Encore un chapitre génial, bien qu'assez gore XD

Et le Yorki, comme le capitaine de Brook, c'est juste une coïncidence, ou?...

Bon, allez, puisque ça me fait bien plaisir, je m'accorde un simple message de remerciements.

Je suis désolé de t'énerver de par le fait que je sois un génie à l'état pur, il faut t'y habituer depuis le temps qu'on se connaît (un mois et demi à peu près^^).


Merci à toi Forlan, un de mes lecteurs réguliers dont j'attends à chaque fois les coms !! Et merci à toi aussi Pap's, dont la BD connaît le plus gros engouement de La Bibliothèque depuis un bout de temps !!!


En effet, c'est pas fait exprès mais vu que je devais tuer plein de monde... et la tête de Yorki est assez gore aussi^^.



Hé hé hé... à votre avis ? Voilà qui peut vous donner des théories sur le déroulement du prochain chap...
Mercie encore, et à la prochaine !!

Un Chapitre qui m’a un poil déçu… Et oui, tout arrive ! Tout d’abord, la fin du couple paraît si rapide, trop rapide ! Dommage Jacky ! Mais cela reste dans le très bon !
Puis, on revient sur Jango qui se découvre des talents d’hypnotiseur et qui parvient même à faire se suicider un cygne ! Bien hilarante cette scène !
Yorki semble être en furie face à CQFD et je me demande comment tu vas traiter ça ! Mais ce qui est sur, c’est que ce sera une expérience inoubliable !

Avec un peu de retard^^...
LES AVENTURES DE BON CLAY
Chapitre 9: Le chef Indien
Chapitres à lire pour bien comprendre l'histoire: chapitres 1, 4 (page 1 du topic), 5 (page 2), 8 (page 3).


Dans une vie antérieure, l'homme qui se faisait appeler CQFD avait été pirate.

30 ans plus tôt.
L'indien était allongé au sol, sur le sable humide. Il semblait approcher de la quarantaine. Il ferma les yeux.
Il se faisait appeler CQFD, depuis qu'un gamin l'ayant côtoyé l'ait appelé comme cela. Ses yeux clos renfermaient une profonde tristesse. Il savait que son voyage n'aboutirait pas, qu'il ne serait jamais le plus grand des danseurs.

Au-dessus de lui se tenait un homme élancé mais extrêmement fort. C'est lui qui l'avait mis au sol. Un attroupement de badauds s'étaient formés autour des deux adversaires.
CQFD se releva péniblement, et vit une lueur d'espoir s'allumer au fond de son coeur. Cet homme lui avait enlevé sa dignité pour rien...
Il y eut un élan général de stupéfaction parmi le spectateurs. Certains applaudirent le courage de l'indien.

CQFD ne voulait pas renoncer à son rêve. Il avait pris la mer presque vingt ans plus tôt dans l'espoir de devenir le meilleur danseur de l'histoire. Il avait parcouru les quatre grands océans, affronté des hommes-poissons, des géants, des pirates de toutes sortes, tout ça pour engranger de l'expérience, qui avait fait de lui un des danseurs les plus renommés au monde... mais pas encore le meilleur...
Son voyage ne pouvait s'arrêter ici, à Jaya.
Tout était flou en lui... l'homme, qui se faisait appeler Gaspardo, l'avait attaqué en entendant son rêve dans la taverne... Tout était allé si vite... c'est à ce moment que CQFD s'était rendu compte qu'il lui avait toujours manqué des compagnons pour son aventure, qui le défendraient et se feraient défendre par lui...

Gaspardo sourit lorsqu'il vit CQFD debout face à lui.
Il s'avança lentement vers lui.
La foule retenait son souffle.
Il y eut un coup d'éclair.
les deux combattants ne bougèrent pas.
Tout à coup, CQFD s'écroula.
Sa jambe était tordue et broyée, ensanglantée.
L'indien tomba à terre et n'entendit qu'une parole de Gaspardo:
- Maintenant, tu ne pourras plus danser...

Seule la jambe était touchée, mais la douleur de CQFD touchait le corps entier, et surtout l'esprit. C'tait comme si ses organes vibraient: à la fois la souffrance était insupportable, et son esprit entier se vidait, comme s'il n'existait plus. S'il avait pu réfléchir à son état, il aurait trouvé cela étrange qu'il puisse continuer à entendre les voix autour de lui:
- blablabla... l'esprit combatif... blablabla... c'est bien lui... Gaspardo l'a...
Il ne put entendre la fin de la phrase. "L'a..." ? L'amitié, c'est cool ? Lalalala trop bien cette chanson ? La Clairefontaine m'en allant promener j'ai trouvé l'eau si belle que je m'y suis baigné ?

- Hey, Gaspardo !!!
CQFD parvint à ouvrir les yeux mais sa vison était encore brouillée. Il cracha un flot de sang et de vomi au sol. Une voix avait appelée son adversaire de manière familière...
- Qu'est-ce que tu as foutu ?!!! On était ici incognito !!!
- Je l'ai entendu à la taverne, il a dit qu'il voulait être le plus grand danseur du monde !!!
- QUOI ??!!!! hurla l'inconnu en donnant alors des coups de pied dans le ventre de CQFD.
- Calmez-vous tous les deux !! lança alors une troisième voix.

Les murmures de la population de Jaya reprirent.
- Tous les trois là... les plus jeunes...
Le troisième homme à avoir pris la parole, après s'être excusé auprès des habitants pour cet incident, reprit son sermon:
- Nous ne sommes qu'à une étape pour vaincre le Serpent Rouge de Sang qui détruit tout sur son passage !! Pas la peine de se faire remarquer !!!
Les murmures s'interrompirent mais une tension régnait sur la place. Le Serpent rouge de Sang, cet animal terrible qui avait déjà détruit une centaine d'îles et tué des millions de personnes... personne d'encore vivant ne l'avait jamais vu... et il se trouvait près de Jaya ?
- Mais euuuuuuuuuh, répliqua ingénieusement le deuxième homme, il a dit qu'il voulait être le meilleur à la danse !!!
- Et alors ? Tu te sens menacé ? Voyons, il est reconnu dans le monde entier que le meilleur danseur de l'histoire c'est toi, Bon Klopp.

CQFD était toujours étalé de tout son long au milieu de la place. Il ne sentait plus sa jambe, ce qui était mauvais signe. De manière inexplicable, il avait su, dès qu'il avait vu Gaspardo, qu'il ne pourrait jamais plus danser de sa vie. Son ennemi possédait une sorte d'aura maléfique, qui vous faisait vivre un désespoir douloureux à sa proximité.
CQFD savait son rêve brisé... et pensait déjà à la vengeance.
Il y eut encore un peu de dispute entre les trois protagonistes. CQFD, dans son désir de n'oublier aucun nom, imprima celui du dernier, le plus raisonnable, dans sa mémoire: Roberto.
Puis les trois hommes partirent.

Jaya s'était faite presque vide, en ce bel après-midi printanier. Tout le monde avait cherché à s'éloigner de CQFD, comme s'il avait la peste. Celui-ci s'était maintenant relevé, et avait cherché à rationaliser. On lui avait enlevé toute capacité pour la danse, juste parce qu'il marchait sur les plates-bandes d'un autre... il ne devait pas se venger, consacrer sa vie à vouloir retrouver ces hommes plus forts que lui...
Mais il ne pouvait se raisonner.
- Dis, tu es bien un danseur, toi ?

L'indien leva la tête. Se tenait devant lui un homme légèrement plus jeune que lui, à l'air aimable, coiffé d'un chapeau de cow-boy.
- Mon nom est Yorki, je suis le capitaine des Rumbar Pirates. Des fanas de musique !!
CQFD s'était toujours méfié des pirates. Il refusait de regarder Yorki dans les yeux, mais celui-ci semblait sincèrement amical.
- Tu sais... on a toujours eu besoin d'un prof de danse, dans notre bande...
C'était une sensation étrange. Les deux hommes, seule sur une place publique, ne se regardaient pas, et le premier venait d'inviter l'autre à prendre la mer avec lui. Un parfait inconnu...
CQFD se releva.
C'est ainsi qu'il devint pirate.

30 ans plus tard.
Il les avait retrouvés. Deux des trois étaient ensemble dans le village de Tapettal. Malgré trente ans de recherches, CQFD n'avait pas pu les repérer, notamment à cause de l'affaire Rough Tell. Mais si Roberto et Bon Klopp étaient réunis, c'était sûrement qu'il se passait quelque chose de grave.
CQFD avait toujours cet objectif en tête, mais cherchait aussi sa fille, une toute jeune fille ayant un talent pour la peinture, pour l'art des couleurs, tout bonnement exceptionnel, proche du surnaturel. Elle avait été enlevée.

Mais il n'avait pas pu. CQFD ne pouvait pas les retrouver. Il ne voulait pas... il était trop faible, il ne savait pas... son esprit était embrumé.
Il avait envoyé ses cygnes, qu'il avait adopté au cours de ses voyages, lui chercher de la nourriture. Il s'assit au bord de l'eau, sur la plage. Il était pitoyable... il avait passé trente ans à chercher ces hommes... mais à quoi bon ?
CQFD fixa l'eau tristement, puis baissa la tête.

Tout à coup, une jeune personne décolla d'un ravin comme une fusée, percuta au vol plusieurs rochers et s'évanouit dans l'océan tumultueux.
Par réflexe, CQFD courut pour sauver l'adolescent.



Fin du chapitre 9, un chap entièrement flashback donc. Le chap 10 (je sais pas quand il sortira, vu l'emploi du temps chargé) reviendra au présent et se concentrera un peu moins sur CQFD, cette fois.

Enfin le nouveau chapitre !
Celui-ci, bien que moins centré sur l'humour, ne m'a pas décu du tout.
L'histoire avance (ou recule puisque c'est un flashback, c'est selon) avec une foule de renseigements sur les proagonistes de l'histoire. Et si j'a bien compris, CQFD serait le père de miss Goldenweek, ce qui augre du bon.
Le seul pint un peu zarb, c'est qu'on povait s'attendre à une explication sur le porquoi du comment Yorki a été défiguré, mais nul doute que tu reviendra la dessus plus tard.
Enfin, comble du raffinement, on se croirait presque dans un flashback de One Piece si ce n'est que tu rajoutes ta touche personnelle.
Doc, au prochain chapitre et continue sur cette trés bonne lancée !

Très bon flash-back ! Bravo! Bon Klopp m'a paru un peu violent quand même........CQFD ne lui avait rien fait...........Mais bon ,on verra avec la suite de l'histoire .Bonne chance pour la suite!

Un excellent chapitre, qui continue sur la lancée des précédents. Je ne peux qu'être admiratif devant la narration et l'humour. Vraiment: BRAVO !

Au fait Jacky: bientôt le Chapitre 10 ^_^ Je ne sais pas quand je pourrai faire l'interwiew vu que mon ordi a rejoint les cieux... Mais sache que la date est simplement reportée, c'est tout !

C'est bien pensé de reprendre le passé de Mr 2! Une fic pleine d'humour très agréable à lire !
Continu comme ça !

Salut Jacky!je reconnais que ça fait longtemps que je n'ai pas écrit de commentaires mais à chaque fois ,je regarde et je ne vois plus de nouveau chapitre...Aurais-tu abandonner ta fanfic? J'espère que non!

Je remercie d'abord meriadek pour son commentaire, je continue à lire ta fic mais j'avais zappé de laisser des coms, donc j'y repenserai ^_^...

Sinon, non, la fic n'est pas du tout abandonnée et je garde mes idées bien au chaud. Le fait est que j'alterne un peu entre flemme et occupations diverses: révisons du bac bien sûr, et puis plage, foot, filles, soirées alcoolisées... autant dire que l'été n'est pas la meilleure période pour avoir plein de chaps mais ne t'inquiète pas -je te remercie de t'être inquiété quand même ^^- les Aventures de Bon Clay continueront !!

Cette fiction m’intriguait depuis déjà de bons mois mais faute de temps, je n’ai jamais pu réellement me plonger dedans. Aujourd’hui, je n’ai pas forcément plus de trous dans mon emploi du temps qu’avant mais j’ai troqué – ponctuellement – une journée de liberté pour faire un petit tour sur les créations de La Bibliothèque. Après l’œuvre de Blitz, je me suis donc attaqué à la tienne, Jacky D. Kaput.

Et d’emblée, pour une fois, je ne dirai rien sur la forme, parce que même s’il y a deux, trois imperfections ici et là (dues principalement à des oublis et à l’inattention), l’ensemble est remarquablement bien écrit, presque sans faute, avec un vrai talent et sans doute aussi de vrais efforts. Ça, c’est fait, passons.

Du coup, il ne reste plus grand-chose à dire car d’ordinaire j’adore m’attarder sur le style étant donné que c’est majoritairement sur cet aspect que le bât blesse un peu. Enfin, risquons-nous tout de même à commenter quelque peu le scénario. Pour tout avouer, j’ai d’abord eu très peur de la bonne tenue de l’histoire (c’est d’ailleurs cette curiosité qui m’a indirectement fait lire ta fiction), parce que si Bon Clay est un personnage que j’affectionne beaucoup, tenter de produire son background était un pari suffisamment risqué pour s’y casser la gueule facilement. Eh bien, au final, nada. Mes craintes étaient injustifiées puisque tu t’en tires franchement très bien. Tu n’avances pas trop vite dans tes idées, et c’est donc sans te précipiter que tu poses des bases solides pour – comme tu le dis toi-même – construire un authentique univers pour Mr 2. Ensuite, les rencontres imprévues se succédant à une sorte de turn-over référençant efficacement One Piece, inspiration primaire s’il en est, associées de plus à un humour débilement subtil (le premier indice notamment), font qu’on se retrouve face à un récit des plus agréables, où l’immersion est quasi-garantie.

En conclusion, et bien qu’il y ait eu certains passages qui ont été plus transparents que ce que la composition entière ne laissait pas présager (je pense à la séparation du duo Jango/Mr 2 par exemple), j’ai sincèrement beaucoup aimé ta fiction. En bref, une excellente surprise, a fortiori parce que je ne m’y attendais guère.

[Message additionnel non prévu au départ : Ah oui, pour la fille de CQFD, ce serait étonnant que ce soit effectivement GoldenWeek. Si tel devait être le cas, là, y’aurait un souci de cohérence des temps. A moins que Jacky D. Kaput nous sorte un fruit de la jeunesse éternelle pour la peintre de style réaliste… ^^]

[Message additionnel deuxième du nom : Au passage, je vois pas trop l'intérêt de mettre les chapitres à lire pour comprendre le chapitre en cours vu que, personnellement, je considère que pour bien s'imprégner d'une histoire, il faut la lire entièrement. Pis même, au bout d'un moment, on remarque bien qu'il "faut" avoir tout lu pour véritablement saisir tous les enjeux qu'offrent les événements.]

(Place à présent à la dernière fiction qui m’intéressait : L’île du Feu de LucioL ! ^_^)

LES AVENTURES DE BON CLAY
Epilogue

- Escarpins, tutu, pompons sur la caboche et maquillage à l'avenant, il manque plus que la plume dans le cul et on pourrait parier qu'il ressort d'une soirée où tournait un peu de GHB. Mais ce n'est pas cette abondante couche de mascara qui maintient les yeux de ce type constamment en éveil, à l'affût, la pupille prête à bondir au moindre bruit suspect ; et ce ne sont ni son allure ni son odeur qui poussent les gens à se tenir instinctivement loin de lui – bon d'accord, peut-être un peu – mais bel et bien cette aura de dangerosité qui émane de lui, et ce sans qu'il ne le recherche un seul instant, au contraire. Il est un tueur impitoyable, le seul capable d'assumer le double rôle de « Mister » et de « Miss ». Parce qu'il n'est ni homme ni femme et qu'il est les deux à la fois.

- Je vous parle de ma terre à moi, c'est la plaine et la brume et les hautes herbes qui vous fouettent lorsque vous y courez, empli de joie comme vous ne pouvez que l'être lorsque vous habitez là-bas, content d'être content, le cœur ouvert à l'inconnu avec l'envie de dire bonjour à n'importe qui. Je vous parle de mon village de Tapettal, de mon école de danse, de mon ami et rival Pell qui un jour s'en est allé sur les flots vers une terre lointaine et mystérieuse.

- Très chère, vous vous doutez bien que depuis le temps que j'habite à Alabasta j'ai pris suffisamment de renseignements au sujet de ce Pell le Faucon. Figurez-vous qu'en plus d'être un ami d'enfance de notre homme - j'ai tout fait pour éviter de les faire se rencontrer - qu'il faisait partie de ce fameux « Projet D » qui visait à regrouper à Rough Tell la crème de la crème, les meilleurs de chaque métier, de chaque passion, de chaque occupation que l'être humain a un jour pu se vanter, ou non (il y avait le meilleur avaleur de l'histoire des crottes de nez dans le lot) d'imaginer. Le début de la dernière expiration, la plus lente et douloureuse, d'un peuple qui refusait de faire face à sa disparition, devenue inéluctable depuis que Gold Roger avait brisé son secret – je ne vous apprends rien, ma chère, c'est votre aptitude à lire les poneglyphes qui m'a offert quelques précieuses révélations à ce sujet.

- Mon chemin fut long et périlleux. Cette phrase est quand même super cliché, mais c'est parce que, maintenant que je suis loin de chez moi, que j'ai grandi et appris, je ne sais plus vraiment pourquoi j'ai quitté le domicile familial. Mes ambitions dans la danse ? J'ai fait de mon ancienne grâce une technique d'esquive, j'ai fait de mon allonge une capacité de coup de pied surpuissant ; le milieu naturel dans lequel j'ai évolué, loin bien loin de mon petit nid douillet, a naturellement fait de moi un combattant. Ma volonté de retrouver ma mère ? Je ne sais pas ce que je suis devenu alors pourquoi essayerais-je de retrouver les aïeux que je n'ai jamais connus ?

- J'ai contacté notre homme après son fameux coup d'éclat à Gammaya, celui qui lui valu cette mise à prix à 32 millions de berrys. L'émissaire que je lui avais envoyé pour le recruter m'a dit être devenu ami avec lui environ 18 secondes après leur rencontre. C'est cette capacité d'adhésion du public digne des plus grands acteurs, bien plus que sa force ou son courage, que j'ai valorisée pour mettre en marche la première phase, cruciale comme vous le savez, de notre opération Utopie. Tel que je le connais, lui et sa bande de débiles légers qui le suit doivent être en train de trépigner d'impatience.

- Le regretté CQFD et ses cygnes, Jango le danseur-hypnotiseur, la longue escale dans ce village paumé avec ce gamin mythomane au long nez, la rencontre avec ce qui deviendrait le futur équipage des Travelo Boys, le pillage de la caserne de la Marine de Gammaya, l'intégration à Baroque Works, et tout récemment la rencontre avec Crocodile... Ma voie se construit en même temps que je marche, je pose pierre par pierre devant mes pieds, mais toujours dans mon esprit se dressent les valeurs de l'amitié, de la fantaisie et des cygnes gentils tout plein. L'opération Utopie sonne-t-elle la fin de mon voyage ? Est-ce à Alabasta que je m'installerai pour régner sur une parcelle de territoire à mon image ? "Le Royaume du Cygne"... ça sonne bien.

- Escarpins, tutu, pompons sur la caboche et maquillage à l'avenant... Entourer la description de cet énergumène de métaphores fleuries et d'hyperboles baroques ne saurait qu'installer une distance entre lui et l'individu lambda dans leur manière d'être. Mais lui ne mérite pas d'analyse de sa personnalité permettant de comprendre pourquoi il est comme ça ; il ne mérite ni empathie, ni mépris, ni haine : loyal, sympathique et amusant, il l'est, tout autant que brutal et impitoyable, il n'y a rien à extrapoler à ce sujet. C'est parce qu'il est profondément humain, mais un humain assoiffé de sang, que c'est mon soldat le plus fiable. C'est pour cela, Miss Allsunday, qu'il a ce statut spécial dans mon organisation.

- Parce que je ne suis ni homme ni femme et que je suis les deux à la fois, parce que j'ai le Travelo Way ancré profondément en moi. Tiens, ça rime.
Bon Clay prit ses affaires et se leva. Au loin à l'horizon se levait le soleil rouge d'Alabasta.

ta fic est excellente,elle correspond parfaitement au manga,c'est très drôle et surtout très bien raconté