : Frizo-dial.
Il gela le bâton qu'il brisa facilement d'un coup.
- Casser mon parapluie serait une erreur que rien ne pourrait te pardonner.
Ils avaient de l'eau aux cuisses, leurs forces commençaient à vraiment diminuer.

Méduse se recula alors, tétanisé. Comme il était maintenant, elle ne pouvait rien faire.
Il se lança sur lui : même si elle passait à travers lui, elle pouvait prendre cet étrange coquillage qu'il s'était implanté.
Elle s'accrocha à lui, folle, près à tout pour lui enlever le dial.
Il l'a dégagea d'un coup de coude.
Ils avaient de l'eau au nombril, lever un bras devenait difficile.

C'est alors qu'une lumière parvient du plafond : celui-ci s'ouvrait dans un ignoble bruit. Et des personnes tombaient en chute libre.
Au dessus de White tombait Ariane le Minotaure et Perséphone le Cerbère, ainsi qu'un crâne de chien. De la même façon tombait au dessus de Méduse Ow, Reddo et Flam.
Ils avaient de l'eau jusque sous les épaules

White leva le bras et donna un coup en l'air.
Méduse paniqua.
- Thunder cloud : ligthning flash !
Le dial se vida complétement de toute son énergie, comme White qui tomba dans l'eau.
Une partie se répandit dans l'eau autour de White, jusqu'à électrocuter Méduse tomba à la renverse.
La seconde partit en flèche vers les deux autres ennemies qui furent foudroyer à tel point qu'on pouvait voir leurs os. Les deux corps tombèrent à côté de celui de White.

Paniqué, Reddo tomba la tête la première pour repêcher son capitaine.
- Eh bien dis donc, ça c'est ce qu'on appelle un coup de foudre, dit Ow. Il a bien dut craquer pour elles !

Ils sortirent alors à l'extérieur une demi-heure plus tard. Reddo portait White encore inconscient, Ow avec Flam sur son épaule portait la statue de Marine. Le soleil s'était couché et il faisait désormais nuit.
Ils retrouvèrent dans l’arène, vide cette fois-ci, Atris et Ciel, chancelant l'un sur l'autre.
Les cinq garçons, le chien et Marine pétrifiée traversèrent dans l'autre sens qu'à l'allée la forêt, et s'engagèrent sur le pont.
- Bien il ne reste plus qu'à trouver comment libérer Marine de ce maléfice, annonce finalement Atris.

Oui c'est bien plus court que le combat de Ow... Enfin bon on va faire avec ! Si vous avez des questions, n'hésitez pas !
Maintenant cette série de combat terminé, c'est parti pour l'aventure ! Je crois que cet arc va se finir dans deux ou trois chapitres, je vais voir, je ne sais pas comment faire le découpage. Soit deux longs, soit deux petits et un long.

A bientôt !

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Sam 31 Déc 2011 14:59 
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Je ne sais pas si quelqu'un lit encore ma fiction, mais tant pis !
Bref, j'ai décidé de découper la fin de cet arc en trois chapitres, dont voici le premier. Il s'y passe pas mal de chose je dois dire, j'attendais de faire cette fin d'arc, c'est un gros bouquet final !
Sans plus attendre, bonne lecture !

Chapitre 25 : Les secrets de Préciosita

Après une courte nuit, le soleil réapparaissait sur l'archipel Préciosita.
Sur Rubia, les hommes fiers de leur victoire sur les cayanes pensaient les dernières blessures de leurs combattants, pleuraient d'autres tombés durant la bataille. Certains se lamentaient sur la destruction de leur maison, d'autres faisaient la fête dans la leur.
Sur Péridot, les femmes guerrières rentraient chez elle abattues et découvraient les corps meurtries de leurs capitaines Trompeuses. Dans le labyrinthe Dédale, Icare et Thésée disparaissaient du vrai monde se disant qu'ils s'étaient transformés en fantôme pour assister à cette victoire.
Enfin sur Topya, dans le château glacé, l'équipage, Ow, Flam et Ciel se réveillèrent rapidement malgré la fatigue pour trouver au plus vite un antidote à la pétrification.

Reddo portant Marine, le musicien, l'hybride, le chien, l'écrivain et le capitaine suivaient à grand pas un élégant mush labrador aux petites lunettes, smoking, cravate, calepin sous le bras.
Le roi avait mandaté son propre conseiller Enjo pour aider les ''sauveurs de l'archipel'' dans leurs recherches.
Au bout du long couloir qu'ils traversaient se trouvait une grande porte en bois sculpté finement. Des gardes positionnés là l'ouvrirent alors découvrant la plus grande salle du château : la bibliothèque. A partir de l'allée centrale partait une vingtaine de rangée d'étagères de chaque côté, des étagères garnies de livre jusqu'au haut plafond atteignable seulement grâce aux échelles.
Cette allée centrale était également divisée en deux en son milieu laissant un espace favorable aux études et à la lecture avec ses tables larges, ses fauteuils moelleux, ses lampes douces. Reddo posa Marine délicatement sur l'un d'eux

Atris avait des étoiles dans les yeux, excité comme un fou. Il passait d'une allée à une autre, balayant les ouvrages du regard, ayant envie de tous les lire. Pour un écrivain, le plus grand plaisir n'est pas d'écrire mais de lire des œuvres pour ensuite mieux écrire. Une aussi immense bibliothèque ne peut alors être qu'un paradis. Enjo lui montra alors un immense volume posé sur une table en marbre : c'était le registre, répertoriant tout les livres de la pièce.
Avant de partir, il dit quelques recommandations à Atris, qui semblait bien le plus apte à la recherche :
- Tous nos livres sont à votre entière disposition. N'hésitez pas à m’appeler si besoin d'aide. Et ne perdez pas de temps à ranger les livres, poser les sur une table, on viendra les repositionner.
Puis il sortit.

L'écrivain se tourna vers les autres qui attendaient avachis sur des fauteuils.
- Bien, ne perdons pas de temps. Ow, White et Flam, vous vous chargerez des livre portant sur la botanique et la médecine. Reddo, trouves une encyclopédie sur les fruits du démon, il doit bien en avoir une, peut être y trouverons nous une information sur le fruit de Méduse. De mon côté avec Ciel, nous nous occuperons du rayon sur les mythes et légendes. La vie de Marine est entre nos mains, n'hésitez pas à noter des informations vous paraissant utiles. Que la recherche commence.
Il leur tendit à chacun des carnets et des stylos, puis parti, guidé par Ciel, en direction du rayon des mythes et légendes.

Celui-ci était bien rempli. A peine rentré, Atris attrapa certains livres, en montra d'autre à Ciel qui monta à l'échelle les attraper. Ils furent rapidement les bras pleins de bouquins.
- Que comptes tu trouver ? Demanda Ciel.
- La pétrification est quelque chose d'assez magique et de surnaturel, il doit bien y avoir une légende d'une île de ce monde parlant de personnes transformées en pierre. Avec toutes ces histoires sur Grand Line, c'est obligé ! On va d'abord feuilleter ceux qui parlent de l'archipel qui à l'air de cacher bien de secret... Je t'ai pris avec moi pour ça, tu dois en connaître bien des choses.

Reddo était bien perdu : trouver un ouvrage assez spécifique dans cette aussi grande bibliothèque n'était pas une mince affaire. Il parcourait rapidement les rayonnages, s'arrêtant quelques instant à celui sur la cuisine où il piqua quelques livres, puis reparti.
En réalité, trouver ce livre lui serait utile pour son mystère des épées maudites. Son grand rêve était bien sûr de percer le secret de Gurumé et ses sœurs. Savoir si elles tiraient leur pouvoir d'un fruit du démon ou non était une première étape. Des objets au fruit paramécia seraient extraordinaires. Et sinon, leur pouvoir est alors tiré d'une source encore inconnu : il pourrait alors peut être ramener sa famille à la vie grâce à leur sang contenu dans l'épée.
A force de zigzaguer dans les rayons, il alla voir directement le registre.

White, Ow et Flam n'avaient jamais été aussi sérieux et méthodiques. Ow et White s'étaient répartis une échelle que Flam sous sa forme équestre faisait avancer petit à petit. Dès que l'un d'eux trouvait un livre intéressant, il le jetait dans le grand panier posé sur le dos du cheval. Ils balayèrent ainsi en un rien de temps le rayons sur la botanique et celui sur la médecine.
Au final, ils furent les premiers de retour à la zone de lecture, où ils s'installèrent.
Ow feuilletait un immense volume sur les plantes magiques, tandis que White tournait rapidement les pages d'un livre sur les décoctions. Faire ce travail très sérieux l'amusait beaucoup.
- J'aime bien la botanique et la science. Quand j'étais enfant, j'ai croisé sur mon île des pirates botanistes, ce sont d'ailleurs eux qui ont en parti fait de moi un pirate.

Atris et Ciel étaient eux aussi de retour les bras chargés, suivit de Reddo qui avait enfin trouvé son livre, un vieux livre aux pages jaunies, à la vieille couverture dorée à la feuille dore et aux fins marques pages en soie : un livre rare de collection.
Chacun s'installa à une table. Ciel ouvrit un livre sur les étranges transformations sur Grand Line, Atris sur les dessous de Préciosita.
Au bout d'une heure de recherche intensive, des choses émergeaient. Un premier compte rendu commun fut fait.

Ow, le carnet déjà à moitié rempli de gribouillis et de notes, l'ouvrit à une certaine page et lu à haute voix claire :
- « La Mandragore ou Mandragora officinarum est une espèce de plante herbacée vivace aux propriétés hallucinogènes et à des sois-disantes vertus magiques extra-ordinaires pouvant presque réveiller les statues voir les morts », dit-il en détachant bien les dernières syllabes.
En trouver peut être difficile et les effets ne sont pas certains, mais c'est une piste.
Reddo continua lui en lisant un passage de l'encyclopédie des fruits démoniaques :
- « De nombreux fruit de tout type possèdent le pouvoir de transformer quiconque en pierre. Selon le fruit, ces effets peuvent être irréversible, enlever par le souhait de celui ayant mangé le fruit voir par un agent extérieur. »
On n'a pas vérifié de l’état de Méduse à la fin du combat, peut être était elle tout simplement évanoui. Il faudrait que quelqu'un retourne sur Péridot pour voir, le roi peut peut être envoyé une délégation, les cayanes doivent bien s'avouer vaincues. Par contre je n'ai rien trouvé sur un fruit sanguin....
Atris finit enfin, l'esprit tourmenté.
- Ciel m'a confirmé qu'il n'existait que trois îles sur Préciosita : Rubia, Péridot et Topya. Il faut moi aussi que j'aille voir le roi, j'ai quelques questions à lui poser sur cet archipel.

C'est ainsi que les cinq hommes, le chien et la statue se dirigèrent vers la salle du trône. Ils la trouvèrent pleine, et la scène qui s'y déroulait les étonna beaucoup. Devant les trônes du roi Conrad et de la reine Elena étaient agenouillés des dizaines de femmes cayanes. Une d'elle était en avant et parlait au roi.
- Nos dirigeantes et protectrices viennent d'être éliminé, nous toutes venant au nom de notre peuple cayane, vous implorent votre protection, nous reconnaissons votre force, mush. Que la paix tombe enfin sur cette archipel, la défaite des Trompeuses nous a ouvert les yeux : c'est un mal pour un bien, pour un avenir meilleur pour Préciosita.
Le roi se leva alors, comme tout les yeux des cayanes agenouillées qui le suivaient du regard.
- Allez d'abord voir chez les hommes, ce sont eux qui ont le plus souffert et mérite le plus ces mots. Pour que l'archipel de Preciosita retrouve son unification comme elle avait avant l'arrivée des Trompeuses !
Les cayanes étaient émues de ce geste et de cet annonce que leur offrait le souverain. Elles se levèrent à l'unisson, et le saluèrent unanimement avant de s'en aller en direction de Rubia.
Reddo avait ainsi la réponse à sa question : Méduse ne pourrait pas sauver Marine. Espérons que les recherches des autres aboutiront.

Une fois la salle vidée, le groupe s'approcha de Conrad qui les salua amicalement
- Bonjour vous tous, comment allez vous ? Vos recherches avancent-elles ? Quel triste sort qu'à subi votre jeune amie...
- En parlant de recherches, en feuilletant un livre sur l'histoire de la région, j'ai eu quelques appréhension. Comme tout le monde le sait Préciosita est un archipel composé de trois îles reliées par des ponts. Hors dans les livres on ne parle pas d'archipel ni d'île mais de royaumes. De plus, il n'y a pas trois royaumes, mais quatre. Qu'est-ce que ce royaume d'Anhydritia ?
A ces mots, tous furent interloqués. Atris remarqua des gouttes de sueur sur la tempe de la reine. Le roi lui était pensif.
- Anhydritia, anhydritia... Si je me souviens bien, c'est une vieille légende perdu. Ce nom ne m'est pas inconnu... Un endroit de lègende, mais où peut-il se situer ? Existe-t-il encore ?...
Tout à coup Ciel sursauta : un éclair de génie lui était parvenu.
- Je sais ! Si à l'époque où cette région existait il n'y avait pas d'archipel, c'est-à-dire que les îles étaient reliées, et donc les îles étaient bien des royaumes. Le seul endroit où elle devait se trouver est donc
- Mais oui bien sûr, lança Atris, au centre de l'archipel entre les trois îles à la place de la mer.
- Sauf que maintenant il n'y a plus rien d'autre que de l'eau, et que l'île n'a pas pu sortir de la zone, l'espace entre les îles étant trop étroit, continua Ciel
White qui s'excitait au fur et à mesure de la conversation eut lui aussi un éclaire de génie
- Elle a été englouti, il faudra plongé ! En route pour Anhydritia la cité sous les flots !
Pour finir, Ow prit la parole
- Nous n'aurons pas le temps d'aller jusqu'à la mer et de plonger d'ici ce soir, il serait mieux de partir demain à l'aube. Et ça nous laisse du temps pour rassembler du matériel.
- Faites une liste de ce qu'il vous faut, mes intendants se chargeront de les rassembler d'ici demain matin.
Et c'est donc dans cette euphorie que se dispersa le groupe ainsi que le roi, laissant la reine Elena effondré dans son fauteuil.
Ils passèrent ainsi le reste de la journée aux préparatifs.

Dans la cour centrale du château, il faisait désormais nuit noir. Un grand repas venait de se terminer en l'honneur des pirates, rassemblant des mushs, des hommes et des cayanes. L'avenir de Préciosita était tracé.
Alors qu'en cette heure tardive chacun regagnait sa chambre, une silhouette se faufila dans la cour, gagna l'île du centre du lac, ouvrit la tombe de la mère d'Ow et Ciel pour y rentrer.

A l'aube, les cinq hommes et le chien étaient sur le pied de guerre, même si White trainait un peu du pied. Ils avaient laissé la statue de Marine en bonne garde, et purent tranquillement se dirigé vers la mer centrale à bord d'un traineau tiré par Flam sous forme équine, un autre était relié par une corde et contenait l'équipement.
Quelques heures plus tard, ils furent arrivés à destinations. Sans perdre de temps, ils s'équipèrent. Chacun possédait une combinaison de plongée plus que rustique. Les mushs n'étant pas un peuple lié à la mer, la navigation, la pêche n'étaient pas commun, et donc la plongée était une activité rare. Les équipements furent donc construit avec les moyens du bord.
Pour White qui ne devait pas rentrer en contact avec l'eau à cause de son fruit du démon, il y avait deux tonneaux de bois racolés bout à bout. Une corde y était solidement fixé pour être tracté.
Pour Reddo, Atris, Ow et Ciel, il n'y avait qu'un seul tonneau pour la tête afin qu'ils puissent respirer. Enfin, un petit tonneau pour Flam qui avait largement la place de rentrer.
Chacun d'eux avait une visière, c'est toujours plus pratique de voir.
C'est ainsi habillé qu'ils plongèrent, Flam sous le bras de Ow, White tiré par Reddo et Ciel.

La mer était assez sombre, mais au bout d'un kilomètre de descente, un point lumineux apparu. Puis un autre : le fond de la mer était éclairé par des torches. Au bout de deux kilomètres on apercevait des bâtiments de pierres. L'endroit semblait habité.
Et soudain, ils ne furent plus dans la mer mais chutèrent droit vers le sol : une bulle d'air entouré la cité engloutie.
Après être atterri plus ou moins violemment en pleine rue, détruisant au passage les combinaisons en bois.
Les aventuriers étaient émerveillés par cette cité sous-marine : Anhydritia existait bien, englouti depuis des siècles, et semblait habitée.

Dans une rue adjacente, une silhouette passa rapidement, ils se mirent à la poursuivre. Ils zigzaguèrent dans les rues entre les maisons, interpellant la personne pour qu'elle s'arrête.
Ils la suivirent jusqu'à un grand temple, une battisse majestueuse et immense. Elle y entra, suivit du groupe.
L'intérieur ne comportait qu'une grande salle, avec au fond une statue sur laquelle était accoudé la personne.

La statue de la mère d'Ow et Ciel, et la reine Elena.



Ca vous en bouche un coin non ? J'ai laissé des indices tout le long du chapitre, donc c'était facile de deviner ^^
Si vous avez des questions, n'hésitez pas ! A plush !

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"L'inventeur du champagne rosé a réussi le contraire de la quête des alchimistes :
il a transformé l'or en grenadine."


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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Lun 16 Jan 2012 22:05 
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Localisation: In Wonderland ~
Petit passage entre deux chapitres (même si le suivant n'est pas commencé), pour fêter les 1 an de ma fiction, que j'adore toujours autant même si j'aimerais pouvoir l'écrire un peu plus vite pour vous faire découvrir (si quelqu'un lit encore) les idées qui ont germées dans ma tête pour la suite comme par exemple la finalisation du rêve de Marine, le reste de l'équipage encore inconnu (je ne vais pas m'arrêter là), de nouvelles îles, mystères, aventures, ennemis, fruits du démon ou je ne sais quoi d'autres qui font que j'aime ma fiction où je met toute mon imagination.

Bref, bon anniversaire !

PS : c'est beau de mettre son 750 ème message pour cette occasion !

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Dim 22 Jan 2012 21:18 
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Inscription: 23 Mar 2011
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Initialement venu ici pour poster mon prochain chapitre, que je posterais plus tard finalement, j'ai décidé de lire quelques petits chapitres: les crazy pirates? Pas de nouveau. Celle de phénix? Il écrit son roman. Celle de sanji21? Bonne idée!

Donc me voilà à rattraper mes 4 chapitres que j'avais en retard. Bon déjà un petit coup de geule: Arianne est l'héroïne de ma fic èé!!!!
Bon sinon les chapitres se suivent bien, c'est drôle plaisant, on passe un bon moment et même si des endroits sont un peu maladroits l'histoire est bien compréhensible (enfin pas tout les combats pour moi mais c'est moi XD). J'ai bien aimé l'histoire de l'eau pour white et méduse et les enchevêtrement de combats les uns entre les autres (j'ai fait beaucoup ça dans mon dernier arc). Et j'ai bien aimé le dernier chapitre, bon je devait être bien à l'ouest parce que javais pas trouvé la chute finale mais c'était d'autant plus classe du coup ^^.
Bon après moi aussi personne lit ma fic ^^ alors si un jour t'as le temps XD

Ba voilà voilà, j'ai hâte de manquer plein de chapitres pour les lire d'un coup XD

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Ven 10 Fév 2012 20:10 
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Messages: 66
Wahooo!! C'était long! Mais j'ai tout lu :Luffy hilare:
Et franchement, Chapeau!
Tu retranscris vraiment l'esprit onepiecien sans faire de plagia, et c'est joliment fait!
Je trouve que le combat d'Atris contre Earl a été le plus réussis, avec le mot LAME.
C'était vraiment bien trouvé!!
J'ai trouvé une image qui me semble bien convenir pour Reddo, un perso que j'apprécie beaucoup:
http://51.img.v4.skyrock.net/514/xsmiil ... jipejC.jpg (le musclé sur la rangée du haut, mais vous changez sa coiffure ^^ ).
Pour Atris : http://omploader.org/vNDJiMA/119.PNG
Pour White : http://2.bp.blogspot.com/-hCe-DL8W3ug/T ... n_axel.JPG (un petit mélange? ^^ )
Pour Marine : http://www.renders-graphiques.fr/image/ ... _Lee-1.png

Ressemblent-ils à ça dans ton esprit? :Zoro nargueur:
Merci !!

_________________
"Le plaisir
...peut s'appuyer sur l'illusion.
Mais le bonheur....
....repose uniquement....
...sur la réalité..."


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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Mer 2 Mai 2012 16:53 
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Inscription: 02 Mar 2012
Messages: 28
Localisation: Derrière toi.... BOUH !!
Une très bonne fic, avec de bons combats et des bonnes références notamment le moment des trompeuse (Polypheme et ces mouton; la labyrhinthe du minotaure: Ariane, Thesée, Dedale, Icare; Medusse la gorgones...)
Sans oublier les personnages "haut en couleur"

J'adore!!!!!! :Sanji amoureu:

et vivement la suite...

Edit: je sais pas si c'est normal mais tu as mis 2 fois le même chapitre...

_________________
Personne ne prêche mieux que la fourmi, et elle ne parle pas. »
Benjamin Franklin

« La taille ne fait pas tout. La baleine est en voie d’extinction alors que la fourmi se porte bien. »
Bill Vaughan

« Une armée de fourmis peut triompher d’un serpent venimeux. »
Vient de chine

« Les rois peuvent voir tomber leur palais, les fourmis auront toujours leur demeure. »
Eugénie de Guérin

Bref.
J'aime les fourmis...


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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Dim 6 Mai 2012 16:30 
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Inscription: 05 Mai 2012
Messages: 90
Ouf! J'ai enfin fini de lire ta fic Shanji21.
Je la trouve super. Tien, pour la peine, je te dédie mon premier post, mis à part celui de la présentation à la taverne obligatoire.
Au début j'ai cru que le pouvoir de White était une copie de celui de Smoker. Mais en fais pas du tout. Il est même très bien trouvé.
Sinon, dans le chapitre 24 : "La foudre s'abat dans les catacombes", comment Méduse peut elle agripper White au cou alors qu'il a les pouvoirs d'un logia?
Et puis même question que Nike D. Nico: Pourquoi a tu mis deux fois le chapitre 25? Une erreur j'imagine.

Bon bah je n'est plus qu'une chose à dire: A quand la suite?

Edit: A oui, autre question: les scaphandres sont ils de Ussop? :Luffy hilare:

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 Sujet du message: Re: [Fanfic] : Le descendant des nuages
MessagePosté: Mar 19 Juin 2012 13:40 
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Inscription: 30 Mar 2012
Messages: 39
Localisation: Vers l'infini, et au delà !
Je viens de finir ta fic, et je la trouve très bien . Le seul ik est que tes combats sont bien trop cour . Mais les perso sont bien trouvé et l aventure est bien construite Donc bonne fan fiction !

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Requiescat in pace
-Gomu Gomu No .. -Eh, Mugiwara ? Si tu veux tu peux faire parti de mon équipage. Grizzly Magnum !!!!!
Je peux voir l'ombre de la mort planer sur toi. [color=#FF00FF]Roi Céleste Coco[/color]
Ce jeu, c'est un peu comme mètre de la chantilly sur de la merde : ce sera présentable, mais ça sera toujours indigeste. De... devine !


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