Vou savez quoi ? Ca fait plus de trois semaines que je n'ai pas posté de chapitre
.
La raison : mon chapitre 16 (que j'avais parfaitement en tête) ne ressemble à rine une fois écrit. J'espère qu'il vous satisfera quand même après cette longue attente.
Mais avant ça les questions :
- Pour les Mush, tout sera, ou presque, dévoilé au prochain chapitre. Et non je ne connais pas Lanfeust des étoiles.
- Oui en effet les habitantes de Péridot on des points communs avec celles D'amazon Lily, sauf qu'à part les 5 dirigeantes, ce ne sont pas des combattantes.
- ON ARRETE TOUT DE SUITE D'APPELER CIEL L'HOMME HERISSON !
Bonne lecture !
Chapitre 16 : La traversée du désert ! - Salut et bienvenue sur notre île! Moi je m'appelle Ciel.
- Sympa ton combat ! Tu as un fruit du démon n'est-ce pas, un zoan comme moi je pense (je suis une mouette), répondit Marine
- Non, désolé, moi je suis....
C'est ainsi que, bercés par les secousses de leur carrosse improvisé guidé par le beau séducteur Ow et son cheval particulier Flam, Marine la navigatrice sûr d'elle, Reddo le cuisinier réservé, Atris l'écrivain gentil mais blagueur et bien sûr l'hyperactif et cocasse capitaine White quittèrent la petite ville de Spinelle pour une grande traversée du désert de Rubia en direction de la mystérieuse île de Topya, lieu d'habitation des tout aussi mystérieux Mush.
White ne supporta pas très vite de devoir rester assis dans cette charrette nuageuse alors qu'il faisait un très beau temps. Il lança un coup d’œil désespéré à son ami Atris, qui s'occupait avec ce qu'il pouvait, c'est-à-dire un livre. Il releva quand même la tête, vit son ami. Ni une ni deux, ils sautèrent du wagon et se mirent à sprinter comme des fous. Reddo et Ow furent surpris, mais ne s'en préoccupèrent pas plus que ça. Marine ne leva même pas la tête, habituée de mieux en mieux à leurs pulsions de défoulement.
- On prend un peu d'avance, on se rejoint un peu plus tard.
Blasée, Marine entama la discussion avec ses deux compagnons qui étaient restés.
- Allez Atris court un peu plus vite, t'es à la traîne là !
En effet Atris courait bien derrière White, dégoulinant de sueur.
- Oh c'est bon là, j'ai accepté de te suivre, mais après je fait pas tout tes caprices. Il fait chaud, j'aime pas courir, encore plus dans du sable, et je suis sûr qu'on va se perdre, il y a tout qui se ressemble !
- C'est bon, t'inquiète pas on va aller tout droit.
- Peut être que pour toi c'est facile, mais moi j'ai connu que mon île, donc l'orientation pour moi, ça frôle le zéro.
- C'est pas ma faute si t'es aussi bête qu'un piaf, alors t'énerves pas.
Les deux hommes, visiblement un peu énervé, ce qui leur était assez inhabituel, se mirent à sourire soudainement.
- Heureusement que Marine n'est pas là, parce qu'elle c'est un piaf !
Comme des gamins, ils se mirent à rigoler, puis se mirent à rouler à plat ventre sur une colline de sable non loin de là. Après trois ou quatre décentes, Atris vit au loin une masse sombre arriver vers eux.
Dans la charrette, Reddo s'était enfin endormi après les mauvaises dernière nuits qu'il avait passé. Cela n'empêchant bien sûr pas Marine et Ow de parler entre eux, comme de bons vieux amis.
- Mais au fait, vous êtes réellement frères toi et Ciel ? Car vous ne vous ressemblez pas du tout.
- Oui je sais, on nous l'as déjà dit, mais c'est assez fréquent que deux frères ne se ressemblent pas. Après tout on est pas jumeaux, je suis plus vieux que lui d'un an.
- Non mais quand même il y a une limite ! Toi tu es blond, lui il est … euh bleu. Tu es plus grand que lui, et de large. Il a les yeux bleus, et toi doré. Et encore là c'est qu'une partie du physique, et même si on ne vous connait pas depuis longtemps, il y en a un paquet de différences !
- En fait... je ne sais pas s'il le voudrait... mais... en fait, nous ne sommes pas vraiment frères, seulement demi-frère... Nous n'avons que notre mère en commun. Moi je n'ai jamais connu mon père, il est du même pays que ce bon Flam, alors que celui de Ciel est originaire de cette archipel. Son père m'a adopté à la mort de notre mère, il y a de çà de nombreuses années, et il m'accepte comme son vrai fils. Mais depuis quelques mois, Ciel ne veut plus lui adresser la parole, causant bien de problèmes...
- White ! Regarde ce qui s'approche de nous...
Le capitaine et l'écrivain se tenaient côte à côte sur cette étendue de sable brûlant. Droit devant eux arrivait une masse grouillante courant comme une furie, poussant des cris d'animaux. Au bout d'une bonne minute, ses composants étaient devenus distinguables : un troupeau d'animaux étranges arrivaient.
A sa tête se tenait un animal au pelage blond de la taille d'un gros chat, ressemblant à un d'ailleurs.
- Eh, il ne te dit rien le matou devant nous ? On dirais beaucoup ton ami de ce matin, quel accueil, on s'en souviendra de lui !
- Lui aussi je pense qu'il s'en souviens de nous...
En effet, l'animal courrait vers eux en criant de toutes ses forces. Mais le plus terrifiant encore était la horde derrière lui. Les créatures, au moins trois fois plus grosse, avait la même couleur de pelage, mais possédaient tout autour du cou une crinière de plumes bleues, ainsi qu'un bec rouge. Les rugissements qu'ils poussaient étaient bien plus terrifiant encore.
- Je... Je crois qu'on a un petit problème... s'inquiéta Atris. J'ai déjà vu ça dans un livre... Des Simzu ça s'appelle si je me souviens bien... Un croisement entre un lion et une espèce d'oiseau.
- C'est bon t'inquiète, ils peuvent pas mordre avec un bec. Ça se saurait sinon.
- C'est ça le problème... Ils peuvent. Ce sont des carnivores... Leurs dents sont tellement aiguisées qu'un bec se forment à l'âge adulte pour les protéger.
Les deux amis se regardèrent alors fixement, et déglutirent. L'écrivain se mit alors à courir aussi vite que ses jambes lui permettaient.
- A... Atris me laisse pas seul !! Arrête de courir !
- Euh... Je... Je prends de la distance pour mieux tirer avec mon arc...
White se trouvait seul face à la vingtaine d'animaux assoiffés de sang !
Dans leur carrosse, Reddo venait de se réveiller. Marine se précipita tout de suite à ses côtés.
- Ça va ? Bien dormi ?
- Oué merci...
- Ça se voit, mais là t'as la tête où je pense ! répliqua la navigatrice en désignant avec finesse l'endroit sous-entendu.
Ow s'incrusta alors dans la conversation :
- On arrivera au campement dans un peu moins dans environ une demi-heure.
- Au campement ? C'est quoi cette histoire encore ? On arrive pas directement ? Tu nous as jamais parlé de ça ?
- Ah bon ? Si tu le dis... répondit Ow d'un air innocent. On ne peut pas faire le trajet jusqu'à Topya en un jour, et puis c'est trop fatiguant pour un cheval, même pour Flam. Au fur et à mesure de mes allés et venus entre Topya et la ville de Spinelle je me suis aménagé un petit campement.
La navigatrice se leva alors, se dirigea vers le devant de la charrette et frappa Ow au dos.
- PUTAIN ! T'aurais pas pu nous le dire avant !! Maintenant les deux abrutis vont se perdre !! T'es vraiment un boulet !!
Leur accompagnateur fixa de longues minutes sa partenaire en colère.
- Quoi ?! Tu veux ma photo ??!!
- Pourquoi pas !? T'es belle quand tu t'énerves, répondit-il innocemment.
Cela n'amenuisa pas le comportement de Marine. Elle le frappa une seconde fois.
- Abruti !! Tu les collectionnes ma parole !
- Bon le comique t'arrêtes, stoppa net Reddo. Tu me donnes mal à la tête ! T'es musicien non ? Alors chantes un chanson et arrêtes de causer, c'est insupportable !
Ow s’apprêta alors à répondre, touché au vif, mais Marine le fusilla du regard. Ne voulant pas l'agacer plus qu'elle ne l'ai déjà, il prit sa flûte de pan et la porta à sa bouche.
- Tu vas voir, tu vas être impressionné ! Chanter tout en jouant d'un instrument à vent, peu de personnes y arrivent. D'habitude je suis accompagné à la guitare, mais là c'est... assez impossible. Alors qu'est-ce que je vais vous chanter ?? Ah je sais !
Il souffla, et la mélodie commença...
Le petit lionceau se jeta sur White, crocs à découverts. Le jeune homme saisi son parapluie et arrêta l'animal. Mais il mordit l'objet de toute sa force, ne voulant pas partir malgré tout le bon vouloir de White. Profitant de l'occasion, un simzu se rua sur lui, mais le traversa comme si de rien n'était. ''Heureusement que j'ai un logia'' pensa White.
- La flèche à rallonge !
Atris se trouvait sur la colline de sable, et était bien décidé à aider son ami, du moment qu'il ne se trouvait pas au cœur de la bataille. Il décocha une grande flèche blanche, qui fusa en direction du simzu, déstabilisé par la traversé de son ennemi. Elle se figea dans le bec de l'animal qui se brisa sur le coup, mettant sa mâchoire à découvert.
Toute la troupe se dispersa en cercle autour du capitaine. Le lionceau lâcha enfin le parapluie, et alla rejoindre ses camarades.
- Atris prépare toi !! Les cages d’impersonnellement !
White s'agenouilla brusquement, une main à terre. Des nuages se dispersèrent petit à petit autour de lui sur la surface du sable. Les pattes des simzus furent bloquées par se nuage solide, qui forma deux barrières, devant et derrière les animaux.
De l'endroit où il était, Atris envoya autant de flèches que d'animal vers le ciel.
- Les sommets du cercle !
Puis les flèches se dirigèrent vers le sol : chacune d'elles au dessus d'un des animaux paniqués.
White ouvrit son parapluie, le pointa vers le ciel et le fit tourner sur lui même.
- Section n°11 : Pyro-dial : les flèches enflammées !
Des flammes surgirent d'une partie de la toile du parapluie, enflammant les flèches. Elles se figèrent dans les animaux.
Le soleil était bas dans le ciel, la température avait déjà bien diminué. Marine était pressé d'arriver au campement pour enfin pouvoir se dégourdir les jambes. Reddo avait pris le livre qu'Atris avait laissé, mais s'arrêta rapidement, étant trop fatigué pour pouvoir faire quoi que ce soit.
Quant à lui, Ow, voyant le soleil bien loin et donc moins néfaste, enleva son chapeau, à la grande surprise de Marine et de Reddo.
- Qu'est-ce qu'y est arrivé à tes oreilles, elles sont trop bizarres ! Tu les a taillées ou quoi ?
En effet ses oreilles, maintenant à découvert, se terminait en pointe vers le haut.
- C'est peut être à force de te faire tirer les oreilles à chaque connerie (ce que tu fais souvent) que t'es comme ça... résonna cruellement Reddo.
Ow lui jeta un regard qui glaça l'ambiance net. Marine, mal à l'aise, poursuivit comme si de rien n'était.
- Donc tes oreilles, pourquoi elles sont comme ça ?
- Ma mère m'avait dit qu'elle venait de mon père et de son peuple, c'est génétique. On m'a dit que c'est parce que le père de Ciel avait des oreilles de la même forme qu'elle avait voulu lui faire un enfant, en souvenir de mon père qu'elle avait dû quitter.
- Et pourquoi elle as dû le quitter (désolé si je t'embête avec mes questions) ?
- Ça je l'ignore totalement, comme son nom, son île... Oh regardez là-bas c'est le campement !
- Ouf, enfin arrivé ! Mais on dirait qu'il y a déjà quelqu'un !?
Les deux amis s'étaient assis en haut de leur colline, observant le paysage lointain. White tourna la tête, et vit quelque chose qu'il n'avait pas remarqué avant.
- Eh regarde là-bas ! On dirait qu'il y a une maison sur un lac, avec plein de palmier et tout et tout ! Tu veux pas qu'on y aille pour boire un coup.
Atris n'eut même pas le temps de donner son accord que son capitaine était déjà sur ses deux pieds et commençait à marcher en direction de l'endroit.
Malgré lui, il le suivit, inquiet : ils ne l'avaient pas vu avant, et cela n'a pas pu apparaître comme par magie. Comme par hasard, White fut de plus en plus assoiffé par toute cette eau, et se mit à courir de plus en plus vite.
Mais plus ils approchaient, plus l'endroit devenait flou, jusqu'à disparaître complétement.
- C'est quoi ça ?! Il est où notre belle oasis ?!
En effet, le beau lac avait fait place à un cercle tracé sur le sable par des pierres ainsi que deux troncs d'arbres réunis autour de résidus d'un feu.
- C'est bon laisse tomber ! Je m'en doutais... C'est un mirage, le consola Atris.
- Mais non c'est pas bon, démoralisa White, on est assoiffé. Pour la peine je vais aller m'asseoir, les autres vont bien passer par ici !
Le capitaine fit quelques pas en direction d'un des troncs, mais son pied disparut dans le sable.
- Eh Atris ! Viens avec moi ! C'est trop drôle ! On s'enfonce !!
- Euh White, je pense que c'est mieux que tu sortes rapidement...
- Mais non, t'inquiètes pas, c'est sûr que il y a un fond ! Positiva White, enfoncé maintenant jusqu'à la taille.
- SORT TOUT DE SUITE DE LA !! C'EST UN SABLE MOUVANT !!
- Un sable qu... ?
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il fut entrainé d'un coup.
- AH, PUTAIN !! WHITE !!!
Ow, Marine et Reddo étaient de plus en plus proche du campement, mais la navigatrice était inquiète.
- Regardez ! Il y en a un qui a disparu ! Et l'autre il panique !
- ET L'AUTRE C'EST ATRIS !!!!
Les trois amis quittèrent l'attelage en vitesse, laissant leurs affaires au bons soins de Flam.
- Marine, Reddo et le dragueur !! White s'est fait aspiré !
- ALORS DEPECHE TOI BORDEL D'EXCREMENT ! CREE NOUS UNE CORDE OU UN TRUC DANS LE GENRE POUR LE REPECHER !!!!!!!!!!!!!!!
Les cinq compagnons s'étaient installés tout autour d'un feu, les nuits étant fraîches dans le désert.
- Ah Ah Ah, j'ai failli y passer moi !
- Mais c'est pas drôle ! Lui gueula Marine qui s'apprêta à le frapper comme elle sait si bien le faire.
Mais contre toute attente, Ow stoppa son poing.
- Non, c'est ma faute, j'aurais dû vous parler avant du campement, et qu'il était entouré de sables mouvements (pour que les animaux de saccages pas tout bien sûr). Désolé, vraiment...
Marine se frotta derrière la tête, embêté.
- Non... Ce n'est pas ta faute... Pas la peine de t'excuser...
- Marine... T'es belle quand tu es gênée <3 !
C'est ainsi qu'ils partirent se coucher après avoir manger un morceau.
- Marine, tu es sûr de pas vouloir dormir avec moi ? Il fait froid la nuit !
- Toi l'obsédé ferme-là !
En pleine nuit, Flam s'approcha de son maître, et le réveilla d'un coup de pattes bien placé.
- Flam, qu'est-ce que tu fais ?! Ça va pas ?! Cria Ow dans un murmure.
L'animal approcha sa tête et lui donna un petit escargophone d'où sortait une petite musique. Ow s'empressa de décrocher.
- Oui, qui c'est ?
- Ow reviens tout de suite ! C'est urgent !
Le musicien raccrocha, rangea ses affaires dans son sac, se hissa sur son cheval, et partit du campement, après un coup d’œil à ses amis d'un jour.
Je fini par la petite phrase comme d'habitude : si vous avez des questions n'hésitez pas !
PS : il n'y a toujours pas assez de description, désolé
Edit quelques secondes plus tard : Et j'ai encore changé d'avatar si vous ne le savez pas !